Marine Le Pen s'explique fort justement sur les raisons pour lesquelles elle publié des photos de Daesch (note - vidéo )

Éditorial de lucienne magalie pons

Rappelons que Marine le Pen pour répondre aux journalistes qui dans leurs propos diffamatoires assimilaient le FN à Daesch Marine Le Pen  avait publié sur  les réseaux sociaux des photos des crime  commis  par le mouvement barbare et criminel Daesch, pour montrer l'outrance qu'il y a à comparer le Front National à Daech.

Poursuivie hier jeudi 17 décembre  dans les couloirs  du Parlement Européen de Strasbourg par   la meute  de journalistes  France 2 et autres chaînes  anti-FN  qui lui demandaient si elle regrettait d’avoir publié ces photos,  Marine le Pen à justement répondu  : ….."L'objectif était de mettre le nez de certains nombres de journalistes et de responsables politiques sur l'énormité et l'outrance qu'il y a à comparer le Front national et Daech …… Je n'admets pas que 7 millions d'électeurs français du Front national soient ramenés au rang d'assassins."

La présidente du Front national a retiré de son compte Twitter, jeudi 17 décembre, la photo du corps décapité de James Foley, otage américain exécuté par le groupe Etat islamique à la demande des parents du retrait de la photo de leur fils du compte Twitterde Marine Le Pen , mais   elle a conservé les autres. . "Moi, je ne savais pas que c'était la photo de James Foley. Quand j'ai appris que les parents réclamaient que je retire cette photo, je l'ai retirée, évidemment !"  a-t-elle dit, à  la question de savoir si elle enlèvera les autres photos postées et empruntées à la propagande de l'Etat islamiste, Marine Le Pen a répondu: "J'attends que ces familles m'appellent"

Extrait vidéo : 

Marine Le Pen ne retire pas les autres photos de l'EI de son compte Twitter : "J'attends que ces familles m'appellent"

Texte :

Une journaliste : qu’est-ce que vous dites aux  parents de James Foley ?

MLP : écoutez, moi je ne savais pas que c’était la photo de JamesFoley, quand j’ai appris que les parents voulaient que je retire la photo, je l’ai retirée, évidemment.

L’objectif était de mettre le nez d’un certain nombre de journalistes et responsables politiques sur l’énormité et l’outrance qu’il y a à comparer le FN et Daesh. Je n’admets pas cette situation ,  je n’admets pas que 7 millions d’électeurs FN soient ramenés au rang d’épouvantables assassins, je pense qu’il faut arrêter cela . Le meilleur moyen était de montrer justement aux journalistes ce que c’est vraiment Daesch, ce qui leur évitera d’utiliser cette comparaison qui encore une fois est indigne.

Plusieurs journalistes ensembles :  Vous ne regrettez pas cette publication choquante ?

MLP :  Ah bon ! Vous ne trouvez pas choquant de comparer 7 millions de Français électeurs FN avec une organisation terroriste ?, de gens qui tuent, qui décapitent, qui assassinent, vous ne trouvez pas ça violent ? Moi je trouve ça très violent, croyez moi…

Un journaliste : Violent .. ?

MLP : oui mais moi je vous ramène à la vraie question essentielle..

Un journaliste : vous ne regrettez pas la publication de ces photos Marine Le Pen ?

MLp : non je ne regrette pas la publication de ces photos, ça a attiré l’attention sur l’outrance épouvantable qu’il y a à comparer Daesch  au FN , cette situation doit cesser, cette situation doit cesser, et je pense que cette publication encore une fois, c’est faire la démonstration de cette outrance

Brouhaha des journalistes, Marine Le Pen poursuit son chemin suivie par les journalistes qui insistent

Marine le Pen leur lance : Laissez moi posez la question pour le petit Aylan, d’ailleurs hein, je vois que l’indignation est à géomérie variable.

Un journaliste insiste  encore : vous n’avez pas ….

MLP :non, je ne vous répondrai pas, non non , pas du tout, non

Enfin les journalistes la lâchent !

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  *  suite de notre éditorial :

Oui Marine le Pen , nous pensons comme vous que l’indignation est à géométrie variable.

Rappelons qu’une enquête préliminaire a été ouverte, mercredi, contre Marine Le Pen par le parquet de Nanterre (Hauts-de-Seine) pour "diffusion d'images violentes", après la publication sur son compte Twitter de trois photos de victimes du groupe Etat islamique.

Notons au passage qu’aucun  responsable  de la classe politique  exécutive ou parlementaire n’a demandé à ces journalistes de modérer ces propos diffamatoires outrageants et injurieux non seulement pour le Front National, premier parti de France en voix exprimées , mais aussi  pour ses électeurs qui représentent plus de 7  Millions de citoyens français qui méritent d'être respectés par ces journalistes,  qui se comportent comme des goujats de la pire espèce sans respect aussi pour les  auditeurs.