Monsieur le Président à tenu le crachoir et fait son numéro de communication à la limite de l'ironie .... en présentant ses vœux à la Presse, comme il avait prévu de dispenser les journalistes de poser des questions à la fin de son intervention il s'en est tiré sans dommages ......
Un monologue de 25 minutes au terme duquel il ne s'est pas prêté aux questions des 600 journalistes présents, un discours alternant compliments et coups de griffe. La cérémonie des vœux de Nicolas Sarkozy à la presse s'est transformée en opération de communication ou l’ironie, les sarcasmes, et les coups de griffes alternaient avec de faux compliments.
C’est ainsi qu’au cours de son intervention , entre autres gracieusetés, le Président a mis en accusation leur travail en visant leurs commentaires trop élogieux, selon lui, sur François Hollande : "je vois bien vos tentatives pour me remplacer, pour essayer autre chose, pour espérer qu'ailleurs l'herbe est toujours plus verte !, avant d’ajouter "Imaginez, l'ennui d'un monde où la presse ne se tromperait pas", allusion au statut de favori du candidat socialiste. Toujours imbu de sa personnalité le Président a conclu son discours par un avertissement : "j'essaierai de déjouer vos pronostics".
Bref de l’avis général, le président de la république se l’est joué surtout comme candidat à l'élection présidentielle, il a voulu donner l'image d'un homme déterminé : "vous me trouviez déprimé. Je suis donc l'homme qui se remet le plus vite de sa dépression", a déclaré le chef de l'Etat, ajoutant : "soyez patients". …. Enfin dans son discours les mots du vocabulaire actuel de propagande des ministres et de la majorité présidentielle, sont revenus plusieurs fois, notamment le mot force …….
Si un journaliste avaient eu "ses attributs " bien accrochés il aurait eu l’audace de décrocher et de quitter la salle dès les premiers mots, mais voilà on a l’impression qu’ils sont tous restés comme des blocs de béton pétrifiés sans réactions sur leur siège, c’est ainsi qu’ils ont enduré pendant 25 minutes de se faire enguirlander, faussement complimentés, avant d’aller avaler le champagne et les petits fours
Nous ne savons pas si les 600 journalistes présents se sont consolés avec le champagne et les petits fours qui leur ont été offerts (aux frais de la République) dans la salle des fêtes de l’Elysée ou ci certains d’entre eux les ont avalés de travers, vous pensez bien qu’ils ne viendront pas nous le dire pour ne pas perdre encore plus la figure.
Un monologue de 25 minutes au terme duquel il ne s'est pas prêté aux questions des 600 journalistes présents, un discours alternant compliments et coups de griffe. La cérémonie des vœux de Nicolas Sarkozy à la presse s'est transformée en opération de communication ou l’ironie, les sarcasmes, et les coups de griffes alternaient avec de faux compliments.
C’est ainsi qu’au cours de son intervention , entre autres gracieusetés, le Président a mis en accusation leur travail en visant leurs commentaires trop élogieux, selon lui, sur François Hollande : "je vois bien vos tentatives pour me remplacer, pour essayer autre chose, pour espérer qu'ailleurs l'herbe est toujours plus verte !, avant d’ajouter "Imaginez, l'ennui d'un monde où la presse ne se tromperait pas", allusion au statut de favori du candidat socialiste. Toujours imbu de sa personnalité le Président a conclu son discours par un avertissement : "j'essaierai de déjouer vos pronostics".
Bref de l’avis général, le président de la république se l’est joué surtout comme candidat à l'élection présidentielle, il a voulu donner l'image d'un homme déterminé : "vous me trouviez déprimé. Je suis donc l'homme qui se remet le plus vite de sa dépression", a déclaré le chef de l'Etat, ajoutant : "soyez patients". …. Enfin dans son discours les mots du vocabulaire actuel de propagande des ministres et de la majorité présidentielle, sont revenus plusieurs fois, notamment le mot force …….
Si un journaliste avaient eu "ses attributs " bien accrochés il aurait eu l’audace de décrocher et de quitter la salle dès les premiers mots, mais voilà on a l’impression qu’ils sont tous restés comme des blocs de béton pétrifiés sans réactions sur leur siège, c’est ainsi qu’ils ont enduré pendant 25 minutes de se faire enguirlander, faussement complimentés, avant d’aller avaler le champagne et les petits fours
Nous ne savons pas si les 600 journalistes présents se sont consolés avec le champagne et les petits fours qui leur ont été offerts (aux frais de la République) dans la salle des fêtes de l’Elysée ou ci certains d’entre eux les ont avalés de travers, vous pensez bien qu’ils ne viendront pas nous le dire pour ne pas perdre encore plus la figure.
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