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30 septembre 2020

Récentes vidéos de Florian Philippot ! : 1) En direct avec vous ..., / 2) Ils inventent un nouveau confinement préventif ! ... leur dernière folie !( vidéos de source Florian Philippot )

Éditorial de lucienne magalie pons

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29 septembre 2020

La météo du jour vu de mes fenêtres et sur Météo France - 29 septembre 2020 -

Éditorial de lucienne magalie pons   

Note : Avant de lire la météo  sur Météo France,  tous les jours j'ouvre mes rideaux et observe le le ciel et le tableau de la rue,  ce matin j'ai vu un ciel gris sur Paris,  et dans la rue   sous la pluie les  passants  femmes, hommes et enfants  tous avec parapluies,  imperméables, écharpes  et  botte  ou bottines de rigueur , heureusement que les couleurs des tenues étaient vives cela donnait un peu de chaleur au tableau ! Si le gestionnaire de mon immeuble avait la bonne idée d'ouvrir la chaufferie générale de l'immeuble ça nous arrangerait beaucoup, il fais très froid dans les appartements !  

                                   (photo d'archive ) 


POUR INFORMATION 


Copié/collé de source METEO FRANCE :



  

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27 septembre 2020 - Conférence de presse d'Emmanuel Macron sur la situation au Liban - vidéo - / Commentaires/ REVUE DE PRESSE - REACTIONS -


Editorial de Lucienne Magalie Pons 

Pour information - vidéo de la Conférence de presse d'Emmanuel Macron du dimanche 27 septembre 2020 : 


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Réaction de notre éditorialiste , directrice de rédaction,  Lucienne Magalie Pons 
Emmanuel Macron est allé très loin dans ses propos en conférence de presse sur le Liban, comme à son habitude il est persuadé qu'il lui appartient de régler les crises politiques qui se déroulent dans les pays étrangers comme s'il en était le président lui-même, et quand il est mis en échec dans ses prétentions  ça lui reste sur l'estomac,  il n'arrive pas digérer,  et  il  se défoule pour ne pas dire "vomit"  en  lançant  des propos  excessifs et insensés en  se prenant pour le maître du Liban et croit encore qu'il   a le pouvoir d'intervenir en agitant sa feuille de route pour le Liban , toujours d'actualité selon lui, dont les  dirigeants Libanais se torchent !  
Dans  son discours  de dimanche soir  il  a déclaré  avoir "honte" pour les dirigeants libanais, qu'il a accusés d'avoir "trahi leurs engagements" vis-à-vis de la France et de la communauté internationale ", il s'en prend au Hezbollah et à tous les dirigeants Libanais  :  "Le Hezbollah ne peut en même temps être une armée en guerre contre Israël, une milice déchaînée contre les civils en Syrie et un parti respectable au Liban", a-t-il estimé, en affirmant   "...  "Personne n'a été à la hauteur des engagements pris le 1er septembre",  s'adressant aux dirigeants , aux autorités  et partis Libanais  "Aucun d'entre vous ne peut gagner contre les autres". "Je prends acte de cette trahison collective des autorités libanaises, a-t-il poursuivi, soulignant que les partis libanais "portent l'entière et lourde responsabilité" de cet échec. "J'ai honte pour les dirigeants libanais", a-t-il dit aussi en  dénonçant  un "système de corruption où tout le monde se tient parce que tout le monde a touché. Aujourd'hui, quelques dizaines de personnes sont en train de faire tomber un pays"....    tout en passant de la pommade au peuple libanais  (qui du reste n'en a que faire ) : "Seule l'extraordinaire force du peuple libanais a permis au pays de préserver ce qui pouvait encore l'être. La France a été à ses côtés dès les premières heures et le sera toujours" ...
 Etre au côté et aider ce n'est pas vouloir  s'emparer des commandes comme un dictateur  Monsieur Macron , le Liban est un pays souverain qui  naturellement peut accepter l'aide de la France dans la crise politique , économique, financière  et sociale qu'il traverse, mais entend ne pas céder un pouce de sa souveraineté  et n'acceptera pas vos tentatives d'ingérence. Avec vos propos vous vous placez en marge des  efforts que font les  dirigeants du pays  pour redresser la barre et vous perdez leur confiance, c'est pour vous un échec retentissant.
  
Les accusations de Monsieur Macron que nous avons relevé plus haut ne sont qu'un  préalable, une sorte "de hors d'oeuvre varié" qu'il a servi  avant "le plat principal", vous en prendrez connaissance dans l'article de  l'Orient le Jour du  27  septembre (1) dont  nous publions  l'essentiel  plus bas  en copié/collé en tête de notre Revue de Presse ,  suivi des commentaires de ses lecteurs .
 
Il y a 1 jour - ''J'ai honte'' pour les dirigeants libanais, a déclaré dimanche Emmanuel Macron après l'échec du pays à former un gouvernement de mission ...

 (1) article de l'Orient le Jour  - copié/collé 

LIBAN

Macron : J'ai honte pour les dirigeants libanais

"Le Hezbollah ne peut en même temps être une armée en guerre contre Israël, une milice déchaînée contre les civils en Syrie et un parti respectable au Liban", estime le président français.

Samedi, à l'issue d'un entretien avec le président Michel Aoun, Moustapha Adib annoncé son incapacité à former un nouveau gouvernement. Il était appelé à former, conformément à l'initiative française, un cabinet de "mission" restreint regroupant des spécialistes indépendants. Le principal obstacle rencontré par le Premier ministre désigné dans ses tractations concernait le portefeuille des Finances, réclamé par le Hezbollah et le mouvement Amal. Ces deux formations exigent qu'une "personnalité chiite" soit nommée à la tête de ce ministère et insistent à proposer elles-mêmes les noms des autres ministres chiites au sein du cabinet. Avec la récusation de M. Adib, le Liban est de nouveau dans l'impasse. Une situation d'autant plus grave que les bailleurs de fonds étrangers répètent qu'aucune aide ne sera allouée au Liban sans le lancement de réformes structurelles désormais bien identifiées.

Trahison collective
"Seule l'extraordinaire force du peuple libanais a permis au pays de préserver ce qui pouvait encore l'être. La France a été à ses côtés dès les premières heures et le sera toujours", a déclaré le chef de l'État français, qui s'est rendu à deux reprises au Liban depuis l'explosion du 4 août. Il a toutefois ajouté que cette "force et cette amitié indéfectibles ont été prises en otage par les jeux mortifères de la corruption et de la terreur" de la classe politique. "Les forces politiques libanaises, leurs dirigeants, les dirigeants des institutions libanaises n'ont pas souhaité respecter l'engagement pris devant la France et la communauté internationale. Ils ont décidé de trahir cet engagement", a accusé, depuis l’Élysée, Emmanuel Macron, qui a encore déploré que les différentes parties "ont fait le choix de faire primer leurs intérêts personnels, de condamner le Liban au chaos au lieu de bénéficier de l'aide internationale dont le peuple libanais a besoin". "Personne n'a été à la hauteur des engagements pris le 1er septembre", a encore lancé Emmanuel Macron qui, s'adressant aux dirigeants libanais, a affirmé : "Aucun d'entre vous ne peut gagner contre les autres". "Je prends acte de cette trahison collective" des autorités libanaises, a-t-il poursuivi, soulignant que les partis libanais "portent l'entière et lourde responsabilité" de cet échec. "J'ai honte pour les dirigeants libanais", a-t-il dit. Et de pointer du doigt un "système de corruption où tout le monde se tient parce que tout le monde a touché. Aujourd'hui, quelques dizaines de personnes sont en train de faire tomber un pays".


Lire aussi

La page Moustapha Adib tournée, et maintenant ?

Revenant sur les difficultés rencontrées dans le processus de formation du gouvernement, il a reproché notamment l'inclusion dans les tractations "d'un critère confessionnel" qui n'était pas prévu dans le cadre de l'initiative française. Il a reproché au mouvement Amal et au Hezbollah d'avoir décidé, "explicitement que rien ne devait changer". "A chaque étape, ils ont dit qu'ils voulaient nommer leurs ministres et le président (de la Chambre Nabih) Berry a reconnu que c'était une décision du Hezbollah", a-t-il poursuivi. Il a encore estimé que l'ancien Premier ministre Saad Hariri "a eu tort de rajouter un critère confessionnel dans l’attribution des ministères. Cette condition ne faisait partie de la feuille de route. Je constate ensuite qu’il a accepté de faire des concessions, il faut savoir le reconnaître". 

Actions indispensables
Déplorant qu'"un mois ait été perdu" et que cela risquait de "déstabiliser la région", le président français a tout de même accordé un délai de "de la dernière chance" pour la formation d'un nouveau cabinet et le respect des engagements. Il a garanti que "la feuille de route" présentée par la France le 1er septembre, et qui contient une série de réformes, "demeure". Cette feuille de route "est la seule initiative prise sur le plan national, régional et international, elle n'est pas retirée de la table, mais des actions sont indispensables, il appartient maintenant aux responsables libanais de saisir cette dernière chance eux-mêmes", a-t-il dit. Et d'insister sur le fait que ces réformes "sont la condition sine qua non pour que le Liban puisse bénéficier des aides internationales". Il a aussi indiqué qu'il réunirait "d'ici vingt jours l'ensemble des membres du groupe international de soutien au Liban pour consolider l'unité de la communauté internationale sur les prochaines étapes". La première "sera d'exiger que les résultats de l'enquête sur les causes de l'explosion du 4 août soit enfin établie et rendue publique et que les responsables soient désignés".

"Notre engagement à l’égard des Libanais ne cessera pas et sur le plan du soutien aux Libanais et de la reconstruction, notre soutien est inconditionnel", a assuré M. Macron. "Sur le plan international, nous allons réunir le Groupe international de soutien (GIS) pour avoir l’accord de la communauté internationale sur la feuille de route". "D’ici un mois, un mois et demi, nous ferons le bilan des avancées. S’il n’y a aucune avancée sur le plan interne, alors nous serons obligés d’envisager une nouvelle phase. Un gouvernement de mission est encore possible, ou aller dans une voie plus systémique, de recomposition politique au Liban. Je pense qu’elle est aujourd’hui très aventureuse, mais peut-être qu’elle nous sera imposée à ce moment-là". M. Macron a jugé que faute d'un accord sur les bases évoquées en août, le Liban risquait soit la "guerre civile", soit de continuer de s'enliser avec un gouvernement de "profiteurs"

"Système crapuleux"
Le chef de l'État français a dans ce cadre réitéré son appel à un "gouvernement de mission" capable de lancer des réformes "sur l'énergie, le port et les attributions des marchés, de mener l'audit de la Banque centrale et des banques privés". Il a souligné qu'il fallait "réussir à créer un système de confiance. Il faut injecter une aide internationale massive, mais dans un système assaini dans lequel on a confiance". "Personne ne remettra de l’argent tant que ceux qui ont mené à ce système crapuleux seront là, tant que le système sera tenu par les mêmes, et avec les mêmes règles", a-t-il insisté.

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Raï : Après la récusation d'Adib, le pays est désormais face à de multiples dangers

Concernant le Hezbollah, contre lequel le président a eu des mots très durs, Emmanuel Macron a fait valoir que "le Hezbollah ne peut en même temps être une armée en guerre contre Israël, une milice déchaînée contre les civils en Syrie et un parti respectable au Liban. Il ne doit pas se croire plus fort qu’il ne l’est. Il doit montrer qu’il respecte les Libanais dans leur ensemble et il a montré le contraire ces derniers jours". Il a souligné dans ce cadre qu'il existait actuellement "deux lignes" directrices qui pouvaient être suivies concernant le pays : "S'engager derrière notre initiative ou la politique du pire, qui consiste à dire qu'il faut déclarer maintenant la guerre au Hezbollah et que le Liban s'effondre avec le Hezbollah". "J'ai décidé de ne pas suivre cette seconde voie parce que je pense qu'elle est irresponsable mais, aujourd'hui, le choix est entre les mains du Hezbollah et du président Berry : celui de la démocratie et de l'intérêt du Liban ou celui du pire", a indiqué le président français.

Le chef de l'État français a enfin écarté toute imposition de sanctions contre les dirigeants libanais "à ce stade". "Les sanctions ne sont pas le bon instrument à ce stade. Je n'exclus rien, mais je pense que cela ne répond pas actuellement au besoin qui est le nôtre, de faire de la politique", a-t-il conclu en réponse à une question.

COMMENTAIRES (28)

Mr Macron, nos dirigeants n' ont rien à foutre de votre feuille de route car ils savent bien que s'ils doivent la suivre à la lettre, ils seront démasqués et finis. Vous n'arriverez à rien sans des sanctions et des menaces d'intervention étrangères pour libérer le peuple libanais, pris en otage par une crasse politique mafieuse. Votre feuille de route est morte née car elle ne fonctionne pas contre des gens qui ne cherchent que leurs intérêts personnels. Pour leur faire mal, il faut toucher à leur poche, à leur pouvoir, à leurs armes. En un mot à leur existence. Ne perdez plus de temps car le peuple libanais est à l'agonie. Vos belles paroles ne le sauveront pas mais vos actions strictes et dures pourront leur permettre de se libérer et de commencer à bâtir un Etat.

carlos achkar

15 h 38, le 28 septembre 2020

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