Depuis mon précédent article du 7 novembre (sur le présent blog) intitulé "Existentialisme social aux frais de la Princesse CAF et de la Reine France", la justice s'est prononcée et je vous demande de prendre connaissance ci-dessous de mon opinion personnelle sur ce sujet qui heurte mon sens juridique, en ce sens qu'il s'agit bien plutôt d'une accommodation laxiste que d'une décision.
Suite de mon article sur l’Enfant abandonné de Marseille -
14 novembre 2008
Depuis mon dernier article sur le sujet, l'enfant a été restitué à sa prétendue « mère adoptive" et son avocate s'emploie désormais à faire régulariser cette situation irrégulière d'état civil en France par des lois françaises ! Ainsi pour finalité de cette régularisation, cette femme pourra voir s'arrondir ses prestations familiales. La justice à mon sens a été laxiste et permissive, il s'agit d'une transgression inacceptable de nos lois, et cette « accommodation » est une décision qui ouvre la porte à tous les abus.
Si cela s'était passé dans une famille française la mère aurait été mise en examen, en détention provisoire, jugée et condamnée pour délaissement ou même abandon d'enfant. Que faut-il en conclure ?
Pour ma part je vois que la justice française s'achemine vers une inégalité de droit entre les Français et les immigrés musulmans et que ces derniers désormais, avec l'aide de leurs avocats et défenseurs politiques vont nous imposer des rendus de jugement alignés sur les règles de la charia.
Personne en France ou en Algérie ne s'est avisé de rechercher les véritables parents de l'enfant, la mère adoptive qui n'en est plus à un mensonge prêt, assure maintenant que c'est une de ses amies qui le lui a donné ou confié ! Une donation d'enfant n'est pas légale en France, ça n'a pas l'air d'inquiéter nos juges, je crois rêver.
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