Thomas Hugues a brandi la baisse d'audience de juin pour expliquer le licenciement de PPDA. Ce dernier a refusé la polémique et il s'en est sorti avec une seule proposition: «Si vous le voulez bien, on se revoit en juin prochain et on vérifie une nouvelle fois les chiffres.»
Patrick Poivre d'Arvor a défendu ses résultats d'audience, face à ceux de Laurence Ferrari qui lui a succédé au JT de TF1. «Je n'ai pas à la juger», a-t-il répondu à Thomas Hugues, ex-mari de Ferrari pendant quatorze ans, qui lui demandait de commenter la baisse d'audience de la nouvelle présentatrice du JT, depuis son entrée en fonctions le 25 août.
«Je dis simplement que le dernier journal présenté a fait 2,3 millions de téléspectateurs de moins que le mien à la même période», précisé PPDA ex journaliste vedette du 20 heures. L'argument ne convient pas Thomas Hugues: «Si on compare les chiffres de septembre et de juin, elle fait un peu mieux que vous avec 200 000 spectateurs de plus» rétorque-t-il.
Contrarié par cet argument destiné à le déstabiliser, mais toujours maître de lui, correct et placide, PPDA a rappelé à son interlocuteur ses propres prestations: «Thomas, vous qui avez souvent présenté le JT en remplacement de bibi (n.d.l.r.: PPDA sur TF1), vous savez bien qu'il y a moins de téléspectateurs l'été! Faites votre boulot honnêtement.»
Durant l'interview, PPDA a expliqué : «Cela m'a énervé cette histoire! Je déteste le mensonge. Je vois bien qu'on essaie de salir. Les chiffres sont les chiffres. Ils sont têtus, je suis désolé: 7,1 millions pour Ferrari jeudi dernier, 9,4 millions pour moi à la même période! Vous pouvez inventer ce que vous voulez!
Mais Thomas Hugues a persisté à soutenir un peu trop lourdement le score de son ex femme (on se demande pourquoi il la défend ...?) a de nouveau évoqué la baisse d'audience de juin pour expliquer le licenciement de PPDA. Ce dernier a refusé courtoisement d'entrer une nouvelle fois en polémique et a proposé une solution : «Si vous le voulez bien, on se revoit en juin prochain et on vérifie une nouvelle fois les chiffres.»
Vingt et un ans au même poste, ça fait des jalouses et des jaloux, après avoir assommé la bête faut-il encore s'acharner à l'achever pour protéger Laurence Ferrari de comparaisons à son désavantage ?
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