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30 septembre 2008

Non à la taxe pour financer le RSA par ContribuablesAssocies

En complément, reproduction ci-dessous de la lettre accompagnant cette vidéo :

Monsieur le Président

Vous aviez promis aux Français une baisse des impôts et des dépenses publiques. C’est sur la foi de ces engagements que les Français vous ont élu.

Depuis votre élection les Français ont subi des rafales de taxes.

Le problème de la dette publique n’est toujours pas résolu et les dépenses publiques continuent d’augmenter. Les Français se sentent trahis.

Aujourd’hui vous nous proposez de financer le RSA par une nouvelle taxe sur les revenus du capital.

Le gouvernement va ainsi pénaliser le petit épargnant qui au prix de sacrifices a mis de l’argent de côté pour pouvoir espérer améliorer ses revenus au moment de sa retraite.

C’est injuste et anti-social.

Les Français ne supportent plus d’être ponctionnés et méprisés. Les Français n’ont plus d’argent.

Aussi je vous demande de ne pas financer le RSA par une nouvelle taxe sur les revenus du capital.

Je compte sur vous.

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’assurance de ma plus haute considération.


Non à la taxe pour financer le RSA
par ContribuablesAssocies

Les Français se font confiance à eux mêmes selon un sondage CSA ...

article de lucienne magalie pons

Selon les résultats d’un sondage CSA publié le 29 septembre 2008 51% des Français ne font pas confiance à Nicolas Sarkozy pour "réduire l'impact de la crise financière en France", indique un sondage CSA publié le 28 septembre dans Le Parisien. Même constat concernant le gouvernement de François Fillon, 47% lui font confiance quand autant pensent le contraire.

Signe du temps, à l'heure actuelle, plus de 6 personnes sondées sur 10 font confiance aux citoyens français pour réduire l'impact de la crise.


ooOoo

Conclusion : Ainsi la mobilisation, les grands discours et les déclarations du Chef de l’Etat et de l'exécutif en la matière ne bernent plus beaucoup les français qui se cantonnent toujours dans la méfiance.

Les Français las des sornettes politiciens ne s’en laissent plus conter , ils retrouvent du poil de la bête et redressent leurs cous et leurs ergots!

Messieurs nos gouvernants je vous propose de méditer ensemble en réunion de crise le fameux conseil d'Euripide : «Parle si tu as des mots plus forts que le silence, ou sinon garde le silence.»


Les réunions de crises se succèdent dans un climat de tempête financière !
















Le premier ministre François Fillon, le Ministre de L'économie Christine Lagarde,
Georges Pauget, directeur général du Crédit agricole , et Henri de Castries, président d'Axa,
à leur sortie du palais de l'Elysée, mardi 30 septembre

article de lucienne magalie pons

Les réunions de crises se succèdent dans un climat de tempête financière sous le feu des critiques de l'opposition.

C’est dans un climat de méfiance nationale, aggravée au plan international par le refus lundi de la Chambre des représentants américaine d'avaliser le plan de sauvetage présenté par l'administration Bush, alors que la tempête financière avait contraint pour la première fois Paris à voler au secours du franco-belge Dexia(*) que le chef de l'Etat a réuni mardi à l'Elysée les principaux banquiers et assureurs français pour faire le point sur la situation des établissements financiers français et s’engager à des mesures pour le "financement" de l'économie.

Le Premier ministre François Fillon, la ministre de l'Economie Christine Lagarde, le gouverneur général de la Banque de France Christian Noyer --qui avait exprimé plus tôt sa "confiance totale" dans le système français-- et le directeur du Trésor Xavier Musca ont quitté la présidence sans faire la moindre déclaration.

A l'issue de cette réunion, par un bref communiqué a fait savoir que Nicolas Sarkozy avait rappelé aux dirigeants des principales banques et compagnies d'assurance françaises "leur mission prioritaire de financement de l'économie", à savoir l'octroi de crédits et que le gouvernement annoncera "à cet égard de nouvelles dispositions" d'ici à "la fin de la semaine".

Deux des participants à la réunion, le directeur général du Crédit agricole Georges Pauget et le président d'Axa Henri de Castries ont répété leur confiance dans la "stabilité" du système financier français. "L'ensemble du dispositif français est solide, diversifié et bénéficie du soutien des autorités publiques", s'est félicité Monsieur Pauget, également président de la Fédération bancaire française et Monsieur de Castries s’est monté confiant en déclarant «

Le système financier français est un système financier stable, qui a une solvabilité très confortable".

C’était semble-t-il ‘un peu) l’opinion du ministre du budget Eric Woerth qui avait tenu à déclarer, avant même cette réunion, sur LCI, qu’ "aucun euro déposé sur un compte en banque ou une assurance vie ne (pouvait) être touché" en France. "Les banques françaises ne sont pas les banques américaines, elles sont beaucoup plus régulées".

ooOoo

(*) Dexia : En dépit de ces assurances maintes fois réitérées ces derniers jours, les autorités françaises ont été contraintes d'intervenir mardi avant l'ouverture des marchés financiers, pour venir au secours du bancassureur franco-belge Dexia, dont les cours avaient dévissé de près de 30% lundi.

Lors d'une réunion de crise à "5h00 du matin" en présence de M. Fillon, Noyer et Musca et de Mme Lagarde, Nicolas Sarkozy a décidé de donner son feu vert au plan de sauvetage de Dexia, « mitonné » dans l'urgence avec les autorités belges et luxembourgeoises.

Pour conclure, la Belgique et la France doivent chacune mettre 3 milliards d'euros au pot pour sauver la banque des collectivités locales. Pour la part française, un milliard sera "souscrit directement ou indirectement par l'Etat français", le reste étant déboursé par la Caisse des dépôts et consignations (CDC), "bras financier" de l'État.

Au final , l'Etat français et le groupe CDC détiendront au total plus de 25% du capital de Dexia, "minorité de blocage" a tenu à souligner l'Elysée. Malgré ce volontarisme affiché, les critiques ont redoublé sur la gestion de la crise par le chef de l'Etat et son gouvernement, et l’opposition a rejeté les appels à "l'union nationale" de François Fillon.

Pour ne citer qu’eux :

Lundi Monsieur Hollande avait rejeté sèchement l'appel à "l'unité nationale" lancé vendredi par François Fillon, jugeant qu'il ne faut pas "demander à la gauche de soutenir une politique qui échoue".

Pour Arlette Laguiller (LO), "leur unité nationale », c'est de faire payer les victimes pour venir au secours des coupables!"

Ségolène Royal (PS) de son côté a estimé qu'il n'était "plus temps de tergiverser" et François Bayrou a dénoncé la politique "massivement erronée" de Nicolas Sarkozy.


29 septembre 2008

La crise financière ne peut justifer à elle seule l'insuffisance du Gouvernement

article de lucienne magalie pons

Le Crise financière internationale vient à point nommé pour masquer la faillite politique et l'insuffisance du Gouvernement et du Chef l'Etat, et pour justifier la rigueur budgétaire qu'il veulent nous imposer durablement.

Alors que le Premier ministre François Fillon avait jusqu'ici fixé un objectif de retour à l'équilibre en 2011, le Gouvernement a fait connaître vendredi qu'il repoussait à 2012 son objectif d'équilibre de l'ensemble des branches de la "Sécu" (retraites, maladie, famille, accidents du travail-maladies professionnelles) dont les recettes devraient dépasser les 300 milliards en 2009.

Ainsi le Gouvernement ne peut que miser sur une "maîtrise de la dépense", et de nouvelles taxations dont une taxation des complémentaires santés (mutuelles et assurances), sui serait censée permette à la branche maladie d'atteindre un équilibre avant la branche vieillesse (retraites). Pour la Branche vieillesse, le gouvernement estime que la hausse de l'espérance de vie "conduit, en l'absence de mesures, à une dégradation mécanique du solde de 1,5 milliard par an sur la période".

Il est inutiles d’ajouter que tenant compte des coupes sombres du chômage qui s’accentue le Gouvernement ne peut compter sur de nouvelles recettes, pour maintenir le déficit sous les 9 milliards d'euros en 2009 (0,5% du produit intérieur brut).

D'une manière générale, le gouvernement explique que la "maîtrise de la dépense d'assurance vieillesse" est "inséparable des résultats obtenus en matière d'emploi des seniors", jugés insuffisants, le taux d'emploi des 55-64 en France (38,3%) étant très inférieur à la moyenne de l'Union européenne (44%) et pour justifier un nouvel allongement à 41 ans d'ici 2012 de la durée de cotisation fait savoir qu’elle s'accompagnera d'une "mobilisation en faveur de l'emploi des seniors" ….. ce qui nous laisse supposer qu’on nous demandera encore, comme pour le RSA de cracher au bassinet par une nouvelle taxe.

De plus, la dette de l'Etat à l'égard de la Sécurité sociale, en raison de non compensation des exonérations de cotisations patronales, se serait accrue et devrait atteindre 3,5 milliards fin 2008.

Jeudi, le président Nicolas Sarkozy dans son discours de Toulon, a exclu toute éventuelle diminution de ces exonérations patronales, sans tenir compte de la « position » de la Cour des comptes du 10 septembre qui proposait une baisse d'une partie d'entre elles afin de dégager sept milliards d'euros de recettes supplémentaires.

D’après le chef de l'Etat, baisser ces exonérations, "ce serait contribuer à détruire de l'emploi au moment même où le ralentissement de la croissance fait repartir le chômage à la hausse et où la concurrence des pays à bas salaire ne cesse de s'intensifier".

En matière de recettes, le ministre du Budget Eric Woerth a indiqué vendredi, qu'une hausse de la masse salariale moins élevée que prévu initialement représenterait un manque à gagner pour la Sécurité sociale de 600 millions dès 2008( sans nous dire s’il a tenu compte du nombre des demandeurs d’emploi inscrits en Août à l’ANPE en Août, estimé à 30.000 à 40000 selon Laurent Wauquiez, Secrétaire d’Etat à l’emploi )

Par ailleurs, dans le document présentant le budget de l'Etat 2009, "le gouvernement considère comme essentiel que le taux de prélèvement sur les salaires ne s'accroisse pas, afin de ne pas contrecarrer l'amélioration tendancielle de l'emploi (*) et de ne pas nuire à la compétitivité et l'attractivité de la France

(*) Amélioration tendancielle de l’emploi ? Je crois rêver !

En conclusion le Gouvernement continue sur sa lancée, taxer, taxer et encore taxer et presser « le citron » en l’occurrence les salariés, tout en continuant à instaurer la précarité du travail par des sous-contrats de travail, aux profits des entreprises qui continueront en sous employant des salariés à percevoir des exonérations de cotisations fiscales et sociales.

Les parachutes dorés dont on parle tant continueront à faire les beaux jours des dirigeants, puisqu’il est question de continuer à les servir à ceux qui les mérite par leur performance,

et que seul en seraient exclus ceux qui aurait commis des fautes de direction ou gouvernance, ce qui ne veut rien dire du tout, dès l’instant que même en menant une entreprise à la faillite et des milliers de salariés sur le trottoir, on s’emploiera à blanchir le présumé coupable en arguant des difficultés du marché, de la crise financière, ou d’une concurrence plus performante nationale ou internationale, bref en arguant de toute sorte d’excuse adaptée au moment.

Lors de son discours de Toulon, en préambule le Chef de l’Etat a préparé le climat de rigueur et les serrages de ceintures que la loi de finances 2009 nous imposera, en dressant avec son talent démagogique un réquisitoire misant sur la prétendue « peur » des français dans l’espoir de regagner leur confiance en chute libre, soit d’après lui :

: « Comme partout dans le monde, les Français ont peur pour leurs économies, pour leur « emploi, pour leur pouvoir d’achat.

« La peur est une souffrance.

« La peur empêche d’entreprendre, de s’engager. Quand on a peur, on n’a pas de rêve, on ne « se projette pas dans l’avenir. La peur est la principale menace qui pèse aujourd’hui sur « l’économie. Il faut vaincre cette peur. C’est la tâche la plus urgente. On ne la vaincra pas, on « ne rétablira pas la confiance en mentant mais en disant la vérité.

« La vérité, les Français la veulent, ils sont prêts à l’entendre. S’ils ont le sentiment qu’on

« leur cache quelque chose, le doute grandira. S’ils ont la conviction qu’on ne leur cache rien, « ils puiseront en eux-mêmes la force de surmonter la crise.

« Dire la vérité aux Français, c’est leur dire que la crise n’est pas finie, que ses conséquences

« seront durables, que la France est trop engagée dans l’économie mondiale pour que l’on

« puisse penser un instant qu’elle pourrait être à l’abri des évènements qui sont en train de

« bouleverser le monde. Dire la vérité aux Français, c’est leur dire que la crise actuelle aura

« des conséquences dans les mois qui viennent sur la croissance, sur le chômage, sur le

« pouvoir d’achat.

« Seul le prononcé fait foi

………

Autrement dit en raccourci : « vous avez peur, vous souffrez, ……je vais vous dire la vérité, la crise n’est pas finie, elle aura des conséquences durables sur la croissance, sur le chômage, sur le pouvoir d’achat … »

Ainsi donc, Le Chef d’Etat alignés en rang d’oignons pour assurer « sa claque », préparait insidieusement le terrain de rigueur durable qu’ils entendent instaurer pour le peuple , en l’expliquant par la Crise financière et en faisant l’impasse sur les promesses électorales non tenues, sur leurs insuffisances de gouvernance, sur leurs dépenses somptuaires, sur les gâteries fiscales consenties à leur amis nantis, et sur les taxes qu’ils nous inventent chaque jour et qui seront insuffisantes pour boucher les trous que le paquet fiscal, et les gâteries et exonérations fiscales et sociales consenties à leurs amis nantis, ont largement creusé dans le budget de l’Etat., au détriment des contribuables.

Eh bien non, nous n’avons pas peur, nous sommes courageux, lucides et mécontents de vous et de votre gouvernement et de votre environnement relationnels , vous souhaiteriez à vos pieds un peuple conditionné par la peur que vous tentez de faire naître dans vos discours, faites en votre deuil, le peuple français a été, est et sera toujours courageux, la vérité, la nôtre, c’est que nous avons perdu confiance en vous et votre gouvernement, les français sont courageux, des manifestations se préparent, prenez garde qu’elles ne s’amplifient ! Les salades montées à la mayonnaise que vous nous servez vous et vos ministres quotidiennement dans vos Sarkoparade de communication destinées à votre autopromotion ne sont pas crédibles, les taux de confiance baissent, vos ambitions néo libérales pures et dures sont battues en brèche et tombent en quenouille, voilà votre bilan !

La vérité c’est que vous et votre équipe êtes saisis par la peur et que par un jeu psychologique subtil vous avez voulu la projeter sur les français dans une tentative d’exorcisme désespéré. Vous n’avez réussi dans cette entreprise, la preuve en est dans les déclarations courageuses de différents experts et politiques qui dans les médias presse et audio-visuels protestent contre vos interprétations en restituant la vérité.


L'espérance confiante de "ma petite Douce"

Nous sommes aujourd'hui le 20 septembre 2008 date anniversaire de la naissance de ma maman qui était venue dans ce monde le 29 septembre 1897.

Elle portait un bien joli prénom composée Marie -Louise, tous dans la famille l'appelais "Manou" mais moi dans mon cœur je la nommais en secret "ma petite douce".

Le jour où j'ai du lui dire adieu pour l'éternité ce sont ces mots qui sont venus effleurer mes lèvres, alors que je finissais mes prières d'adieu par le" je vous salue Marie" et traçais sur son front le signe de croix des catholiques romains, "au revoir ma petite Douce, adieu et au revoir, ma petite Douce"

Comme tant de mamans elle était pieuse, mais ne manifestait pas sa foi avec ostentation mais par des actes et des paroles de consolation et de paix. Elle aurait ce jour 111 ans .

Elle et elle seule a fait naître et consolider, en mon cœur, par son exemple, la foi en notre Dieu et l'espérance confiante en notre vie terrestre et j'attends avec confiance le jour du grand départ vers l'Eternité.

En sa mémoire l'Ave Maria de Gounod :

Une Danse Française parmi d'autres

27 septembre 2008

Nicolas Sarkozy a reçu Hugo Chavez à Paris



article de lucienne magalie pons

En pleine crise financière internationale, après une tournée qui l'a conduit à Cuba, en Chine puis en Russie, Hugo Chavez a fait le détour à Paris hier, pour congratuler son grand ami le Président Nicolas Sarkozy, au sujet de ses déclarations mardi dernier devant les Nations unies à New York, en faveur d'un "capitalisme régulé »

Monsieur Chavez a déclaré à la presse à l’issue d’un entretien avec le Chef de la République Française : «J'ai dit à M. Sarkozy qu'une phrase de son discours aux Etats-Unis avait attiré mon attention ……. Monsieur Sarkozy a parlé d'un capitalisme régulé. Nous, nous proposons le socialisme, mais son idée nous semble très importante car elle va contre l'idée

perverse du marché qui règlerait tout".

« Cela fait plus de dix ans que nous avons tiré la sonnette d'alarme à ce sujet, aussi bien devant les Nations unies que dans différents sommets …… nous avons toujours prôné une transformation de la soi-disant architecture financière internationale mais on ne nous a jamais crus. »

D’après ses déclarations Hugo Chavez est d’accord et soutient la proposition de Monsieur Sarkozy en faveur d’un sommet international élargi sur la crise financière internationale et a plaidé pour la présence des pays du Sud "Ce serait très bien d'avoir un sommet, mais pas seulement avec le G8" : «Est-ce que le Sud n'existe pas ? Est-ce que l'Afrique, est-ce que l'Amérique latine n'existent pas ?"a-t-il interrogé.

"Il faut ouvrir la voie vers une nouvelle ère post Bretton Woods(voir **) …a-t-il insisté en dénonçant les Etats-Unis qui selon lui n'ont pas su agir de façon responsable sur la planète une fois qu'on leur a donné « ce pouvoir immense, l'hégémonie du dollar » …. « On en voit aujourd'hui les conséquences", a-t-il ajouté.

Hugo Chavez a aussi indiqué qu’il avait évoqué avec son hôte élyséen, les questions bilatérales notamment dans les domaines des transports et de l’énergie.

L’Elysée de son côté a fait connaître que le président français a proposé au Président Vénézuélien de développer les relations entre les deux pays dans ces secteurs.

A près cette visite qu’il se devait de rendre à son ami, Monsieur Chavez a quitté Paris vendredi soir pour le Portugal et regagnera, après son long périple son pays, dimanche.

Peut-être aura-t-il le temps dans son avion de retour de lire le discours que Monsieur Nicolas Sarkozy récipiendaire du prix « The Humanitarian Award » a prononcé Lundi dernier en s’adressant à Elie Wiesel , et s’arrêtera-t-il sur ce court extrait :

« Pour libérer Ingrid BETANCOURT, je vous le dis cher Elie, j’étais prêt à parler avec tous les chefs de Gouvernement d’Amérique du Sud. Parce qu’une femme, dans une forêt pendant 5 ans et demi, c’est une honte. Mais tous mes interlocuteurs en Amérique du Sud n’étaient pas forcement des gens que j’aurais spontanément choisis comme amis. Et pourtant, je l’ai fait… »

Gageons que Monsieur Chavez dont on ne peut mettre en doute la bonne foi et l’amitié qu’il porte à la France et à son Président a jugé que ce dernier a visé dans son aveu le Président Colombien Alvaro Uribe. L’amitié comme l’amour peut parfois rendre aveugle.

Monsieur Hugo Chavez aura-t-il l'esprit un jour de méditer sur une citation extraite de "Eloge de l'amitié" de Tahar Ben Jelloun : «La politique dénature et ruine l'amitié.»


Ainsi va le monde plongé dans la Crise Financière Internationale !

ooOoo

** Les accords de Bretton Woods sont des accords économiques ayant dessiné les grandes lignes du système financier international de l'après-guerre. Leur objectif principal fut de mettre en place les bases de la politique monétaire mondiale et de favoriser la reconstruction et le développement économique des pays touchés par la Seconde Guerre mondiale ( pour plus de précisions voir Wikipédia par Google « Accords de Bretton Woods » )


26 septembre 2008

Menuet : voyage musical en Arles (France)

Songes d'hiver , au coeur de la Provence

Réalisation : Chris
Songes d’hiver au cœur de la terre…
Sur la pointe des pieds se finit l’été…
Rêves parfumés, senteurs colorées…
Doux Souvenirs ensoleillés à cueillir…
Bouquet d’oiseaux dansant le menuet…
Chant lyrique, une candide rythmique…
Libellule diaphane au clair de canicule...
Légèreté volubile d’un regard extasié…
Ritournelle des cigales de plus belle…
Provence dans ma tête en affluence…

Nous avons chanté tout l'été ! Eh bien dansons maintenant

Pour fuire la morosité ambiante un petit voyage au Pérou


Peru
envoyé par VentureCo

en prime ! la surprise du Chef !

Vidéos actualités

Un nouvel article de l'auteur Duboubou1er

Ci-dessous j’ai plaisir à vous communiquer un article de l’auteur : Duboubou1 - St Martin Labouval que j’ai reçu daté du Jeudi 25 Septembre 2008

« Échangerais nanti de droite contre nanti de gauche ou vice-versa?

La cuisine politique que l'on nous mitonne depuis un bout de temps déjà n'est pas franchement enthousiasmante. Quant à toutes ces réformes que l'on nous annonce à grand coup de trompe elles ne sont pas, non plus, de nature à conforter la confiance en la démocratie de l'électorat dont les racines se trouve en France populaire !

Comment, en effet, peut-on croire que les discours que l'on nous sert, sans aucune modération et qui n'ont pas d'autre but que de nous faire accepter l'inacceptable, sous le prétexte fallacieux que le train de vie mené par le petit peuple de France met en péril la compétitivité de nos entreprises. Ces discours bien léchés débouchant immanquablement sur l'unique solution prétendue raisonnable qui consiste à abandonner sans la moindre compensation les quelques avantages engrangés, si péniblement, par nos anciens simplement pour permettre à quelques financiers entreprenants et à des entrepreneurs géniaux de mieux se positionner dans la hiérarchie du gratin international!

Certes, nous gens de la base, nous ne sommes peut-être pas tous « certifiés malins » mais nous ne sommes pas pour autant automatiquement aveugles et totalement sourds. Même si cela était le cas, le spectacle auquel nous venons d'assister: ce grand carambolage des géants américain de la finance qui servaient de modèle et de référence à nos dirigeants éclairés nous obligerait de toute façon à nous réveiller. Difficile en effet de ne point constater la formidable faillite de ce libéralisme que vénèrent toujours nos propres dirigeants, de droite comme de gauche. Et, bien sur, notre pilote du moment ne manque pas de briller par défaut en jouant au bon prophète moralisateur! Ce qui n'arrange rien !

Pendant ce temps les fossoyeurs de la finance qui ont conduit au désespoir tant de familles modestes outre atlantique n'hésitent pas à croquer sans plus attendre l'argent du peuple afin de pouvoir sauver un système qui garanti l'impunité à tous les malfrats de la planète ! Nul ne peut nier aujourd'hui que ce type de libéralisme ne nourrit royalement que des prédateurs et pourtant c'est devant ces caricatures de gestionnaires représentant la finance mondiale fort peu recommandables, que hier encore nos maitres nous conseillaient de nous prosterner !

Et que penser de la situation de notre beau pays face à une telle débâcle ? Sommes-nous réellement à l'abri de déconvenues graves et doit-on croire tout ce que l'on nous raconte, ou comme notre humoriste nationale déclarer ouvertement « Que l'on ne nous dis pas tout ! » Mais comment ne pas douter lorsque l'on sait que l'on a essayé de nous faire gober que le nuage de Tchernobyl n'a jamais franchi les frontières de notre hexagone ! Tout est donc possible à condition d'être suffisamment persuasif une qualité qui ne manque certainement pas aux saltimbanques qui nous informent en ce moment !

Mais que penser de la classe politique dans son ensemble ? Si l'on est frileux on n'en pense que du bien, mais si ce n'est pas le cas on doute beaucoup ! On peut alors se dire que les différents clivages ne change pas grand-chose au comportement des représentants du peuple après leur intégration dans l'un ou l'autre des palais de la république. Etre un godillot de droite ou un godillot de gauche ne change pas finalement grand-chose puisque l'on a droit au même confort. Pour le petit peuple de France un nanti c'est quoi ? Il est clair que les élus qui siègent au Sénat, à l'Assemblée nationale et dans des tas d'autres organismes aussi indispensables appartiennent à cette catégorie. Tous sont plus ou moins titillés par le goût du pouvoir mais à les regarder vivre sur les grasses prairies de notre belle république on arrive difficilement a plaindre ces malheureux qui font simplement de la figuration en combattant le pouvoir en place tout en jouissant d'un confort largement mérité .

C'est beau comme notre république qui affiche sur les frontons des édifices publics des mensonges éculés comme Liberté Egalité Fraternité…

Publié par Duboubou 1er

Information judiciaire

copie d'une dépêche d'AFP pour information

Presse people: rejet des demandes formulées au nom du fils de Carla Bruni-Sarkozy

NANTERRE (AFP) 25/09/2008 12:56


« Le tribunal de Nanterre a rejeté dans deux jugements rendus jeudi les demandes de dommages et intérêts formulées par Carla Bruni-Sarkozy et Raphaël Enthoven contre Closer et Ici Paris au nom de leur fils âgé de sept ans pour atteinte à sa vie privée et à son droit à l'image.

Le tribunal, qui avait été saisi en référé, a en revanche condamné les deux titres à verser chacun 4.000 euros de dommages et intérêts et 2.000 euros de frais de procédure à Raphaël Enthoven, en son nom propre, car les articles poursuivis évoquaient sa liaison avec une nouvelle compagne et sa future paternité.

Raphaël Enthoven réclamait 80.000 euros à Ici Paris (Hachette Filipacchi) et 40.000 euros à Closer (Mondadori France).

Les poursuites menées par M. Enthoven conjointement avec Carla Bruni-Sarkozy au nom de leur fils faisaient suite à des articles d'Ici Paris (édition 24 juin) et de Closer (13 juin), centrés sur l'épouse du président de la République, tout en faisant état de l'arrivée prochaine d'un petit frère ou d'une petite sœur pour son fils Aurélien.

Dans les deux cas, le tribunal a estimé que l'intrusion dans la vie privée d'Aurélien Enthoven n'est pas caractérisée. En outre, il souligne que l'enfant "a fait l'objet d'une médiatisation certaine de par la volonté de sa mère, laquelle s'est exprimée publiquement à plusieurs reprises à son sujet ainsi qu'en ce qui concerne Raphaël Enthoven en sa qualité de père de l'enfant".

Lors de l'audience visant Ici Paris, le 15 septembre dernier, l'avocat du magazine, Me Christophe Bigot, avait ironisé sur la demande de Mme Bruni-Sarkozy et M. Enthoven, en évoquant la "multitude d'articles sur la naissance" de leur fils et plus récemment, les images de l'enfant sur les épaules du président de la République lors d'un voyage très médiatisé en Jordanie, en janvier 2008.

L'avocat s'était également appuyé sur une interview donnée à Elle (12 juillet 2008) dans laquelle l'épouse de Nicolas Sarkozy évoquait son fils.

Mme Bruni-Sarkozy et M. Enthoven avaient réclamé 200.000 euros à Ici Paris et 20.000 euros à Closer. » rejeté dans deux jugements rendus jeudi les demandes de dommages et intérêts formulées par Carla Bruni-Sarkozy et Raphaël Enthoven contre Closer et Ici Paris au nom de leur fils âgé de sept ans pour atteinte à sa vie privée et à son droit à l'image.

Le tribunal, qui avait été saisi en référé, a en revanche condamné les deux titres à verser chacun 4.000 euros de dommages et intérêts et 2.000 euros de frais de procédure à Raphaël Enthoven, en son nom propre, car les articles poursuivis évoquaient sa liaison avec une nouvelle compagne et sa future paternité.

Raphaël Enthoven réclamait 80.000 euros à Ici Paris (Hachette Filipacchi) et 40.000 euros à Closer (Mondadori France).

Les poursuites menées par M. Enthoven conjointement avec Carla Bruni-Sarkozy au nom de leur fils faisaient suite à des articles d'Ici Paris (édition 24 juin) et de Closer (13 juin), centrés sur l'épouse du président de la République, tout en faisant état de l'arrivée prochaine d'un petit frère ou d'une petite sœur pour son fils Aurélien.

Dans les deux cas, le tribunal a estimé que l'intrusion dans la vie privée d'Aurélien Enthoven n'est pas caractérisée. En outre, il souligne que l'enfant "a fait l'objet d'une médiatisation certaine de par la volonté de sa mère, laquelle s'est exprimée publiquement à plusieurs reprises à son sujet ainsi qu'en ce qui concerne Raphaël Enthoven en sa qualité de père de l'enfant".

Lors de l'audience visant Ici Paris, le 15 septembre dernier, l'avocat du magazine, Me Christophe Bigot, avait ironisé sur la demande de Mme Bruni-Sarkozy et M. Enthoven, en évoquant la "multitude d'articles sur la naissance" de leur fils et plus récemment, les images de l'enfant sur les épaules du président de la République lors d'un voyage très médiatisé en Jordanie, en janvier 2008.

L'avocat s'était également appuyé sur une interview donnée à Elle (12 juillet 2008) dans laquelle l'épouse de Nicolas Sarkozy évoquait son fils.

Mme Bruni-Sarkozy et M. Enthoven avaient réclamé 200.000 euros à Ici Paris et 20.000 euros à Closer.Le tribunal de Nanterre a rejeté dans deux jugements rendus jeudi les demandes de dommages et intérêts formulées par Carla Bruni-Sarkozy et Raphaël Enthoven contre Closer et Ici Paris au nom de leur fils âgé de sept ans pour atteinte à sa vie privée et à son droit à l'image.

Le tribunal, qui avait été saisi en référé, a en revanche condamné les deux titres à verser chacun 4.000 euros de dommages et intérêts et 2.000 euros de frais de procédure à Raphaël Enthoven, en son nom propre, car les articles poursuivis évoquaient sa liaison avec une nouvelle compagne et sa future paternité.

Raphaël Enthoven réclamait 80.000 euros à Ici Paris (Hachette Filipacchi) et 40.000 euros à Closer (Mondadori France).

Les poursuites menées par M. Enthoven conjointement avec Carla Bruni-Sarkozy au nom de leur fils faisaient suite à des articles d'Ici Paris (édition 24 juin) et de Closer (13 juin), centrés sur l'épouse du président de la République, tout en faisant état de l'arrivée prochaine d'un petit frère ou d'une petite sœur pour son fils Aurélien.

Dans les deux cas, le tribunal a estimé que l'intrusion dans la vie privée d'Aurélien Enthoven n'est pas caractérisée. En outre, il souligne que l'enfant "a fait l'objet d'une médiatisation certaine de par la volonté de sa mère, laquelle s'est exprimée publiquement à plusieurs reprises à son sujet ainsi qu'en ce qui concerne Raphaël Enthoven en sa qualité de père de l'enfant".

Lors de l'audience visant Ici Paris, le 15 septembre dernier, l'avocat du magazine, Me Christophe Bigot, avait ironisé sur la demande de Mme Bruni-Sarkozy et M. Enthoven, en évoquant la "multitude d'articles sur la naissance" de leur fils et plus récemment, les images de l'enfant sur les épaules du président de la République lors d'un voyage très médiatisé en Jordanie, en janvier 2008.

L'avocat s'était également appuyé sur une interview donnée à Elle (12 juillet 2008) dans laquelle l'épouse de Nicolas Sarkozy évoquait son fils.

Mme Bruni-Sarkozy et M. Enthoven avaient réclamé 200.000 euros à Ici Paris et 20.000 euros à Closer.


Toulon : Sarkoparade au complet sur fond de crise internationale !

Rappelons qu’avant son déplacement à New York l’opinion publique relayée par les médias souhaitait que le Chef de l’Etat s’exprime sur la crise Financière internationale. Au prétexte d’un agenda surchargé, le Chef de l’Etat avait promis de le faire à son retour des USA. A new York il s’est empressé de consulter un expert, c’est ainsi qu’il a pu faire un discours Onusien dans lequel notamment il a dressé un premier catalogue des causes qui ébranlent l’économie mondiale, en proposant ses différents remèdes et sanctions (voir dans le présent blog mes articles en date du Jeudi 25 septembre intitulé "Discours prononcé par le Président de la République Française devant la 63ème Assemblée Générale des Nations Unies" et "Ce soir à Toulon Sarkoparade économique"),

et dans la foulée préparer depuis New York, le discours qu'il devait prononcer le Jeudi soir 25 septembre à Toulon.


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La Sarkoparade conduite par le Chef de l’Etat qui pour la circonstance avait entrainé dans son sillage le Premier ministre François Fillon et une demi-douzaine d'autres membres du gouvernement et des conseillers de l’Elysées , s’est déplacée au grand complet à Toulon Jeudi pour une séance « grandiose » de communication, essentiellement pour répondre à trois objectifs majeurs, montrer l’unité du Gouvernement mobilisé derrière le Chef de l’Etat et ses Conseillers, diaboliser la Crise financière, convaincre que l’Etat tiendra contre vents et marées le cap des réformes.

Enfin autre objectif non exprimé mais non des moindres , ce n'es pas par hasard que ce discours est prononcé tout à fait à la veille de la présentation d'un budget 2009 qui s'annonce plus que restreint, ... et que l'on entend, en justifiant sa rigueur par la crise financière , nous faire avaler comme une couleuvre.

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A Toulon, jeudi soir, Le Président s’est exprimé pour répondre aux inquiétudes que la Crise Financière Internationale suscite en mettant l’accent sur notre pays et sur sa responsabilité, se plaçant une fois de plus au cœur de la question : « Si j'ai voulu m'adresser ce soir aux Français, c'est parce que la situation de notre pays l'exige ……..Je mesure la responsabilité qui est la mienne dans les circonstances exceptionnelles où nous nous trouvons."

Puis pendant 45 minutes devant une assistance nombreuse( environ 4500 personnes) , il s’est livré à une attaque contre le capitalisme financier, a énuméré les interventions de l’Etat qu’il entend mettre en œuvre pour combattre la crise , en s’efforçant de convaincre qu'il était aux commandes, tout en exprimant son refus d'envisager une politique d'austérité qui d’après lui aggraverait la récession, face à la crise financière internationale, ce qui a été interprété comme un virage à « gauche » de son discours.

Il faut être bien naïf pour estimer que Le Président de la République vire à gauche, pour la simple constatation que toutes les mesures qu’il propose ne pourront s’appliquer fautes de moyens financiers, les caisses de l’Etat sont vides, les poches des petits contribuables à sec, les portefeuilles des nantis intouchables, faut-il encore le souligner, et ce ne sont pas les taxes d’intimidation comportementales « Bonus-malus » que Monsieur Borloo s’ingénie à inventer, avec un zèle parfois contesté même par l’Etat, face aux leviers de boucliers, qui suffiront à réinjecter dans le système financier de quoi redresser la barre, quand aux sanctions à moins d’interdire la bourse sine die à des financiers véreux comme on peut le faire dans les casinos de jeux aux joueur addicts, les autres sanctions prévues ne sont que broutilles destinées à jeter de la poudre aux yeux.

En fait c’est un discours de bonnes intentions (le Pouvoir comme l’Enfer est souvent pavé de bonnes intentions) qui ne pourront pas se traduire dans ses actes de gouvernance. Certes il y aura des réunions internationales, des conférences, des actes successifs de la part de la France et de l’Europe pour renter de moraliser la finance internationale, mais les politiques pèsent peu en face de la finance internationale. Mais la France et l’Europe si l’on peut accepter l’idée qu’elles ont une morale financière, ce qui reste à prouver, n’ont pas les moyens financiers et coercitifs d’intervenir sur toutes les places boursières du monde entier pour traquer les financiers véreux ou imprudents, même si elles pourront en subir les contre coup désastreux d’opérations boursières fictives et frauduleuses.

Il a rompu avec le discours lénifiant sur l'impact de la crise en France tenu par la ministre de l'Economie Christine Lagarde -- présente à Toulon avec le Premier ministre François Fillon et une demi-douzaine d'autres membres du gouvernement.

Au nom de la vérité qu'il a déclaré devoir aux Français, Le Président, en raison de la vérité qu’il a déclaré devoir aux Français, s’est plus à dramatiser la crise internationale qu’il a qualifié de "crise de confiance sans précédent" qui ébranle l'économie mondiale, qui selon lui n’est pas finie n'est pas finie et aura des conséquences durables, y compris en France.

"Dire la vérité aux Français, c'est leur dire que la crise actuelle aura des conséquences dans les mois qui viennent sur la croissance, sur le chômage et sur le pouvoir d'achat." a-t-il prévenu.

La crise financière internationale ainsi mise en évidence est venue à point pour faire passer dans l’ombre, en arrière plan, la crise économique nationale et pour ainsi dire la justifier !

Dans ses critiques des dérives du capitalisme financier, il a estimé que la crise actuelle mettait fin à une "certaine idée de la mondialisation" et à l'idée "folle" selon laquelle les marchés ont toujours raison, tout en précisant que cette crise n'est pas celle du capitalisme et que l'anticapitalisme n'offre "aucune solution".

Il a renouvelé ses souhaits d’un "capitalisme régulé" et "refondé" sur une "éthique de l'effort et du travail", car le capitalisme n'est "pas la loi de la jungle" et de nouveau a souhaité un sommet des dirigeants des principaux pays concernés par la crise avant la fin de 2008.

Il propose de remettre à plat tout le système financier et monétaire mondial comme on le fit à Bretton Woods après la seconde guerre mondiale et plaidé pour un "nouvel équilibre entre l'Etat et le marché" –

"L'autorégulation pour régler tous les problèmes, c'est fini, le laissez-faire c'est fini", a-t-il scandé.

Il a ainsi promis que si les banques françaises étaient mises en difficulté par la spéculation, il n'accepterait pas "qu'un seul déposant perde un seul euro" en assurant dans un engagement solennel : "L'Etat est là et l'Etat fera son devoir. C'est un engagement solennel que je prends ce soir : quoiqu'il arrive, l'Etat garantira la sécurité et la continuité du système bancaire", a promis le président de la République.

L’Etat, autrement dit les contribuables seront invités à cracher dans le bassinet pour redresser les banques « mises en difficulté par la spéculation ». Une question, les banques ne disposent-elles pas de moyens techniques pour éviter et neutraliser toutes opérations spéculatives en alertant la COB par exemple ? A moins que ces banques ne se soient jetées d’elles-mêmes dans des opérations spéculatives à risque, du genre de celle de la Société Générale qui a défrayé la chronique un petit temps ? Il faudrait voir, tout de même !

L'Etat sera aussi prêt à intervenir pour aider les PME à financer leurs investissements et faire face à leurs difficultés de trésorerie en cas de restriction du crédit, pour soutenir le secteur immobilier et, plus généralement, la croissance.

"Si l'activité venait à reculer fortement et durablement, je n'hésiterais pas à prendre les mesures nécessaires".

Ainsi l'Etat (donc les contribuables) serait prêt à intervenir pour aider les PME à financer leurs investissements et faire face à leurs difficultés de trésorerie en cas de restriction du crédit, pour soutenir le secteur immobilier et, plus généralement, la croissance.

Le Chef de l’Etat estime que la crise invite à accélérer le rythme des réformes, car "il n'existe aucune solution miracle qui permettrait de se dispenser des efforts nécessaires". Il a confirmé la suppression de 30.600 emplois dans la fonction publique en 2009.

Le ministre de l'Ecologie, Jean-Louis Borloo, qui était présent, a du ressentir comme un baume dans son cœur, en entendant Nicolas Sarkozy promettre l'extension du système du bonus-malus visant à encourager la production et l'utilisation de produits "propres" - un système pourtant quelque peu critiqué à Bercy et au sein de l'UMP.

"Cette extension se fera dans la concertation. Elle se fera progressivement mais elle se fera, j'en prends l'engagement", a déclaré Nicolas Sarkozy.

Pour faire bonne mesure, le Chef de l’Etat a dénoncé avec un certain accent populiste, les modes de rémunération des dirigeants de la finance, notamment le système des "parachutes dorés" et a prévenu que si les professionnels ne se mettent pas d'accord sur des pratiques "acceptables", le gouvernement règlera le problème par la loi "avant la fin de l'année", a-t-il dit.

Il y aurait donc des « pratiques acceptables » reste à distinguer les pratiques acceptables de celles « inacceptables » : un vrai casse tête chinois !

En analysant soigneusement son discours, avec cet appel incessant aux contribuables pour aider le capitalisme néolibéral défaillant à redresser la barre, je me demande bien comment certains commentateurs ont pu noter un virage à gauche dans le discours de notre Président.

article de lucienne magalie pons

25 septembre 2008

Album souvenir des USA

Mais quelle mouche le pique contre Rachida ?



Il remet ça !

Après avoir prétendu lors d’une réunion chez la Ministre de l’intérieur il y a quelques jours, qu’il savait qui était le père de l’enfant de Rachida Dati et qu’il s’agirait d’un membre du Gouvernement, Nicolas Sarkozy selon le JDD aurait critiqué cette dernière au cours de la réunion du dernier G7, - dont elle ne fait pas partie - , en accusant la garde des sceaux de ne pas assez travailler et de trop se montrer dans les magazines, toujours en robe de soirée.

"Elle s'occupe plus de ses robes que de son ministère!", aurait-il déclaré, avant de demander à ses « dames ministres "de ne plus se montrer en smoking et robe longue dans les soirées mondaines".

Encore une fois il agit en délateur pur et simple à l’encontre de Rachida, et en dictateur de mode vis-à-vis des dames ministres. Dans les soirées officielles passe et encore, mais dans les soirées mondaines en général, c’est brasser trop large ! Oseront-elles protester ?

Entend-t-il ainsi réserver à la seule « première dame de France », sa « carlita », le monopole exhibitionniste des robes longues de soirées et smoking dans les soirées officielles et mondaines ? Les grands couturiers doivent l’avoir mauvaise, eux dont les femmes politiques en vues, notamment, sont les supports privilégiés.

Bon, notre Président dictateur n’a pas interdit les robes de cocktails qui généralement sont plus courtes, s’avisera-t-il ensuite qu’elles doivent cacher leurs mollets ?

Je crains qu’elles n’aient plus à échéance, une fois tous les interdits édictés, au fil de son humeur, qu’à adopter la Burka et le voile, et que dans la foulée , pour afficher un unité gouvernementale, Messieurs les Ministres adoptent la gandourah, le burnous et la chéchia.

Enfin après avoir entendu son discours, lors de sa réception à la Fondation Elie Wiesel à New York, où il assurait que sa charge était très lourde, je comprends que ses affaires politiques et de gouvernance étendues jusqu’à l’organisation de la garde-robe de ces dames ministres lui laissent tout de même le temps de dire des méchancetés contre Rachida.

Dans un moment où comme toutes les femmes enceintes Madame Rachida a besoin de douceur, de protection et d’égards particuliers.

Ou est le temps où en Algérie, au cours d’un voyage officiel, il lui offrit une rose en hommage à ses mérites et peut-être aussi à sa beauté, à tel point que bon nombres de magazines féminins algériens pensaient déjà à un prochain hyménée entre eux.


La Rose s'est desséchée hélas ne restent que les épines !