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Discours de Dominique de Villepin au Congrès National
envoyé par clubvillepin. - L'actualité du moment en vidéo.
Aujourd’hui se tenait à Paris le premier « CONSEIL NATIONAL DE RÉPUBLIQUE SOLIDAIRE. »
Son président, l’ex-Premier ministre Dominique de Villepin devant 800 cadres de son mouvement , a développé, lors du discours de clôture, les trois principes républicains : " Indépendance, Responsabilité, solidarité 3 sur lesquels repose son projet politique.
"Nous voulons incarner une alternative crédible", a répété à deux reprises le président de République solidaire (RS) en expliquant vouloir bâtir son projet pour redresser la France autour du thème de "l'indépendance", défini comme un "équilibre entre responsabilité et solidarité".
Une motion résumant ses orientations politiques a été votée à l'unanimité, avant que l’ex-Premier ministre ne lance : "Je vous le dis, nous serons aux avant-postes du combat de 2012", déclenchant l'acclamation des militants.
"Nous serons aux avant-postes parce que nous représentons une force politique nouvelle, pleine d'enthousiasme, et que nous rassemblons, au-delà des partis, beaucoup de Français qui veulent compter, être entendus", a-t-il ensuite ajouté devant la presse.
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"Nous sommes dans un temps nouveau", a repris Dominique de Villepin. "Il y a quelques semaines, il fallait tout faire pour que le gouvernement puisse corriger le cap. Mais le président de la République a choisi de reconduire le Premier ministre et la politique qu'il a menée"…… "Je tire les conséquences de cette nouvelle situation et je veux me concentrer sur ce qu'il y a de plus utile pour les Français : le projet, la vision et l'organisation de notre mouvement"
Appelant les militants de son parti à "l'endurance", Dominique de Villepin en a profité pour railler avec une certaine malice "ces girouettes qui n'ont jamais tourné aussi vite", avant d'ironiser : "Pardonnons-leur, c'est à cause du vent".
Ndlr : Une façon intelligente de se tourner vers l’avenir, en laissant de côtés les vaines polémiques alimentées par ceux qui se disent « encore ses amis » mais ont viré de cap au premier appel pour entrer au gouvernement et qui se permettent de pérorer sur les écrans et derrière les micros , pour lui donner leur avis, qu’il ne leur demandent pas .
Ndlr : Les girouettes se reconnaîtront d’elle –mêmes, si leurs suffisances ne les aveuglent pas.
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Sujet Annexe
Une girouette qui tourne dans le sens du vent a fait encore grincer ses pales comme un disque rayé sur Europe 1 le 3 novembre, veille du Congrès,
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Vous l’aurez reconnu, il s’agit une fois de trop en rupture de sa feuille de route de l’intarissable Georges Tron, secrétaire d'Etat chargé de la Fonction publique, qui a appelé Dominique de Villepin, par micro interposé « dont il est proche » selon lui, à s'exprimer de façon "mesurée, maîtrisée" samedi lors du premier conseil national de son mouvement République solidaire.
Ndlr : que ne s’adresse-t-il pas au Président Sarkozy qui lui déborde constamment dans la démesure dans ses interventions !
"Je lui dis, avec toute l'amitié que je lui porte : Dominique il faut que samedi ton message soit audible, mesuré, maîtrisé", a déclaré Georges Tron, en s’improvisant donneur de leçons, abrité derrière le micro d'Europe 1, …. "On peut toujours accepter que la critique soit émise mais, surtout, qu'il n'y ait pas de mots blessants qui coupent quelqu'un comme lui de notre électorat au sens large" …… "Je crois qu'il peut le comprendre et corriger le tir", a-t-il ajouté à l'adresse de l'ancien Premier ministre, toujours adhérent à l'UMP mais en opposition avec la politique du président Nicolas Sarkozy.
Mais qui serait Georges Tron sans s’être accroché, un moment, aux basques de Dominique de Ville pin ? ….
Actuellement il est ce qu’il est, un Secrétaire d’Etat en CDD, au service d’un Président qui en usera tant qu'il lui plaira , selon son bon plaisir, pour critiquer, censurer ou donner des leçons aux uns et aux autres.
Georges Tron en récitant sa leçon comme un perroquet oublie que personne n'a à dicter sa conduite à qui que ce soit surtout au niveau de sa pensée politique.
Au lieu de passer son temps derrière les micros et sur les écrans, Monsieur Georges Tron devrait s’employer à aider le Président Sarkozy à se refaire une santé politique, la cote de confiance de Nicolas Sarkozy, selon le dernier sondage de TNS-Sofres est à son plus bas niveau en n'obtenant que 24% début décembre contre 26% pour le mois précédent. Le taux des personnes n'ayant aucune confiance à Nicolas Sarkozy est de 71% si 5% sont sans opinion.
Et s’il lui reste du temps Georges Tron devrait pendre des leçons de démocratie, ça lui ferait le plus grand bien de sortir de son rôle de perroquet.
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