Avant de passer à la lecture de l'
excellent article de Nicolas Dupont-Aignan, qui dénonce notamment
l'incapacité de l'Etat à faire respecter l'ordre public, avec pour
corolaire le laxisme judiciaire, j'ai écrit une note sur ce que je pense moi même du drame de Nice :
Note de lucienne magalie pons : J'ai lu plusieurs reportages et articles concernant l'affaire malheureuse du bijoutier de Nice, j'ai noté que le bijoutier dit avoir poursuivi ses braqueurs et tirer dans le scooter, j'en déduit qu'il tentait de les arrêter dans leurs courses afin que la police les arrête, comment peut-on penser autrement, dans ma compréhension il est improbable que cet honnête homme ait pensé une seule seconde à abattre ses braqueurs. Certains médias puants accusent le bijoutier d'avoir voulu se faire justice lui-même, si tel était le cas il aurait tiré instantanément au moment du braquage, ces certains médias puants ajoutent "le bijoutier a tiré dans le dos de la victime" , on s'en doute puisque le braqueur était en fuite avec son comparse sur un scooter, on ne va tout de même pas imaginer que ces délinquants venaient de face vers le bijoutier pour lui présenter leurs excuses tout de même.
Comme je n'ai pas eu le temps d'écrire sur l'affaire du bijoutier de Nice j'ai d'abord apporté mon soutien au bijoutier de Nice sur la page Facebook.
Là encore, étant donné le succès des soutiens qui se sont manifestés pour le bijoutier, plus d'un million de soutiens, une campagne médiatique de suspicions a été instrumentée contre la validité du nombre des soutiens ,- organisée par qui on ne le sait mais on s'en doute -, et les rumeurs les plus folles ont été propagées par les médias, selon lesquelles le créateur de la page Facebook aurait acheté des listes de fans ( qui sont vendus très chers par des sites dit Fanfollowers et parfois à la limite de la légalité), le créateur de la page a démenti ces rumeurs, du reste on peut voir sur sa page en toute transparence les personnes et personnalités qui ont apportée leur soutien, alors ensuite des organismes de sondage se sont autorisées a analyser le profil des soutiens, leur conclusion est que la majorité des soutiens sont d'extrême droite, comment le peuvent-ils déterminer par un sondage ? en se fondant sur leur appréciation subjective, ou pire encore ont-ils été renseignés ?, pour encore et encore montrer du doigt l'extrême droite, nous en déduisons que ces sondages ont été commandés par ceux de gauche qui soutiennent les délinquants et les voyous et avec pour objectif de transférer la question sur le plan politique.
Par ailleurs des membres de la famille du braqueur se sont plaints que des manifestations de soutien pour le bijoutiers aient pu avoir lieu , que les autorités de Nice ne les aient pas interdites et ont accusé le bijoutier et les manifestants de racisme ...
Nous y voilà, encore une fois l'affaire a été transférée de son contexte d’insécurité générale par ces médias puants et ceux qui les actionnent, dans le caniveau de politique politicienne et dans la question du racisme, cette manipulation médiatique est indigne, osons le dire.
Passons maintenant à la lecture de l' excellent article de Nicolas Dupont-Aignan, qui dénonce notamment l'incapacité de l'Etat à faire respecter l'ordre public, avec pour corolaire le laxisme judiciaire :
SOURCE - le blog de Nicolas Dupont-Aignan - Par Nicolas Dupont-Aignan le jeudi, septembre 19 2013, 19:32 - Lien permanent
"Nous sommes tous des bijoutiers
"Stephan Turk, ce bijoutier niçois
est devenu malgré lui, en l’espace de quelques jours, le porte-parole
d’un peuple français en colère contre un Etat qui a failli et des
donneurs de leçon qui vivent sur une autre planète.
Ce drame de Nice est avant tout le
résultat de l’incapacité de l’Etat à faire respecter l’ordre public. Une
incapacité qui s’explique principalement par des années de laxisme
judiciaire et d’impunité pour les voyous. Ces derniers ne reculent plus
devant rien car ils ont parfaitement intériorisé l’absence de réponses
pénales crédibles à leur délit.
Depuis les lois Guigou, puis Dati, les délinquants condamnés à des peines de prison pour des faits graves ne sont plus incarcérés. Les « fameuses » peines alternatives érigées en modèle sont, soit inefficaces, soit même pas mises en œuvre.
Tous ceux qui connaissent la réalité du terrain constateront que dans nos villes, on arrête des délinquants pour agressions, braquages, cambriolages violents, des jeunes de moins de 25 ans qui, sur leur casier, ont déjà été interpellés pour des faits équivalents entre 10 et 40 fois. Ils sont en liberté et bien évidemment recommencent avec un degré de violence à chaque fois supérieur.
Et je ne détaille même pas les 80 000 peines prononcées et non exécutées, ni les sorties d’individus dangereux autorisées pour un week-end ou à la moitié de la peine. Comme si cela ne suffisait pas d’ailleurs, Mme Taubira veut accroître encore les effets de la loi Dati qui se limitaient aux condamnés à 2 ans et moins de prison. Cette fois-ci c’est à 5 ans de prison. Cela veut dire très concrètement qu’un délinquant qui devrait passer 5 années en prison pourrait se voir substituer une peine alternative.
Comment s’étonner alors qu’à partir du moment où la Justice n’est plus rendue au nom du peuple français, ce même peuple soit tenté de se faire justice soi-même. C’est notre contrat social fondateur qui est cassé.
Mais la colère des Français redouble de force à la lecture des commentaires scandaleux des censeurs de la pensée unique qui accusent le bijoutier. Sans doute ces beaux esprits qui ne vivent pas au contact de la délinquance auraient-ils préféré voir Stephan Turk finir assassiné, comme cet honnête homme de Marignane qui, en voulant arrêter deux braqueurs, est mort.
Comment peut-on oser en vouloir à ce bijoutier qui, agressé, brutalisé, a simplement voulu mettre hors d’état de nuire les braqueurs ?
Dans ma ville je connais un bijoutier qui a été braqué à quatre reprises. Peut-on imaginer ce que représentent cette menace permanente et cette impuissance des pouvoirs publics qui lui recommandent simplement de transformer sa boutique en un coffre fort.
Aujourd’hui le choix est très simple : soit la poursuite du laxisme judiciaire avec pour corollaire l’explosion des actes de légitime défense, soit une nouvelle politique pénale où pour chaque délit il y a une réponse certaine, proportionnée et immédiate.
Il y a urgence !
Depuis les lois Guigou, puis Dati, les délinquants condamnés à des peines de prison pour des faits graves ne sont plus incarcérés. Les « fameuses » peines alternatives érigées en modèle sont, soit inefficaces, soit même pas mises en œuvre.
Tous ceux qui connaissent la réalité du terrain constateront que dans nos villes, on arrête des délinquants pour agressions, braquages, cambriolages violents, des jeunes de moins de 25 ans qui, sur leur casier, ont déjà été interpellés pour des faits équivalents entre 10 et 40 fois. Ils sont en liberté et bien évidemment recommencent avec un degré de violence à chaque fois supérieur.
Et je ne détaille même pas les 80 000 peines prononcées et non exécutées, ni les sorties d’individus dangereux autorisées pour un week-end ou à la moitié de la peine. Comme si cela ne suffisait pas d’ailleurs, Mme Taubira veut accroître encore les effets de la loi Dati qui se limitaient aux condamnés à 2 ans et moins de prison. Cette fois-ci c’est à 5 ans de prison. Cela veut dire très concrètement qu’un délinquant qui devrait passer 5 années en prison pourrait se voir substituer une peine alternative.
Comment s’étonner alors qu’à partir du moment où la Justice n’est plus rendue au nom du peuple français, ce même peuple soit tenté de se faire justice soi-même. C’est notre contrat social fondateur qui est cassé.
Mais la colère des Français redouble de force à la lecture des commentaires scandaleux des censeurs de la pensée unique qui accusent le bijoutier. Sans doute ces beaux esprits qui ne vivent pas au contact de la délinquance auraient-ils préféré voir Stephan Turk finir assassiné, comme cet honnête homme de Marignane qui, en voulant arrêter deux braqueurs, est mort.
Comment peut-on oser en vouloir à ce bijoutier qui, agressé, brutalisé, a simplement voulu mettre hors d’état de nuire les braqueurs ?
Dans ma ville je connais un bijoutier qui a été braqué à quatre reprises. Peut-on imaginer ce que représentent cette menace permanente et cette impuissance des pouvoirs publics qui lui recommandent simplement de transformer sa boutique en un coffre fort.
Aujourd’hui le choix est très simple : soit la poursuite du laxisme judiciaire avec pour corollaire l’explosion des actes de légitime défense, soit une nouvelle politique pénale où pour chaque délit il y a une réponse certaine, proportionnée et immédiate.
Il y a urgence !
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