Monsieur François Hollande a propose de taxer les salaires au-dessus de 1.OOO.OOO d'euros d'un taux d'imposition de 75 %.
Naturellement avec leur mentalité de requin les UMP et la droite lui ont crié dessus en le traitant d'irresponsable, et sans le nommer Nicolas Sarkozy l'a taxé de cynisme et traité de tartuffe dans un de ses discours. Et plus encore d'une même voix ils attisent des peurs économiques et sociales en affirmant que ces salariés de hauts niveaux quitteraient la France , n'investiraient plus en France dans les affaires, ne créeraient plus d'entreprises, d'où perte de croissance et accroissement du chômage, en insistant sur l'injustice d'une telle menace fiscale, que l'une des haute responsables de la campagne du candidat de l'UMP, a même qualifié de "spoliation" ...
Monsieur Hollande s'est expliqué sur le sujet en insistant sur l'effet de moralisation que représenterait une telle disposition fiscale. et nous le suivons sur ce terrain.
Mais comme il est candidat naturellement il mesure ses paroles pour ne pas prêter à polémique.
Par contre moi simple citoyenne non encartée politiquement, j'ai ma liberté de parole, j'en profite et je dis à ces personnes qui se payent un très gros salaires sur le dos du travail de leurs salariés et qui se sentent visés par la proposition de François Hollande, je leur dit carrément de faire leur valise, qu'ils partent ces mauvais contribuables , on s'en passera, çà laissera la place libre à ceux qui ont l'intention de payer leur impôts en travaillant avec des salaires corrects pour eux et leurs salariés et en restant en France. .
Nous n'avons pas besoins ici de profiteurs qui s'enrichissent en s'octroyant des salaires excessifs tirés du travail de leurs salariés sous-payés et de spéculation fictives en Bourse, et qui en plus bénéficient de cadeaux fiscaux qui leur ont été accordés jusqu'à présent par le système en place.
Encore mieux si j'étais Présidente de la République je prendrais des mesures légales pour les déchoir de leur droits civiques avec interdiction de revenir en France. On leur ouvrirait la porte et on la claquerait définitivement sur le dos. Allez oust...
Qu'on se le dise et qu'ils l'entendent bien , nous n'avons pas besoin d'eux et si on pouvait leur mettre un bon coup de pied au cul pour les faire partir plus vite, on le ferait avec plaisir.
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