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17 janvier 2017

15 janvier 2017 ; Et si nous revenions sur le 2me débat de la Primaire de la gauche ?

Éditorial de lucienne magalie pons

Pour Information :

Deuxième épisode du feuilleton politique rose "  La Belle Alliance Populaire" …le deuxième débat de la primaire de gauche réunissait dimanche  soir 15 Janvier , pour la seconde fois  les « sept candidats »

 Arbitré par Ruth Elkrief et Laurent Neumann de BFMTV, ainsi que Laurence Ferrari d'iTélé, au Studio Gabriel à Paris , ce 2ème débat porte sur  l'Europe et ses frontières, l'environnement, l'éducation, mais  aussi sur une question d'actualité portant sur la France "dans un monde nouveau". Les participants sont appelés aussi à s’exprimer sur la question "quel président de gauche ?", » l'exercice du pouvoir » ,  et leur "ligne politique."

note importante : Les vidéos se déclenchent  spontanément d'elle- mêmes, il faut donc bloquer le son de la seconde dès son ouverture pour pouvoir les écouter dans l'ordre 

* Vidéo de la  première partie :



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*Vidéo de la deuxième partie :


 

Mon commentaire : 

Les bons cuisiniers et pâtissiers le savent bien, quand la température du four n'est pas bien réglée le gâteau ou le soufflé ne monte pas et c'est raté, il faut le jeter et recommencer l'opération,  et c'est bien ce qui  est arrivé le 12 janvier pour le premier débat de la Primaire de gauche tant l'atonie des idées et des interventions "réservées" avaient terni le plateau des échanges
.

Les médias qui avaient jugé le premier débat  du 12 janvier soporifique, fastidieux, ennuyeux etc.. dans la même gamme,   s'attendaient à mieux pour le second d'hier dimanche 15 janvier, mais ce n'est  qu'un petit  plus  d'animations dans les échanges avec quelques contradictions, et désaccords, mais en  évitant tout affrontement , qui a été observé dans les propos des candidats, , avec à la fin  une dose d'humour hypocrite dans  la conclusion, qui a été ressentie  lorsque les candidats se sont expliqués sur ce qu'ils aurait l'intention de faire s'ils étaient battus au dernier tour de la Primaire de la gauche du 29 janvier.

Donc  on ne peut pas dire que l'exercice était   réussi et finalement comme pour la première mouture du 12 janvier,  la seconde mouture du 15 janvier n'a emballé personne, et   aucun candidat n'a  vraiment émergé du lot, quelques médias citent Arnaud Montebourg, mais d'autres médias  les plus nombreux restent réservés sur ce sujet et des rumeurs laissent entendre qu'ils observent plutôt la montée du rival commun aux 7 candidats ,  et se préparent à soutenir Emmanuel Macron. 

Les médias estiment  cependant que ce débat  était moins soporifiques que le précédent, et un éditorialiste écrit " à peine moins soporifique que le premier mais toujours  mou du genou".

Pour ma part, j'ai trouvé que les candidats se comportent comme des observateurs et  des commentateurs avisés et  parfois critiques  sur la manière dont les affaires évoquées ont été conduites et qu'il entendent réformer, mais  que lorsqu'ils s'avisent de dévoiler  leurs intentions chacun d'entre eux développe ou s'envole en développant   des idées beaucoup plus idéologiques pour ne pas dire utopiques  irréalisables.  

Pour l’anecdote  on apprenait  que François Hollande avait préféré se rendre à un spectacle de Michel Drucker plutôt que de voir en Direct l'émission et qu'il la verrait plus tard en différé.

A noter toutefois qu'un  clash entre Laurence Ferrari, modératrice de l’émission et Arnaud Montebourg a troublé  le débat, en effet, nous résumons,  à un certain moment  Arnaud Monteboug a mis en cause les médias qui ont détruit le pluralisme, et le mur des puissants sur lesquels des gouvernements se sont fracassés,  Laurence Ferrari alors  s’est élevé contre ses propos , Arnaud Montebourg  a rétorqué : "Il y a même le propriétaire de votre chaîne ( ndlr : iTélé) qui a détruit son outil de travail pour empêcher le pluralisme", cet échange que vous verrez en intégralité dans la vidéo  a  immédiatement déclenché  sur les réseaux sociaux, notamment twitter, une polémique  dans laquelle des personnalités  d'iTélé comme Audrey  Pulvar , et d'autres, se sont lâchés.


REVUE DE PRESSE (  articles traitant directement du 2ème débat  article liés)
L'Obs - ‎il y a 2 heures‎
Les sept candidats à la primaire du PS pour la présidentielle se sont montrés 
"moins soporifiques" lors de leur deuxième débat dimanche mais restent 
dans "l'ombre" menaçante d'Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon,
 estime la presse ce lundi.

Europe1 - ‎il y a 1 heure‎
La presse quotidienne revient ce lundi sur le second débat 
de la primaire de la gauche qui s'est déroulé hier. Ce matin en 
Une de vos journaux, on ne peut pas dire que le débat d'hier soir 
sature l'espace. L'Humanité : Voitures : les alternatives pour ...
RFI - ‎il y a 1 heure‎
La question revient, lancinante, dans les journaux, après les débats
 télévisés de jeudi et d'hier dimanche entre les sept candidat de la 
primaire du PS. Pour Le Figaro, la messe est dite… « Ci-gît le PS »,
 lance le quotidien d'opposition. « Les ...
Boursier.com - ‎il y a 3 heures‎
PARIS (Reuters) - Fort de ses 500 promesses de parrainages et porté
 par les sondages qui le placent devant le candidat socialiste, le co-fondateur 
du Parti de gauche Jean-Luc Mélenchon sonne la charge contre la présidente
 du Front national Marine Le ...
RTBF - ‎il y a 1 heure‎
Le deuxième débat télévisé de la primaire à gauche a eu lieu ce dimanche soir en France. Alors que la droite a son champion, en la personne de François Fillon, pas facile pour le PS français d'exister. Le sujet a été évoqué ce lundi dans Matin Première ...

Éditorial

Ouest-France - ‎il y a 4 heures‎
Dimanche 15 janvier a eu lieu le deuxième débat de la primaire de gauche. | EPA/MAXPPP. Réagir; Facebook; Twitter; Google+; Lire le journal numérique. Michel Urvoy. Ce n'est pas parce que la probabilité de voir un des sept candidats de la primaire ...
La Croix - ‎il y a 20 heures‎
CARNETS DE LA PRIMAIRE J-7 Les sept candidats à la primaire organisée par le parti socialiste débattent à nouveau ce dimanche 15 janvier. À une semaine du premier tour, le PS redoute une faible participation alors que la poussée d'Emmanuel Macron ...

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