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17 février 2011

Trop sure d'elle, Madame Alliot-Marie se défend mal

Éditorial de lucienne magalie pons

Hier lors de la séance des questions au Gouvernement à l’Assemblée Nationale, Madame Alliot Marie a été questionnée par un député sur ses vacances en Tunisie et affaires incidentes, et deux autres députés ont posé au premier Ministre des questions sur les évènements tunisiens et les relations diplomatiques avec la Tunisie

En premier lieu c’est Monsieur Noel Mamère qui a pris la parole pour le groupe de la Gauche démocrate et républicaine. Avec certaine une gravité circonstancielle et en se gardant de se prononcer sur ce qui est « légal » ou « illégal », il posé sa question à Madame Alliot-Marie en développant ses arguments tout en évoquant la légitimité et la crédibilité de notre politique étrangère, pour conclure à la fin : Dans n’importe quel autre pays de l’Union européenne, on vous aurait demandé de démissionner. C’est ce que je vous demande aujourd’hui, madame ! 


En réponse, Mme Michèle Alliot-Marie, ministre d’État, a balayé la question en accusant d’emblée Monsieur Noël Mamère de répéter des mensonges, « Vous avez beau, monsieur Mamère, répéter des mensonges, cela n’en fait pas des vérités. Pendant que vous vous complaisez dans la polémique, moi, je travaille, et je travaille avec le Gouvernement, pour aider la Tunisie autant qu’elle le souhaitera., puis la Ministre a poursuivi en expliquant que « conformément aux orientations du Président de la République, le Premier ministre a présenté ce matin, en conseil des ministres, un plan de soutien à la Tunisie, élaboré en étroite relation avec un certain nombre de ministres tunisiens avec lesquels je travaille quasi-quotidiennement. »……, la Ministre a ensuite développé les intentions du Gouvernement pour « accompagner ce pays ami de la France dans sa nouvelle vie après la « révolution de jasmin », dans sa volonté de se reconstruire, de mettre en place la démocratie et l’État de droit et de lutter contre la corruption


Ce fut ensuite plus tard dans le cours du débat que revint à Monsieur Alain Vidalies pour le groupe Socialiste, Citoyen et Divers Gauche, le tour de questionner le Premier Ministre cette fois sur le voyage en avion offert à Madame Alliot-Marie lors de ses vacances en Tunisie par Monsieur Milled, mais ce député se vit répondre non pas par le Premier Ministre, mais par la Ministre elle-même, sans doute le Premier Ministre juge-t-il qu’on n’est jamais si bien servi que par soi-même en laissant à la Ministre le soin de se justifier elle-même … à moins qu’il n’ose pas s’avancer sur ce terrain « épineux » …….ou encore qu’il hésite à défendre ouvertement cette ministre si fortement contestée par l’opposition.


Dans sa réponse à Monsieur Vidalies Madame Alliot-Marie s’est exprimée cette fois en protestant : « depuis quelques semaines, certains médias et hommes de gauche passent ma vie tant publique que privée au peigne fin. Faute d’y avoir trouvé quoi que ce soit d’illégal à me reprocher, c’est aujourd’hui sur la vie privée de mes parents, qui ont quatre-vingt-douze ans, que l’on enquête……..Ont-ils fait quelque chose d’illégal ? Non !
Il revenait ensuite à M. François Loncle de questionner le Premier Ministre sur les évènements de Tunisie et d’Égypte qui d’après ce Député ont jeté le discrédit sur la diplomatie Française, mais là encore le Premier Ministre a laissé à Madame Alliot Marie le soin de répondre. 


Conclusion : La défense et les explications de Madame Alliot-Marie tiennent en trois points qu’elle a développés dans ses réponses, ce qui lui est reproché c'est d’après elle des mensonges, des accusations indignes, des attaques, des injures, elle insiste très particulièrement sur son travail et les intentions du Gouvernement en accusant l’opposition de ne pas avoir de programme à proposer, elle accuse les socialistes de ne pas avoir exclu à temps Ben Ali de L’international Socialiste, 


Ces arguments de défense sont faibles, elle ne peut nier avoir passé ses vacances en Tunisie, avoir profité d’ invitation répétée dans l’avion de Monsieur Milled, elle ne peut nier que les affaires de ses parents sont liées avec ce même voyage et avec ce même ami Tunisien, lorsqu’elle insiste sur son travail de ministre en accusant l’opposition de ne pas avoir de programme c’est tout à fait gratuit, même si l’opposition a un programme il est généralement ignoré du Gouvernement qui applique le sien autoritairement, enfin quand elle accuse les socialistes de ne pas avoir exclu Ben Ali de l’Internationale Socialiste elle joue volontairement sur la confusion, en effet il n’appartient pas au Parti socialiste Français de décider seul d’exclure tel ou tel personnalité de l’Internationale Socialiste.


Enfin Madame Alliot-Marie ne peut nier qu’elle n’a plus la côte en Tunisie, puisque comme l’a évoqué François Loncle, les louanges qu’un Ministre Tunisien Monsieur Ahmed Ouïanes avait décernées à Madame Alliot-Marie lors de sa visite à Paris le 4 Février ont révolté ses compatriotes à tel point et que ce Ministre Tunisien a été démissionné !

Extraits des débats - les questions et les réponses


Voici ci-dessous l’échange entre Monsieur Noël Mamère et Madame Alliot-Marie tel qu’il ressort du compte rendu provisoire des débats figurant sur le site de l’Assemblée Nationale, agrémenté des exclamations de certains députés

« M. Noël Mamère : Ma question s’adresse à Mme la ministre d’État, ministre des affaires étrangères.
Il y a des moments où l’on aimerait ne pas poser la question que je vais vous poser

(Vives exclamations sur les bancs du groupe UMP),…

M. Richard Mallié : Alors ne la posez pas !

M. Noël Mamère : …tant il est vrai que, lorsque nous abordons ces sujets, nous ne faisons que nourrir la rhétorique du « tous pourris ! » – alors même que nous ne sommes pas « tous pourris ».

Mais, dans une République qui se veut irréprochable, il y a des choses qu’on ne fait pas. Je n’ai pas à juger ici de ce qui légal ou illégal (Exclamations sur les bancs du groupe UMP), je me place au plan des principes : vous êtes au plus haut sommet de l’État, ministre d’État, ministre des affaires étrangères, et vous bénéficiez des libéralités d’un des hommes les plus proches du régime tunisien (Même mouvement) au moment même où ont lieu des émeutes, et quelques jours après qu’un jeune homme s’est immolé, ouvrant la voie aux manifestations et à la libération du peuple tunisien.

Vous avez donc été victime d’une sorte d’aveuglement qui n’est que le révélateur de relations incestueuses entretenues depuis plus de vingt-trois ans, non seulement par le gouvernement auquel vous appartenez, par tous les pouvoirs qui se sont succédé depuis vingt-trois ans. Nous sommes très loin de ces affaires de cigares, de permis de construire ou de médailles
.
(Nouvelles exclamations sur les bancs du groupe UMP.)

M. Richard Mallié : Provocateur !

M. Noël Mamère. Il s’agit de deux représentants du Gouvernement enchaînant les contrevérités et les dénégations, et qui se sont faits les complices d’un régime chassé par le peuple.
(Vives exclamations sur les bancs du groupe UMP.)
Ce qui est en cause aujourd’hui, c’est la légitimité et la crédibilité de notre politique étrangère. Dans n’importe quel autre pays de l’Union européenne, on vous aurait demandé de démissionner. C’est ce que je vous demande aujourd’hui, madame !

(Applaudissements sur les bancs du groupe GDR et sur de nombreux bancs du groupe SRC.)
M. le président : La parole est à Mme la ministre d’État, ministre des affaires étrangères et européennes.
Mme Michèle Alliot-Marie, Ministre d’État : Vous avez beau, monsieur Mamère, répéter des mensonges, cela n’en fait pas des vérités. (Exclamations sur les bancs des groupes GDR et SRC.) Pendant que vous vous complaisez dans la polémique, moi, je travaille (Même mouvement), et je travaille avec le Gouvernement, pour aider la Tunisie autant qu’elle le souhaitera.

M. Bernard Roman : Un autre ton, s’il vous plaît ! Un peu de modestie !

Mme Michèle Alliot-Marie, ministre d’État. : Conformément aux orientations du Président de la République, le Premier ministre a présenté ce matin, en conseil des ministres, un plan de soutien à la Tunisie, élaboré en étroite relation avec un certain nombre de ministres tunisiens avec lesquels je travaille quasi-quotidiennement.

Il s’agit effectivement d’accompagner ce pays ami de la France dans sa nouvelle vie après la « révolution de jasmin », dans sa volonté de se reconstruire, de mettre en place la démocratie et l’État de droit et de lutter contre la corruption. Il s’agit de contribuer à la modernisation de l’économie et au développement de l’emploi, pour résoudre les vrais problèmes des Tunisiens. Il s’agit de multiplier les contacts entre la société civile et les ONG en investissant davantage dans le domaine de la francophonie et en aidant au développement des médias. Ce plan est conçu en plein accord avec les autorités tunisiennes ; d’ailleurs, plusieurs ministres français vont se rendre la semaine prochaine en Tunisie pour discuter avec les Tunisiens de sa mise en œuvre.

Les événements qui se passent dans le monde arabe nous imposent de changer notre grille de lecture à l’égard des pays proches et des pays amis. (Exclamations sur les bancs des groupes SRC et GDR.)
M. Bruno Le Roux. Ça, c’est sûr !
Mme Michèle Alliot-Marie, ministre d’État. Leurs aspirations à la liberté, à la démocratie, au développement économique et social nous obligent. Nous avons une responsabilité envers eux. Nous, nous l’assumons ; ce ne sont pas vos propos qui permettent de répondre aux enjeux de la situation. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP et sur plusieurs bancs du groupe NC.

ooOoo

Voici donc ci-dessous l’échange entre Monsieur Vidalies et Madame Alliot Marie tel qu’il ressort du compte rendu provisoire des débats, tel qu’il figure sur le site de l’Assemblée Nationale :

M. Alain Vidalies : Ma question s’adresse à M. le Premier ministre.

M. Miled, un des hommes les plus riches de Tunisie, a eu la gentillesse de proposer à Mme la ministre des affaires étrangères un transport amical en avion sur le tarmac de Tunis – ce même avion a d’ailleurs servi le 14 janvier à la fuite vers Paris d’une partie de la famille de M. Ben Ali.

Or nous apprenons aujourd’hui qu’en fait, ce voyage d’agrément était aussi un voyage d’affaires destiné à l’achat, par les parents de la ministre, de parts d’une société immobilière appartenant à M. Miled. Ainsi, M. Miled ne transportait pas gratuitement des amis, mais des partenaires intéressés dans une affaire !
M. Bernard Roman : Il y a conflit d’intérêts !

M. Alain Vidalies. : Je suppose que personne ne va soutenir que la réalisation de cette opération financière s’est décidée spontanément dans l’avion, mis spontanément à disposition, alors qu’elle supposait, en droit tunisien, l’accord préalable du ministre de l’intérieur.

M. Bernard Roman : Eh oui !

M. Alain Vidalies : Mme la ministre adapte ses explications au fur et à mesure des révélations sur la réalité des modalités et du contenu de ce voyage.

M. André Wojciechowski : N’importe quoi !

M. Alain Vidalies : Mme la ministre n’est pas responsable des amis de ses amis. Mme la ministre n’est pas responsable des opérations financières de ses parents. Au fond, Mme la ministre n’est responsable de rien…
Mais la France est responsable de sa diplomatie. Tous les Français comprennent que l’image de notre pays est abîmée par cette affaire. Le peuple tunisien, qui s’est libéré dans le sang du joug du dictateur, ne peut oublier que, le 12 janvier, dans cet hémicycle, la seule réponse du Gouvernement fut de proposer notre savoir-faire pour régler la question sécuritaire.

Les questions d’éthique personnelle renvoient à la responsabilité personnelle de chacun, mais la question politique renvoie à la responsabilité politique.

Aujourd’hui, c’est la vôtre, celle de la majorité, du Gouvernement et du Président de la République. (Vifs applaudissements sur les bancs du groupe SRC. – Applaudissements sur plusieurs bancs du groupe GDR.)

M. le président : La parole est à Mme la ministre d’État, ministre des affaires étrangères et européennes.

Mme Michèle Alliot-Marie : Monsieur le député, depuis quelques semaines, certains médias et hommes de gauche passent ma vie tant publique que privée au peigne fin. Faute d’y avoir trouvé quoi que ce soit d’illégal à me reprocher, c’est aujourd’hui sur la vie privée de mes parents, qui ont quatre-vingt-douze ans, que l’on enquête. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Ont-ils fait quelque chose d’illégal ? Non !

Cette campagne, monsieur le député, est indigne. Je veux vous dire tout simplement et très sincèrement combien je regrette que vous ayez la petitesse, l’abjection (Exclamations sur les bancs du groupe SRC) d’utiliser mes parents pour vous en prendre à moi et m’attaquer politiquement. (Applaudissements sur de nombreux bancs du groupe UMP. – Vives exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Monsieur le député, à mes yeux, la politique, c’est autre chose.

Plusieurs députés du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche. Et les affaires ?

Mme Michèle Alliot-Marie, ministre d’État. : Pour ma part, je ne rappellerai pas ce qui s’est passé du temps de M. Mitterrand : il y aurait sans doute beaucoup à dire.

Mme Annick Lepetit. : Mais parlez ! Allez-y !

Mme Michèle Alliot-Marie, ministre d’État : Moi, quand je pose des questions, ce sont de vraies questions, des questions politiques, celles qui concernent vos choix, votre morale, votre responsabilité politique.

M. Bruno Le Roux. Nous, ce sont plutôt de vraies réponses que nous demandons !

Mme Michèle Alliot-Marie, ministre d’État. : Alors, monsieur le député, puisque vous avez l’indignation si sélective et la mémoire si courte, je vous repose la question : si M. Ben Ali était aussi infréquentable, pourquoi avez-vous attendu son départ pour l’exclure de l’Internationale socialiste, et même, trois jours après ? (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP. - Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Si M. Ben Ali et ses amis étaient infréquentables, pourquoi avez-vous invité deux membres du parti au mois de novembre à votre conseil à Paris ? Si vous tenez tant aux principes et au respect des peuples, pourquoi M. Gbagbo et son parti sont-ils toujours à l’Internationale socialiste, alors qu’ils dénient la volonté des Ivoiriens ? Voilà de véritables questions ! (Applaudissements sur de nombreux bancs du groupe UMP. –

Plusieurs députés du groupe UMP se lèvent et applaudissent. 

Exclamations sur les bancs des groupes SRC et GDR.)

Voici ci-dessous l’échange entre Monsieur François Loncle et Madame Alliot-Marie, tel qu’il ressort du compte rendu provisoire des débats sur le site de l’Assemblée Nationale : 

M. François Loncle : Monsieur le Premier ministre, à défaut de nous répondre sur la forme, peut-être accepterez-vous de nous répondre sur le fond.

Les événements de Tunisie (Exclamations sur les bancs du groupe UMP) et d’Égypte ont jeté le discrédit sur la diplomatie française. Ils en ont révélé ses silences honteux, ses hésitations embarrassées, ses propositions saugrenues, ses revirements à contretemps.

Au-delà des extravagances excellemment évoquées par Alain Vidalies, il y a des raisons profondes à l’abaissement de la diplomatie française. Il résulte tout d’abord de l’absence patente de ligne politique claire, de dessein adapté au moment de notre histoire.

M. Yves Nicolin : Assez de leçons !

M. François Loncle : Il est ensuite le fruit des dysfonctionnements constants au sein de l’appareil d’État entre la cellule diplomatique de l’Élysée, omnipotente, et un Quai d’Orsay à la dérive. Il est enfin la conséquence du déséquilibre flagrant entre les valeurs humanistes portées historiquement par la France et les excès de la realpolitik.

L’image de la France dans le monde, en particulier dans les pays arabes et africains, est profondément dégradée. Notre capacité d’action semble avoir sombré avec les régimes de M. Ben Ali et de M. Moubarak.
Le discrédit de la France est si grand qu’il a contraint un ministre tunisien à démissionner. « Un rêve devenu réalité », voilà comment le ministre des affaires étrangères de Tunisie, M. Ahmed Ounaïes, avait qualifié le 4 février sa rencontre à Paris avec son homologue français. Ce rêve a vite tourné au cauchemar : les louanges qu’il avait adressées à notre ministre des affaires étrangères ont révolté ses compatriotes, qui n’avaient pas oublié que la France avait proposé à Ben Ali son « savoir-faire » en matière de maintien de l’ordre. Alors qu’il occupait ce poste depuis seulement deux semaines, le ministre tunisien n’a pas tardé à tirer les conséquences logiques de sa bévue…

M. le président : La parole est à Mme la ministre d’État, ministre des affaires étrangères et européennes.

Mme Michèle Alliot-Marie, ministre d’État : Monsieur le député, vous me prêtez un bien grand pouvoir, celui de défaire les gouvernements étrangers. Je ne me connaissais pas un tel pouvoir ! En tout cas, ni vos attaques ni vos injures ne me détourneront de la tâche qui m’incombe.

M. Jacques Desallangre. Cela ne s’améliore pas !

Mme Michèle Alliot-Marie, ministre d’État : Pendant que vous vous égosillez, nous travaillons, nous, sur des sujets sur lesquels on ne vous entend pas. (Protestations sur les bancs du groupe SRC.) Il y a, en effet, de grands sujets sur lesquels vous êtes totalement muets, mesdames, messieurs les députés de l’opposition.
M. Christian Hutin. Démission !

Mme Michèle Alliot-Marie, ministre d’État : Vous êtes muets, par exemple, sur la Côte-d’Ivoire. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Je comprends que vous ne soyez pas très à l’aise puisque vous n’avez toujours pas exclu M. Gbagbo de l’Internationale socialiste (Mêmes mouvements) alors qu’il dénie totalement la démocratie et les élections.

M. Christian Hutin : Vous êtes discréditée !

Mme Michèle Alliot-Marie, ministre d’État : Quand le Gouvernement prépare l’aide et le soutien que la France entend apporter à la Tunisie comme à l’Égypte dans leur démarche démocratique, on ne vous entend pas non plus, vous n’avez aucune proposition à faire.

Sur le processus de paix au Moyen-Orient, quand je suis en contact deux ou trois fois par semaine aussi bien avec Mme Clinton qu’avec le Président palestinien ou son Premier ministre, le Président ou le Premier ministre israélien, on ne vous entend pas, vous n’avez aucune proposition. (Protestations sur les bancs du groupe SRC.)

M. Jean-Paul Leco : Vous non plus !

Mme Michèle Alliot-Marie, ministre d’État : Quand nous travaillons sur l’aide au développement pour l’Afrique (Exclamations sur les bancs du groupe SRC), comme l’a fait le Président de la République hier, et comme je l’ai fait moi-même en recevant à dîner l’Africa Progress Panel, vous restez muets. (« Démission ! Démission ! » sur les bancs du groupe SRC.)

Sur ces sujets, comme sur les sujets français, vous faites plein de déclarations lénifiantes mais vous n’avez aucun projet à proposer. 

(Applaudissements sur les bancs du groupe UMP. – 

Exclamations sur les bancs des groupes SRC et GDR.)

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TF1
· Nessus
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