Rechercher dans ce blog

Nombre total de pages vues

Translate

24 janvier 2011

L'embryon est un être humain

Revue de presse  et pétition relayées par  lucienne magalie pons

Quand vous avez signé la pétition pour la protection de l’embryon, vous étiez 5.000, et vous êtes maintenant près de 8.000 !
> C’est un succès qui vous revient, grâce à la diffusion de cette pétition auprès de vos contacts.

Cette pétition a été envoyée à chaque parlementaire le11 janvier à l’aube.
Ils ont été informés que ce résultat n’était que provisoire puisque la signature restait ouverte sur la page « pétition » du site www.les2ailes.com jusqu’à la veille des débats parlementaires.

Quant à la presse généraliste régionale ou nationale, elle n’a pas encore relayé cette information malgré le communiqué de presse qu’elle a reçu.
Seul le quotidien « Ouest-France », l’a repris dans toutes ses éditions du 13 janvier. Le fait mérite d’être signalé.
L’objet de ce mail n’est pas de venir vous encombrer une nouvelle fois, mais de nous mobiliser.
En effet, à nous tous de prouver que le meilleur média, c’est VOUS
Il est indispensable de leur démontrer que les français ont quelque chose à dire sur le sujet.

Merci si vous pouvez insister encore auprès de vos amis et relations qui n’auraient pas encore signé.

Merci de leur transférer ce message et d’argumenter auprès d’eux.
Dépasser le cap des 15.000 signatures est parfaitement accessible.

Pour signer, il suffit de cliquer sur un des mots « pétition » de la page d’accueil du site « http://web.stan.free.fr/index.php?option=com_petitions&view=petition&id=63&Itemid=115 »

Toutes vos familles peuvent signer sous la même adresse, mais il faut remplir un formulaire par personne

Vous pouvez envoyer la pétition en pièce jointe par mail .

 le texte intégral du communiqué de presse  a  été envoyé dans les rédactions. Il contient :
>
- Communiqué de Presse (p.2)
- Message adressé aux parlementaires (p. 3)
- Texte de la pétition (p. 4)

Son résumé est le suivant :  
Une pétition pour un moratoire sur la recherche embryonnaire a été envoyée le 11 janvier 2010 à chaque parlementaire.
Son texte a déjà rassemblé près de 8.000 pétitionnaires
Sa signature restera ouverte jusqu’à la veille des débats parlementaires.
Elle s’appuie sur huit arguments mis en avant qui ne sont ni d'ordre religieux ni politiciens.

Revue de presse - Pétition relative à la recherche embryonnaire

Contact : stan@les2ailes.com Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.

----o----

Communiqué de presse de "les2ailes.com" du 10 janvier 2011

Une pétition a été adressée à chaque parlementaire le 11 janvier 2011.  Le texte a déjà rassemblé plus de 5.000 pétitionnaires et  sa signature restera possible jusqu’à la veille des débats parlementaires.
Hébergée par le site Internet www.les2ailes.com, c'est la seule pétition proposée actuellement aux Français sur la question de la recherche embryonnaire dans le cadre de la prochaine loi de bioéthique.
Son initiateur, Stanislas de Larminat,  explique « sans a priori religieux, les motifs des pétitionnaires pour lesquels ceux-ci demandent un moratoire sur la recherche embryonnaire, après les 5 ans de dérogations dont elle a bénéficié ».
Les arguments mis en avant font valoir « la nature de l'embryon. De façon définitive, il s'agit d'un être humain : un « être » parce que ce n'est pas une chose, et « humain » parce que son développement ne conduit pas à la naissance d'un animal ».
La pétition met également en exergue la différence philosophique existant « entre ‘l'être' et ‘l'avoir'. Or la dignité de tout 'être humain', inscrite dans les droits de l'homme, ne se mesure pas à la quantité d''avoirs' (facultés, handicaps, autonomie, projet parental, etc...), mais se fonde sur le seul fait d'être un ‘être' humain. Ce n'est pas parce que l'embryon est 'dépendant' de ses proches qu'il en est moins humain ».
La pétition appelle les députés à ne pas se fonder sur le souci légitime de « l'utilité de nos pratiques » au point d'en arriver à « un principe d'utilité ». Elle rappelle que « l'utilité ne peut être un principe ayant même rang que celui de dignité. L'utilité des pratiques n'occupe qu'un rang secondaire tant que tous les autres principes ne sont pas respectés, à commencer par celui de « dignité », cité dans plus de 40 articles du Code de santé publique ».
Au total, ce sont huit arguments qui sont mis en avant et qui appellent les parlementaires français « à déposer ou à voter un amendement valant moratoire sur la recherche embryonnaire ». (10 janvier 2011)
Revenir à la liste initiale

---o---

Message adressé à chaque parlementaire le 11 janvier 2011

Madame,  Monsieur le Député
J’ai pris l’initiative de proposer sur internet une pétition  sur la recherche embryonnaire.
J’ai été surpris de fédérer, autour de ce texte, 5.000 signatures sans aucun soutien de la grande presse nationale.
Vous avez élu une « commission  spéciale chargée d’examiner le projet de loi relatif à la bioéthique ». Celle-ci doit encore se réunir avant de rendre public son rapport dans quelques jours.
C’est pourquoi je me permets de vous informer de l’existence de cette pétition. Elle restera ouverte jusqu’au vote finalisant le débat parlementaire.
Sans entrer dans une analyse détaillée de la géographie des signataires, j’attire votre attention sur le fait que toutes vos circonscriptions sont concernées.
Les pétitionnaires de Paris et de la région parisienne ne représentent, en effet, que 25% des signataires.
Concernant la province :
-   20% des signataires de Province  sont domiciliés dans cinq des grandes métropoles françaises (Bouches du Rhône, Haute-Garonne, Loire-Atlantique, Nord, Rhône).
-   Au-delà de ces grandes régions, 20 % des signataires provinciaux qui se sont mobilisés sont originaires d’une dizaine de départements moins peuplés (Hautes-Alpes, Calvados, Corrèze, Gard, Hérault, Isère, Loire, Morbihan, Oise, Vienne).
-   C’est dire que les 60 autres % des signataires provinciaux sont originaires de partout en France.
Je vous tiendrai informé(e), une seconde fois,  de l’évolution du nombre de pétitionnaires avant le début du débat parlementaire.
Les signataires, de leur côté, seront informés à l’issue des débats des noms des députés de leur département ayant voté pour un tel moratoire.
Je suis sûr que vous  saurez accepter la forme de ce texte qui, pour les uns sera un peu « accrocheur » -c'est la loi du genre- et pour d'autres légèrement humoristique. L’important n’est ni la qualité de son initiateur, ni la forme utilisée, mais le fond du texte ci-dessous.
Je vous prie de croire en l’expression de mes sentiments distingués.
Stanislas de Larminat, stan@les2ailes.com Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.
Revenir à la liste initiale

---o---

Interview sur Radio Notre Dame le 03 janvier 2011

Ce sera l’un des grands rendez-vous de cette année 2011 au Parlement… Le projet de loi de bioéthique sera examiné début février par les députés… Les associations et l’Eglise se sont mobilisées sur ces questions qui touchent à la vie et à sa transmission… Les citoyens eux aussi veulent se faire entendre… Comme notre invité ce matin…
Avec Stanislas de Larminat, à l’origine d’une pétition pour un moratoire sur la recherche embryonnaire.
Ecoutez l'interview sur le site de Radio Notre Dame, ou directement sur notre site (colonne de droite).
Revenir à la liste initiale

---o---

Famille chrétienne n° 1721 du 8 janvier 2011

« Une pétition en faveur de l’embryon - Ingénieur agronome à la retraite, Stanislas de Larminat, qui a suivi le troisième cycle en bioéthique de l’Institut Politique Léon-Harmel, à Paris, a lancé, le 10 décembre dernier, une pétition qui sera envoyée à l’ensemble des députés et sénateurs. Il les y exhorte « à déposer ou à voter un amendement valant moratoire sur la recherche embryonnaire » [provoquant un arrêt temporaire de cette recherche, NDLR].  Avant le 1er janvier, cette pétition avait déjà obtenu 3.000 signatures. Voir sur le site www.les2ailes.com »
Revenir à la liste initiale

 ---o---

Interview par l'agence "Zenit" du 11 janvier 2011

France : La pétition pour protéger l’embryon continue sa progressionROME, Mardi 11 janvier 2011 (ZENIT.org) - La pétition lancée sur le site www.les2ailes.com continue sa progression. Elle a franchi le cap des 5.000 signatures et a été adressée par mail à chaque parlementaire le 11 janvier 2010. La pétition restera ouverte aux signatures jusqu'à la veille des débats sur le projet de loi de bioéthique. Le texte met en avant huit arguments n'ayant pas de caractère religieux. La recherche embryonnaire n'était, jusqu'ici, qu'une affaire de spécialiste. Cette pétition a été lancée par un ingénieur à la retraite, Stanislas de Larminat, qui montre ainsi que les Français ont quelque chose à dire sur le sujet. Il répond ci-dessous aux questions de Zenit.
Zenit - Votre pétition a déjà obtenu 5.000 signatures en seulement trois semaines. Quelle leçon en tirez-vous ?S. de Larminat - Le texte signé sur le site « les2ailes.com » prouve que les Français refusent que l'embryon, même sans projet parental, soit réduit à devenir un simple matériel de recherche : « l'embryon est un être humain », dit la pétition, « un être, parce que son développement prouve que ce n'est pas une chose, et humain, parce qu'on ne l'a jamais vu donner naissance à un animal ». Point besoin d'être scientifique pour affirmer cela de façon définitive. Sur les questions de mères porteuses ou de dons d'organes, chacun a son idée. Ce qui surprend avec cette pétition, c'est que, contre toute attente, les Français veulent s'exprimer sur un sujet qui ne leur parait pas aussi compliqué qu'on veut bien le leur dire.Ne croyez-vous pas, malgré tout, que l'opinion a le souci de voir progresser la recherche médicale pour sauver des vies humaines, ou au moins, limiter les souffrances de tant de malades ?Bien sûr que oui ! Les pétitionnaires comprennent «la nécessité, pour la France, de se doter de moyens efficaces pour la recherche médicale ». Mais ils ne sont pas dupes : un certain discours fait croire que le projet de loi est identique à la loi de 2005 sur ce sujet. C'est faux puisqu'on se perd dans des raisonnements sur l'outil qui sera utilisé pour la fin de l'embryon : l'utilité thérapeutique ou l'utilité médicale ? C'est une mascarade sémantique qui cache le vrai débat, celui de l'utilité même que les Français refusent de voir ériger en principe. Bien sûr qu'il faut avoir le souci de nos pratiques médicales, mais, entre le principe et la pratique, il y a la frontière qu'exprime bien le proverbe qui est encore populaire : « la fin ne justifie pas les moyens ». Petit à petit, l'opinion a conscience qu'une interdiction de la recherche médicale sur l'embryon relancerait d'autres pistes autrement plus efficaces. Vous mettez en cause le concept même de projet parental dont beaucoup d'embryons sont privés...C'est typiquement une dialectique qui conduit à toutes les dérives, non seulement concernant l'embryon, mais aussi l'euthanasie. Curieusement, le parlement a décidé de remettre cette question à son ordre du jour le 20 janvier. Or, beaucoup de gens connaissent l'échelle de Maslow. Un embryon a des besoins physiologiques pour devenir bébé. Il a des besoins de sécurité dès la naissance. Il a besoin d'amour pour passer le cap de l'enfance, d'estime pour se construire adolescent. Il lui faut s'accomplir pour devenir un adulte. Quant à la personne âgée, elle dégringole le long de cette échelle quand elle est gravement malade. La demande d'euthanasie n'est qu'un appel au secours pendant cette chute. Mourir dans la dignité, c'est permettre à un malade de retrouver un peu d'amour, de sécurité et de fierté. C'est difficile à apporter, mais les parlementaires doivent réapprendre que la dignité d'un individu ne se mesure pas à la quantité de ses « avoirs » sociaux ou physiologiques, mais au seul fait d'être un « être » humain. L'embryon humain perdrait-il son droit à la dignité faute de projet parental ? La personne âgée le perdrait-elle sans un projet filial porté par ses enfants ? Si on n'accorde pas à l'embryon un droit à la dignité, on sera incapable d'apporter une réponse sensée sur l'euthanasie. Pourquoi, demain, ne pas retirer sa dignité à une personne isolée parce qu'elle n'aurait pas de projet fraternel porté par ses frères en humanité ? Doit-on retirer sa dignité à l'embryon parce qu'il n'a pas de futur, et à la personne âgée qui n'a plus que son passé ? Serions-nous dans une civilisation du présent sans recul ni vision ?Votre pétition appelle donc les députés à la responsabilité ?Dans quelques semaines, ce seront probablement 10.000 pétitionnaires qui auront signé sur « www.les2ailes.com » en étant sensibles à ce jeu de mot « Ne soyons pas coupables d'être irresponsables ».
Revenir à la liste initiale

---o---

"Portrait - Un défenseur de l'embryon" - La Croix du 13 janvier 2011

Un défenseur de l'embryonStanislas de Larminat, auteur d'une pétition pour un moratoire sur la recherche embryonnaire.
Ancien ingénieur à la retraite, ce passionné de bioéthique vient d'écrire à tous les députés pour qu'ils amendent le projet de loi facilitant, par dérogation, la recherche sur l'embryon. Il revendique 6.000 signatures à sa pétition lancée en décembre sur le site "www.les2ailes.com".
Il n'est pas familier des arcanes politiques. Mais l'enjeu lui a paru suffisamment important pour interpeller les députés qui s'apprêtent à débattre, en février, de la révision des lois de bioéthiques. Cette semaine, Stanislas de Larminat, ingénieur agronome à la retraite, a adressé à tous les parlementaires une lettre pour qu'ils amendent l'article 23 du projet de loi sur la recherche embryonnaire. Un article qui facilite l'utilisation des cellules souches embryonnaires à des fins de recherche, une pratique interdite sur le principe mais qui bénéficie de dérogations.
Pour ce chrétien de 65 ans, passionné de bioéthique, l'embryon doit au contraire être protégé. Mi-décembre, il a lancé sur son site www.les2ailes.com une pétition réclamant un moratoire sur ce type de recherches. Celle-ci a déjà rassemblé 6.000 signatures, indique-t-il. "Il est vrai que la foi m'anime, mais je ne représente aucune institution religieuse et mes arguments sont des arguments de raison", insiste-t-il, soucieux d'être audible au delà des cercles catholiques. Dans sa lettre aux parlementaires, il souligne que l'embryon est un "être humain" (sans entrer dans le débat de savoir si c'est une personne), "un "être" parce que ce n'est pas une chose, et "humain" parce que son développement ne conduit pas à la naissance d'un animal". A cet égard, il ne saurait être l'objet de recherches, sauf à céder au "principe d'utilité", argumente Stanislas de Larminat, d'autant que des progrès thérapeutiques peuvent être réalisés à partir de cellules souches adultes, notamment "reprogrammées".
En dépit du poids des chercheurs dont beaucoup souhaitent obtenir une autorisation pure et simple de la recherche sur l'embryon -à laquelle plusieurs députés sont d'ailleurs favorables-, l'ancien ingénieur, père de quatre enfants, est confiant. "On peut renverser les choses avec une pétition, cela s'est vu au niveau européen avec le principe de la clause de conscience aujourd'hui reconnu". Pas si sim^le, estime Jean-Marie Le Méné, qui salue toutefois une initiative "allant dans le bons sens". Selon le président de la Fondation Jérôme-Lejeune, pour qu'une telle démarche soit décicisve, il faut surtout que les élus soient au fait des enjeux en matière de bioéthique. Il attend beaucoup des auditions qui auront lieu ces prochains jours à l'Assemblée devant la commission spéciale sur la bioéthique.
- Marine Lamoureux -
Revenir à la liste initiale

---o---

Ouest-France du 13 janvier 2011

Une pétition sur la recherche embryonnaireA l'initiative de Stanislas de Larminat, une pétition a été adressée à chaque parlementaire le 11 janvier. Hébergée sur le site www.les2ailes.com, elle fait déjà l'objet de 5.000 signatures. A la veille du débat sur la loi de bioéthique, le texte, qui se dit sans a priori religieux, rappelle que "l'embryon est un être humain". Il appelle donc à un moratoire sur la recherche embryonnaire après les cinq ans de dérogation dont elle a bénéficié. 
Revenir à la liste initiale

Aucun commentaire: