Madame Najat Vallaud Belkacem ce matin à l'issue du Conseil des Ministre, s'est livrée à un long exposé sur la crise Syrienne, au cours duquel nous avons pu entendre que "l’évolution
de la position Russe marque une victoire de la Diplomatie Française et doit
être mise au crédit de la détermination démontrée par la France et ses partenaires
à cette occasion, en poursuivant : « Le Président de République s’est arrêté sur ce point,
la Syrie, en précisant à nouveau que la France avait donc décidé de prendre la Russie au mot , tout en
veillant, a-t-il dit, à transformer les mots en actes , en fixant les
conditions de l’effectivité de la proposition Russe dans la résolution que la France
a déposée au Conseil de Sécurité, effectivité de la proposition Russe , bien
sur en matière de calendrier, de mise en œuvre du contrôle de Communauté
Internationale sur les armes chimiques détenues par le Régime Syrien., et en surajoutant : « Le Président de la République a précisé que donc la phase diplomatique se poursuivait, et que
nous privilégions, bien sur, la voie de négociations
politiques, mais parce qu’elle n’est pas
assurée de succès, toutes les options restent ouvertes
Bien entendu nous avons trouvé les propos de cette dame particulièrement époustouflant et très éloignés de la réalité, je pendais tout exactement le contraire et que c'était plutôt la diplomatie Russe qui s'était imposée de A jusqu'à Z à Obama , à Jonh Kerry, et par conséquent à François Hollande et à Laurent Fabius, qui comme tout le monde peut l'observer suivent cahin-caha la démarche politique américaine, pour la propager en échos ou en propositions qui finalement leur reviennent comme des boomerangs sur leurs bureaux.
Mais ce matin je n'avais pas encore vu le billet de Nicolas Dupont-Aignant intitulé "La France, nouveau jouet russo-américain", la lecture de ce billet arrive à point pour me conforter dans mes opinions, en conséquence, et si vous pensez comme moi que la France fait fausse-route, je vous invite à lire ci-dessous son article très pertinent :
" source : Site Debout la République " :
" La France, nouveau jouet russo-américain
" Publié par LFO le Mercredi 11 Septembre 2013
"Décidément dans cette affaire syrienne, la France a toujours
deux, voire trois temps de retard. Après avoir été à la remorque des
Américains, nous sommes désormais le jouet de la diplomatie russe.
Comme c'était à prévoir, Vladimir Poutine est en train de ressortir
comme le vainqueur de cette crise internationale. Il peut remercier François
Hollande, qui par sa précipitation et son entêtement, a laissé tout loisir au
Président russe de manœuvrer. Pour la première fois depuis très longtemps,
Moscou a les clefs du jeu international. Avec la résolution déposée hier,
François Hollande est allé à Canossa.
La nouvelle résolution française à l'ONU n'a que des
inconvénients. Elle nous fait passer pour des girouettes et, son contenu est
tellement restrictif qu'elle a peu de chances d'aboutir.
Il est temps pour la France de jouer sa propre carte. Il est
temps pour la France de retrouver une diplomatie indépendante et non-alignée.
Il est temps pour la France d'être la France.
Comme je le réclame depuis longtemps, nous devons être à
l'initiative d'une issue politique en Syrie. Nos liens historiques avec la
Syrie, notre voie forte dans le Moyen-Orient depuis 50 ans, notre place au
Conseil de sécurité, tous ces éléments font de Paris l'épicentre d'une
résolution pacifique du conflit.
François Hollande doit accepter son erreur. Il doit
maintenant œuvrer pour mettre autour d'une table les rebelles syriens
responsables, sans les fous islamistes, et le régime syrien actuel. Alors nous
cesserons d'être le jouet des diplomaties américaines et russes. Mieux, nous
sortirons réellement par le haut de cette crise.
Nicolas Dupont-Aignan
Député de l'Essonne
Président de Debout la République
La France, nouveau jouet russo-américain
Publié par LFO le Mercredi 11 Septembre 2013
Décidément
dans cette affaire syrienne, la France a toujours deux, voire trois
temps de retard. Après avoir été à la remorque des Américains, nous
sommes désormais le jouet de la diplomatie russe.
Comme c'était à prévoir, Vladimir Poutine est en train de ressortir comme le vainqueur de cette crise internationale. Il peut remercier François Hollande, qui par sa précipitation et son entêtement, a laissé tout loisir au Président russe de manœuvrer. Pour la première fois depuis très longtemps, Moscou a les clefs du jeu international. Avec la résolution déposée hier, François Hollande est allé à Canossa.
La nouvelle résolution française à l'ONU n'a que des inconvénients. Elle nous fait passer pour des girouettes et, son contenu est tellement restrictif qu'elle a peu de chances d'aboutir.
Il est temps pour la France de jouer sa propre carte. Il est temps pour la France de retrouver une diplomatie indépendante et non-alignée. Il est temps pour la France d'être la France.
Comme je le réclame depuis longtemps, nous devons être à l'initiative d'une issue politique en Syrie. Nos liens historiques avec la Syrie, notre voie forte dans le Moyen-Orient depuis 50 ans, notre place au Conseil de sécurité, tous ces éléments font de Paris l'épicentre d'une résolution pacifique du conflit.
François Hollande doit accepter son erreur. Il doit maintenant œuvrer pour mettre autour d'une table les rebelles syriens responsables, sans les fous islamistes, et le régime syrien actuel. Alors nous cesserons d'être le jouet des diplomaties américaines et russes. Mieux, nous sortirons réellement par le haut de cette crise.
Nicolas Dupont-Aignan
Député de l'Essonne
Président de Debout la République
Comme c'était à prévoir, Vladimir Poutine est en train de ressortir comme le vainqueur de cette crise internationale. Il peut remercier François Hollande, qui par sa précipitation et son entêtement, a laissé tout loisir au Président russe de manœuvrer. Pour la première fois depuis très longtemps, Moscou a les clefs du jeu international. Avec la résolution déposée hier, François Hollande est allé à Canossa.
La nouvelle résolution française à l'ONU n'a que des inconvénients. Elle nous fait passer pour des girouettes et, son contenu est tellement restrictif qu'elle a peu de chances d'aboutir.
Il est temps pour la France de jouer sa propre carte. Il est temps pour la France de retrouver une diplomatie indépendante et non-alignée. Il est temps pour la France d'être la France.
Comme je le réclame depuis longtemps, nous devons être à l'initiative d'une issue politique en Syrie. Nos liens historiques avec la Syrie, notre voie forte dans le Moyen-Orient depuis 50 ans, notre place au Conseil de sécurité, tous ces éléments font de Paris l'épicentre d'une résolution pacifique du conflit.
François Hollande doit accepter son erreur. Il doit maintenant œuvrer pour mettre autour d'une table les rebelles syriens responsables, sans les fous islamistes, et le régime syrien actuel. Alors nous cesserons d'être le jouet des diplomaties américaines et russes. Mieux, nous sortirons réellement par le haut de cette crise.
Nicolas Dupont-Aignan
Député de l'Essonne
Président de Debout la République
La France, nouveau jouet russo-américain
Publié par LFO le Mercredi 11 Septembre 2013
Décidément
dans cette affaire syrienne, la France a toujours deux, voire trois
temps de retard. Après avoir été à la remorque des Américains, nous
sommes désormais le jouet de la diplomatie russe.
Comme c'était à prévoir, Vladimir Poutine est en train de ressortir comme le vainqueur de cette crise internationale. Il peut remercier François Hollande, qui par sa précipitation et son entêtement, a laissé tout loisir au Président russe de manœuvrer. Pour la première fois depuis très longtemps, Moscou a les clefs du jeu international. Avec la résolution déposée hier, François Hollande est allé à Canossa.
La nouvelle résolution française à l'ONU n'a que des inconvénients. Elle nous fait passer pour des girouettes et, son contenu est tellement restrictif qu'elle a peu de chances d'aboutir.
Il est temps pour la France de jouer sa propre carte. Il est temps pour la France de retrouver une diplomatie indépendante et non-alignée. Il est temps pour la France d'être la France.
Comme je le réclame depuis longtemps, nous devons être à l'initiative d'une issue politique en Syrie. Nos liens historiques avec la Syrie, notre voie forte dans le Moyen-Orient depuis 50 ans, notre place au Conseil de sécurité, tous ces éléments font de Paris l'épicentre d'une résolution pacifique du conflit.
François Hollande doit accepter son erreur. Il doit maintenant œuvrer pour mettre autour d'une table les rebelles syriens responsables, sans les fous islamistes, et le régime syrien actuel. Alors nous cesserons d'être le jouet des diplomaties américaines et russes. Mieux, nous sortirons réellement par le haut de cette crise.
Nicolas Dupont-Aignan
Député de l'Essonne
Président de Debout la République
Comme c'était à prévoir, Vladimir Poutine est en train de ressortir comme le vainqueur de cette crise internationale. Il peut remercier François Hollande, qui par sa précipitation et son entêtement, a laissé tout loisir au Président russe de manœuvrer. Pour la première fois depuis très longtemps, Moscou a les clefs du jeu international. Avec la résolution déposée hier, François Hollande est allé à Canossa.
La nouvelle résolution française à l'ONU n'a que des inconvénients. Elle nous fait passer pour des girouettes et, son contenu est tellement restrictif qu'elle a peu de chances d'aboutir.
Il est temps pour la France de jouer sa propre carte. Il est temps pour la France de retrouver une diplomatie indépendante et non-alignée. Il est temps pour la France d'être la France.
Comme je le réclame depuis longtemps, nous devons être à l'initiative d'une issue politique en Syrie. Nos liens historiques avec la Syrie, notre voie forte dans le Moyen-Orient depuis 50 ans, notre place au Conseil de sécurité, tous ces éléments font de Paris l'épicentre d'une résolution pacifique du conflit.
François Hollande doit accepter son erreur. Il doit maintenant œuvrer pour mettre autour d'une table les rebelles syriens responsables, sans les fous islamistes, et le régime syrien actuel. Alors nous cesserons d'être le jouet des diplomaties américaines et russes. Mieux, nous sortirons réellement par le haut de cette crise.
Nicolas Dupont-Aignan
Député de l'Essonne
Président de Debout la République
La France, nouveau jouet russo-américain
Publié par LFO le Mercredi 11 Septembre 2013
Décidément
dans cette affaire syrienne, la France a toujours deux, voire trois
temps de retard. Après avoir été à la remorque des Américains, nous
sommes désormais le jouet de la diplomatie russe.
Comme c'était à prévoir, Vladimir Poutine est en train de ressortir comme le vainqueur de cette crise internationale. Il peut remercier François Hollande, qui par sa précipitation et son entêtement, a laissé tout loisir au Président russe de manœuvrer. Pour la première fois depuis très longtemps, Moscou a les clefs du jeu international. Avec la résolution déposée hier, François Hollande est allé à Canossa.
La nouvelle résolution française à l'ONU n'a que des inconvénients. Elle nous fait passer pour des girouettes et, son contenu est tellement restrictif qu'elle a peu de chances d'aboutir.
Il est temps pour la France de jouer sa propre carte. Il est temps pour la France de retrouver une diplomatie indépendante et non-alignée. Il est temps pour la France d'être la France.
Comme je le réclame depuis longtemps, nous devons être à l'initiative d'une issue politique en Syrie. Nos liens historiques avec la Syrie, notre voie forte dans le Moyen-Orient depuis 50 ans, notre place au Conseil de sécurité, tous ces éléments font de Paris l'épicentre d'une résolution pacifique du conflit.
François Hollande doit accepter son erreur. Il doit maintenant œuvrer pour mettre autour d'une table les rebelles syriens responsables, sans les fous islamistes, et le régime syrien actuel. Alors nous cesserons d'être le jouet des diplomaties américaines et russes. Mieux, nous sortirons réellement par le haut de cette crise.
Nicolas Dupont-Aignan
Député de l'Essonne
Président de Debout la République
Comme c'était à prévoir, Vladimir Poutine est en train de ressortir comme le vainqueur de cette crise internationale. Il peut remercier François Hollande, qui par sa précipitation et son entêtement, a laissé tout loisir au Président russe de manœuvrer. Pour la première fois depuis très longtemps, Moscou a les clefs du jeu international. Avec la résolution déposée hier, François Hollande est allé à Canossa.
La nouvelle résolution française à l'ONU n'a que des inconvénients. Elle nous fait passer pour des girouettes et, son contenu est tellement restrictif qu'elle a peu de chances d'aboutir.
Il est temps pour la France de jouer sa propre carte. Il est temps pour la France de retrouver une diplomatie indépendante et non-alignée. Il est temps pour la France d'être la France.
Comme je le réclame depuis longtemps, nous devons être à l'initiative d'une issue politique en Syrie. Nos liens historiques avec la Syrie, notre voie forte dans le Moyen-Orient depuis 50 ans, notre place au Conseil de sécurité, tous ces éléments font de Paris l'épicentre d'une résolution pacifique du conflit.
François Hollande doit accepter son erreur. Il doit maintenant œuvrer pour mettre autour d'une table les rebelles syriens responsables, sans les fous islamistes, et le régime syrien actuel. Alors nous cesserons d'être le jouet des diplomaties américaines et russes. Mieux, nous sortirons réellement par le haut de cette crise.
Nicolas Dupont-Aignan
Député de l'Essonne
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La France, nouveau jouet russo-américain
Publié par LFO le Mercredi 11 Septembre 2013
Décidément
dans cette affaire syrienne, la France a toujours deux, voire trois
temps de retard. Après avoir été à la remorque des Américains, nous
sommes désormais le jouet de la diplomatie russe.
Comme c'était à prévoir, Vladimir Poutine est en train de ressortir comme le vainqueur de cette crise internationale. Il peut remercier François Hollande, qui par sa précipitation et son entêtement, a laissé tout loisir au Président russe de manœuvrer. Pour la première fois depuis très longtemps, Moscou a les clefs du jeu international. Avec la résolution déposée hier, François Hollande est allé à Canossa.
La nouvelle résolution française à l'ONU n'a que des inconvénients. Elle nous fait passer pour des girouettes et, son contenu est tellement restrictif qu'elle a peu de chances d'aboutir.
Il est temps pour la France de jouer sa propre carte. Il est temps pour la France de retrouver une diplomatie indépendante et non-alignée. Il est temps pour la France d'être la France.
Comme je le réclame depuis longtemps, nous devons être à l'initiative d'une issue politique en Syrie. Nos liens historiques avec la Syrie, notre voie forte dans le Moyen-Orient depuis 50 ans, notre place au Conseil de sécurité, tous ces éléments font de Paris l'épicentre d'une résolution pacifique du conflit.
François Hollande doit accepter son erreur. Il doit maintenant œuvrer pour mettre autour d'une table les rebelles syriens responsables, sans les fous islamistes, et le régime syrien actuel. Alors nous cesserons d'être le jouet des diplomaties américaines et russes. Mieux, nous sortirons réellement par le haut de cette crise.
Nicolas Dupont-Aignan
Député de l'Essonne
Président de Debout la République
Comme c'était à prévoir, Vladimir Poutine est en train de ressortir comme le vainqueur de cette crise internationale. Il peut remercier François Hollande, qui par sa précipitation et son entêtement, a laissé tout loisir au Président russe de manœuvrer. Pour la première fois depuis très longtemps, Moscou a les clefs du jeu international. Avec la résolution déposée hier, François Hollande est allé à Canossa.
La nouvelle résolution française à l'ONU n'a que des inconvénients. Elle nous fait passer pour des girouettes et, son contenu est tellement restrictif qu'elle a peu de chances d'aboutir.
Il est temps pour la France de jouer sa propre carte. Il est temps pour la France de retrouver une diplomatie indépendante et non-alignée. Il est temps pour la France d'être la France.
Comme je le réclame depuis longtemps, nous devons être à l'initiative d'une issue politique en Syrie. Nos liens historiques avec la Syrie, notre voie forte dans le Moyen-Orient depuis 50 ans, notre place au Conseil de sécurité, tous ces éléments font de Paris l'épicentre d'une résolution pacifique du conflit.
François Hollande doit accepter son erreur. Il doit maintenant œuvrer pour mettre autour d'une table les rebelles syriens responsables, sans les fous islamistes, et le régime syrien actuel. Alors nous cesserons d'être le jouet des diplomaties américaines et russes. Mieux, nous sortirons réellement par le haut de cette crise.
Nicolas Dupont-Aignan
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