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22 décembre 2012

La fin du monde n'a pas eu lieu hier

Éditorial de lucienne magalie pons

La  fin du monde n’a pas eu lieu hier, mais la terre reste en danger du fait même du nucléaire et de la surpopulation  universelle.

Je n’y croyais pas et j’ai eu raison avec des millions et des millions de personnes qui ne croient pas aux prédictions sinistres de millier d’illuminés voyants, pseudo scientifiques et autres  prédicateurs psychopompes  qui  vivent dans la crainte ou l’espoir des  pires catastrophes  cosmiques en prédisant périodiquement la fin du monde.

Or en attendant l’apocalypse le seul danger qui  menace  la planète bleue  c’est le danger d’explosion  nucléaire qui peut emporter toute une région,    tuer des milliers de personnes  en laissant derrière elle une longue période de contamination pour les survivants.

Mais ceci est un fait admis par bon nombre d’illuminés politiques qui se refusent à condamner le nucléaire et qui freinent avec une  énergie  coupable la recherche et la mise en œuvre d’énergies non polluantes et pacifiques,  pour satisfaire les puissants prédateurs  financiers et industriels qui remplissent leurs coffres au mépris des populations.

Un autre danger réside dans la surpopulation de la terre en marche depuis des décennies,  alors que les ressources de la terre énergétiques et alimentaires  seront insuffisantes pour satisfaire les besoins de milliards d’individus,   mais là encore au lieu d’encourager la contraception ces mêmes dirigeants  et prédateurs font des campagnes contre la pilule pour promouvoir l’avortement criminel pour favoriser le bizness médical et avec les embryons sacrifiés se livrer à des recherches en laboratoires, une source de profit  non négligeable pour ces prédateurs complices.

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