Madame Audrey Pulvar,
journaliste, animatrice,commentatrice,
éditorialiste, avait écrit une longue
tribune « intitulée « Femme de Personne » publiée le 6 mai 2013 à 19:16 et mise à jour le Mis à
jour: 7 mai 2013 à 16:48 sur le site de
Libération. Dans cette tribune, après une entrée en matière d’ordre général dans laquelle elle évoquait « la
relativité absolue .., qui met tous
évènement sur le même plan », elle développait ensuite un paragraphe sur «
celles qui firent du féminisme leur cause … »pour se voir brutalement, pour cause «d’amour
inapproprié», niée jusque dans sa nature d’animal doué de raison ». Elle
poursuivait ensuite en écrivant : Du
jour au lendemain, ne plus exister «
qu’assignée au rôle - subalterne, soumis, forcément soumis - de «femme
de». Se voir démentie la possibilité de penser seule ou de défendre des idées,
qu’elles fussent identiques ou pas à celles de l’être aimé. Demander à être
jugée sur pièce ? Drôle d’idée ! Vouloir être évaluée pour ses (in)compétences
réelles, ses erreurs ou ses succès professionnels ? N’y pensez pas !
Audrey Pulvar alors continuait en écrivant : »Mais le temps passe et voilà
que l’on n’est plus «la femme de». Dans un monde moderne, on imagine que les
procès en cerveau manipulé cesseront enfin et que si procès il y a, ceux-ci
porteront sur le fond, le réel : la légitimité professionnelle, ou pas… C’est
compter sans la laideur d’un temps où plus rien ne tient face à l’excitation
d’un «bon buzz».
…………..
Finalement on comprenait en lisant tous ses développements au fil de la tribune qu’elle était libre et revendiquait de n’être la femme de personne, et on comprenait aussi qu’elle n’entendait plus se voir rappeler sans cesse ses anciens rapprochements avec tel ou untel, soit c’est son droit, nous avions d’ailleurs relaté plus largement cet évènement médiatique sur notre site en son temps en regrettant toutefois qu’elle n’exerce pas elle-même la même discrétion envers les femmes célèbres qui justement se trouvent en couple avec des politiques ou célébres.(voir notre Editorial du Jeudi 9 Mai, lien actif, Madame Audrey Pulvar fait tout pour faire parler ...)
Toutefois nous avions dans l’idée qu’elle parlait aussi au
nom de ses consœurs qui comme elles ont été
ou sont en ménage avec des hommes
politiques en fonctions publiques, soit
ministre, soit même Président, et qu’après sa tribune , par solidarité , elle
éviterait de donner son jugement sur de telles unions libres, eh bien non, nous
nous sommes trompés , Audrey Pulvar c’est plus fort qu’elle, elle ne peut s’empêcher de donner son jugement sur les unes , les
uns et les autres .
Dans le "Grand 8" de Direct 8, appelée à se prononcer
après avoir entendu Roselyne Bachelot
estimer que "le changement d'image de Valérie Trierweiler est extrêmement
dur à gérer pour elle", Audrey
Pulvar a estimé notamment qu'une occasion de modernité avait
été manqué : "On avait l'occasion d'avoir un couple très moderne. Valérie
Trierweiler aurait pu choisir ne pas être Première Dame » et par ailleurs
elle a jugé que Valérie Trierweiler en
acceptant la position de "Première dame" n'offre pas le visage d'un
"couple moderne" avec François Hollande.
Vous trouverez en Revue de presse une Chronique de Bruno Roger –Petit
(chroniqueur politique) publiée sur le site « Le Nouvel Observateur le + »
de Benoit-Raphaêl, selon lequel les
propos de Audrey Pulvar ne sont pas justifiés et dans laquelle il explique ce
qu’il en pense.
Pour notre part, nous n’admettons pas que Madame Audrey
Pulvar qui trouve toujours à redire
quand on parle d’elle et de ses ex , se permette d’exposer publiquement son
opinion sur les ex ou les présents de
ses consœurs, ce qu’elle interdit aux
autres elle devrait sinon par solidarité
mais au moins par morale déontologique se l’interdire à elle-même.
Nous savons qu’à New-York des journalistes font profession
de commères, jusqu’à présent rien ne laisse soupçonner que la journaliste Audrey Pulvar
connue pour ses éclats et ses coups de gueule surtout politiques, se classe dans
cette catégorie, mais si elle persiste on finira par le croire.
Revue de Presse :
Le Nouvel
Observateur - De
Benoît Raphaël - il y a 1 jour
LE PLUS. Dans le "Grand 8"
de Direct 8, Audrey Pulvar a jugé que Valérie Trierweiler en
acceptant la position de "Première dame" n'offre pas ...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire