À l’occasion de la Journée internationale des Droits des femmes, le président de la République, François Hollande a participé à une rencontre notamment avec 4 générations de femmes, d'une même famille au Ministère des Droits des femmes, en présence du Ministre des Droits de la Femme.
Cette famille de 4 générations était représentée par Anna Maria Matron née en 1921, militante socialiste (qui tutoyait Najat Vallaud Belkacem avec une aisance qui laissait percer une convivialité de connivence, sa fille Anne Directrice régionale des affaires culturelles en Auvergne, Forence la fille de cette dernière qui a créé son cabinet d'Avocate à Paris, et deux arrières petites-filles collégienne et lycéenne.
Il s'agissait d'après Naja Vallaud Belkacem qui ouvrait la rencontre "d'un exercice original " qui est parti d'une réflexion simple , d'après elle il beaucoup plus parlant de mettre des visages derrières les politiques qu'on conduit ou derrière les fameuses (sic) ou attentes de la société, et explique-t-elle " on s'est dit qu'en cette journée du droit des femmes, la meilleures façon de procéder, c'est d'inviter 3 générations, voire 4 car ici vous avez 4 générations de femmes françaises ....etc" vous découvrirez le long laïus de présentation de Naja Vallaud Belkacem. en regardant la vidéo
En ce qui concerne le déroulement de la rencontre notons d'abord les premières interventions celles de la famille Matron de Lyon en les résumant :
Anna Maria Matron 93 ans qui a pris la parole la première , après avoir présenté sa carrière professionnelle et de militante socialiste , a appelé l'attention du Président de la République sur les conditions de vies difficiles des femmes retraitées et émis quelques idées pour l'évolution des femmes en société et en politique, tout en assurant le Président de sa confiance au parti socialiste
Sa fille Anne 60 ans, Directrice régionale des Affaires culturelles en Auvergne a pris la relève pour pour parler de la culture et de l'engagement , elle a parlé d'abord de sa réussite passant par l'engagement associatif, par son engagement en politique actif, ,, elle a aussi parlé de parité en ce qui concerne les nominations des femmes aux postes de responsabilité dont elle pense peut-être etre "le fruit", en saluant la vigilance des ministres femmes etc....bref une intervention très politique qui laissait transpirer l'auto-satisfaction personnelle élargie à la politique socialiste.
Ce fut ensuite le tour de Florence, l'Avocate installée à Paris, représentant la 3° génération de cette famille ascensionnelle si l'on en croit Florence qui déclare qu'elle à la chance d'exercer un métier qui reste encore un "formidable ascenseur social ", qui souffre assez peu de discriminations homme-femme, elle explique que c'est un métier où les hommes et les femmes portent une robe et que l'on dit dans son métier qu'il n'y a pas de sexe sous la robe .., puis elle a parlé aussi de son début de son exercice professionnel en indiquant que le bâtonnier de Paris avait du introduire, dans le règlement intérieur du barreau de Paris, un article pour rappelant que la grossesse n'était pas un motif pour mettre à la porte une collaboratrice libérale enceinte, il a fallu tout de m^$eme le rappeler et l'écrire dans le règlement intérieur et cette vigilance-là, je crois que les avocats sont un peu en avance pour ça et je remercie les hommes avocats qui savent aussi et qui ont gommer ces différences là et faire avancer le droit des femmes .." , puis Florence a expliqué le choix qu'elle avait fait pour son exercice professionnel en créant sa propre entreprise, chef de sa petite entreprise "et du coup j'ai réglé ce problème des discriminations .." etc, et Florence a terminé en parlant des discriminations existantes encore par ailleurs dans la société etc..
C'est maintenant Julie lycéenne qui raconte sa manière de voir les choses, comme l'a invité Najat Vallaud Belkacem, Julie considère qu'elle a eu la chance de naître à une époque où il y a eu énormément de loi et que l'égalité homme-femme a beaucoup évoluée, les femmes ont de droit de se marier, de divorcer, d'avorter, mais elle fait remarquer que l'on ressent encore quelquefois dans la sociétés des inégalités en citant quelques exemples.
Et enfin Carla , collégienne la plus jeune, très précise elle a en très peu de mots exprimé un point de vue objectif et intéressant, elle a dit qu'elle n'avait pas trop de problèmes au niveau des sujets de sexisme, parce que un règlement dans le collège interdit à un élève de parler de sujets sexismes, et qu'en fait c'est puni, mais à son avis elle ne sait pas si c'est une bonne chose, parce que d'un côté ça évite certains sujets, certaines blagues, mais d'un autre côté chacun à son avis c'est bien aussi.. et un jour il faut en parler, et chacun doit s'écouter et écouter les autres aussi.
A la suite de la Famille Marton, Najat Vallaud Belkacem a invité une autre famille, la Famille Lemonnier à s'exprimer.
Irène Lemonnier, sa fille Mireille et sa fille Stéphanie se sont alors exprimées, là encore il a été question "d'ascenseur social" par l'éducation, Mireille est dans l'enseignement, elle a attiré l'attention sur les réticences de certains parents parents à l'enseignement de la théorie des genres, ce qu'elle déplore.
A la suite d'autres femmes invitées ont fait part de leur expériences personnelles, au foyer ou dans leur vie professionnelle, avec quelques considérations sur l'éducation des enfants et des difficultés qu'elles ont pu rencontrer.
Vous les découvrirez dans la vidéo.
Le Président de la République et Naja Vallaud Belkacem ont répondu à la fin de chaque intervention de façon très politique en mettant l'accent sur l'aspect économique dans l'évolution des femmes , je n'ai pas vraiment trouvé dans leur réponse un côté vraiment social et humain qui aurait pu prendre en considération ou mettre en valeur le rôle de la femme au foyer, qui dans leur esprit apparemment n'a pas lieu d'être évoqué, ce qui en fait est un choix qui est refusé aux femmes dans les faits puisqu'il n'est pas socialement valorisé, ce qui à mon avis est une rupture d'égalité et une mise à l'index.
Ma première impression sur cette rencontre, c'est que tout cela était cousu de fil rose dans un climat de connivence socialiste, encore une rencontre de complaisance, il s'agissait de cas particuliers, d'ascension sociale par le travail, voire l'engagement associatif et politique, le droit de la femme au foyer personne n'en a parlé, en fait une rencontre très peu représentative des vrais problèmes auxquels la grande majorité des femmes françaises s'affrontent tous les jours au quotidien, d'abord il n'y a pas de choix à la base, puisque le rôle de la femme au foyer n'est pas socialement pris en compte, et pour la grande majorité des femmes qui travaillent c'est à dire un manque de moyens et d'équipements d'abord, notamment manque de places dans les crèches et garderies, salaires discriminants, embauches discriminantes dirigées vers le temps partiel, et par contre-coup retraites insuffisantes, et ce n'est pas les hommes du peuple qui tout comme elles sont victimes de discriminations qui sont responsables de cet état de fait et qui en pâtissent tout autant qu'elles, ce sont les homme politiques qui sont au pouvoir depuis des décennies qu'ils soient de droite ou de gauche et qui au fond méprisent les aspirations sociales du peuple.
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À l'occasion de la Journée internationale des Droits des femmes du 8 mars, le site de la Présidence de la République propose de découvrir le portrait de 4 femmes femmes chefs d'entreprises.
1/ Marie-Vorgan Le Barzic, dirigeante de Silicon Sentier, nous raconte son expérience:
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2/ Témoignage d'Eva Escandon, présidente de Femmes Chefs d’Entreprises.
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3/ Hélène Boulet Supau, dirigeante de sarenza.com, raconte son expérience.
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4/ Nathalie Aflalo fondatrice de Linna Morata raconte son expérience
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Le président de la République, François Hollande, répond aux journalistes à la sortie du Ministère des Droits des femmes, à l'issue de ses rencontres avec trois générations de femmes et du déjeuner "femmes et entreprises".
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Je suis très déçue de cette manifestation présidentielle en plusieurs étapes pour célébrer la Journée Internationale de la femme, qui en fait s'est avérée comme une opération de propagande socialiste, elle s'adressait à un cercle restreint composé en majorité de femmes au travail, soit en tant que salariée ou fonctionnaire, ou encore exerçant une profession libérale, et à la la mise en évidence de l'expérience de femmes chefs d'entreprises, pas un mot pour les femmes au foyer qui étaient absentes donc déconsidérées.
Pas un mot pour l'ensemble des autres femmes françaises dans leur diversité sociale, de la part du Président, moins encore de la part du Ministre du droit des femmes.
Pour ma part venant du Président je ne m'en étonne pas, nous avons vu avec quelle froideur égoïste il s'est séparé de sa précédente compagne, quand à Najat Vallaud Belkacem, dès l'instant qu'elle avait autour d'elle en majorité des femmes socialistes qui soutiennent les mêmes idéologies sa petite dimension était atteinte.
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