On ne plus dire que la
situation est sur la bonne voie en
Ukraine, au contraire tout autant au niveau politique , qu’au niveau financier
et économique, tout baigne dans l'incertitude et les doutes, certes tout se met en
place progressivement pour enserrer ce pays dans les griffes des États-Unis de l’Europe UE, mais plus lentement
que prévu et cette lenteur peut lui être fatale.
.
D’abord du point de vue politique le Gouvernement transitoire
Ukrainien insurrectionnel a signé Vendredi passé seulement la première partie des accords de participation UE-UKRAINE ,
il s’agit de l’accord politique , donc une première allégeance , mais la signature de la seconde partie qui vise
plus particulière l’aide de l’UE à l’Ukraine pour son développement ne pourra intervenir au mieux avant la fin de l’année 2014, et les promesses d’aides financières que lui
avaient promis les dirigeants européens pour faire face en Avril à ses déficits
et échéances de factures de fournitures de gaz et arriérés ne lui seront pas versés, avant la fin de l’année
2014 et aucune date n’a été fixée.
Première déconvenue pour Arseni
Iatseniouk , il est donc rentré à
Kiev politiquement lié à L’UE, mais les
mains vides et les caisses non seulement sont vides a
cause d’un un déficit considérable, mais en plus il n’y a plus de trésorerie disponible, donc
aucun moyen régler pour les
dépenses publiques courantes,
en bref l’Ukraine est au bord de la faillite financière et économique ainsi qu’il ressort
de la déclaration du premier Ministre intérimaire Arseni_ Iatseniouk, lui-même, devant
le Parlement, selon lui le taux
d'inflation en Ukraine sera de 12 à 14 % en 2014, le déficit fiscal s'élève à 28 milliards de
dollars, l’Ukraine est menacée d’un défaut de paiement et d’une chute du PIB de 10 % ?
Selon lui, il s'agit de la première étape des
licenciements dans la fonction publique.
Avant même de recevoir le prêt que le FMI est prêt à lui
accorder, soit environ un crédit de 14
à 18 milliards de dollars ( en 2 versements sur deux ans en principe, et en vertu d’un programme de stabilisation
« stanby », assorti de conditions
draconiennes aussi dures que
celles imposées en Grèce, alors que l’Ukraine est bien loin d’entrer
officiellement en Europe de l’UE , le
premier ministre intérimaire Ukrainien a déjà
annoncé que le gouvernement
ukrainien a décidé de limoger 10% des fonctionnaires du pouvoir exécutifs du
pays dans le cadre d'un programme de réduction des dépenses publiques.
« Près de 24 000 fonctionnaires sur 249 000 seront licenciés
», a déclaré Arseni Iatseniouk. Cette
mesure contribuera à la réalisation d’une réforme constitutionnelle. Selon lui,
il s'agit de la première étape des licenciements dans la fonction publique.
Au sujet des retraites et du salaire des fonctionnaires le gouvernement a aussi
décidé d’annuler les augmentations qui
étaient prévues.
Mais le FMI est beaucoup plus exigent , il veut des réformes
plus draconiennes et parmi les mesures exigées , il demande notamment la
réduction des dépenses publiques,
le gel des retraites, le gel durable des salaires des
fonctionnaires, l’assouplissement du
taux de change, la réforme du prix du gaz, d’après le FMI il n’est plus
possible de financer de nouvelles pertes, par allusion aux subventions pour le
prix du gaz accordées jusqu’alors en Ukraine,
et il demande aussi l’augmentation du
prix du gaz à la population , etc……
Le FMI a aussi annoncé
que de nouveaux programmes sociaux doivent venir en aide à 30 % de la
population, ce qui laisse supposer implicitement que 30 % de la population réduite
au chômage et à la misère sociale
recevra quelque monnaie pour les aider à danser devant les buffets
vides, c’est sous ces conditions et ces
exigences ( il y en aura d’autres n’en
doutons pas) , que le Fonds monétaire international a annoncé jeudi
à Kiev qu’il allait accorder à l’Ukraine une aide située entre 14 et 18
milliards de dollars .
Le FMI veut aussi des réformes visant à combattre la corruption,
pour jeter les fondements d’une croissance durable.
Le Chef de la mission du FMI en visite à Kiev, Nicolaï Georgiev a indiqué notamment,
Jeudi en conférence de
presse : …. L’aide totale de la communauté internationale à
l’Ukraine s’élèvera à 27 milliards de dollars sur deux ans, elle sera
approuvée lorsque l’Ukraine aura pris les mesures demandées par le FMI »
….«Nous espérons le faire vers la fin avril» pour la première
tranche, a-t-il précisé , tout en ajoutant que le montant exact de celle-ci ne
pouvait être indiqué aujourd’hui
Bref ce sont ces exigences que le FMI regroupe sous les termes
« un paquet de réformes globales visant à stabiliser l’économie et à créer
les conditions propres à une croissance durable., en fait c’est sous cette méthode que la Grèce
s’enfonce de plus en plus dans sa dette
depuis des années, et c’est ce que le Gouvernement Ukrainien intérimaire
insurrectionnel accepte et amorce avant même d’avoir touché la première tranche
de crédit.
Le FMI n’a aucun souci à se faire, le Premier Ministre
intérimaire Arseni Iatseniouk a déjà commencé la casse … cette
allégeance leur permet à lui et ses amis de se maintenir au pouvoir ,
aux affaires comme on dit, ce qui au fond est leur principal souci non pas
seulement politique mais aussi et surtout pour leur sécurité, leur carrière et
le blé qui va avec.
On ne peut pas dire non plus que l’Ukraine est en sécurité
pour le moment, socialement le calme est relatif, mais au plan politique ce n’est
pas le cas entre les ambitions des partis en présence
Certes pour le moment
le peuple ne semble pas réagir, après ce qu’ils ont vu depuis des mois, ils
doivent à peine commencer à comprendre le scénario… et quand à ceux qui l’ont
compris ils n’ont pas les moyens de manifester pour le moment avant l’élection présidentielle du 25 Mai,
dans cette période transitoire
dangereuse, car ils savent bien que s’ils levaient le petit doigt ce
seraient le déclenchement d’une révolution d’un autre genre qui mettraient
cette fois toute l’Ukraine à feu et à sang.
Du coté du peuple
donc calme relatif, mais entre les
partis en présence, des ambitions
politiques antagonistes et rivales se manifestent, ils ne sont pas les seuls sur le marché
à se livrer à la course à l’échalotes
pour les élections présidentielle du 25 Mai, ils ont des rivaux dangereux sur le terrain et l’insécurité
commence à se faire sentir dans les rangs des
partis qui s’étaient coalisés à
Maïdan , récemment un redoutable ancien
terroristes tchétchène indépendantistes , Alexandre Mouzychko (alias Sacko
Bily) reconverti en Ukraine comme leader militant ultranationalite dans le Parti Secteur Droit participant aux récents mouvements de
« protestation » sur Maïdan,
était en raison de certains faits criminels
poursuivi par le procureur général d’Ukraine qui avait
ordonné au ministère de l’intérieur
de l’arrêter a été tué par la police dans la ville ukrainienne de
Rivne, dans la nuit du 24 au 25 mars au cours de son arrestation , dans le
cadre d’une action de la brigade de lutte contre le crime organisé (GUBOP)
Alexandre
Mouzytchko s’y attendait. Le 15mars, il avait publié une déclaration
officielle en vidéo sur Youtube le 15 Mars pour expliquer, selon lui que le procureur général d’Ukraine avait
ordonné au ministère de l’intérieur de former un commando spécial afin
d’éliminer ses opposants politiques. « En premier lieu, ils ont l’intention de
me tuer, moi. Ou bien de me prendre vivant et de me livrer aux services secrets
russes afin de se décharger sur eux », déclarait-il alors.Il se trouvait alors qous le coup
depuis le 12 mars d’une enqête pénale et d’un avis de recherche pour
hooliganisme et violences sur un fonctionnaire de la justice. Ce militant était
absolument effrayant dans sa violence, vous pourrez en juger en lisant
l’article ci- dessous où figurent des vidéos le représentant :
___________________________/
Le nationaliste ukrainien Mouzytchko abattu...
suite de l'éditorial :
Donc une insécurité qui peut
dangereusement s’aggraver entre les partis.
Mais ce n’est pas tout il y a aussi les ambitions politiques ou de conquête du pouvoir qui aiguisent des rivalités entre les partis donc entre les candidats donc, chacun réclament sa part, pour le moment sont en présence divers candidats potentiels, où éventuels qui sont cités dans des sondages et que nous retrouveront plus bas.
On le voit, des incertitudes planent sur le l’avenir de l’Ukraine du point de vue de sa
prochaine gouvernance, on n’est pas sûr que le nouveau Président qui sera élu
le 25 Mai soit pro européen « pur
et dur », , pour différentes raisons que certains observateurs commencent
à analyser :
La Voix de la Russie a demandé à certains politologues
européens ce qu’on pouvait attendre des élections en Ukraine et qui pourrait
être soutenu par l’UE. Voici ce que dit l’expert du Centre des études européennes
à Bruxelles, Tania Marocchi :
Source "la Voix de la Russie" :
.extrait :
« Les récents sondages donnent pour favori M.
Porochenko, suivi de Klitchko et de Timochenko. Or pour le moment seul M.
Kouzmine est enregistré comme candidat, tandis que M. Porochenko a déclaré ne
pas vouloir se présenter pour l’élection présidentielle, en dépit de ses
positions de favori. Mais tous les candidats éventuels s’expriment en faveur du
choix européen de l’Ukraine. Quant à Mme Timochenko, elle n’a plus la
popularité d’antan. Et son soutien dépendra, probablement, des candidats rivaux
dans cette course. »
.fin de l’extrait :
_____________/
Mais d’autres candidats peuvent se manifester, comme Dmytro Yarosch du
mouvement ukrainien radical Secteur
droit qui a
annoncé son intention de se présenter et
qui lui jouerait sur le populisme, et risquerait d’enflammer
l’Ukraine;
Selon des observateurs européens éminents ou qualifiés,
le choix sera difficile pour les États
impliqués dans la situation ukrainienne pour soutenir catégoriquement un
candidat , pour que le plan d’aide
l’UE et du FMI soit effectivement mis en œuvre et appliqué, il
leur faut un homme sûr qui ne remettra
pas en cause leur scénario, à
savoir exécutera
avec les risques que cela comporte « un paquet de réformes globales
visant à stabiliser l’économie et à créer les conditions propres à une
croissance durable. , donc un homme à poigne contre des troubles sociaux,
mais souple pour répondre aux exigences
des occidentaux,
ils ne peuvent
soutenir Ioulia Timochenko , dirigeante du partie Batkivchtchina, elle
ne retient , selon certains sondage que
8 , 2 % environ d’adhésion , et a perdu une grande partie de sa popularité
d’autrefois, les observateurs ne croient plus qu’elle puisse gagner , sa santé fragile fait douter de sa capacité à
gouverner le pays, elle peut encore jouer un rôle de « symbolique »
en exploitant sa notoriété ancienne, mais elle appartient au passé , aux élites
d’un passé révolu, font-ils remarquer.
Par ailleurs dans la semaine Ioulia Timochenko , l’ex-leader
de la Révolution Orange de 2004, qui est
soutenue de longue date par la Chancelière Angela Merkel et se trouve libérée depuis le mois dernier de prison , en soin pour état de santé Allemagne,
s’est déclaré candidate, mais entre différentes apparitions et déclarations politiques publiques , elle a
tenu récemment des propos violents dans une conversation avec un proche, Nestor Choufritch, député du Parti des régions , conversation enregistrée et diffusée sur Internet , ces propos violents qui visaient la Russie, lui ont attiré des reproches de la part du
porte-parole de la chancelière Allemande .
« Malgré toute l'opposition que l'on peut avoir à
l'égard des actions russes en Crimée et toutes les différences d'opinion, même
les plus importantes, il y a des lignes à ne pas franchir dans ce qu'on dit ou
pense, et les images violentes, les fantasmes de violence dépassent largement
ces lignes », a déploré le porte-parole de la chancelière Angela Merkel,
Steffen Seibert
En effet
dans une partie de la conversation
enregistrée dont elle ne conteste pas l’authenticité Ioula Timochenko affirme qu'il faut « fusiller
» les Russes d'Ukraine « avec des armes nucléaires » et dit en outre
qu’elle va « utiliser tous ses contacts, soulever le monde entier, pour
qu'il ne reste de la Russie pas même un champ brûlé ».
Pour postuler en
promettant une destruction
nucléaire totale de la Russie sous son
impulsion il faut croire qu’elle n’est pas en bonne santé ni politique, ni
mentale, à force de dire de telles horreurs elle finira par perdre ses soutiens
même les mieux intentionnés.
Il est inutile de préciser que l’Europe de l’UE et les politiques ukrainiens pro européens
ne sauraient prendre le risque d’appuyer un candidat d’extrême droite, comme par exemple le leader Dmytro Yarosch
du mouvement ukrainien radical Secteur droit qui
jouerait sur le populisme, et risquerait d’enflammer l’Ukraine, ils ne peuvent
répétons-le soutenir Ioulia Timochenko , dirigeante du partie Batkivchtchina, elle ne
retient , selon certains sondage que 8 ,
2 % environ d’adhésion , et elle a perdu une grande partie de sa popularité d’autrefois,
les observateurs ne croient plus qu’elle puisse gagner , sa santé fragile fait douter de sa capacité à
gouverner le pays, elle peut encore jouer un rôle de « symbolique »
en exploitant sa notoriété ancienne, mais elle appartient au passé , aux élites
d’un passé révolu, font-ils remarquer.
Quand aux autres candidats potentiels cités, comme par exemple le champion de boxe leur expérience à gérer un pays en crise politique , financière et économique, pose des doutes.
Pour résumer il faudrait un homme de carrure politique capable de maintenir l’ordre social, de se montrer souple avec l’UE donc avec les Etats Unis , de plus avec le FMI , mais aussi capable de faire preuve de diplomatie en cas de changement politique en Europe face la Russie, bref un équilibriste sans filet !
En effet, il faut aussi souligner que l’humeur de l’UE est changeante, elle parle et promet
beaucoup , elle menace lla Russie, mais il faut
remarquer qu’il lui arrive de faire machine arrière, c’est ce qui est en
train de se produire concernant les sanctions envisagées contre la
Russie en raison du Rattachement de la
Crimée à la Fédération de Russie, en
effet ces sanctions d’après certaines
sources européennes ne retiennent
pas le consensus ou l’unanimité en
Europe, et certains pays européens les
remettent en cause..
Sur ce sujet l’élite politique européenne est divisée, alors
que certains pays de l’UE continuent de discuter de « nouvelles
sanctions » contre la Russie des voix
se font entendre en Europe contre cette politique coercitive, on cite le
député de Hongrie Bela Kovacs, qui juge incorrect « incorrect d’imposer des sanctions
à la Russie parce que le peuple de Crimée a réalisé son droit à
l’autodétermination ». et on ajoute que selon ce député, les sanctions sont simplement un moyen pour
intimider la Russie.
Par ailleurs Béla Kovâcs , député du parlement européen est aussi coprésident du groupe de travail
interparlementaire UE-Russie pour l’énergie, dans ce contexte il estime que les sanctions de l’UE pourraient être annulées après les élections de mai prochain au Parlement
Européen, pour sa part il estime
incorrect d’imposer des sanctions à la
Russie pour le seul fait que le peuple de Crimée a réalisé son droit à l’autodétermination,
un avis partagé par de plus en plus de
parlementaires européens., selon certaines sources.
D’autres pays ont renoncé officiellement dès à présent à
soutenir les sanctions contre la Russie. Par exemple en République tchèque des réunions ont lieu au sujet de la situation en
Ukraine, mais la question des sanctions n’est pas été soulevée, il est précisé que la chambre des députés du parlement tchèque a
refusé d’appliquer les sanctions économiques contre la Russie, ordonnées par
l’UE.
Les juristes
finlandais, eux, déclarent que les sanctions de l’UE sont absolument illégales
et anticonstitutionnelles, car seule une instance judiciaire légitime peut
décider une saisie de biens ou une restriction des déplacements. De tels
raisonnements sont en Finlande soutenus par des experts mais aussi au plus haut
niveau, a fait remarquer Johan Beckman politologue
finlandais .
Enfin une source autorisée a déclarée « La Finlande n’observe
aucun régime de sanctions. Notre président Monsieur Sauli Niinistö a déclaré que ni lui, ni les
autres politiques finlandais n’avaient l’intention d’annuler toutes les
rencontres au sommet, comme l’exige l’UE. »
Bien sur entre temps les pays du G7 continuent de s’agiter en
brandissant des sanctions comme dans un concours de surenchères, et le Président des Etats-Unis continue de
leur imposer sa ligne de conduite, en agitant des listes de sanctions , et les Etats-Unis du reste en appliquent déjà certaines
restrictions, on apprend que depuis le 1er
mars le Bureau de l’industrie et de la
sécurité auprès du ministère du commerce des Etats-Unis a suspendu une série de
marchés avec la Russie et cessé de délivrer à des sociétés américaines des
licences de commerce avec la Russie., et l’américain continue à exciter l’UE à
suivre son exemple, mais tout en s’agitant
dans leur bocal UE, les dirigeants des pays membres de l’UE
savent bien que d’autres pays continentaux européen poursuivent leurs relations diplomatiques et
commerciales énergétiques avec la Russie pour défendre les intérêts de leur
pays cela va de soi.
le Ministre des
affaires étrangères avait fait remarquer
récemment le possible préjudice qui se
retourneraient contre ceux qui qui tenteraient d’imposer des sanctions à la Russie , d’autant qu’en plus d’approvisionner
l’UE en énergie , la Russie consomme un
tiers des importations en provenance de l’Europe.
« L’Europe ne veut pas
mourir de froid en hiver. Pour cette raison, quelles que ne soient les
sanctions, aussi forte que soit la confrontation entre les pays européens et la
Russie, la construction du gazoduc South Stream se poursuit. L’accord sur ce
gazoduc avec Gazprom a été signé par des pays concrets et non par la Commission
Européenne. Ces pays défendent les intérêts de leurs peuples. En conséquence
les sanctions ne servent qu’à intimider », a encore expliqué explique le député
européen de la Hongrie Béla Kovács.
Nous ne pouvons que souhaiter que l’UE reviennent à une
attitude diplomatique responsable en
considérant les incertitudes politiques, sécuritaires qui planent d’une part
sur l’Ukraine, notamment sur les intentions
du futur Président Ukrainien qui sortira des urnes le 25 Mai et de son futur gouvernement,
effritement de l’efficacité des sanctions qui ne sont pas
retenues ni envisagées par certains pays européens , incertitude sur la composition du Parlement
Européen le 25 mai , et en plus en considération du risque dangereux qui pèse sur la communauté internationale par
la guerre continuelle que l’Américain Obama livre à Vladimir Poutine en se
servant de l’UE et sans se soucier des intérêts européens.
Ce qui est complètement inadmissible c'est que Patrick Obama ne cesse de s'acharner en pure perte et qu'il continue de déranger Vladimir Poutine au téléphone. ça devient de la schizophrénie, on a l'impression que quelque chose le ronge, quelqu'un en Europe de l'UE, je veux dire un dirigeant européen responsable ne peut-il le ramener à la raison ? Sont-ils tous devenus fous ?
REVUE DE PRESSE :
Source essentielle : Voix de la Russie
Source essentielle : Voix de la Russie
Ukraine, 29 Mars 2014
Ukraine, 27 Mars 2014
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