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27 février 2021

* IDENTITE ET DEMOCRATIE * - 26 fév. 2021 _ La lettre d'information de La Délégation Française du Groupe ID ( Relais d'information de source ID )

Éditorial de lucienne magalie pons

PARTAGE D'INFORMATION 🔻


Protéger nos libertés

C’est une expression que vous avez déjà certainement lue ou entendue. L’Etat de droit fait actuellement recette dans les discours politiques, les interventions des experts et les décisions des organisations supranationales.

Le dictionnaire Larousse nous en donne une définition précise : « Etat dans lequel les pouvoirs publics sont effectivement soumis au respect de la légalité par la voie du contrôle juridictionnel ». Ce n’est pas une invention : Napoléon avait inventé le conseil d’Etat, les rois étaient soumis au lois fondamentales du royaume, et le Général de Gaulle, s’il refusa toujours toute tendance de dictature des juges, s’attacha à établir la V ème République sur des règles suffisamment fortes pour s’assurer de ce fait.

En soi, l’Etat de droit n’est donc jamais une règle partisane. Plus grave, ceux qui veulent s’en servir comme d’un outil partisan sapent jusqu’à son fondement.

Malheureusement, c’est une tendance très puissante dans l’organisation actuelle de l’Union européenne. Ainsi, chaque mois ou presque, le Parlement européen s’en prend à la Pologne et à la Hongrie en arguant de l’Etat de droit. Or cette démarche n’a rien à voir avec le contrôle juridictionnel et tout à voir avec la rage de la commission européenne contre leur refus de l’immigration massive. En agissant de la sorte, le Parlement européen s’en prend donc paradoxalement à l’état de droit.

Il faut cependant aller plus loin. Les vrais défenseurs de l’Etat de droit doivent avoir trois soucis constants. Le premier, c’est bien sûr de combattre tout départ de corruption financière ou idéologique dans les cours chargées d’organiser ce contrôle juridictionnel.

Or il y a quasiment exactement un an, Valeurs Actuelles révélait un rapport accablant de l’European Centre for Law and Justice sur la Cour européenne des droits de l’homme, la fameuse CEDH. Des juges y semblent tout particulièrement lié aux activités du milliardaire américain George Soros, qui a entrepris de s’ingérer dans les affaires européennes à travers ses fondations.  Depuis, motus et bouche cousue. Rien ne filtre. Rien n’est discuté. Ce mutisme européen est une dangereuse entorse à l’état de droit.

Le deuxième souci des défenseurs de l’état de droit doit être de défendre les libertés contre les abus de pouvoir. Ainsi en France, le Conseil Constitutionnel a cassé en novembre dernier la jauge de trente fidèles imposés aux messes catholiques en période de confinement. C’était un camouflet pour le gouvernement, lequel pourrait en subir d’autres. Marine Le Pen l’a parfaitement souligné dans son débat face à Gérald Darmanin : avec le projet de loi sur le séparatisme, le gouvernement a encore montré qu’il n’avait pas conscience de son devoir de protéger les libertés des Français. Une inconscience face à nos libertés menacées par des mesures excessives ou mal préparées. Une inconscience aussi sensible quand l’Etat laisse prospérer l’islamisme politique qui menace nos mœurs, nos habitudes, nos coutumes. Là encore, les institutions européennes ne nous y aident pas quand on sait qu’elles ont financé des associations comme le CCIF.

Le troisième souci des défenseurs de l’Etat de droit c’est que ce dernier soit appliqué partout. En effet, quel contrôle juridictionnel pourrait être efficace si l’Etat n’est pas capable de faire respecter sa loi par l’ensemble des Français. Par exemple, quand un groupe comme Génération Identitaire prouve médiatiquement que la France ne contrôle pas ses frontières contre l’arrivée de clandestins via les Pyrénées ou les Alpes, ce groupe prouve que l’Etat de droit n’est pas promu partout par nos gouvernements.

Au Parlement européen, les députés français du groupe ID défendent l’Etat de droit mais le vrai ! Celui qui fait primer la légalité sur le sans frontiérisme, celui qui préfère les libertés aux abus de pouvoir, celui qui préfère respecter le choix des peuples hongrois et polonais de combattre l’immigration plutôt que les injonctions des réseaux transnationaux comme ceux de Soros. C’est cela, défendre l’identité et la démocratie.

Thierry Mariani
Vice-Président de la Délégation française du Groupe Identité et Démocratie.

« En audition aujourd’hui, je me suis étonnée du manque de coopération entre les États membres sur le scandale Cum-Ex, qui a apporté un préjudice de 17 milliards d’euros à la France. » | Retrouvez l'intervention d'Hélène Laporte :

« La trahison du principe de subsidiarité par l'Union européenne.. » | Retrouvez l'intervention de Gilles Lebreton :

« Twitter, Facebook et d'autres plateformes américaines de médias sociaux restreignent de plus en plus la liberté d'expression en bloquant arbitrairement le contenu et les utilisateurs de leurs plateformes. » | Retrouvez la question écrite de Virginie Joron :

« L’Espagne fait face depuis plus d’un an à une déferlante migratoire record. Entre 2019 et 2020, le nombre d’arrivées sur les îles Canaries a été multiplié par dix. 21.328 migrants y ont débarqué entre les mois d’octobre et décembre 2020. Trois fois plus de migrants sont arrivés en janvier par rapport au même mois l’an passé. » | Retrouvez la question écrite de Jean-Paul Garraud : 

« En septembre 2019, dans une gesticulation de communication dont il a le secret, E. Macron fixait un objectif ambitieux pour la France afin qu’elle puisse compter d’ici à 2025 « 25 licornes », nom donné aux entreprises non cotées de la Tech (Start-Up) valorisées à minimum un milliard de dollars. » | Retrouvez le communiqué de Joëlle Mélin :

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26 fév. 2021 _ Tous les Vendredi avec Gilbert Collard - " Quelle semaine ! Tremble Covid : Castex renforce sa surveillance ! " ( vidéo de source Gilbert Collard)

Éditorial de lucienne magalie pons


Retrouvez l'émission "Quelle semaine !" tous les vendredi avec Gilbert Collard. Au programme de cette semaine :

* Quelle semaine ! Tremble Covid : Castex renforce sa surveillance ! *

_ Castex : l'anesthésie avant le confinement _ Astrazeneca : monsieur « vaccin » retourne sa blouse _ Marlène Schiappa joue à madame Irma _ La violence des bandes, un phénomène qui n'est pas ancien _ L'Europe a-t-elle encore une diplomatie ?
*   Voir la vidéo ci-dessous  * 


Quelle semaine ! Tremble Covid : Castex renforce sa surveillance !



SOURCE 🔻

26 fév. 2021 

Gilbert Collard
24,9 k abonnés

PARTAGE POUR iNFORMATION : " Islamo-gauchisme" : l'art de détourner des vrais problème de l'université "; auteur Jean-Baptiste Noé _ SOURCE : article publié sur le site IDL INSTITUT DES LIBERTES _

Éditorial de lucienne magalie pons


  PARTAGE pour INFORMATION :   Un article de source du site IDL INSTITUT  DES LIBERTES
🔻

" Islamo-gauchisme"  : l'art de détourner des vrais problème de l'université " 

Auteur: Jean-Baptiste Noé

Jean-Baptiste Noé est docteur en histoire économique. Il est directeur d'Orbis. Ecole de géopolitique. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages : Géopolitique du Vatican. La puissance de l'influence (Puf, 2015), Le défi migratoire. L'Europe ébranlée (2016) et, récemment, un ouvrage consacré à la Monarchie de Juillet : La parenthèse libérale. Dix-huit années qui ont changé la France (2018).


25 February, 2021

« Islamo-gauchisme » : l’art de détourner des vrais problèmes de l’université

Quand un gouvernement est englué dans ses couacs et ses échecs, il dispose toujours d’une carte maitresse pour s’en sortir : botter en touche. Ce qui en politique signifie attirer l’attention sur un faux problème et créer une commission pour l’étudier. Cela permet une brève polémique, de la polarisation politique, et oblige quelques adversaires à se rallier au gouvernement. C’est exactement ce qui se passe actuellement avec la question de « l’islamo-gauchisme ». Voilà donc le nouvel ennemi qui serait en train de ronger l’université et qu’il faudrait extirper via une enquête organisée par le CNRS. Que des groupes islamistes existent ici et là et que ces groupes aient des connivences avec des mouvements gauchistes est une réalité, mais ces mouvements ne sont que la conséquence d’un fait plus ancien et plus ancré dans la société française : la disparition de l’esprit d’université. À partir du moment où l’université est publique, c’est-à-dire soumise à l’argent de l’État et à son contrôle, elle est aussi le reflet des opinions de l’État et empêche tout pluralisme. C’était autrefois le marxisme, c’est aujourd’hui « l’islamo-gauchisme », qui est un mutant du virus précédent. Le problème véritable ne réside donc pas dans l’intrusion d’une idéologie au sein de l’université, mais dans le fait que l’université véritable n’existe pas puisque celle-ci est soumise à la tutelle de l’État.

 

L’université française a toujours été politisée

 

C’est Napoléon 1er qui a fait disparaitre l’université en nationalisant cette institution et en créant un monopole pour la délivrance de la collation des grades (c’est-à-dire le titre de bachelier, licencié et docteur). La mise en place de l’Université impériale par le décret du 10 mai 1806 crée la première administration nationale chargée de l’éducation en France, ce qui est à la fois une rupture par rapport à la liberté éducative en vigueur sous l’Ancien régime et une négation fondamentale de ce qu’est l’éducation. Nationalisation sur laquelle la Monarchie de Juillet est un peu revenue puis, de façon éphémère, le gouvernement des années 1871-1875. Avec l’instauration de la IIIRépublique « républicaine » dans son idéologie, le monopole de la collation des grades a été rétabli en 1880 par Jules Ferry et l’université est entrée dans le giron de l’État, c’est-à-dire qu’elle n’est plus une université. L’université ne peut exister que si elle est libre et indépendante du pouvoir politique. Ce qui suppose qu’elle puisse recruter librement ses professeurs, choisir ses programmes et ses études, et délivrer les titres universitaires. Aujourd’hui, rien de tout cela n’est possible. Ce que l’on appelle, à tort, université est en réalité le rouage intellectuel du pouvoir politique. Ceux qui s’émeuvent aujourd’hui du manque de liberté intellectuelle et de conformisme idéologique à l’université oublient qu’il en a toujours été ainsi. Dans les années 1950-1980, l’université était infiltrée par la pensée communiste qui a chassé et pourchassé ceux qui ne l’étaient pas. Un homme comme Raymond Aron avait bien du mal à faire cours, étant régulièrement chahuté par les groupes communistes. Avant cela, dans les années 1880-1930, c’est la pensée rationaliste et républicaine qui était la seule acceptée. La liberté intellectuelle et le pluralisme sont incompatibles avec l’existence d’une « université » non libre et liée à l’administration. La question de « l’islamo-gauchisme » n’a donc rien de nouveau et n’est que la suite logique d’absence de libertés dans les universités françaises. La nouveauté c’est que l’idéologie officielle et reconnue a changé. Ce n’est donc pas d’un rapport, qui ne dira rien et qui n’aboutira à rien, dont l’université a besoin, mais d’une véritable liberté, qui passe, en premier, par la suppression du monopole de la collation des grades.

 

Refus de la sélection et discrimination

 

Outre l’absence de liberté, le second fléau de l’université est le refus de la sélection, fléau qui est en train de toucher l’ensemble de l’enseignement supérieur en France. Plusieurs écoles de commerce de haut rang, ainsi que l’école normale supérieure et un certain nombre d’IEP sont ainsi pris dans une série d’annonces en faveur d’une discrimination « positive » dans leurs établissements. Au nom de la « justice sociale », ils décident d’accorder des bonus de points aux élèves boursiers ou des malus à ceux qui ne le sont pas. L’objectif est d’arriver à davantage de « mixité sociale ». C’est ce qu’annonce notamment un article des Échos du 18 février dernier :

 

L’Edhec, par exemple, prévoit une bonification à l’admissibilité pour les étudiants boursiers dès l’année prochaine, sans donner plus de détails. À l’emlyon, aucune décision n’est prise, mais on assure que des mesures rentreront en vigueur à l’horizon de 2023. La direction trouve intéressante la proposition de l’Essec, qui consiste à instaurer une double barre d’admissibilité pour les candidats boursiers, et ainsi repêcher ceux qui ont échoué de quelques points.

« Un certain nombre de jeunes, boursiers, mais, plus largement, provenant de la diversité sociale et territoriale, frôlent la barre d’admissibilité, et, par conséquent, ne sont pas admis, alors que dans leur parcours, ils viennent de plus loin que les autres », constate Chantal Dardelet, responsable de la démarche de transition environnementale et sociale à l’Essec. Et d’expliquer : « Il y a une telle concentration de candidats autour de la barre d’admissibilité que ça se joue à quatre fois rien. Cette mesure apportera de la diversité. »

 

https://start.lesechos.fr/apprendre/universites-ecoles/concours-les-grandes-ecoles-amorcent-le-virage-de-la-discrimination-positive-1291532

 

Rappelons que la finalité des écoles supérieures n’est pas d’apporter de la « diversité », mais de bien former des cadres et des techniciens, qui ensuite devront être capables de réaliser des tâches complexes en entreprise. Ces mesures sont non seulement inutiles, mais cachent le véritable problème : celui de l’effondrement du système scolaire dans le primaire et dans le secondaire. C’est là qu’il faut travailler, pour porter les plus modestes vers le haut, non dans la mise en place de mesures cosmétiques qui détournent ces écoles de leurs objectifs. Les élèves boursiers sont par ailleurs les premiers à être réticents à une telle mesure, d’après un sondage cité dans le même article :

 Le résultat est sans appel : parmi les étudiants boursiers passé par une classe préparatoire, 70 % refusent l'idée d'une bonification au concours. Et 64 % se prononcent contre la proposition du rapport Hirsch qui consistes à accorder un bonus aux élèves issus d'une classe prépa au taux de boursiers élevé.

Ces étudiants ont bien compris que ce type de mesure discrédite leur formation et dévalue leur diplôme. Les anciens élèves des écoles concernés sont eux aussi fortement opposés à de telles mesures, bien conscients que c’est la valeur de leurs études et donc leur employabilité qui est en jeu. Comme pour la polémique sur l’islamo-gauchisme c’est un faux problème. Le vrai problème est dans la faillite du système scolaire, qui souffre notamment de la bureaucratisation et de l’absence de libertés pédagogiques. C’est aussi mythifier le rôle joué par ses écoles, quand tant d’autres formations sont aussi bonnes et aussi utiles pour intégrer un métier intéressant. Si un tel système de discrimination venait à se mettre en place, il serait peu probable que des étudiants acceptent de payer très cher pour une scolarité qui serait aussi peu regardante sur la sélection à l’entrée. Ce petit jeu qui consiste à dévaluer les diplômes et à dévaloriser les formations va finir par coûter cher. Ceux qui le peuvent iront faire leurs études ailleurs en Europe (ce qui est déjà le cas et ce qui va s’amplifier), ne resteront donc dans ces filières autrefois bonnes que ceux qui ont été happés dans cette impasse. Ce qui est nuisible tant aux boursiers qu’à l’ensemble du pays.

 

Perte de compétitivité mondiale

 

Or cette dénaturation de l’enseignement supérieur est dommageable à la France pour son maintien en tant que grande puissance mondiale. On ne peut peser dans la mondialisation si on ne dispose pas d’ingénieurs compétents et d’étudiants correctement formés dans l’ensemble des disciplines, que ce soit en médecine, en littérature ou en école de commerce. Les problèmes de l’enseignement supérieur concernent toute la nation, car de la qualité de celui-ci dépend l’avenir de celle-ci. Mettre un terme aux blocages à l’université, disposer de locaux propres et non dégradés, faire de vrais cours et non pas des moments de partage creux et vains sont des choses bien plus utiles et plus urgentes que les polémiques du moment. Permettre aux professeurs, aux entreprises ou à des associations de créer des écoles d’enseignement supérieur, de délivrer des grades universitaires, d’être libres dans leurs choix pédagogiques est beaucoup plus utile pour la vivacité et la profondeur de l’enseignement supérieur. La liberté scolaire a un autre grand avantage : elle distinguer de façon sûre et rapide les bons établissements des mauvais. Si des écoles venaient à se complaire dans « l’islamo-gauchisme », elles seraient vite réduites à la portion congrue et disparaitraient, faute d’étudiants.

 

À force de ne regarder nos problèmes nationaux qu’à travers nos polémiques stériles du moment, on en oublie que la France est engagée dans une compétition mondiale qu’elle ne pourra soutenir qu’en disposant d’une éducation de qualité, de l’école primaire au supérieur. Ce ne sont pas les mouvements de muléta et les mesures cosmétiques de communication qui vont régler ces problèmes de fond.

Auteur: Jean-Baptiste Noé

Jean-Baptiste Noé est docteur en histoire économique. Il est directeur d'Orbis. Ecole de géopolitique. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages : Géopolitique du Vatican. La puissance de l'influence (Puf, 2015), Le défi migratoire. L'Europe ébranlée (2016) et, récemment, un ouvrage consacré à la Monarchie de Juillet : La parenthèse libérale. Dix-huit années qui ont changé la France (2018).

Affaires politiques et générales d' d'Outre-Méditerranée - Partage d'une sélection de liens de différents articles de journalistes et chroniqueurs Algériens, qui m'ont été communiqués par mon correspondant Algérien Djerrad Amar, journaliste et écrivain

Éditorial de lucienne magalie pons

Partage pour Information : Voici ci-dessous  en REVUE DE PRESSE   une sélection de  liens de différents articles  écrits  par  des journalistes  et chroniqueurs  notamment Algériens, qui m'ont été communiqués par  mon correspondant Djerrad Amar, ingénieur,  journaliste et écrivain Algérien.

 Mes lecteurs prendront connaissance avec un intérêt  certain de la tonalité de ces articles,  en effet les médias français  se cantonnent ( je devrais écrire "se confinent ") prioritairement  dans la diffusion d'  informations  et commentaires se rapportant à la crise Sanitaire du Covid 19 en France et en Europe notamment et ses retombées sociales, économiques et surtout politiques,  et aussi  pour faire "diversion" se répandent aussi largement   dans la relation d'affaires scandaleuses,  et du coup  les affaires politiques et générales intérieures   d'outre-Méditerranée  ne paraissent plus les intéresser vraiment, ce qui est regrettable. 


Sélection des liens qui me sont parvenus 🔻


* Le RCD dans la tourmente ? Rattrapé par ses étranges accointances avec les islamistes de "Rachad" ? (20 Juillet 2020), par Djerrad Amar.

https://www.algerie1.com/face-b/le-rcd-dans-la-tourmente-rattrape-par-ses-etranges-accointances-avec-les-islamistes-de-rachad

 

* Une "phase de transition" sous le motif prétentieux d’un "échec" du dernier référendum ? (120 décembre 2020) par Djerrad Amar

https://www.mondialisation.ca/une-phase-de-transition-sous-le-motif-pretentieux-dun-echec-du-dernier-referendum/5652017

 

* Quand Hakim Addad "déconstruit" le "kitab" de Rachad en approuvant le "kouteyb" de Bensaada ! (28 novembre 2020), par Djerrad Amar

https://algerie54.com/2020/11/28/medias-hirak-8/

 

* K. Drareni qualifié de "Larbi Ben M’hidi" par Fethi Gheras, un piètre et impénitent leader d’une gauche en désarroi. (09 juin 2020 par Djerrad Amar

https://algerie54.com/2020/06/09/ongistes-hirak/

 

* Mme Zoubida Assoul et sa "réserve de droit de porter plainte" (10 juillet 2020)

https://www.algerie1.com/collection/livre-41/mme-zoubida-assoul-et-sa-reserve-de-droit-de-porter-plainte

 

* Quel «Hirak» veut-on faire resurgir et pour quels objectifs ? (le 20 juin 2020), par Djerrad Amar

https://www.jacques-tourtaux.com/blog/algerie/amar-djerrad-quel-hirak-veut-on-faire-resurgir-et-pour-quels-objectifs-1.html

 

* Mourad Dhina et Hamdi Baali, des agents "khilafistes et printanistes" anéantis par le livre-enquête de A. Bensaada ! (09 juin 2020) par Djerrad Amar

https://www.algerie1.com/face-b/mourad-dhina-et-hamdi-baali-des-agents-khilafistes-et-printanistes-aneantis-par-le-livre-enquete-de-a-bensaada

 

* La LADDH et K. Chouicha, Mouwatana et Assoul versus A. Bensaada et les «Révolutions colorées»! (05 juin 2020), par Amar DJERRAD

https://libnanews.com/la-laddh-et-k-chouicha-mouwatana-et-assoul-versus-a-bensaada-et-les-revolutions-colorees-par-amar-djerrad/

 

* Radios «M», radio «corona ou khorti» : La voix de leurs maîtres, le chantage par le séparatisme ! (25 janvier 2021), par Djerrad Amar.

https://algerie54.com/2021/01/25/medias-hirak-10/

 

* « Rachad » Ou La Politique Par L’obscurité Et L’absurdité ! (08 décembre 2020), par Djerrad Amar

https://jazairhope.org/fr/rachad-ou-la-politique-par-lobscurite-et-labsurdite/

 

* Lutte contre le terrorisme : Les bourdes françaises ! (20 Octobre 2020), par Amar Djerrad

https://www.mondialisation.ca/lutte-contre-le-terrorisme-les-bourdes-francaises/5650333

 

* De la liberté d’expression au temps béni du Hirak (18 juin 2020) par Ahmed Bensaada

https://tribune-diplomatique-internationale.com/bensaadahirakalgerie/

 

* Le Hirak, sur les rives paisibles du Saint-Laurent (25 novembre 2020) par Ahmed Bensaada

https://reseauinternational.net/le-hirak-sur-les-rives-paisibles-du-saint-laurent/

 

* « Merlin » Merzouki : Le complot révolutionnaire et la révolution complotiste (10 novembre, 2020), par Boualem Snaoui

 https://www.afrique-asie.fr/merlin-merzouki-le-complot-revolutionnaire-et-la-revolution-complotiste-revue-de-presse/

 

* Le hirak, la main de l’étranger et ses vérités des ténèbres (12 juillet 2020), par Abdellali Merdaci*

http://comite-valmy.org/spip.php?article11994

 

* Ahmed Bensaada, A-t-il déjoué le complot de ces officines américaines ? (09 juillet 2020), par Tarek Benaldjia

https://algerie54.com/2020/07/09/hirak-medias-11/


26 février 2021

21 février 2021 - Entretien de Jacques Myard avec Jean-Baptiste Noé dans l'émission "Fenêtre sur le monde" : Analyse du Monde Arabe , Le poids de l’Islam dans le monde arabe - Vidéo de source Institut des Libertés -

Éditorial de lucienne magalie pons

 Analyse du Monde Arabe ,    Le poids de l’Islam dans le monde arabe


Je remercie Monsieur Jacques Myard, Maire de Maisons-Laffitte, ancien député et rapporteur de la mission parlementaire sur les printemps arabes   de m'avoir communiqué la vidéo de son entretien avec Monsieur Jean-Baptiste Noé, historien et écrivain, Directeur d’Orbis et Conseil en Géopolitique.

PARTAGE  D'INFORMATION

 Vidéo de l'entretien de Jacques MYARD avec Jean Baptiste NOÉ

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Le poids de l’Islam dans le monde arabe. Jacques Myard - Jean-Baptiste Noé



SOURCE :

23 février 2021 

84,8 k abonnés

Jacques Myard, maire de Maisons-Laffitte, ancien député et rapporteur de la mission parlementaire sur les printemps arabes est l’invité de Jean-Baptiste Noé dans l’émission fenêtre sur le monde.

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Complément d'information


Jean-Baptiste Noé est historien et écrivain, Directeur d’Orbis et Conseil en Géopolitique

 

Jacques Myard, , Membre Honoraire du Parlement , Maire de Maisons-Laffite, Président du Cercle Nation et République, Président de l’Académie du Gaullisme

 


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