L’EPAD : Kesako ? ou Qu’est-ce que l’EPAD
Avant d’entrer dans la polémique politique qui vise la prochaine nomination de Jean Sarkozy à la Présidence de son conseil d’administration, il est nécessaire de répondre à la question : L’EPAD : Kesako ? … Qu’est-ce que l’EPAD
Une réponse sommaire en quelques extraits puisés dans Wikipédia s’impose
Source Wikipédia :
Extraits :
« L'Établissement public pour l'aménagement de la région de
À partir du 1er janvier 2010, l'EPAD devrait être officiellement fusionné avec l'Établissement public d'aménagement Seine-Arche (EPASA), dont les compétences concernent le territoire situé à l'ouest de
…..
« En octobre 2009, les médias annoncent que Jean Sarkozy, fils du président de
La candidature de Jean Sarkozy à la présidence de l'EPAD déclenche alors une importante polémique. La presse française et internationale (The Guardian, The Times, Corriere della Sera, New York Post, The Australian,
Une partie de la majorité et l'opposition expriment leur crainte sur le peu de légitimité (absence de diplôme post-baccalauréat et faible expérience) du candidat, et dénoncent une intervention supposée du président de
……
Les présidents de ce conseil d'administration ont été :
* 1959 : Pierre Josse
* 1959 : Georges Hutin
* 1969 : Jean Millier
* 1972 : Jean Millier
* 1975 : Jean Millier
* 1978 : Pierre Consigny
* 1982 : Joseph Belmont
* 1988 : Charles Ceccaldi-Raynaud
* 1989 : Charles Ceccaldi-Raynaud
* 1989 : Pierre Mayet
* 1991 : Pierre Mayet
* 1993 : Charles Ceccaldi-Raynaud
* 1996 : Charles Ceccaldi-Raynaud
* 1998 : André Barilari
* 2000 : André Barilari
* 2003 : André Barilari
* 2005 : Nicolas Sarkozy
* 2006 : Jacques Gautier
* 2007 : Patrick Devedjian
Directeur général :
Le directeur général de l'EPAD, commun à celui de l'EPASA, est Philippe Chaix depuis octobre 2008
(fin des extraits Wikipédia)
ooOoo
Une deuxième question s’il en est besoin se pose: Qui est Jean Sarkozy ?
Jean Sarkozy est le fils de notre Président de
Il nait né le 1er septembre 1986 à Neuilly-sur-Seine, Membre de l'Union pour un mouvement populaire, il est conseiller général des Hauts-de-Seine pour le canton de Neuilly-sur-Seine-Sud depuis le 16 mars 2008, et dirigeant du groupe UMP-Nouveau Centre-divers droite du conseil général, depuis le 16 juin 2008.
En 1996, il entre au collège Notre-Dame de Sainte-Croix puis en 2001 au lycée Pasteur de Neuilly. En 2004, il intègre une classe préparatoire (hypokhâgne) au lycée Henri IV (Paris 5e). En 2006, Jean Sarkozy s'inscrit à l'université Paris 1 pour suivre des études de Droit Il continue actuellement ses études de droit en vue d'obtenir sa licence.
Jean Sarkozy a suivi des cours de comédie de Jean-Laurent Cochet. Il est pressenti pour jouer Oscar sous la direction de Philippe Hersen et aux côtés de la fille de Bernard Tapie, avant d'y renoncer.
Le 10 septembre 2008, il épouse Jessica Sebaoun-Darty, à Neuilly-sur-Seine le 10 septembre et le jeune couple attend la naissance prochaine d’un bébé (un garçon).
Tout en poursuivant ses études universitaires, Jean Sarkozy surgit dans la politique locale de Neuilly-sur-Seine pendant la campagne des élections municipales de mars 2008 pour soutenir la candidature de David Martinon (alors porte parole de l’Elysée) face à Jean Christophe Fromantin,(divers droite) mais David Martinon chute dans les sondages et alors Jean Sarkozy et les deux principaux colistiers de David Martinon sont amenés à réviser positionnement et décide de le « lâcher ». David Martinon retire sa candidature et affecté sa démission de son poste de porte-parole de l'Élysée, mais cette démission est refusée.
Pour conclure, La liste du candidat divers droite Jean-Christophe Fromantin, ne comprenant pas Jean Sarkozy, reçoit alors le soutien de l'UMP. Cette dernière liste obtient la majorité des voix à l'élection.
Jean Sarkozy est élu lors des élections cantonales des 9 et 16 mars 2008 à Neuilly-sud (Hauts-de-Seine)Jean Sarkozy est élu Conseiller et devient à l’époque le plus jeune conseiller général de France, sur sa lancée politique ascensionnelle , Jean Sarkozy est élu le 16 Juin 2008 président du groupe UMP-Nouveau Centre-divers droite du conseil général des Hauts-de-Seine alors que les tractations à la présidence du groupe UMP étaient bien avancées au profit d'Hervé Marseille, conseiller général et maire Nouveau Centre de Meudon, soutenu par le président du conseil général des Hauts-de-Seine Patrick Devedjian.
En octobre 2009, les médias que Jean Sarkozy pourrait accéder à la présidence de l'Établissement public pour l'aménagement de la région de
Hervé Marseille (Nouveau Centre) (encore lui), un des administrateurs de l’EPAD, aurait remis sa démission afin de permettre l'arrivée de Jean Sarkozy à l'EPAD La désignation du président aura lieu le 4 décembre.
ooOoo
Les grandes lignes de la polémique :
S’ensuit à l’annonce de cette future Présidence une polémique politique largement médiatisée qui atteint de degré en degré tout les niveaux de l’Etat
L’opposition regrette que les choix se tournent vers un « si jeune homme « sans aucune compétence particulière », pour « devenir le président d'un établissement public avec un (tel) budget ». Elle dénonce la « concentration du pouvoir dans les mains d'un clan »
Les critiques rejoignent celles de Patrick Jarry, maire de Nanterre, et de Jean-Paul Huchon, président de la région
.
Le quotidien Libération parle de « népotisme »
Une pétition lancée en ligne contre cette nomination par un conseiller municipal de Puteaux Christophe Grébert (Mouvement Démocrate a reçu plus de 57 000 signatures en moins de cinq jours. La polémique gonfle et agite les politiques, la blogosphère et les réseaux sociaux
Le Gouvernement et des personnalités de la majorité se serrent les coudes et se relaient pour défendre Jean Sarkozy, comme François Fillon ou Jean-François Copé, d’après eux Jean Sarkozy tire sa légitimité de son élection au conseil général.
Pour Luc Chatel et Henri Guaino, sa filiation avec le président de
ooOoo
Depuis la rentrée nous assistons au passage d’un train de polémiques composé d’une suite de wagons, chacun chargé de dynamite.
Ainsi des polémiques politiques se succèdent à un rythme accéléré sur le devant de la scène et mettent mal à l’aise le Pouvoir et son clan rapproché composé des « purs et durs » qui font front comme de beaux diables et sont obligé d’utiliser tous les moyens médiatiques dont ils disposent pour contrer les salves d’artillerie de l’opposition , comme ils le font quand l’ un des leurs, faisant partie de l’appareil d’état ou élu UMP et apparentés, se trouve placé en position critiquable sur la sellette de l’opinion publique.
La polémique s’enflamme de tous côtés, la polémique est dans tous les médias, Jean Sarkozy envahit aussi la vie politique et médiatique... les pour et les contre, on peut observer que le « web se marre », que la blogosphère se déchaînent, que les Twitto-nautes réagissent à la possible nomination de » Sarkozy junior » à la tête de l'Epad, et dès lundi Jean Sarkozy occupait la 2e et 3e place des sujets les plus évoqués, derrière... Nicolas Sarkozy.
. Jean Christophe Grébert, blogueur et conseilleur municipal MoDem à Puteaux, commune qui héberge une partie du site de
On connaît la suite, tout est occulté par cette polémique !
L’Exaspération du PS :
L'arrivée prochaine du fils du chef de l'Etat à la tête de l’EPAD déclenche l'exaspération des ténors et des sopranos du Parti socialiste qui donnent de la voix pour dénoncer cette candidature, le PS s'élève unanimement :"Népotisme", "privilège de naissance", "confusion des genres"…et la fronde s’élève pour lui barrer la route.
L’avis de Ségolène :
Si Jean Sarkozy "ne portait pas le nom qu'il porte, est-ce qu'il serait à la place à laquelle il est aujourd'hui ?" questionne Ségolène Royal lors du Grand Jury RTL/Le Figaro/LCI.
"Est-ce que nous sommes en République ?
"C'est beaucoup, beaucoup, pour un aussi jeune homme, mais peut-être fera-t-il ses preuves comme son papa en attend de lui ?", a-t-elle ironisé avant d’ajouter : que Nicolas Sarkozy "prenne conscience de l'intérêt général du pays au lieu de s'occuper de placer son fils".
L’avis de Laurent Fabius :
"Un très bon juriste"
Sur France Inter, Laurent Fabius a commenté l'arrivée annoncée du fils du chef de l'Etat à la tête l’EPAD. "De qui a-t-on besoin" pour diriger le quartier d'affaires francilien, s'est interrogé Laurent Fabius. "On a besoin de quelqu'un qui soit un très bon juriste. Or M. Sarkozy est en deuxième année de droit, c'est déjà un élément très, très fort".
"On a besoin de quelqu'un qui connaisse bien les affaires, c'est … un grand quartier d'affaires, je pense qu'il peut y avoir quelques prédispositions", a-t-il ironisé
"Je n'oublie pas non plus que la semaine dernière, M. Hirsch a présenté un plan pour la promotion des jeunes et je suis sûr que c'est dans ce cadre que sa nomination est faite", a poursuivi Laurent Fabius."Je trouve que la critique est assez injuste", a-t-il renchéri, avant de s'inquiéter de l'avenir des autres enfants de Nicolas Sarkozy: "que vont-ils faire?".
L’avis de François Hollande :
Pour François Hollande a estimé lundi sur LCI que les "nominations impartiales" étaient le meilleur moyen d'éviter la "confusion des genres" …."Ce qui devrait être une nomination simple, dans un département compliqué, avec des enjeux financiers lourds, le quartier de
L’avis de Manuel Valls :
Manuel Valls, député PS de l’Essonne, voit sur i-Télé s’est exprimé sur i-Télé :en ces termes : "Je ne doute pas un seul instant que ce garçon ait du talent mais il est le fils du président de
L’Avis d’Arnaud Montebourg :
Sur RMC, le député PS Arnaud Montebourg a dénoncé une "prise de guerre clanique et familiale".
"C'est le privilège de naissance, c'est parce qu'il s'appelle Sarkozy qu'on nommerait un étudiant en droit de 2e année à la tête de l'Epad? Ca n'a aucun sens, c'est la destruction de l'esprit de
"Cette prise de guerre clanique et familiale, ce n'est pas que du népotisme, c'est la destruction par les pratiques du pouvoir de l'esprit républicain et de
"Il n'y a plus aucune limite, on peut tout se permettre, il n'y a plus de principes ni de règles", a-t-il déclaré. Il n'a pas exclu que cette nomination puisse servir les intérêts du chef de l'Etat en vue de la prochaine élection présidentielle. "L'immobilier de la région parisienne c'est de l'or noir, il y a de l'argent derrière, il y a des intérêts derrière", a-t-il dit.
Le PS n’est pas isolé dans ses critiques :
L’avis de François Bayrou :
François Bayrou, comparant dans une interwiev au Monde la « France de Nicolas Sarkozy à l’Empire Romain » en a profité pour dénoncer cette nomination.
L’avis de Marine Le Pen :
La vice-présidente du Front national, Marine Le Pen, a évoqué "une République bananière".
Pendant ce temps, le Gouvernent et la droite UMP et apparentés organisent en rangs serrés la résistance. L’UMP défend « la légitimité » politique du fils du Président, « conseiller général » face aux vagues de protestations dans l'opposition où des voix sont allés jusqu’à dénoncer un excès de pouvoir du président Sarkozy.( Même si un ministre du gouvernement a confié à l'AFP, sous couvert de l'anonymat, que "le népotisme, ce n'était pas nouveau").
Xavier Bertrand : Pour le secrétaire général de l'UMP, Xavier Bertrand, Jean Sarkozy tient sa "légitimité" de son élection au conseil général des Hauts-de-Seine.
Frédéric Lefebvre a manifesté son incompréhension, en faisant un parallèle avec Martine Aubry, fille de Jacques Delors qui est également une militante politique comme ce dernier… et avec Guillaume Depardieu, qui a fait du cinéma comme son père sans que cela ne lui soit reproché. Le porte-parole de l'UMP, Frédéric Lefebvre, fait état de deux autres légitimités: "la majorité au Conseil général a choisi de le prendre comme président de groupe et cette majorité a considéré qu'il était le meilleur candidat (pour prendre la tête de l'Epad)
"Ce n'est pas parce qu'il est le fils du président qu'il est là, c'est parce qu'il a le talent pour le faire", a estimé le député-maire de Levallois Patrick Balkany.
Pour Monsieur Besson: "Hollande a autant de chances de devenir président de
Dominique Paillé, porte-parole de l'UMP, a déclaré "Je ne voudrais pas, que le fait de s'appeler Sarkozy, soit dans ce pays, un handicap et un boulet à trainer."
"Certes Jean Sarkozy est jeune, certes, il y a peu d'expérience, mais le peu qu'il a va lui servir, et, par ailleurs, sa volonté et sa clairvoyance sont des atouts suffisants pour faire qu'il fasse un excellent président."
"Le symbole qui est actuellement en train d'être donné est un symbole fort à destination de la jeunesse. C'est à dire qu'il ne faut pas attendre que la génération des soixante-huitards ait claqué la porte, atteinte par la limite d'âge, pour espérer pouvoir, dans ce pays, accéder aux fonctions les plus importantes".
Patrick Balkany" Ce n'est pas parce qu'il est le fils du président qu'il est là, c'est parce qu'il a le talent pour le faire", a soutenu le député-maire de Levallois Patrick Balkany.
Parenthèse :
Cécile Duflot : Faut-il citer aussi les Verts dans le concert des appréciations , : Cécile Duflot qui comme d’habitude flotte entre la neutralité et la critique elle a déclaré : «Dès qu'on sort des limites de l'Hexagone, les gens trouvent ça juste invraisemblable, inouï. Inouï que le fils du président de
Jean Sarkozy, le fils du président, a répondu lui-même, après la levée de boucliers des hommes politiques et des internautes dans le Parisien. : …« Depuis que je me suis lancé en politique, j'ai toujours fait l'objet de critiques. …. Quand on fait ce métier, il faut s'y attendre, s'y préparer. Mais je suis très déterminé, très motivé, et j'observe que c'est surtout la gauche qui tire sur moi. Ce sont des attaques très partiales. On oublie vite, ou on fait mine d'oublier, que j'ai été élu conseiller général du canton de Neuilly-Sud au suffrage universel. Puis élu président de groupe au conseil général des Hauts-de-Seine par mes pairs. Depuis deux ans, je suis sur le terrain, je travaille, j'ai toujours été soutenu par ma majorité. Mais quoi que je dise, quoi que je fasse, je serai critiqué. »
Nicolas Sarkozy : Face à la polémique née de l’arrivée de Jean Sarkozy à l’Epad, Nicolas Sarkozy a dénoncé une presse à charge contre son fils.
En répondant aux questions des journalistes après son discours à l'Elysée sur la réforme des lycées, Nicolas Sarkozy n’a pas mâché ses mots : « Hier, vous étiez passionné par quelle polémique? Celle de Frédéric Mitterrand. Très bien, ça c'est normal, vous suivez les polémiques, parfois vous les précédez et moi je dois suivre les réformes et résoudre les problèmes. Tout ce qui donne en pâture une personne, sans fondement, de façon excessive, ce n'est jamais bien. » (L’Express).
(Une certaine façon (mais pas très sure …. l’avenir le dira) de relativiser les deux polémiques qui secouent ces derniers jours le monde politico-médiatique
Nicolas Sarkozy dénonce aussi une polémique « sans fondement »
L’Express rappelle, que Jean Sarkozy (23 ans) n’a toujours pas terminé sa deuxième année de droit.
Patrick Devedjian, a déclaré que le chef de l'Etat a plaidé pour qu'on ne fasse pas "une histoire" de la nomination de Jean Sarkozy à la tête de l’EPAD.
ooOoo
Dans la précédente Séance des questions au Gouvernement les socialistes se sont ouvertement prononcées contre cette nomination et la séance a été particulièrement houleuse au moment de la réponse du représentant du Gouvernement.
Des membres de l’UMP eux-mêmes se sont prononcés timidement contre cette nomination, et les députés UMP n’ont osé le faire qu’en coulisse discrètement en dehors des séances de l’Assemblée nationale
La polémique et la désapprobation se sont étendue à l’étranger où les journaux étrangers publient des articles tournant en dérision et parfois avec une certaine moquerie ce qu’ils considèrent comme une dérive de l’exercice du pouvoir français vers une pratique bananière.
La presse nationale n’est pas en reste, on peut lire des appréciations peu flatteuses « Jean Sarkozy, un fiston à piston » ou encore Le fils du prince aura désormais sa baronnie. Un fief qui en fera bientôt l'un des plus puissants jeunes hommes de France. » «L'hyperprésident nous a refilé le superfiston», ironise un conseiller général UMP, inquiet de voir «le conseil général se transformer en chambre d'enregistrement..
ooOoo
Pour terminer avec sérieux penchons nous sur le rôle du Chef de l’Etat Français tel que défini par
Extrait : ……….
« Titre II - Le Président de
Art. 5. - Le Président de
Il est le garant de l'indépendance nationale, de l'intégrité du territoire et du respect des traités.
Art. 6. - Le Président de
Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs. »
Fin de l’extrait
ooOoo
A vous de juger si le Président de
Pour moi je pense que ses collègues UMP et apparentés du Conseil Général ont ouvert à Jean Sarkozy légalement, à maintes occasions, une voie royale pour légitimer son ascension, d’abord parce que ça leur convient de régner à travers lui sur le Département des Hauts de Seine qu’ils considèrent comme «leur « fief » et sur l’EPAD, et tout autant parce qu’il est le fils du Président de
La polémique sur Jean Sarkozy ne désenfle pas
La polémique sur Jean Sarkozy s'étend à l'Elysée, qui n'entend pas ...
J. Sarkozy: La droite s'énerve
Le "Buzzomètre politique" du 14 octobre
Poupées de cire, par Robert Solé
François Fillon : «Jean Sarkozy a été élu»
Parisot : la candidature de Jean Sarkozy est "formidable"
Isabelle Balkany : "Jean Sarkozy est le meilleur d'entre nous"
Sarkozy : les sujets de sa tourmente
Les attaques ne tarissent pas contre le cas Jean Sarkozy
La polémique sur Jean Sarkozy ne désenfle pas
La polémique sur Jean Sarkozy s'étend à l'Elysée, qui n'entend pas ...
J. Sarkozy: La droite s'énerve
Le "Buzzomètre politique" du 14 octobre
Poupées de cire, par Robert Solé
François Fillon : «Jean Sarkozy a été élu»
Parisot : la candidature de Jean Sarkozy est "formidable"
Isabelle Balkany : "Jean Sarkozy est le meilleur d'entre nous"
Sarkozy : les sujets de sa tourmente
Les attaques ne tarissent pas contre le cas Jean Sarkozy
La polémique sur Jean Sarkozy ne désenfle pas
La polémique sur Jean Sarkozy s'étend à l'Elysée, qui n'entend pas ...
J. Sarkozy: La droite s'énerve
Le "Buzzomètre politique" du 14 octobre
Poupées de cire, par Robert Solé
François Fillon : «Jean Sarkozy a été élu»
Parisot : la candidature de Jean Sarkozy est "formidable"
Isabelle Balkany : "Jean Sarkozy est le meilleur d'entre nous"
Sarkozy : les sujets de sa tourmente
Les attaques ne tarissent pas contre le cas Jean Sarkozy
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire