Éditorial de lucienne magalie pons
Il n'est pas donné à tout le monde comme à Jean-Marie Le Pen d'avoir l'art de résumer en 16 lignes, quelque 45 ans ans d'une politique successive de compromissions et de corruptions qui a conduit notre pays au chaos économique et social et à l'insécurité dans lequel il se trouve aujourd'hui, par les agissements d' une succession de présidents de la République et de leurs gouvernements qui se sont laissés emportés par des ambitions utopiques et par leurs intérêts particuliers et ceux de leurs partisans au mépris de l’intérêt général.
Le communiqué de Jean-Marie Le Pen, que nous publions ci-dessous, résume bien et d'une manière frappante ce que nous avons subi depuis les lendemains de la décolonisation, l'instauration de la juteuse France-Afrique qui a perduré pendant des décennies avec aussi en parallèle le développement dans la population de l'expansion de l'idéologie laxiste de 68, et en dernier lieu le "laisser faire- laisser passer " très libéral, que la gauche même a fini par adopter tout en ayant l'air de vouloir le combattre.
Communiqué de Jean-Marie Le Pen du 7 septembre 2015
Le président faible d’un pays affaibli fait pâle figure dans la tempête qui se lève.
Il pourrait bien sûr désigner l’aveuglement de ses prédécesseurs :
Georges POMPIDOU, qui a joué la carte des immigrés bon marché contre les
travailleurs français ; Valéry GISCARD d’ESTAING, l’homme du
regroupement familial ; François MITTERRAND, qui ne voyait de salut
que dans l’Europe de Maastricht ; Jacques CHIRAC, champion des
repentances destructrices des valeurs françaises, Nicolas SARKOZY, si
versatile, si décevant même pour ses amis.
Tous voulaient d’un monde à la Bernard-Henri LEVY, qu’ils se réjouissent, le voilà qui frappe à notre porte.
Comme la géographie, la démographie commande : les réalités humaines
submergent et submergeront toujours les constructions utopiques qui
n’aboutissent qu’au malheur.
Petits ou grands, les remplacements de populations par d’autres ont
marqué tous les siècles. Cette question est brutalement posée aux
Français d'aujourd’hui : « Voulez-vous être remplacés ? ».
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