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30 octobre 2011

Le Sommet Européen développé Par le Président Français

Éditorial de lucienne magalie pons

Jeudi soir, le Président Français était invité sur TF1 et France 2 pour donner sa version de l’entente qui avait été trouvé la veille en Sommet Européen à Bruxelles par les 27 pays membres de l’UE réunis pour plancher sur le sort des 17 pays d’entres eux faisant parti de la Zone Euro, affrontés à la Crise de l’Euro dont certains comme la Grèce au bord de la faillite et d’autres en grande fragilité comme l’Italie, l’Espagne, le Portugal, et d’autres encore sous surveillance des agences de notation.
Il est certain que les français et les habitants de notre pays ne sont pas indifférents à la crise de l’Euro dont ils subissent des rigueurs d’austérité qui s’accentuent de jour en jour, puisque plus de 11 millions de téléspectateurs se sont imposés regarder cette émission qui a duré environ 1 h. 15 ;
D’entrée nous avons pu mesurer que cette émission dans un bureau sobre de l’Elysée, sans dorures ni apparat, qui mettait le Président face à deux journalistes connu pour être du sérail, était construite pour permettre au Président d’entendre les questions qu’il souhaitait entendre, sans incursion dans des domaines tabou, tel que le chômage et les restrictions de la protection sociale qui sont le lot quotidien que nous devons endurer.
Ce qui était le plus significatif du caractère préfabriqué de cette pièce médiatique montée sur le thème « On a évité la catastrophe », c’était justement le péché par excès des deux compères Yves Calvi (France Télévisions) et Jean-Pierre Pernault (TF1), qui se composaient chacun en posant leur question , un visage très dur, un regard méfiant avec une voix sévère, mais qui au fur et à mesure que le président répondait, changeaient d’expression pour progressivement s’épanouir en un sourire béat presque angélique, ou au moins satisfait , à la fin de la réponse, pour aussitôt au quart de tour re recomposer rapidement un visage d’inquisiteur pour poser la question suivante !
Le Président lui-même se contrôlait , visage très concentré, regard très attentif, pour montrer exclusivement une image de Président plus sérieux que jamais , travailleur, entièrement consacré à ses devoirs envers la France, soucieux de rendre des comptes au français, déterminé à travailler pour la France jusqu’à la dernière minute de son mandat, le tout en employant un ton maîtrisé, convaincant et persuasif avec des arguments parfois techniques, souvent politiques, avec toutefois dans le cours de l’entretien des envolées critiques contre le PS, certaines d’actualité et d’autres prenant pour cibles des décisions anciennes de plus de vingt années.
L’attitude des deux journalistes et du Président faussement « mis sur le grill » donnait une note assez comique à cette émission en fait assez banale , et qui aurait pu nous ennuyer, puisque les grandes lignes de l’Entente de Bruxelles de la veille étaient déjà connues et commentées abondamment depuis le Jeudi matin dans les médias, et qu’ elle n’avait d’autre finalité que de développer les intentions du Président Français sur des solutions politiques possibles pour surmonter la crise et de faire passer en les diluant dans un discours « de responsabilité présidentielle » les nouvelles mesures de rigueur et d’austérité qui en résulteront pour les français.
C’est ainsi que nous avons entendu qu’il faudra trouver 6 à 8 milliards d’économie supplémentaires :
Initialement prévue à +1,75 %, la croissance a été revue à la baisse : "Nous avons décidé de la ramener à +1%", a déclaré Nicolas Sarkozy. Moins de croissance, donc moins d'argent pour la France. Il va donc falloir trouver "6 à 8 milliards d'économies supplémentaires", a indiqué le président.
Nous avons aussi remarqué dans le discours de Nicolas Sarkozy la reprise d’anciennes formules, mais revisitées : « Travailler plus, pour gagner mieux.. » au lieu du célèbre slogan qui n’est plus crédible puisqu’il n’a pas porté les fruits promis aux salariés « Travailler plus, pour gagner plus »....
Par ailleurs cette émission « pédagogique » pour frapper l’opinion publique était émaillée d’affirmations telle que « Crise financière sans précédent », « décisions importantes sans précédent » et l’affirmation « Nous entrons dans un monde nouveau », à propos de cette dernière affirmation il convient de noter qu’il n’a pas été fait référence « au Nouvel Ordre International du 21me siècle » qui semble pour le moment rangée dans le placard des formules utopique, que la triste réalité d’une Europe en crise vient de rattraper.
Nous avons flairé que des hausses d’impôts ou réduction des dépenses publiques, sont a prévoir, que la hausse de TVA ne sera pas généralisée, mais ciblée pour un taux intermédiaire, nous avons compris qu’il faudrait calquer notre modèle fiscal sur celui de l'Allemagne. "Nous devons réfléchir à la convergence de nos fiscalités", c'est-à-dire appliquer les mêmes impôts que l'Allemagne, pour créer un couple franco-allemand qui serait le moteur de l'Union Européenne, selon le président.
Par exemple, appliquer un impôt sur les sociétés "avec la même assiette et le même taux"., un projet sur lequel les ministres des finances des deux pays sont parait-il déjà en train de travailler.
D’après le Président il ne serait pas question que le contribuable répare les erreurs des banques, ce serait les fonds privés qui participeront au financement des banques, pas les fonds publics.
"Pas question que le contribuable soit mobilisé pour réparer les erreurs commises par les banquiers".
Il ne sera pas question de taxer les produits en provenance de la Chine, ceci naturellement se comprend puisque on nous la présente comme très probable investisseur du Fonds européen de stabilité financière.
Sur les « affaires » en cours qui visent et indisposent bon nombre de personnalités politiques en vue dans le passé, mais aussi en poste actuellement, le Président est resté sur sa position initiale pour « l'affaire Karachi » ...... : des "magouilles et des calomnies" pour le décrédibiliser avant l'élection présidentielle de 2012, répond Nicolas Sarkozy, pour Nicolas Bazire : c’est "un homme profondément honnête" selon le Président.
"Il ne sortira rien de tout cela !", conclue-t-il, ne daignant pas s’étendre sur le fond de cette affaire.
Pour l’affaire de l'espionnage des fadettes d'un journaliste du Monde : "laissez la justice faire son travail", a plaidé le président qui ne s’est pas prononcé sur la mise en examen de Bernard Squarcini, le patron du renseignement, un proche et fidèle.
Enfin des compliments aux policiers "remarquables, admirables" mais aussi des promesses aux enseignants qui seront "mieux payés, mieux formés" ....... La rédaction du Post
Le Président qui veut travailler et accomplir son devoir jusqu’à la dernière minute de son mandat exclusivement au service de la France, a fait comprendre que ce n’était pas le moment pour se déclarer candidat à sa propre succession, a défaut de se prononcer il a indiqué qu’il répondrait fin janvier, début février 2012.
D’après certains médias cette émission de Jeudi serait en réalité le point de départ de sa campagne présidentielle et que c’était un bon moyen de profiter de ce temps de parole, non décompté comme temps de parole de l'UMP par le CSA, pour lancer sa campagne présidentielle.
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27 octobre 2011

Spmmet Européen : Entente globale à concrétiser

Éditorial de lucienne magalie pons


Le sommet Européen a duré près de dix heures pour parvenir à une entente  globale dont les points essentiels conjugués entre eux devraient permettre  de sauver la Grèce et la Zone Euro d’une possible catastrophe, le tout  sous différentes  garanties et conditions dont certains éléments restent à définir :

1/  à la Grèce de ne pas se trouver en défaut de paiement, grâce à l’effort des banques

 2/  à la Zone Euros,  au bord de la catastrophe,   de surnager sous la vigilance active   d’un FESF  renforcé actif   qui pourrait se permettre de surfer sur quelques 1000 à 1400 milliards d’euros  pour que la crise ne se propage pas d’Etat en Etat, à savoir  un FESF renforcé  qui pourrait se permettre de surfer sur 1000  à 1400 milliards  d’euros  environ, le tout sous différentes conditions  dont certaines restent à

1/ Grâce à l’effort des banques, la dette grecque  sera réduite de 100 milliards d'euros,  ce qui correspond à un effort des banques de 100 milliards d’euros basé sur un « volontariat »,  en plus de cet effort, les banques se sont engagées à renouveler les quelque 100 milliards de dette grecque qu'elles détiendront encore, lors de leur arrivée à échéance, "à des taux moins élevés" , le  chef de l'Etat français a expliqué que l'accord avec les banques était "parfaitement bouclé et organisé" mais que des "éléments" restaient "à définir", notamment le nombre de créanciers qui le souscriront. "Nous visons 100%", a-t-il lancé,  lors d'une conférence de « presse nocturne à Bruxelles, à l'issue du sommet européen

Les garanties :

"Les Etats de la zone euro sont prêts à mobiliser 30 milliards d'euros pour financer les garanties" de cet accord, a précisé Nicolas Sarkozy. En plus de ces 30 milliards, "la Grèce bénéficiera d'un nouveau programme de 100 milliards" d'aides publiques internationales, vraisemblablement du FMI et de la zone euro.

D’après le Président Français, "l'accord va bien au-delà de celui du 21 juillet" qui prévoyait une décote de la dette grecque détenue par les banques de 21% et des prêts du FMI et de l'Europe à la Grèce de 109 milliards d'euros.
Il doit permettre "de ramener la dette grecque à 120% de son PIB à l'horizon de 2020", contre "165%" aujourd'hui, a-t-il précisé.

2/  Actuellement, le FESF est doté d'une capacité de prêts de 440 milliards d'euros, mais il n'en resterait que 250 à 270 milliards de disponibles, une partie étant déjà engagée ou promise pour le Portugal, l'Irlande et la Grèce.

 Selon l’entente globale du Sommet européen , les moyens du fonds de secours de la zone euro seraient démultipliés pour atteindre 1000 à 1400 milliards d’euros, ce qui se ferait par un « effet de levier » qui permettrait de multiplier les ressources du FEFS  par 4 ou 5 ...

Le FESF renforcé sera actif dès le mois de novembre, a assuré Nicolas Sarkozy. La zone euro est, selon le président français, désormais dotée d'un "pare-feu puissant pour éviter que la crise ne se propage à d'autres Etats".

Reste à  attirer de nouveaux financements :

Pour obtenir le renforcement du FEFS  semble-t-il  par  un «  fond »  qui lui serait  « adjoint »  un recours au financement  par la FMI et par la Chine (et pays émergents ?)  est envisagé :

"Nous avons mandaté les institutions européennes pour engager des discussions afin de coopérer plus étroitement avec le FMI pour attirer de nouveaux financements", a ajouté Nicolas Sarkozy, dans une allusion aux pays émergents. Il s'entretiendra d'ailleurs jeudi "en fin de matinée" avec le président chinois Hu Jintao au téléphone.

Les médias rapportent que le Président Français s’est  félicité du fait que la Banque centrale européenne (BCE) soit "derrière les décisions qui ont été prises" ....... "La BCE est déterminée à éviter les dysfonctionnements financiers et monétaires", s'est-il réjoui. Le FMI soutient également cet accord, sa directrice générale Christine Lagarde le jugeant "crédible", a-t-il affirmé.

............

"Nous avons adopté les éléments d'une réponse globale, d'une réponse ambitieuse, d'une réponse crédible à la crise que traverse la zone euro", a-t-il annoncé lors d'une conférence de presse nocturne à Bruxelles, à l'issue d'un sommet européen qui a duré 10 heures.

"Je crois que le résultat sera accueilli avec soulagement par le monde entier qui attendait des réponses fortes de la zone euro", a-t-il ajouté, évoquant une "possible catastrophe" s'il n'y avait pas eu d'accord.

ooOoo

Ce sont les premiers éléments qui paraissent émerger du Sommet Européen sur cette entente globale qui parait en chantier et dont la concrétisation reste à consolider d’urgence  pour éviter «  la possible catastrophe » évoquée par le Président Français.

Il est à regretter que l’UE et la Zone Euro n’aient pas d’autres recours que de compter sur le volontariat des banques et financiers privés, et sur des financements du FMI et des pays étrangers comme la Chine et pays émergents, pour éviter la catastrophe !

Et c’est assez humiliant,  après avoir à différentes reprises voulu donner des leçons à la Chine en l’attaquant sur les droits de l’homme et en la provoquant par la réception  en France, et en grande pompe  en 2008 de son ennemi politique le Dalaï  Lama , qu’un dirigeant européen, le nôtre en l’occurrence, soit obliger de téléphoner  aujourd’hui jeudi en fin de matinée au Président de la Chine, Hu Jintao en lui demandant de venir au secours de la Zone Euro.

REVUE DE PRESSE :

Sarkozy, Merkel, Lagarde : ce qu'ils disent de l'accord

TF1 - ‎Il y a 24 minutes ‎
Soulagement et parfois satisfaction : voici ce que les dirigeants européens et les principaux acteurs de la crise de la zone euro ont déclaré à l'issue du sommet de Bruxelles. Un accord aux forceps. Au terme de près de 10 heures de tractations à ...

Papandréou: une «nouvelle ère s'ouvre pour la Grèce» Libération - ‎Il y a 13 minutes ‎

..... après l'accord trouvé au forceps, dans la nuit, entre les dirigeants de la zone euro, contre la crise de la dette. - Après près de 10 heures de tractation, Les pays de la zone euro sont parvenus ...

nouvelobs.com - il y a 33 minutes
Après plus de dix heures de négociations, le sommet de la zone euro a permis de définir de "grandes orientations", mais il reste encore "beaucoup de travail ...
RTL.be
l'Humanité

26 octobre 2011

Libye : Le Président du CNT demande un prolongement d'aide de l'OTAN

Éditorial de lucienne magalie pons



Du Qatar  où il se trouve en déplacement  Moustapha Abdeljalil,   Président du CNT demande un prolongement  d'aide de l'Otan.

Moustapha Abdeljalil ne manque pas d’air , alors qu’il se trouve  ce Mercredi au Qatar en visite de gratitude sans doute , ou pour donner  un certain  poids à sa  présence dans les pays arabes ,  le  président du Conseil national de transition (CNT) Libyen, a pris la parole pour notamment demander  a  l'Otan  de  prolonger son engagement dans le pays jusqu'à la fin de l'année et a formulé le souhait que l’Otan contribue à empêcher les derniers fidèles de Kadhafi de se soustraite à la justice.

 "Nous demandons une aide technique et logistique des pays voisins et amis", a-t-il ajouté

Cette demande pose question, en effet le général Charles Bouchard, commandant de la mission de l’Otan  en Libye, avait déclaré   lundi qu'il ne voyait pratiquement aucun risque de voir des éléments kadhafistes monter des opérations avec succès pour reprendre le pouvoir et que l'Otan jugeait les forces du CNT en mesure de contrer les menaces à la sécurité.

 Faut-il penser que les menaces contre la sécurité  civile  pourraient survenir du côté des rebelles ?


On ne comprend pas pourquoi les  dirigeants du CNT et ses combattants  tirent encore la sonnette de l’Otan,  auraient-ils l’intention d’épurer la Libye à leur profit  et d’éliminer  des civils qu’ils soupçonnent d’être des fidèles de l’ancien régime en se faisant cautionner par l’Otan ?  Ou encore, autre cas de figure,  ne seraient-ils pas assez forts pour empêcher certains de ses  combattants ou même de ses partisans  civils partisans  excités par massacre de Kadhafi de suivre ce sauvage exemple ?


De  Bruxelles, des responsables de l'alliance ont rappelé qu'elle avait reçu pour mandat de protéger les civils et non de prendre des individus pour cibles.

Par ailleurs selon des informations officielles les  États de l'alliance engagés dans l'intervention souhaitent interrompre au plus vite les « dépenses occasionnées par plus de 28.000 sorties aériennes et patrouilles navales menées 24  heures sur 24, à un moment de compression des budgets de défense en raison de la crise « économique internationale.

James Appathurai, sous-secrétaire général adjoint de l'Otan pour les affaires politiques, a  déclaré mardii, s’attendre  à ce que soit confirmée la décision d'arrêter la mission le 31 octobre
.
Ndlr : Les dépenses effectivement ont été très importantes, mais peut-on penser aussi que pour certains États de l’alliance,  le virage  officiellement déclaré des dirigeants transitoires Libyens qui prônent d’établir leur pouvoir sur les bases de la charia, peut-on  penser,   en plus des dépenses, dans leur décision d’arrêter la mission de l’OTAN le 31 Octobre.

 Toutefois d’après une dépêche d’agence, l'Otan a reporté un conseil des ambassadeurs de mercredi à vendredi pour procéder à de nouvelles consultations avec l'Onu et le CNT, mais la réunion doit toujours aboutir à une décision officielle sur l'arrêt de la mission en Libye au 31 octobre, a indiqué un porte-parole de l'alliance.
ooOoo

REVUE DE PRESSE

Pour information développée :

Copié/collé  d’une dépêche de l’Agence Reuters (par Barry Malone) avec Regan Doherty à Doha et David Brunnstrom à Bruxelles, Philippe Bas-Rabérin pour le service français, édité par Jean-Loup Fiévet

« TRIPOLI (Reuters) - Le président du Conseil national de transition (CNT) au pouvoir en « Libye a exhorté l'Otan mercredi à prolonger son engagement dans le pays jusqu'à la fin de « l'année, mais l'Alliance atlantique cherche à boucler au plus tôt une mission coûteuse de « près de huit mois.

« Au moment où Saïf al Islam, fils et ex-"dauphin" de Mouammar Kadhafi, est toujours en « fuite après la mort de son père la semaine dernière, le président du CNT, Moustapha « Abdeljalil, a formulé le souhait que l'Otan contribue à empêcher les derniers fidèles de « l'ancien "guide" de se soustraire à la justice.

« A Bruxelles, des responsables de l'alliance ont rappelé qu'elle avait reçu pour mandat « de protéger les civils et non de prendre des individus pour cibles.

« L'Otan a reporté un conseil des ambassadeurs de mercredi à vendredi pour procéder à de « nouvelles consultations avec l'Onu et le CNT, mais la réunion doit toujours aboutir à une « décision officielle sur l'arrêt de la mission en Libye au 31 octobre, a indiqué un porte-parole « de l'alliance.

« Aux Nations unies, le n°2 de la représentation libyenne, Ibrahim Babbachi, a déclaré « mercredi que le CNT espérait pouvoir demander au Conseil de sécurité de mettre fin à la « "zone d'exclusion aérienne" et à l'opération de l'Otan d'ici le 31 octobre. Le diplomate a « ajouté que le CNT avait besoin de quelques jours supplémentaires pour prendre une « décision.

« Moustapha Abdeljalil, qui prenait la parole au Qatar, a déclaré quant à lui : "Nous attendons « de l'Otan qu'elle continue ses opérations jusqu'à la fin de l'année."

« "Nous demandons une aide technique et logistique des pays voisins et amis", a-t-il ajouté.

« La guerre de Libye, marquée par l'éviction de Mouammar Kadhafi de Tripoli fin août et par « l'absence de pertes de l'Otan, fait figure de modèle d'intervention occidentale. Mais le coût « des milliers de raids aériens opérés par les aviations française et britannique avec un soutien « logistique américain, incite les gouvernements à y mettre fin dès maintenant.

« Comme on lui demandait si les ambassadeurs de l'Otan maintiendraient vendredi la décision « de l'alliance de boucler la mission fin octobre, son porte-parole Carmen Romero a répondu : « "C'est la décision préliminaire (...) La décision formelle sera prise cette semaine."

« Pour le moment, "l'Otan continue de surveiller la situation sur le terrain et garde la « capacité de réagir à toute menace contre des civils", a-t-elle ajouté.

« PLUS DE RISQUES MILITAIRES ?

« Carmen Romero a dit que le secrétaire général de l'Otan, Anders Fogh Rasmussen, « s'entretenait avec l'Onu et le CNT de la conclusion des opérations.

« Les pays de l'Otan ont pris leur décision la semaine dernière sur la base recommandations « militaires.
« Le général Charles Bouchard, commandant de la mission en Libye, a indiqué lundi qu'il ne « voyait pratiquement aucun risque de voir des éléments kadhafistes monter des opérations « avec succès pour reprendre le pouvoir et que l'Otan jugeait les forces du CNT en mesure de « contrer les menaces à la sécurité.

« Les États de l'alliance engagés dans l'intervention souhaitent interrompre au plus vite les « dépenses occasionnées par plus de 28.000 sorties aériennes et patrouilles navales menées 24 « heures sur 24, à un moment de compression des budgets de défense en raison de la crise « économique internationale.
« James Appathurai, sous-secrétaire général adjoint de l'Otan pour les affaires politiques, a dit « s'attendre mardi à ce que soit confirmée la décision d'arrêter la mission le 31 octobre.

« L'Alliance atlantique a déjà ralenti ses opérations en Libye. Selon des diplomates, la plupart « des équipements de l'Otan, y compris les avions de chasse, ont déjà été retirés.

« Dans un communiqué, l'Otan a précisé mardi qu'elle continuerait provisoirement des « missions de renseignement, de surveillance et de reconnaissance, tout en conservant la « capacité d'effectuer des bombardements aériens si nécessaire.

« Saïf al Islam Kadhafi, qui a fui la ville de Bani Walid la semaine dernière, se trouverait dans « le Sud-Libyen, aux confins des frontières de l'Algérie et du Niger. Il s'apprêterait à quitter la « Libye avec un faux passeport, a dit un responsable du CNT.

« Comme son père, il est recherché à la fois par les nouveaux dirigeants libyens et par la Cour « pénale internationale (CPI) pour crimes contre l'humanité.

« Avec Regan Doherty à Doha et David Brunnstrom à Bruxelles, Philippe Bas-Rabérin pour « le service français, édité par Jean-Loup Fiévet

Fin du copié/collé

SOMMET EUROPEEN : Ouverture des bans ce Mercredi soir

Éditorial de lucienne magalie pons

Les dirigeants de la zone euro se retrouvent mercredi soir en sommet, pour trouver un accord et finaliser – si possible - un plan permettant d'enrayer la crise de la dette et de sauver l’euro.

Un accord qu’ils n’ont put trouver Dimanche passé dans un sommet illustré par des tensions, la mise sous pression de l’Italie et un clash entre les frères ennemis Nicolas Sarkozy et David Cameron.

D’après des diplomates, les espoirs de voir ce nouveau sommet se conclure par un accord d'envergure sont fragiles en raison de divergences persistantes..

Pour ce nouveau sommet la mise en scène consistera en deux rencontres programmée , une première réunion réunira les chefs d’État et de gouvernement des 27 pays de l'Union européenne à partir de 18H00 (16H00 GMT) à Bruxelles pour débattre de la recapitalisation des banques avec pour finalité de permettre d'amortir le choc d'un défaut de paiement de la Grèce.

Suivra ensuite une réunion à huis clos des dirigeants des 17 pays de la seule zone euro que les observateurs prévoient très longue et qui devrait se terminer très tard dans la nuit.

Ces réunions seront le sprint final du décathlon politique de tractations qui se déroule depuis près d'une semaine où l’on a pu voir les dirigeants concernés se mesurer dans des diatribes et des propositions contrastées tenter de trouver une réponse crédible ou fiable dont l’urgence est réclamée par les acteurs politiques et financiers, qui redoutent un embrasement financier mondial.

Les grandes lignes qui semblent émerger de ces diatribes serait de parvenir « stabiliser » la Grèce en convainquant les banques créancières d'effacer une partie de sa dette, 100 milliards d'euros environ, et de recapitaliser en contrepartie les établissements financiers qui en ont besoin et d'empêcher par ce procédé la contagion de l'incendie à l'Italie via un renforcement du pare-feu de la zone euro le FEFS.

Pour y parvenir les Européens devraient à priori obtenir le feu vert des députés allemands qui se réunissent dans la matinée de ce même mercredi pour donner un mandat de négociation à la chancelière allemande Angela Merkel.

Très tôt ce matin aucun accord n'avait encore été conclu malgré d'intenses négociations de dernière heure entre experts. 

Les médias rapportent que les négociations avec les banques créancières de la Grèce peinent à aboutir car ces dernières refuseraient d’accepter des pertes supérieures à 50%. Les modalités du renforcement du Fonds de secours financier de la zone euro, principal instrument pour éviter la contagion, restent encore floues et l'Allemagne refuserait qu'on force la main à la BCE pour qu'elle continue à aider l'Italie et l'Espagne.

Silvio Berlusconi, semble avoir après de dures négociations avoir obtenu in extremis à ramener son allié de la Ligue du Nord à accepter une réforme des retraites exigée par ses partenaires européens en échange de leur solidarité, mais la situation de l’Italie continue de les inquiéter

Le plan de sauvetage de la zone que les dirigeants européens envisagent de finaliser ce mercredi comporte tellement d’inconnues aux yeux des experts d’inconnues que plusieurs experts redoutent des lendemains qui déchantent et que certains observateurs craignent un effet boomerang.

Les analystes de CMC Markets préviennent qu’ "En cas d’échec, l’effet boomerang sera immédiat et les investisseurs risquent de déserter à nouveau les marchés européens", en rappelant le précédent plan du 21 juillet, qui s’était "soldé" par une dégringolade boursière généralisée.

Les analystes dans leur ensemble émettent des doutes sur la proposition européenne qui consisterait à recapitaliser les banques européennes pour un montant fixé autour de 108 milliards d’euros, pour absorber les pertes qui leur seraient parallèlement infligées afin d’amortir en partie la dette grecque.

Des doutes subsistent aussi de leur part sur leur intention de démultiplier les moyens du Fonds de secours de la zone euro afin que le défaut de paiement partiel annoncé d’Athènes n’aggrave pas la propagation de la crise à l’Italie. 

Concernant la recapitalisation des banques, le FMI avait évoqué 200 milliards d’euros, mais le Crédit Suisse parle de 225 milliards et Goldman Sachs de 298 milliards.

Les économistes de Crédit Suisse estiment que le montant envisagé est "bien en-deçà des besoins estimés par le Fonds monétaire international (FMI) et les analystes du secteur privé, en tout cas dans le scénario d’une rechute de l’économie".

S’agissant de la dette grecque, la zone euro demande aux banques d’accepter une décote, c’est-à-dire des pertes, d’au moins 50%. Mais sur les 350 milliards d’euros de dette grecque, un tiers est entre les mains de créanciers publics (Europe et FMI) non concernés par cette décote.

UBS calcule que comme les banques grecques détiennent quelque 20% de la dette du pays, Athènes devra immédiatement les renflouer, en s’endettant à nouveau et estime qu’ "une décote de 50% équivaut à une réduction de seulement 22% de la dette grecque" 

Un autre point délicat: le renforcement du Fonds européen de stabilité financière (FESF), évoqué comme un "pare-feu" contre une contagion de la crise par lequel grâce à « un effet de levier » les États espèrent démultiplier les 440 milliards d’euro que ce mécanisme est théoriquement capable de prêter. 

Alors que des estimations allant de 1.000 à 2.500 milliards ont circulé ces derniers jours, les certains experts estiment que les Européens ne seront probablement pas en mesure mercredi de fournir un montant clair pour rassurer les marchés.

L’Institut de réflexion European Policy Centre s’interroge sur certaines options avancées, dont la première consiste à permettre au FESF de garantir une partie des obligations émises par les États fragiles afin d’attirer des acquéreurs. "Est-ce que garantir 20% à 25% sera suffisant ........ alors que l’exemple grec montre déjà qu’une décote bien plus importante est possible?" . Cet Institut redoute aussi que cela ne "crée des distorsions entre les obligations garanties et celles déjà en circulation", dont la valeur se déprécierait immédiatement ce qui fragiliserait davantage les créanciers qui en détiennent.

Quand à la deuxième qui revient à créer un fonds spécial, adossé au FESF, afin d’attirer des investisseurs privés et publics y compris en dehors de la zone euro, un diplomate européen a fait remarquer que « nul ne sait jusqu’où ceux-ci seront prêts à contribuer », et que "La réalité c’est qu’il y a des incertitudes techniques majeures" car ces solutions n’ont jamais été expérimentés à ce niveau.

En conclusion selon le Crédit Suisse, "tout cela laisse penser que la Banque centrale européenne (BCE) devra encore jouer un rôle central en soutenant les pays les plus faibles".

Nous serons fixés demain si les Chefs d’États et de gouvernements de l’UE réunis en sommet ce Mercredi soir à Bruxelles auront enfin trouvé oui ou non une solution finale, mais dans les deux cas les observateurs repris par les médias estiment que ce qui est certain c’est que de nouveaux plans d’austérité seront inévitables pour sauver la Zone Euro et que les pays européens hors zone euros devront aussi participer pour faire preuve de solidarité envers leurs partenaires.

Hier mardi le « smilblick » était encore en panne ...mais la nuit porte conseil, peut-être arriveront-ils aujourd’hui à s’entendre ? 

A votre bon cœur, la politique de la main tendue est ouverte en UE, espérons qu’il n’y aura pas de pays déserteurs !

REVUE DE PRESSE :

Discussions difficiles avant le sommet de la zone euro

BRUXELLES (Reuters) - Les discussions européennes sur une réponse d'envergure à la crise de la dette semblaient s'enliser mardi, à la veille d'un nouveau sommet décisif des dirigeants de la zone euro qui doit déboucher sur des solutions sur le dossier grec, l'aide aux banques et les capacités du fonds de soutien à l'euro.
Le Monde - France | mardi, 25. octobre 2011

Le chômage en Europe à l'origine de la crise

Le taux de chômage moyen en Europe est de 9,5 pour cent, selon l'Office statistique de l'UE, Eurostat. Ce taux élevé est en partie responsable de la crise, estime Pierre Larrouturou, membre du parti Europe Ecologie - Les Verts, dans le quotidien de centre-gauche Le Monde : » suite
Jornal de Negócios - Portugal | lundi, 24. octobre 2011

George Soros ébauche une sortie de crise pour l'UE

Les chefs de gouvernement européens ont manifestement enfin compris qu'ils ne peuvent pas continuer à repousser les problèmes indéfiniment, se réjouit l'investisseur américain George Soros dans le journal économique Jornal de Negócios, tout en indiquant la marche à suivre désormais : » suite

Le débat sur une sortie de l'UE nuit à Cameron

Le Parlement britannique a rejeté lundi soir la demande d'un référendum national sur la sortie du Royaume-Uni de l'UE. Parmi les 111 voix en faveur du référendum, environ 80 provenaient des tories au pouvoir. Ainsi, malgré la victoire des pro-européens, le leadership du Premier ministre David Cameron est remis en cause, estime le quotidien libéral-conservateur Corriere della Sera : "Le résultat n'est positif qu'en apparence. La tentative de trahir Cameron au Parlement souligne les tensions internes provoquées par la stratégie du Premier ministre et la coalition avec les libéraux-démocrates difficilement acceptée par une majorité de conservateurs. Si le rejet de la requête était prévisible, la signification politique de cette action et son message subsistent : les rumeurs vont bon train dans le dos de David Cameron, le nombre des insatisfaits ne cesse d'augmenter et ils peuvent s'appuyer sur des alliés dissimulés dans les rangs du gouvernement. L'Europe est un prétexte pour tenir un vote interne parmi les conservateurs au Parlement sur le leadership de Cameron." (25.10.2011)
» informations complémentaires (lien externe, italien)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse » Politique Intérieure, » Royaume-Uni
Tous les textes disponibles de » Fabio Cavalera

La peur empêche l'UE de sortir de la crise

A la veille du second volet du sommet européen pour le sauvetage de l'euro prévu mercredi à Bruxelles, le quotidien libéral Sme analyse les raisons de l'échec actuel des tentatives de sauvetage : "Sarkozy a peur de ne pas être réélu au mois d'avril. Merkel craint que les accords décidés à Bruxelles ne passent pas à la commission budgétaire du Bundestag car la facture à payer par les contribuables allemands est trop élevée. Les 25 pays européens restants ont peur que le moteur franco allemand tombe en panne. Les politiques craignent que les marchés réagissent à leurs décisions et la population a peur des nouvelles décisions prises par le monde politique. Elle ne souhaite pas 'plus d'Europe' à une époque où les retraites, les emplois et les salaires ne sont pas garantis. … En l'espace d'un an et demi, 14 sommets de sauvetage de l'euro ont été organisés mais les politiques n'ont pas eu le courage de dire que la situation était vraiment très mauvaise. Il reste à craindre que mercredi génère un nouvel échec." (25.10.2011)
À la une de lundi, 24. octobre 2011

L'UE ajourne à nouveau le sauvetage de l'euro

Les chefs d'Etat et de gouvernement de l'UE ont discuté dimanche à Bruxelles de la crise de la dette. Ils ne présenteront toutefois des propositions ... » suite
La Vanguardia - Espagne | lundi, 24. octobre 2011

L'UE doit enfin faire quelque chose

Le nouveau report de décisions importantes montre une nouvelle fois la faiblesse décisionnelle de l'UE en temps de crise, déplore le quotidien La Vanguardia : » suite
The Independent - Royaume-Uni | lundi, 24. octobre 2011

Débat inopportun sur la sortie de l'UE

Le Parlement britannique débat ce lundi pour décider si les citoyens doivent voter lors d'un référendum sur une sortie de la Grande-Bretagne de l'UE. Pour le quotidien libéral The Independent, le moment n'aurait pu être plus mal choisi : » suite
La Repubblica - Italie | lundi, 24. octobre 2011

L'Italie aussi responsable de la crise

La chancelière allemande Angela Merkel et le président français Nicolas Sarkozy s'en sont pris à juste titre à l'Italie lors du sommet européen, estime le quotidien de centre-gauche La Repubblica, le pays ayant sa part de responsabilité dans la dégradation de la crise de la dette : » suite
Libération - France | lundi, 24. octobre 2011

La France cède du pouvoir à l'Allemagne

Lors du sommet européen, l'Allemagne et la France ont affiché leur unité. Mais les apparences sont trompeuses, estime le quotidien de centre-gauche Libération : » suite
Kurier - Autriche | lundi, 24. octobre 2011

L'Europe n'est plus capable d'agir

Les chefs d'Etat et de gouvernement de l'UE veulent proposer une solution de sauvetage de la Grèce mercredi lors d'un sommet exceptionnel et apaiser les marchés financiers. Le quotidien libéral Kurier doute cependant globalement de la capacité d'action politique de l'Europe : » suite