Sur cette affaire voir mes deux articles précédents :
ZOE (1er partie)
ZOE (2me partie)
(Et les « flashs info sur les points particuliers)
ZOE (3me partie) du Vendredi 2 Novembre au 4 novembre 2007
Vendredi 2 novembre : Les dix-sept Européens et quatre Tchadiens poursuivis, ont été regroupés vendredi à N'Djamena, après que la juridiction d'Abéché, dans l'est du pays, eut été dessaisie du dossier de l'Arche de Zoé.
Concernant les journalistes français et les hôtesses de l'air espagnoles, dont le président tchadien Idriss Deby Itno avait "souhaité" jeudi la prochaine libération, dissociant leur cas de celui des autres inculpés, ceci devrait conduire à un élargissement d’après certains « échos »
Interrogé sur ces propos, le premier substitut du procureur Masnagaral Kagal a déclaré vendredi soir à N'Djamena qu'"entre les déclarations politiques et la décision judiciaire, il fallait se garder de prendre des décisions hâtives".
Les inculpés d'Abéché sont arrivés vendredi après-midi à la base aérienne de N'Djamena à bord d'un C-130 de l'armée tchadienne qui avait décollé d’Abéché..
Ils ont été emmenés au palais de justice où un juge d'instruction a décidé de les incarcérer à la nouvelle maison d'arrêt de la capitale .
Le substitut a déclaré que : "S'il n'y a pas d'autre contrainte, leur audition commencera demain (samedi)".
Ces inculpés ont rejoint dans la capitale un pilote belge de 75 ans qui avait acheminé une partie des enfants à Abéché depuis la frontière tchado-soudanaise. Cet homme avait été arrêté le Dimanche 28 octobre puis inculpé et incarcéré mercredi 30 Octobre à N'Djamena pour "complicité d'enlèvement de mineurs".
Rappel : Les 21 inculpés, au total, encourent de cinq à vingt ans de travaux forcés.
Selon une source judiciaire, les avocats des trois journalistes français et des quatre hôtesses de l'air espagnoles vont pouvoir introduire à N'Djamena "une demande de libération provisoire" qui sera "probablement acceptée", dans l'attente d'un éventuel non-lieu.
(Leur sort s'était allégé jeudi quand le président Deby a déclaré «souhaiter" que les journalistes et hôtesses "soient libérés")
Monsieur David Martinon a commenté vendredi cette déclaration : "Nous avons pris ces déclarations comme un signe encourageant", a commenté vendredi le porte-parole de la présidence française, David Martinon.
Note : Le reporter Marc Garmirian de l’Agence Capa et le photographe Jean-Daniel Guillou de l’agence Synchro X se trouvaient au Tchad en reportage pour couvrir l'opération. Marie-Agnès Peleran, journaliste de France 3, était en "congé humanitaire de solidarité", ce qui écarterait une présence professionnelle. Sa présence au Tchad semble assez délicate à qualifier.
Le sort des bénévoles de l'association reste en incertain.
Résultats d’enquête : Selon les premiers résultats de l'enquête menée par des agences humanitaires internationales auprès des 81 garçons et 22 filles, âgés de un à dix ans, ces enfants disent dans leur quasi-totalité avoir dans leur entourage au moins un adulte "qu'ils considèrent comme un parent" et venir de villages tchadiens frontaliers du Soudan, sans que l'on puisse déterminer pour le moment s'ils sont Tchadiens ou Soudanais.
Une trentaine d'adultes assurant être à la recherche de leurs enfants confiés à l'association ou à des intermédiaires tchadiens sont à arrivés à Abéché pour tenter de les récupérer.
Vendredi 2 Novembre : Abéché dessaisi au profit de la juridiction de N'Djamena
Nous apprenons que la Cour suprême tchadienne a dessaisi vendredi la juridiction d'Abéché (est du Tchad), au profit de celle de N'Djamena, du dossier de 16 Européens et 2 Tchadiens inculpés.
Le Tribunal de première instance (de N'Djamena) désignera, au plus tard lundi, un nouveau juge d'instruction
Rappel : Un chef de quartier et un sous-préfet tchadiens ont également été inculpés de "complicité" par le juge d'instruction d'Abéché dans ce dossier, mais on ne savait pas vendredi où ils se trouvaient.
Rappel : Un pilote belge qui a acheminé une partie des enfants à Abéché depuis la frontière tchado-soudanaise a, pour sa part, été arrêté le 28 octobre puis inculpé et incarcéré mercredi à N'Djamena pour "complicité d'enlèvement de mineurs" dans cette même affaire.
(Les inculpés encourent des peines de cinq à vingt ans de travaux forcés.)
On confirme que le Président Tchadien Idriss Deby Itno a affirmé jeudi "souhaiter" - tout en assurant ne pas vouloir "forcer la main à la justice tchadienne" - que les journalistes français et les quatre hôtesses de l'air espagnoles "soient libérés"
Rappel : Le président français Nicolas Sarkozy lui avait demandé la veille de libérer les journalistes. Il a eu un nouvel entretien jeudi soir avec son homologue tchadien (entretiens par téléphone)
Par ailleurs, nous apprenons qu’un couple des Pyrénées-Orientales qui devait accueillir l'un des enfants vient de porter plainte contre l'Arche de Noé, dont il dénonce les pratiques dans une interview publiée vendredi 2 Novembre par L'Indépendant. Ce couple, qui a requis l'anonymat, a déposé plainte pour escroquerie après avoir versé 2.400 euros à l'association et il affirme avoir été averti au dernier moment qu'il n'avait finalement pas été retenu parmi les familles d'accueil initialement
Samedi 3 Novembre : on apprend que les inculpés bénéficieront de la "protection" de Paris selon la déclaration du 2 novembre de Me COLLARD, défenseur des inculpés :
- Les membres de l'association l'Arche de Zoé, inculpés au Tchad, "bénéficieront maintenant de la protection et du soutien du gouvernement français", a déclaré vendredi leur défenseur Me Gilbert Collard. : L’attitude du gouvernement au moment de l’affaire a été inacceptable. On avait l’impression qu'ils participaient à l'accusation. Maintenant, tout est rentré dans l'ordre", a ajouté l'avocat, après avoir rencontré Mme Yade pendant près de deux heures, en compagnie des familles.………. "Il ne dépend plus que de nous, que du gouvernement français, de ne pas alimenter la colère du Tchad", a-t-il estimé, alors que les membres de l'association sont soupçonnés par les autorités tchadiennes d'"enlèvements" et de "trafic d'enfants". …Mme Yade "nous a donné la confirmation que dans peu de temps le calme peut revenir", a dit l'avocat, selon lequel un juge d'instruction sera nommé lundi à N'Djamena puis "une demande de mise en liberté présentée pour tous les inculpés".
Me Collard a précisé que la secrétaire d'Etat avait présenté "de manière plus favorable" le sort des trois journalistes qui accompagnaient les membres de l'association une N'DJAMENA
Ndlr : Me Collard a déclaré entre autres : « L'attitude du gouvernement, au moment de l'affaire, a été inacceptable. On avait l'impression qu'ils participaient à l'accusation ».
Ce n’est pas mon impression, j’ai pour impression personnelle que le gouvernement faisait part de sa désapprobation et dénonçait à juste titre cette opération comme inacceptable et illégale.
Dimanche 4 Novembre : Un couple de Loire-Atlantique qui s’apprêtait à accueillir un orphelin du Darfour par l’entremise de L’arche de Zoé s’est dit menacé de représailles et a affirmé avoir reçu des menaces s'il parlait à la presse. Ce couple a décrit le « charisme » du président de l'association, Eric Breteau : …… "Nous on a témoigné parce qu'on veut que la vérité soit établie, et malgré la peur de représailles" ont déclaré Cécile et Flavian Hervy. Ils disent avoir reçu un coup de fil anonyme lui promettant "des représailles" s'il parlait à la presse. Ce couple d'une trentaine d'années qui habite Sainte-Luce-sur-Loire, dans la banlieue de Nantes avait "rempli un dossier" auprès de l'association dans l'espoir d'adopter un orphelin….. "On a été convoqué pour une réunion le 1er septembre où on nous a indiqué que si on voulait continuer il fallait verser 2.200 euros pour les frais médicaux et la logistique", raconte Mme Hervy.
Lors d’un "meeting", Mme Hervy décrit Eric Breteau expliquant, de manière très convaincante, sa démarche devant 300 personnes. "Il avait réponse à tout, et il avait l'air de savoir où il allait", notamment en ce qui concerne les démarches administratives à effectuer à l'arrivée des enfants en France.
"Il nous a dit que pour arriver à l'adoption il faudrait de deux à cinq ans, et ça nous a semblé logique, en plus pendant ce temps on avait l'enfant avec nous au lieu d'attendre sans rien avoir".
Mme Hervy explique qu'ils n'ont jamais pu parler directement à Eric Breteau, car "il était toujours occupé".
Mme. et Mr. Hervy déclarent en vouloir aujourd'hui à l'association et à son président de leur "avoir menti". ….. "Ce qui nous a choqué, c'est que tous les enfants ne soient pas orphelins et qu'ils ne viennent pas du Darfour». ………… "On envisage de porter plainte pour abus de confiance, mais pas pour escroquerie".
Le 4 novembre : En Lorraine 8 familles s’unissent pour soutenir l’Arche de Zoé - « On n’achetait pas un enfant » se défendent 8 familles Lorraines qui ne se connaissaient pas mais viennent de se regrouper pour former un collectif de soutien, toujours confiantes en Eric Breteau. …….. "L'Arche de Zoé, ce sont des pompiers, des médecins, des psychologues: nous n'avons pas la moindre interrogation sur leur intégrité", affirment ces 8 familles. ……. "Ces gens ne nous ont jamais rien caché. Peu de temps avant leur retour du Tchad, nous avons appris qu'il n'y aurait qu'une centaine d'enfants et non 309 comme initialement prévu. Parce qu'ils n'avaient pas réussi à obtenir les papiers nécessaires. Nous savions donc que nous n'accueillerons pas d'enfant finalement ….. « Eric Breteau nous avait prévenus dès le 8 septembre à Valence: « si cela se passe mal, on sera traités de trafiquants »
Questionnées par la presse sur les plaintes des familles s'estimant abusées, les familles lorraines estiment au contraire que, pour elles, "les choses étaient claires" … : «Le budget avait été détaillé en septembre à Valence. Et puis, il s'agissait de dons. On n'achetait pas un enfant. Et ce n'est pas parce qu'on consentait un don qu'on devait systématiquement accueillir un enfant". Et d'insister: "accueillir, pas adopter".
"Sauf à dire que l'ONG sur place aurait pu être trompée", les huit familles ne croient pas que ces enfants soient tchadiens et pas orphelins ……. "Dès la mi-septembre, nous recevions des nouvelles des enfants tous les jours. Pendant six semaines, ils ont été choyés. Rien à voir avec ce qui est raconté désormais. Du coup, aujourd'hui, on arrive à douter de tout de que l'on voit. Et même de ce que l'on ne voit pas."
Ndlr : il n’y a pas de pire aveugle que celui qui ne veut pas voir et pas de pire sourd que celui qui ne veut pas entendre. S’ils se taisaient au moins !
Ces huit familles se mobilisent pour obtenir l'extradition vers la France des responsables de l'Arche. "Nous pensons qu'ils sont désormais l'objet d'enjeux qui les dépassent". Elles disent aussi se mobiliser pour la sécurité des enfants.
Ndlr : puis-je penser que saisies de panique devant la tournure de l’affaire, ces huit familles ont craint d’être accusées d’avoir voulu adopter dans l’illégalitéet se sont rassemblées en insistant sur les termes « accueillir, pas adopter » comme elles le disent.
Ceci pour moi ne fait aucune différence adopter ou accueillir se fait selon des règles et des formalités très précises et très longues en l’occurrence, qui n’étaient ni initiées, ni encore moins en cours, alors que les enfants étaient attendus « à la réception » dans des délais très courts.
Par ailleurs, il s’agissait de dons, disent-elles, en prétendant que ce n’est pas parce qu’on consentait un don qu’on devait systématiquement accueillir un enfant. A mon avis cet argument n’est pas plus valide, que le précédent, consentir un don c’était tout de même financer un projet dont elles n’ignoraient pas les tenants et les aboutissants dont elles auraient du s'inquiéter et s'informer de la légalité très sérieusement, avant de s'y impliquer financièrement et disons le juridiquement en donnant des sommes importantes.
Par ailleurs, elles n’ont pas à soutenir des personnes dont elles déclarent avoir la moindre interrogation sur leur intégrité, alors qu’il vient d’être démontrés qu’elles se sont fourvoyés dans une opération illégale à tout point de vue. Nul ne peut se prévaloir de sa propre turpitude, et le mieux que ces familles auraient à faire, c’est de laisser les autorités et la Justice opérer et se prononcer, et de ne pas provoquer, en se manifestant malencontreusement, des enquêtes plus approfondies dont certaines de ces familles auraient peut-être à se mordre les doigts.
Dimanche 4 Novembre : Un dénouement attendu pour les journalistes Français et les hôtesses espagnoles
L'Elysée a annoncé dimanche matin que Le Président Français Nicolas Sarkozy était en route pour rencontrer son homologue tchadien Idriss Deby Itno.
M. Sarkozy était donc attendu vers 14H00 pour une visite de "quelques heures" et devait repartir dans le courant de la journée.
Dans les jours précédents, plusieurs indices en faveur d'un dénouement proche pour au moins 7 inculpés européens impliqués dans cette lamentable affaire avaient émergés.
Idriss Deby qui s’était entretenu par téléphone Mercredi 31 oct. et Jeudier novembre avec Monsieur Nicolas Sarkozy, "souhaitait" la libération des journalistes et des hôtesses tout en dégageant la responsabilité de "la France officielle" dans cette affaire.
Selon une source Diplomatique tchadienne, le président français Nicolas Sarkozy était attendu dimanche à D’Djamena.
Selon une « source tchadienne » Monsieur Nicolas Sarkozy devait "prendre avec lui les journalistes français et les hôtesses espagnoles" dans son avion de son retour …. pour ramener à Madrid et Paris les hôtesses de l'air espagnoles et reporters français incarcérés dans l'affaire de l'Arche de Zoé, dont la libération semblait imminente .
L e déplacement du chef de l'Etat Français marque un tournant dans le dossier …."Puisqu'ils n'ont pas reconnu les faits et qu'Eric Breteau (président de l'Arche de Zoé) les a disculpés (lors de son audition samedi soir), la confrontation n'est pas nécessaire, et il n'y a donc pas lieu de les maintenir en détention", a déclaré une source judiciaire tchadienne, à propos des trois journalistes français et des quatre hôtesses espagnoles. ……"Par conséquent, il va y a avoir une levée partielle du mandat de dépôt (concernant ces sept personnes) et ils seront libérés dans les heures qui viennent".
M. Sarkozy était donc attendu vers 14H00 pour une visite de "quelques heures" et devait repartir dans le courant de la journée.
Le président français Monsieur Sarkozy est enfin arrivé dimanche dans l’après-midi à N'Djamena et a été accueilli à l’aéroport par le Président Idriss Deby Itno.
Un juge ordonnait au même moment la libération des journalistes français et des hôtesses de l'air espagnoles, ce qui, entre parenthèses aurait mécontenté de nombreux magistrats tchadiens qui ont dénoncé des « pressions politiques »
Ndlr : il faut bien que quelque uns se plaignent de part et d’autre, rien n’est parfait en ce bas monde, mais en certaines circonstances il faudrait savoir faire taire un mécontentement « épidermique » personnel ou politique en considérant l’intérêt du renforcement de l’amitié et de l’apaisement politique des relations franco-tchadienne, dont le Tchad à mon avis n’aura pas à se plaindre
Auparavant, un juge d'instruction avait ordonné "la main levée du mandat de dépôt" des journalistes et des hôtesses de l'air, autorisés à quitter le Tchad dans l'attente d'un éventuel non-lieu partiel les concernant, a déclaré à l'AFP Me Jean-Bernard Padaré, avocat des reporters français Marc Garmirian (agence Capa), Jean-Daniel Guillou (agence Synchro X) et Marie-Agnès Peleran (télévision France 3 Méditerranée).
Au cours de sa visite de deux heures, le président Sarkozy s'est inquiété du sort des autres inculpés. Il a notamment souhaité que les ressortissants français "soient jugés en France", tout en réaffirmant sa "confiance" dans la justice tchadienne.
Le président tchadien Deby peut "compter sur ma reconnaissance et mon amitié", a déclaré Nicolas Sarkozy, accompagné de sa secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères Rama Yade, avant d'embarquer dans l’avion A-319 militaire de la République française, avec à son bord les journalistes et les hôtesses libérés, qui doivent chacun d’entre eux, à mon avis, tant à Monsieur Sarkozy qu’au Président Tchadien une fière chandelle.
Note : Ces sept personnes restent toutefois poursuivies pour "enlèvement de mineurs", "escroquerie" ou "complicité", comme les dix autres Européens et les quatre Tchadiens toujours incarcérés à N'Djamena.
Dimanche soir 4 novembre : Après avoir fait une brève escale à Madrid pour déposer les quatre hôtesses de l'air espagnoles également inculpées et libérées par la justice tchadienne, l'avion du président Nicolas Sarkozy ramenant du Tchad les trois journalistes français est arrivé dimanche soir, peu avant 23 h.30, sur l'aéroport militaire de Villacoublay (Yvelines)
A l’aéroport militaire de Torrejon, près de Madrid, le chef du gouvernement espagnol José Luis Rodriguez Zapatero et le ministre des Affaires étrangères Miguel Angel Moratinos ont accueilli au pied de l'avion M. Sarkozy et les quatre hôtesses de l'air.
Devant la presse Monsieur Nicolas Sarkozy a précisé qu'il travaillait "depuis le début la main dans la main" avec le chef du gouvernement espagnol pour "trouver une issue satisfaisante à cette lamentable affaire »
Messieurs Nicolas Sarkozy et José Luis Zapatero ont remercié le président tchadien Idriss Deby Itno pour son "aide et sa compréhension «dans l'affaire de l'Arche de Zoé »
Ces sept personnes restent toutefois poursuivies pour "enlèvement de mineurs", "escroquerie" ou "complicité", comme les dix autres Européens et les quatre Tchadiens toujours incarcérés à N'Djamena.
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Situation actuelle : Six bénévoles français de l'Arche de Zoé, le pilote, le copilote et un steward espagnol de l'avion qui devait transporter en France les enfants, un pilote belge et quatre responsables de l'est du Tchad sont toujours incarcérés à N'Djamena où ils doivent être entendus par le juge d'instruction. Les inculpés encourent au Tchad entre 5 et 20 ans de travaux forcés. En France, une information judiciaire visant les activités de l'Arche de Zoé a également été ouverte le 24 octobre.
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Le président Deby a confirmé dimanche qu'il ne remettait pas en cause le prochain déploiement d'une force européenne, voulue par la France, dans l'est du pays limitrophe du Darfour, contrairement à l'intention qui lui en était prêtée.
Selon M. Sarkozy, l' "équipée assez lamentable" de l'Arche de Zoé "n'a rien à voir avec le déploiement de la force européenne".
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Ndlr : après mes précédents articles ZOE(1er partie) – ZOE (2me partie)- et cet actuel ZOE(3me partie) me voici « libérée » de la relation des turpitudes de l’Arche de Zoé – Si quelques informations ou révélations fracassantes venaient à se manifester, je reprendrais cette affaire dans des flash infos – Quand aux polémiques politiciennes, philosophiques, humanistes etc… qui tournent et continueront de tourner autour de cette lamentable affaire, j’engrange, j’écoute et rédigerai un article dans une ou deux semaines pour situer mon opinion.
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