Pour le moment la lecture des premiers articles de presse ci-dessous confirme bien que les Dirigeants européens sont divisés sur la situation en Syrie , François Hollande est le seul dirigeant Eureupéen volontaire au côté du Président américain Barack Obama pour une se lancer dans une intervention armée contre le Régime Syrien de Bachar-El-Assad, les autres Dirigeants européens condamne l'usage d'armes chimiques et la recherche d'une solution politique, mais en aucun cas ne veulent que leurs pays interviennent dans une intervention armée.
Les médias rapportent que les Ministres des Affaires Étrangères des pays européens devaient se réunir Mardi prochain à Vilnius pour tenter de trouver une position commune.
Un voeux pieux semble-t-il d'autant que les médias rapportent aussi que Barack Obama en dépit d'une campagne de communication intense n'est pas tellement assuré d'obtenir l'autorisation du Congrès américain, pour méloire nous savons qu'il a obtenu l'appui d'une commission démocrate, et le soutien d'un membre du Congrés Républicain, mais vraisemblablement personne ne peut encore se prononcer sur le résultat du vote du Congrès américain qui devrait intervenir le 9 Septembre.
La position actuelle des dirigeants européens ne plaide pas dans le sens souhaité par le Président américain Barack Obama, il rentrera dans son pays, sans avoir réussi à remorquer d'autres pays européens à la machina infernalis qu'il conduit conjointement avec le Présdident Français François Hollande, qui sur ce dossier Syrien se trouve marginalisé par ses homologhues européeens.
Je ne sais pas vraiment si la présence dans la coalition de la Turquie sera susceptible de le "consoler" d'autant que la Turquie a des ambitions qui vont au-delà d'une expédition armée punitive.
La semaine prochaine sera encore pleine de rebondissements, beaucoup de temps sera encore perdu dans des réunions et débats, des déclarations, des polémiques, , comme celles des jours précédents, au cours desquels nous avons observé le peu de résultats de ces gesticulations, et noté que les positions des uns et des autres restent figées, à l'exception du Président Russe Vladimir Poutine qui a indiqué qu'en présence de preuves irréfutables produite par l'ONU , il prendrait alors ses responsabilités, ce qui effectivement changerait la donne.
Mais le cas échéant Obama et Hollande ne seraient plus les maîtres du jeu d'une opération armée contre le Régime Syrien et devraient tenir compte de la présence à leur côté d'un allié qui a son mot à dire dans la stratégie d'une opération armée quand à son étendue et sa durée, un partenaire Russe "impossible" à influencer en faveur des islamistes qu'ils soutiennent, ouvertement en France, implicitement et avec une certaine hypocrisie en Amérique .
La complexité et la diversités des politiques étrangères avec toutes leurs nuances apparait de plus en plus au fil des débats, des réunions , des déclarations des un et des autres, c'est une perte, alors l'urgence voudrait que l'on s'avance plutôt à rechercher très vite par des négociations débarrassées de toute volonté d'intervention armée à organiser une conférence pour rechercher une solution politique.
Mais la machina infernalis est têtue comme une mule comme ses deux pilotes, qui font des pieds et des mains pour la faire avancer pour défendre leur crédibilité.
Voilà où nous en sommes hélas ! Pourtant il serait facile de faire machine arrière, mais ces deux pilotes manque de sagesse et de noble humilité et pêchent par un excès d'orgueil.
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