Nous avions terminé notre éditorial hier alors que le candidat Sarkozy visitait le Centre ville d’Annecy à la rencontre de ses habitants et commerçants et s’apprêtait à aller déjeuner avec des édiles régionaux.
Après ce déjeuner vers 16 heures la Fromagerie Chabert , Pme locale, près d’Annecy s’apprêtait à le recevoir , des journalistes l’attendaient depuis plus d’une heure et avaient pris la précaution de protéger leurs cheveux d’une charlotte et leurs épaules d’une blouse en plastique pour se protéger des odeurs de lait chaud, quelques dizaines de militants se trouvaient en attente pour applaudir le candidat à son arrivée , mais aussi quelques syndicalistes CGT qui n’étalent pas là pour plaisanter.
Vers16 heures 20 la voiture du candidat arrive devant la Fromagerie Chabert, Nicolas Sarkozy, accompagné de Bernard Accoyer se dirige très rapidement vers les militants, tous deux ignorent ostensiblement les refrains sur l’emploi et le partage des richesses que chantent les cégétistes, pour se diriger très rapidement vers les militants qui les attendaient et ensuite s’engouffrer sans trop tarder dans la Fromagerie.
Les médias rapportent au sujet des militants quelques anecdotes, notamment l’un d’entre eux s’étonne ravi …… "Tu as vu ? Il m'a reconnu, il m'a demandé comment ça allait !", d’autresau contraire « râlent » en voyant le candidat entrer rapidement dans la fromagerie "Il est venu voir le peuple ou les journalistes ?" "J'ai même pas pu lui serrer la main ! .., "proteste l’un d’entre eux.
Certains sympathisants sont un peu déçus, en effet certains s’imaginaient que Nicolas Sarkozy aurait pris la précaution de porter une charlotte pour visiter la Fromagerie, …….« mais c’est parce qu’il a les cheveux courts ! », a expliqué une dame encore émoustillée d’avoir pu serrer la main du chef de l’Etat, d’après les médias qui en rajoutent en écrivant que c’était certainement pour éviter « la photo qui tue … »
La visite dans la Fromagerie Chabert s’éternise, à 17 h 20 elle n’est pas encore terminée, mais vers 17 h 30 le service de presse de Nicolas Sarkozy fait repartir les journalistes au pas de course en direction centre-ville d'Annecy pour le meeting qui se prépare.
Avant de repartir peu après, Nicolas Sarkozy fait un passage par la Boutique de la Fromagerie….
L’heure du premier meeting de campagne présidentielle approche pour le candidat Nicolas Sarkozy, attendu déjà dans la Salle Arcadium par les militants et sympathisants dont ceux de la région Rhone-Alpes qui sont venus se joindre aux Annecois
A la Salle Arcadium depuis 17 h 30 l’ambiance populaire est au rendez vous, musique d’ambiance, l’assistance agite des drapeaux, pour ce premier meeting, les militants redécouvrent ensemble les affiches et l'hymne de la campagne de Nicolas Sarkozy, pour l'affiche à l'effigie du chef de l'État ornée de son slogan de campagne "Une France forte !", elle avait déjà été dévoilée dans la matinée, certains commentateurs ont fait remarquer précédemment que ce slogan est directement inspiré du slogan du candidat Valéry Giscard d'Estaing en 1981, "Il faut une France forte".
A 18 heures les journalistes arrivent à l’Arcadium, dans une salle de presse déjà pleine où ils ont peine à trouver des places assises ;
Dans les coulisses certains observateurs évaluent l’assistance à 2000 personnes, mais sur Twitter les militants, qui couvent l’évènement, se félicitent à 18 heures 15 de plus de 4000 personnes présentes à l’Arcadium pour Nicolas Sarkozy.
En attendant l’arrivée de Nicolas Sarkozy la salle est déjà chaude, l'ambiance est soutenus par coup de "Marseillaise", entrecoupé de "Sarko, président !" "Nicolas ! Nicolas !"
Alors que quelques dizaines de personnes attendent encore à l'entrée de l'Arcadium., mais elles ne pourront entrer faute de place ….l e député Tardy, qui a participé à l'organisation se félicite au milieu de la foule de la réussite de la journée. "C'était top ! On a même dû faire retirer les chaises pour faire entrer du monde..."
On annonce comme imminente l’arrivée du président... Bernard Accoyer monte au pupitre pour encore « surchauffer » l’assistance avant l'arrivée du candidat Sarkozy …
Vous retrouverez ci-dessous en vidéo, en fin d’éditorial, l’intégralité du meeting et des interventions de Bernard Accoyer et Nicolas Sarkozy.
Mais nous ne résistons pas à reproduire ci-dessous l’intervention de Bernard Accoyer, tant elle s’apparente à une ode plébiscitaire à l’égard du candidat qu’il pare avec une grande exagération de toutes les qualités les plus valorisantes … courage, générosité, solidarité :
Intervention de Bernard Accoyer :
Il n’est pas loin, et je m’adresse à lui, Monsieur le Président de la République, Cher Nicolas la Haute Savoie est fière, fière de vous accueillir, fière que vous soyez avec zr cette fierté avec … cette fierté nous la partageons avec ceux de Rhône-Alpes qui sont venus ici avec nous.
Elus et citoyens, si nombreux ici pour vous soutenir comme vous l’avez été tout au cours de la journée, nous sommes fiers et nous vous remercions d’avoir choisi notre Département pour cette première rencontre avec les françaises et les français, alors que vous entrez en campagne.
Cette Haute Savoir vous la connaissez bien, elle partage avec vous les valeurs de que portez, la France … la France est née de ces valeurs, elles ont forgées notre pays, le travail, la responsabilité, la famille, la solidarité…Sur ces valeurs nous voulons construire avec vous notre avenir pour une France Forte ….
Applaudissements et acclamations dans la salle …. ( « La France Forte » est le slogan de campagne de du candidat Sarkozy)
….., Monsieur le Président, à ces valeurs, j’en ajouterais une qui vous caractérise et que personne ne peut contester , une valeur qui en ces temps de crise est précieuse pour notre pays, cette valeur c’est le courage , et c’est avec ce courage qu’en 5 ans , malgré une crise mondiale majeure , vous avez réformée la France come jamais depuis le début de la Vème République. Oui, vous avez modernisé la France pour protéger les Français, face aux défis de notre temps , la mondialisation, les délocalisations, le chômage , et la sauvegarde, et la sauvegarde de notre modèle social comme de l’environnement,.
Ici dans cette terre d’agriculture, de PME industrielles et de tourisme, ce sont des milliers d’emplois qui ont été créés et sauvés , et que grâce aux mesures courageuses que sont la TVA à 5,5 pour cent … le crédit impôt recherche et la suppression de la Taxe professionnelles, pour ne citer que quelques mesures… enfin, enfin ….il y a une qualité qui vous habite et dont je veux … parler ici, cette qualité c’est votre générosité, j’ai pu en être le témoin en voyant votre émotion devant les injustices de la vie, , le drame du chômage, la détresse des victimes , et de leur familles , et toujours vous ne cessez la meilleure solution pour apaiser les souffrances, pour faire respecter le droit et tout faire, pour que le drame qui vous émeut ne se reproduises pas.
…. Nous voulons saluer ces combats qui sont les vôtres pour défendre notre agriculture, et nos emplois, nos usines et nos filières, nous voulons saluer votre action aux côtés des plus faibles, pour défendre les victimes, libérer les otages, respecter les droits de l’homme, partout dans le monde… Aujourd’hui nous somme à la croisée des chemins, nous voulons, les choix sont simples, poursuive la dynamique engagée en 2007 ou revenir en arrière ?...
Aujourd’hui, mes Chers compatriotes, ……. parce que le Président de la République a su faire face aux pires difficultés, c’est à cette question cruciale, - parce qu’il a protégé des effets de la crise, parce qu’il a engagé la France sur la voie courageuse de la mondialité, parce que chacun connaît la force des convictions de Nicolas Sarkozy…nous répondons oui pour la France oui pour Nicolas Sarkozy …
Le Président apparaît dans la salle sous les applaudissements et les acclamations, Bernard Accoyer a tout juste le temps de descendre de l’estrade, Nicolas Sarkozy gravit l’estrade salue l’assistance en ouvrant les bras, prend place au pupitre …il est 18 h 35 environ quand il commence son premier discours de campagne.
Résumé condensé de sa prestation :
Mes Chers Amis,
"J'ai décidé d'être à nouveau candidat à la présidence de la République...", commence Nicolas Sarkozy, ovationné ….. "J'ai commis des erreurs, mais je me suis toujours efforcé d'être juste." Le public applaudit.
Le candidat poursuit en évoquant le plateau des Glières, haut lieu de la Résistance. C'est là qu'il avait achevé sa campagne le 4 mai 2007. "J'aime vos vallées, j'aime vos montagnes, et quand je viens sur le plateau des Glières, j'ai toujours l'impression de communier avec cette âme de Savoie", affirme-t-il.
18 h 40. Nicolas Sarkozy défend son bilan de Président avec fierté et énumère à son actif ses réformes (voir la vidéo) :
18 h 44. "On ne fait pas son devoir quand on n'a pas le courage d'assumer les responsabilités que les Français nous ont confiées", explique le candidat, qui vante son grand emprunt. En commençant à lancer une première flèche contre l’opposition : ……"Ils n'ont pas voté le grand emprunt, aujourd'hui, ils disent qu'on n'en a pas fait assez. J'ai renoncé à comprendre"... ironise le chef de l'État. "Il fallait faire des dépenses d'investissement, et pour cela faire des économies de fonctionnement. La France a fait face, mais elle n'a pas sacrifié l'avenir", à poursuivi Nicolas Sarkozy.
18 h 50. Le candidat Sarkozy vante sa politique extérieure : la Côte d'Ivoire, la Libye, "la France est respectée dans le monde !" s'exclame-t-il.
18 h 51. Nicolas Sarkozy reprend son carquois et ses flèches cette fois contre l’action des socialistes qui l’ont précédés : "Ceux qui ont voté la retraite à 60 ans ne sont plus là, mais, vous, les Français, continuez à en payer les conséquences. Ceux qui ont mis en route les 35 heures ne sont plus là, mais vous, Français, continuez d'en payer les conséquences."
Il fait très fort en employant le mot même "dilapidation".
18 h 54. Nicolas Sarkozy poursuit sa critique des socialistes, mais tout le monde comprend que celui qu’il vise est François Hollande : : "Quand on se met à la merci des marchés financiers, parce qu'on laisse filer les déficits, on affaiblit la France." "Quand on dit à la presse anglaise qu'on est libéral et quand on vient expliquer aux Français que l'ennemi, c'est la finance, on ment, on ment matin et soir, et ce mensonge n'est pas à l'honneur de celui qui le professe", a-t-il lancé dans une allusion aux propos tenus par François Hollande au Guardian.
18 h 55. Nicolas Sarkozy passe alors à l’amour de la France, à la place du pays dans le monde, aux valeurs... et ressert sur le fond ses thèmes de campagne de 2007 …..quelques peu actualisés.
Certains prétendent que c’est Henri Guaino son conseiller spécial qui a écrit comme en 2007 son discours de ce jour, et on peut penser que sa plume s’est contentée de copier/coller quelque passages en les actualisant au goût du jour… (voir la vidéo)
Nicolas Sarkozy déclare que "la France est un grand pays, les Français sont un grand peuple qui recèle des trésors d'ingéniosité et de courage" …….Puis il poursuit sur la "nation qui est un socle"….. , en dénonçant le communautarisme … "Le pire serait de la laisser éclater en communautés, en tribus, en bandes rivales,….. "Aimer la France comme on aime ses enfants, comme on aime sa famille, ce n'est pas refuser l'Europe, ce n'est pas refuser le monde. Quand on croit à la France, on ne l'imagine pas repliée sur elle-même", conclut-il. Ça, c'est pour le FN... Nicolas Sarkozy poursuit son offensive contre le parti de Marine Le Pen : "Des Français dans les classes moyennes, qui ont le sentiment de ne plus maîtriser leur destin, à la merci d'un bureaucrate ou d'un concurrent qui n'obéit à aucune règle." Il tend la main à ceux qui ont peur : "Je veux rendre la parole à la France qui dit non."
19 h 5. Il est temps de défendre ses récentes idées ……Il défend le recours au référendum, avec des références gaulliennes …. Il rejette les critiques contre cette idée, en affirmant que "les socialistes sont opposés au suffrage universel".
Pour défendre l'organisation de référendums il s’en prend aux "corps intermédiaires", qui font écran : les syndicats, les commentateurs... "Les corps intermédiaires ont un rôle à jouer dans la démocratie à condition qu'ils ne confisquent pas le pouvoir dit-il, et il affirme que "les Français doivent donner leur opinion sur ce système d'indemnisation du chômage et sur la façon dont on doit considérer le travail et l'assistanat."
Au sujet du nucléaire, il a évoqué la situation de la centrale de Fessenheim, que le PS, en vertu d’un accord par Europe Ecologie-Les verts, fermerait en cas de victoire électorale. "Et le peuple, là-dedans? Et les ouvriers de Fessenheim, sur le tapis de la négociation pour quelques postes, pour quelques places, pour quelques prébendes?", s'est exclamé Nicolas Sarkozy, en ironisant sur "cette négociation tellement rafraîchissante" entre les deux partis de gauche.
Sur le plan social de son programme Nicolas Sarkozy insiste encore "Nous croyons à la solidarité, pas à l'assistanat. Je veux un droit nouveau pour les chômeurs : le droit à une formation et à un emploi à l'issue de cette formation, avec l'obligation d'accepter(*). C'est une véritable révolution dans le système d'indemnisation du chômage, et surtout une grande réforme de la formation professionnelle."
(- (*) - Notez bien « avec l’obligation d’accepter » …il n’échappera à aucune personne censée que c’est une expression de dictateur qui pourtant enchante ses sympathisants,( de même que sa déclaration contre les corps intermédiaires) alors que tous les candidats à la présidentielle se sont élevés unanimement contre le référendum sur le droit des chômeurs
L’heure avance il lui reste à aborder l’immigration illégale, Nicolas Sarkozy dénonce ceux qui refusent de débattre de l'immigration illégale, selon lui, c'est "capital, pour éviter que les entrées sur le territoire n'explosent, sinon, c'est tout notre pacte social qui volera en éclats" il confirme sa volonté de confier la lutte contre l'immigration illégale à un seul juge, au lieu de deux aujourd'hui.
19 h 15 la fin approche, il restait à Nicolas Sarkozy à se défendre de toute "droitisation" en se justifiant par le critère de l’intêret général et de son devoir de Président de tous les français : : "Je n'ai jamais eu d'autre critère que celui de l'intérêt général. .... Mon devoir est d'être le président de tous les Français."
Puis pour terminer il repart à l’offensive contre François Hollande, sans le nommer, accusé de faire la différence "entre les bons Français de gauche et les mauvais de droite", ce qui enflamme l’assemblée de contentement …
19 h 16. C’est la fin du discours, tous les militants et sympathisants debout surchauffés crient « Nicolas ! Nicolas ! … » et pour finir chantent à tue-tête La Marseillaise ……
L'Arcadium commence à se vider lentement ……
Les militants contents et satisfaits confient leur satisfaction aux journalistes...
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Que faut-il retenir de ce premier discours ? : des critiques acerbes contre l’opposition « on ment » a-t-il dit en visant frontalement François Hollande sans le nommer, des moqueries contre l’accord l Europe Écologie-Les Verts, des justifications de son bilan et de ses réformes et de ses nouvelles idées référendaires par références gaulliennes, des mots solidarité contre assistanat pour parler de son programme social, des attaques contre les corps intermédiaires, une volonté de contraindre les chômeurs via un référendum, des projets contre l’immigration illégale, une justification assez vague « l’intérêt général » pour démentir une droitisation dont certains l’accuse …
….. Nous n’avons rien appris de nouveau tant dans ses critiques, que dans la défense de son bilan et de ses réformes, tant dans ses justifications que dans ses projets, … puisque pour l’essentiel ils sont dit et redits et répétés dans tous ses discours et pour les nouvelles idées connues depuis quelques jours …
Enfin il faut aussi noter, et ça c’est nouveau, que selon lui c’est bien l’attitude la gauche qui a fini de le convaincre de briguer un second mandat. "Lorsque j'ai compris que tous les efforts que les Français avaient accepté de faire depuis cinq ans risquaient de ne servir à rien si, au lendemain des élections, les postures idéologiques à nouveau triomphaient. Lorsque j'ai compris que dans cette campagne on ne dirait pas la vérité aux Français, j'ai jugé que je n'avais pas le droit de rester les bras croisés, que je ne pouvais pas rester indifférent à ce qui se préparait", a-t-il solennellement martelé.
Le Mercredi 15 Février au soir sur TF1 , annonçait officiellement sa candidature et il expliquait ainsi sa décision en évoquant les crises sans précédent : « Je l’ai prise parce que la situation aujourd’hui de la France, de l’Europe et du monde, qui connaît depuis trois ans une crise absolument sans précédent, je devrais dire une succession de crises sans précédent, fait que ne pas solliciter à nouveau la confiance des Français, ce serait comme un abandon de poste. Est-ce qu’on peut imaginer le capitaine d’un navire dont le bateau serait en pleine tempête dire « eh bien non, je suis fatigué, je renonce, j’arrête » ?
Maintenant il parait que c’est en plus l’attitude la gauche qui a fini de le convaincre de solliciter un second mandat
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A quand la prochaine ?.... La revoyure est fixée à Marseille pour le Dimanche 20 Février, Madame Carla Bruni d’après les rumeurs sera là pour soutenir son mari, c'est logique puisque qu’elle a déclaré récemment " il a tout bien fait " ........." je trouve que ses idées sont fabuleuses ".
Vidéo :
En effet d’ après un article de "20minutes fr" Madame Carla Bruni-Sarkozy a affirmé " Bien sûr, je m’investis. Pas de façon professionnelle mais humaine. J’accompagnerai mon mari quand il aura besoin de moi....."
Plus loin l’épouse du Président s’est exprimée sur l’engagement de son époux : « Je peux vous dire que je me lève tous les matins et me couche tous les soirs avec lui et qu’il y a peu de gens qui ont aussi peu de doutes. Non pas qu’il ne doute pas de lui mais il n’a pas de doutes quant à son engagement.
Enfin pour répondre à une question pour le moins insolite pour ne pas dire indiscrète : Il n’est pas fatigué par les nuits agitées? ….. Madame Carla Bruni-Sarkozy a expliqué : « … Elles le sont parce que j’ai une fille de quatre mois. Lui ne la nourrit pas. Généralement, ce sont les femmes qui s’y collent » .
Après quelques autres questions moins indiscrètes quand on lui demande :
« Regrettez-vous une action entreprise par votre mari au cours des cinq dernières années? … la réponse est nette et franche : Je ne m’y connais pas tellement mais franchement, je trouve qu’il a tout bien fait.
Et ensuite quand on lui demande « Soutenez-vous ces propositions d’organiser des référendums? , Madame Carla Bruni Sarkozy n’est pas embarrassée pour avouer : « Là encore, je ne m’y connais pas. Généralement, je trouve que ses idées sont fabuleuses »
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Nicolas Sarkozy à Annecy : le discours en... par LCP
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