En attendant la VIDEO du discours de NICOLAS SARKOZY je vous invite à prendre connaissance de son intervention de ce jeudi au siège l'Organisation Internationale de la Francophonie.
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Sarkozy justifie en creux la fermeté de la France face à la Libye
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Publié le 18.03.2011, 13h45
Nicolas Sarkozy a justifié vendredi par allusion la fermeté de la France face à la Libye en regrettant que la "stabilité" et "l'immobilité" de la communauté internationale aient trop souvent "condamné des peuples" à "l'injustice" ou au "non-respect des droits de l'Homme".
Nicolas Sarkozy a justifié vendredi par allusion la fermeté de la France face à la Libye en regrettant que la "stabilité" et "l'immobilité" de la communauté internationale aient trop souvent "condamné des peuples" à "l'injustice" ou au "non-respect des droits de l'Homme".
"La stabilité était le maître mot de toute action diplomatique il y a quelques années (...) mais, au nom de la stabilité, est-ce qu'on n'a pas condamné des peuples, en Europe, au Moyen-Orient, ailleurs dans le monde, à l'injustice, au non-respect des droits de l'Homme, simplement parce que la stabilité tranquillisait ceux qui en bénéficiaient ?", a-t-il demandé.
"Ne devons-nous pas, nous aussi, revisiter notre vocabulaire diplomatique ? La stabilité, ça va quand on est du bon côté du mur. Mais quand on est du mauvais côté du mur ?", a insisté le chef de l'Etat.
"Donc, toutes ces crises, je les vis plutôt comme une espérance, la nécessité de revoir nos concepts, de revisiter nos traditions, d'apporter de nouvelles idées", a conclu M. Sarkozy.
Aiguillonné par la France et la Grande-Bretagne, le Conseil de sécurité de l'Onu a donné jeudi son feu vert au recours à la force contre le régime libyen, ouvrant la voie à des frappes aériennes qui devraient, selon le porte-parole du gouvernement François Baroin, intervenir "rapidement".
Dans son discours à l'OIF, le chef de l'Etat a indiqué qu'il aurait "l'occasion dans les heures qui viennent de dire un certain nombre de choses" sur la situation en Libye, sans en préciser la forme.
Evoquant, sans citer la Libye, les "crises" qui se succèdent, notamment dans le monde arabe, lors de l'inauguration du nouveau siège de l'Organisation internationale de la francophonie (OIF) à Paris, Monsieur
Sarkozy a estimé que "le silence, l'immobilité (...) ça prépare de grands dangers".
"La stabilité était le maître mot de toute action diplomatique il y a quelques années (...) mais, au nom de la stabilité, est-ce qu'on n'a pas condamné des peuples, en Europe, au Moyen-Orient, ailleurs dans le monde, à l'injustice, au non-respect des droits de l'Homme, simplement parce que la stabilité tranquillisait ceux qui en bénéficiaient ?", a-t-il demandé.
"Ne devons-nous pas, nous aussi, revisiter notre vocabulaire diplomatique ? La stabilité, ça va quand on est du bon côté du mur. Mais quand on est du mauvais côté du mur ?", a insisté le chef de l'Etat.
"Donc, toutes ces crises, je les vis plutôt comme une espérance, la nécessité de revoir nos concepts, de revisiter nos traditions, d'apporter de nouvelles idées", a conclu M. Sarkozy.
Aiguillonné par la France et la Grande-Bretagne, le Conseil de sécurité de l'Onu a donné jeudi son feu vert au recours à la force contre le régime libyen, ouvrant la voie à des frappes aériennes qui devraient, selon le porte-parole du gouvernement François Baroin, intervenir "rapidement".
Dans son discours à l'OIF, le chef de l'Etat a indiqué qu'il aurait "l'occasion dans les heures qui viennent de dire un certain nombre de choses" sur la situation en Libye, sans en préciser la forme.
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