Éditorial de lucienne magalie pons
Même pas peur !
Oubliée la menace de nettoyage au Karcher de 2005 qui a avortée et qui n’a pas produit d’effet notable sur les « petits voyous » fauteurs de troubles, Nicolas Sarkozy vient de changer de stratégie, désormais il apparaît sur les terrains « sensibles » en commando pacifique surprise là où en principe hier mercredi soir personne ne l’attendait !
C’est ainsi que Mercredi soir il s’est déplacé, accompagné d’une escorte composée notamment du ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, du préfet de police, Michel Gaudin, du directeur général de la police nationale, Frédéric Péchenard, et du préfet de Seine-Saint-Denis, Christian Lambert, de quelques médias triés sur le volet et de forces de protection estimée à 500 CRS pour investir en « visite surprise » de près de trois heures la Seine-Saint-Denis.
De 21h00 à près de minuit, le chef de l'État et son escorte ont parcouru ce département « sensible » touché par la délinquance
Le Chef de l’État comme un parrain qui vient en force par surprise sur le terrain pour intimider des demi-sels, et protéger leurs victimes, a débuté sa virée nocturne du département à Tremblay-en-France, pour visiter, une nouvelle fois depuis Avril dernier les dépôts de bus des Transports rapides automobiles (TRA) et du CIF (Courrier de l'Île-de-France), vandalisés à la fin du mois de mars par les « petits voyous » terme consacré il y a quelques temps par Brice Hortefeux , en fait de grands gaillards casseurs caillasseurs et incendiaires cagoulés ou casquettés en verlan !
A Tremblay-en-France, pendant une demi-heure, il a discuté avec les conducteurs de bus, qui avaient usé de leur droit de retrait, lors du caillassage et de l'incendie de deux de leurs véhicules, le 31 mars dernier. Les conducteurs de bus avaient déjà été reçus par le président à l'Élysée le 2 avril dernier et de nouveau ils ont présenté leurs doléances agrémentées des faits nouveaux intervenus entre-temps.
Nicolas Sarkozy s’est ensuite invité à la gare SNCF de Saint-Denis, où il a papoté avec les patrouilles de police, avant de bavarder avec des passants et des commerçants aux abords de la gare, pour rendre visite ensuite au poste de police de Saint-Denis qui héberge le service régional de la police des transports.
Restait à investir avec bravoure les 4000 à la Courneuve, pris de surprise dans leur « paisibles occupations » par une escorte Présidentielle protégée par 500 CRS? les « petits voyous » de cet ensemble ultra- sensible, ont eu la prudence de s’en tenir à dialoguer les yeux dans les yeux avec leur Illustre visiteur surprise.
Selon un proche de l’escorte, le Chef de l’État a parlé avec des unités de sécurisation au pied de la Tour Balzac, qui devrait être détruite prochainement , et ensuite il a discuté avec des jeunes dans des halls d’immeuble principalement de questions de recherches d’emploi mais aussi des trafics de drogue qui infestent la cité de La Courneuve.
D’après les médias, le président de la République a fait étape au commissariat de La Courneuve où il s'est fait présenter le dispositif de lutte contre les stupéfiants, ainsi que les saisies d'armes et de stupéfiants. Le maire communiste de la ville, Gilles Poux, était présent. Nous ne savons pas si cette étape est intervenue avant ou après les contacts avec les jeunes de La Courneuve.
Nous ne savons pas non plus si les parents des jeunes sont venus dialoguer avec les hautes autorités de l’État.
Un incident très regrettable a perturbé cette escapade nocturne dans le Département, un jeune de 21 ans a été interpellé mercredi peu avant 23H00 à la Courneuve (Seine-Saint-Denis) pour avoir insulté le président Nicolas Sarkozy
Selon la police, "Le jeune homme devrait être poursuivi pour insultes au chef de l'État.
Le jeune homme, "déjà condamné pour des affaires de stupéfiants, conduite sans permis, violence, rebellions", s'est débattu lors de son interpellation par la police locale et a été blessé, ce qui lui a valu neuf jours d'incapacité totale de travail, et selon la police, il était toujours en garde à vue pour rebellions ce jeudi matin.
Conclusions primaires entendues ce matin à La Courneuve, rapportée par un blogueur, 1) « Il ne veut pas laisser la vedette à De Villepin, il a du retard à l'allumage » …2) Quel courage ! il se ballade en catimini la nuit avec 500 CRS.
autres réactions :
Même pas peur !
Oubliée la menace de nettoyage au Karcher de 2005 qui a avortée et qui n’a pas produit d’effet notable sur les « petits voyous » fauteurs de troubles, Nicolas Sarkozy vient de changer de stratégie, désormais il apparaît sur les terrains « sensibles » en commando pacifique surprise là où en principe hier mercredi soir personne ne l’attendait !
C’est ainsi que Mercredi soir il s’est déplacé, accompagné d’une escorte composée notamment du ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, du préfet de police, Michel Gaudin, du directeur général de la police nationale, Frédéric Péchenard, et du préfet de Seine-Saint-Denis, Christian Lambert, de quelques médias triés sur le volet et de forces de protection estimée à 500 CRS pour investir en « visite surprise » de près de trois heures la Seine-Saint-Denis.
De 21h00 à près de minuit, le chef de l'État et son escorte ont parcouru ce département « sensible » touché par la délinquance
Le Chef de l’État comme un parrain qui vient en force par surprise sur le terrain pour intimider des demi-sels, et protéger leurs victimes, a débuté sa virée nocturne du département à Tremblay-en-France, pour visiter, une nouvelle fois depuis Avril dernier les dépôts de bus des Transports rapides automobiles (TRA) et du CIF (Courrier de l'Île-de-France), vandalisés à la fin du mois de mars par les « petits voyous » terme consacré il y a quelques temps par Brice Hortefeux , en fait de grands gaillards casseurs caillasseurs et incendiaires cagoulés ou casquettés en verlan !
A Tremblay-en-France, pendant une demi-heure, il a discuté avec les conducteurs de bus, qui avaient usé de leur droit de retrait, lors du caillassage et de l'incendie de deux de leurs véhicules, le 31 mars dernier. Les conducteurs de bus avaient déjà été reçus par le président à l'Élysée le 2 avril dernier et de nouveau ils ont présenté leurs doléances agrémentées des faits nouveaux intervenus entre-temps.
Nicolas Sarkozy s’est ensuite invité à la gare SNCF de Saint-Denis, où il a papoté avec les patrouilles de police, avant de bavarder avec des passants et des commerçants aux abords de la gare, pour rendre visite ensuite au poste de police de Saint-Denis qui héberge le service régional de la police des transports.
Restait à investir avec bravoure les 4000 à la Courneuve, pris de surprise dans leur « paisibles occupations » par une escorte Présidentielle protégée par 500 CRS? les « petits voyous » de cet ensemble ultra- sensible, ont eu la prudence de s’en tenir à dialoguer les yeux dans les yeux avec leur Illustre visiteur surprise.
Selon un proche de l’escorte, le Chef de l’État a parlé avec des unités de sécurisation au pied de la Tour Balzac, qui devrait être détruite prochainement , et ensuite il a discuté avec des jeunes dans des halls d’immeuble principalement de questions de recherches d’emploi mais aussi des trafics de drogue qui infestent la cité de La Courneuve.
D’après les médias, le président de la République a fait étape au commissariat de La Courneuve où il s'est fait présenter le dispositif de lutte contre les stupéfiants, ainsi que les saisies d'armes et de stupéfiants. Le maire communiste de la ville, Gilles Poux, était présent. Nous ne savons pas si cette étape est intervenue avant ou après les contacts avec les jeunes de La Courneuve.
Nous ne savons pas non plus si les parents des jeunes sont venus dialoguer avec les hautes autorités de l’État.
Un incident très regrettable a perturbé cette escapade nocturne dans le Département, un jeune de 21 ans a été interpellé mercredi peu avant 23H00 à la Courneuve (Seine-Saint-Denis) pour avoir insulté le président Nicolas Sarkozy
Selon la police, "Le jeune homme devrait être poursuivi pour insultes au chef de l'État.
Le jeune homme, "déjà condamné pour des affaires de stupéfiants, conduite sans permis, violence, rebellions", s'est débattu lors de son interpellation par la police locale et a été blessé, ce qui lui a valu neuf jours d'incapacité totale de travail, et selon la police, il était toujours en garde à vue pour rebellions ce jeudi matin.
Conclusions primaires entendues ce matin à La Courneuve, rapportée par un blogueur, 1) « Il ne veut pas laisser la vedette à De Villepin, il a du retard à l'allumage » …2) Quel courage ! il se ballade en catimini la nuit avec 500 CRS.
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