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18 septembre 2007

Bernard KOUCHNER ET LE DOSSIER NUCLEAIRE IRANIEN






LES EMPORTEMENTS DE MONSIEURS KOUCHNER

SUR LE DOSSIER NUCLEAIRE IRANIEN

Revue de presse de Lucienne Magalie Pons (assortie de quelques commentaires)

Préambule et rappel des faits :

Depuis l'élection de Nicolas Sarkozy, la France a enchaîné les appels à une plus grande fermeté de la communauté internationale, et particulièrement de l'Union européenne, envers l'Iran. Paris a demandé des sanctions supplémentaires contre Téhéran s'il persistait dans son refus de suspendre ses activités d'enrichissement d'uranium.

Dans son discours du 27 août 2007 à la conférence des ambassadeurs, Nicolas Sarkozy avait évoqué la possibilité de "sanctions croissantes" si Téhéran ne se conforme pas aux résolutions de l'ONU. "Cette démarche est la seule qui puisse nous permettre d'échapper à une alternative catastrophique: la bombe iranienne ou le bombardement de l'Iran", avait alors estimé le président français.

Le Dimanche 16 septembre 2007, Bernard KOUCHNER relance « vivement » le débat :

«Il faut se préparer au pire", à savoir "la guerre", …….. a déclaré dimanche soir Bernard Kouchner lors du Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI. ……. si des sanctions se révélaient insuffisantes pour convaincre Téhéran de suspendre son programme nucléaire.

-Les Etats-Unis de leur côté déclaraient le même jour qu'ils privilégiaient toujours la voie diplomatique, par le biais de sanctions, sans toutefois exclure l'option militaire.-

A la suite des propos alarmants de Bernard KOUCHNER, Lundi 17 septembre, le Premier ministre François Fillon a estimé que la "tension était à son extrême" avec l'Iran en raison de la crise nucléaire, tout en affirmant que la diplomatie avait encore sa place.

"Les Iraniens doivent comprendre que la tension est à son extrême et en particulier dans la région, dans la relation entre l'Iran et ses voisins, dans la relation avec Israël"….. "Nous sommes dans une situation de très grande tension" a-t-il dit.

"Une confrontation avec l'Iran serait la dernière extrémité que n'importe quel responsable politique doit souhaiter", a-t-il déclaré, jugeant notamment que "les sanctions (imposées à Téhéran) n'ont pas été jusqu'au bout".

"Tout doit être fait pour éviter la guerre. Le rôle de la France est de conduire vers une solution pacifique une situation qui serait extrêmement dangereuse pour le reste du monde", a ajouté M. Fillon.

M. Fillon parlait à la presse à l'issue d'une visite au 1er Régiment d'infanterie de marine (Rima), basé à Angoulême, sa première visite aux armées depuis sa nomination à Matignon.

Cette déclaration intervient au lendemain de celle du ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner, qui avait estimé que le monde devait se "préparer au pire", c'est-à-dire à la possibilité d'une "guerre" avec l'Iran. Il avait souhaité des sanctions européennes, tout en appelant à "négocier jusqu'au bout" pour éviter que Téhéran ne se dote de l'arme atomique.

M. Kouchner "a raison", a affirmé le chef du gouvernement, car "tout le monde voit bien que la situation au Proche-Orient est extrêmement tendue et qu'elle va en s'aggravant"

Par ailleurs, la France et les Pays-Bas se sont mis d'accord lundi à Paris pour tenter de convaincre un maximum de pays d'adopter de nouvelles sanctions contre l'Iran en dehors du cadre de l'ONU dans le dossier du nucléaire.

A l'issue d'un entretien avec Bernard Kouchner, le chef de la diplomatie néerlandaise Maxime Verhagen s'est dit prêt à appliquer des sanctions européennes contre l'Iran si le Conseil de sécurité ne se mettait pas d'accord sur des mesures supplémentaires.

D’après certains commentateurs, cette nouvelle attitude française si elle se confirmait, rejoindrait celle des Etats-Unis, qui n'excluraient pas l'éventualité d'un recours à la force contre l'Iran si Téhéran continue de défier le Conseil de sécurité de l'ONU. Le secrétaire américain à la Défense Robert Gates a toutefois déclaré dimanche que l'administration Bush privilégiait "l'approche diplomatique et économique". Une réunion des six pays (Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Chine, Russie, Allemagne) impliqués dans les discussions sur le dossier nucléaire iranien est programmée vendredi à Washington. AP

REACTIONS :

En premier lieu Téhéran a vivement réagit aux propos du Chef de la diplomatie Française

Lundi 17 septembre 2007, le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Mohammad Ali Hosseini, a affirmé que les propos de M. Kouchner portaient "atteinte à la crédibilité de la France".

"Nous espérons que ces déclarations soient de pure forme et ne correspondent pas aux positions réelles et stratégiques de la France", a-t-il ajouté, en suggérant qu'elles étaient le fruit de "suggestions erronées et d'informations irréelles données par les autres", c'est-à-dire les Américains.

Le même jour, Monsieur Allaeddine Boroujerdi, Président de la Commission des Affaires étrangères du Parlement Iranien, a affirmé que "si le gouvernement français poursuit sa position illogique à l'égard de l'Iran, le Parlement adoptera des mesures dures" contre Paris, selon l'agence Irna. "Avec de telles positions, il n'est pas utile d'avoir un commerce de plusieurs milliards d'euros avec la France. Paris doit présenter des excuses au peuple iranien", a-t-il ajouté.

Mardi 18 Septembre, en réponse aux déclarations du chef de la diplomatie française Bernard Kouchner évoquant le risque d'une "guerre" …. , le Président Iranien M. Ahmadinejad a déclaré aux journalistes à la sortie du siège du Parlement à Téhéran :

"Nous ne prenons pas au sérieux ces déclarations. Les propos médiatiques sont différents des positions réelles". Il a refusé de faire tout autre commentaire.

A Vienne, le directeur général de l'AIEA, Mohamed ElBaradei, chargé de contrôler le programme nucléaire iranien, a fermement récusé la perspective à ce stade d'une option militaire contre l'Iran.

"Nous avons affaire à un dossier très lié à la paix, à la sécurité et à la stabilité régionale au Proche Orient et c'est pourquoi je demanderai à tout le monde de ne pas se laisser emporter jusqu'à ce que nous soyons parvenus au bout de la procédure" de vérification, a souligné M. ElBaradei au premier jour de l'assemblée générale des 144 pays membres de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA)

"J'ai clairement signifié que je ne voyais pas en ce moment de danger clair concernant le programme nucléaire iranien", a ajouté le chef de l'AIEA, sur la base des dernières inspections menées par l'agence en Iran.

Présente à Vienne, la ministre autrichienne des Affaires étrangères, Ursula Plassnik, a sévèrement critiqué son homologue français: "le collègue Kouchner est le seul à pouvoir expliquer ce qu'il a voulu dire. Il m'est incompréhensible qu'il ait eu recours à une rhétorique martiale en ce moment".

A Berlin, un porte-parole de la diplomatie allemande, Martin Jäger, a voulu relativiser la portée des propos de M. Kouchner. "Il serait faux de parler de menaces de guerre: au contraire, nous prenons cela comme la preuve que nos amis français prennent la situation au sérieux et qu'ils s'efforcent activement avec nous de parer à un tel développement", a-t-il déclaré. »

Principales réactions politiques en France :

François BAYROU a déclaré : «Il y a des imprudences qu'il n'est pas normal de commettre", a déclaré lundi François Bayrou "infiniment troublé", réagissant aux propos de Bernard Kouchner évoquant l'éventualité de se préparer à "la guerre" avec l'Iran. ……tout en dénonçant un alignement de NICOLAS Sarkozy sur la position américaine.

"Que le ministre des Affaires étrangères français, s'exprimant dans une situation publique (...) dise qu'il faut se préparer à la guerre, c'est évidemment un événement extrêmement lourd. C'est une situation sans précédent, c'est une situation qui n'est pas approuvée par les autres démocraties, en dehors de l'Amérique", a déclaré François Bayrou.

"C'est évidemment le énième signe qui montre qu'une rupture est intervenue, qu'un tournant a été pris et que ce tournant, c'est le choix de Nicolas Sarkozy et de ceux qui l'entourent de s'aligner non seulement sur la position américaine, mais sur les arrière-pensées de l'administration Bush", …….. soulignant que "jusqu'à ce jour, l'administration américaine officielle n'a jamais dit le mot 'guerre' à propos de l'Iran".

Selon François Bayrou, les propos de Bernard Kouchner sont un "signe inquiétant" qui montre que "la présidence de Nicolas Sarkozy est un tournant sans précédent qui va faire que la France abandonne la vocation d'équilibre qui était la sienne, la possibilité de parler avec tout le monde, pour s'aligner sur les plus durs des plus durs de l'administration américaine".

François HOLLANDE a réclamé : La gauche a demandé des explications à Nicolas Sarkozy. François Hollande a réclamé un "vrai débat au Parlement" sur l'Iran. "La déclaration de Bernard Kouchner ne peut pas rester sans précision et sans prolongement", a-t-il estimé.

Dominique de VILLEPIN a déclaré : ….. "Il faut éviter de donner de mauvais signaux à l'administration Bush. Elle n'a pas besoin de nous (...) pour être encouragée plus avant vers la guerre". La France, doit "au contraire", jouer "tout son rôle pour défendre une solution de paix".

Jean-Pierre CHEVENEMENT s’est indigné : …. Le propos du locataire du Quai d'Orsay "témoigne d'une désinvolture dangereuse", s'est indigné le Président d’honneur du MRC, Jean-Pierre Chevènement : … "La France n'a rien à gagner à épouser docilement les vues les plus agressives de la politique étrangère américaine" a-t-il souligné.

Le Parti Communiste a condamné : Dans un communiqué, le Parti communiste français a condamné "une confirmation dangereuse de la politique atlantiste de Nicolas Sarkozy et Bernard Kouchner"…… Quoi qu'il en soit, les déclarations du ministre des Affaires étrangères traduisent le durcissement de ton de la France à l'égard de l'Iran depuis quelques semaines.

Dernier état de la question :

MARDI 18 SEPTEMBRE 2007

(Parenthèse pour la petite histoire)

Une cerise (inutile et de trop) sur le gâteau !

Pour ne pas rester en rade de déclaration, le perroquet de la Palice de Monsieur KOUCHNER, la secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères et aux Droits de l'Homme Rama YADE a renchérit et approuvé :

….. « M. Kouchner "a eu raison de dire qu'il y a une tension importante au Proche-Orient entre l'Iran et ses voisins". Mettant en garde contre "des comportements de naïveté", ( ?) elle a plaidé sur RMC pour une approche "réaliste", se gardant cependant de reprendre à son compte le terme de "guerre". "Nous ne pouvons pas avoir une attitude de résignation. Il est important que, de temps en temps, les choses soient dites et Bernard Kouchner a le mérite de le dire avec franchise", a-t-elle insisté Mais "il y a encore de la place pour la diplomatie"…. a-t-elle nuancé, reprenant en écho une déclaration du Premier ministre François Fillon.

(Fin de la parenthèse)

REPRENONS LES CHOSES SERIEUSES :

Mardi 28 septembre 2007 :

KOUCHNER SE DEFEND D’ETRE UN VA-EN- GUERRE

"Je ne veux pas qu'on dise que je suis un va-t-en-guerre! Mon message était un message de paix, de sérieux, et de détermination", se défend Bernard Kouchner après la polémique provoquée en France et dans le monde par les propos alarmants qu’il a tenus dimanche sur la crise du nucléaire iranien.

"La situation la pire serait la guerre", a nuancé M. Kouchner dans l'avion qui le conduisait lundi à Moscou. …… "Pour éviter cela, l'attitude de la France, c'est de négocier, négocier, négocier jusqu'au bout sans craindre les rebuffades", a-t-il insisté, sans renoncer à la mise en place de "sanctions crédibles" avec les partenaires européens de la France, quitte à doubler l'ONU sur ce sujet.

"S'il y a une nouvelle résolution de l"'ONU, nous en serons heureux. S'il n'y en a pas, nous construirons en tout cas des sanctions", prévient le ministre des Affaires étrangères.

Il explique avoir voulu "attirer l'attention sur la gravité de la crise" avec l'Iran, dont le président, rappelle-t-il, multiplie les déclarations antisémites. Mahmoud Ahmadinejad a déclaré par le passé vouloir "rayer Israël de la carte". Pour M. Kouchner, le fait que l'Iran veuille poursuivre l'enrichissement d'uranium laisse "penser que cela peut constituer le prélude à l'usage militaire" de la technologie nucléaire.

La stratégie française conjugue "négociations continues comme s'il n'y avait pas de sanctions" et "préparations de sanctions comme s'il n’y avait pas de négociations", observe Bernard Kouchner, pour qui "le système pour éviter la guerre, c'est les sanctions".

Et les sanctions efficaces "sont celles des Américains: économiques, sur les grosses fortunes, les banques", juge-t-il.

Dans ce dossier, la France exprime certes une "opinion forte", mais "une opinion pacifique", assure le ministre des Affaires étrangères.

Mardi 18 septembre 2007 nous apprenons que face à l’opinion de MOSCOU, Monsieur KOUCHNER « nuance ses propos » ! :

Moscou met en garde l'Occident contre tout usage de la force contre l'Iran

"La multiplication des informations faisant état de l'éventualité de sanctions militaires contre l'Iran inquiète la Russie. Il est difficile d'imaginer que ces sanctions apaisent les tensions dans la région", a souligné Lavrov à l'issue d'un entretien avec son homologue français Bernard Kouchner.

"Nous sommes convaincus qu'aucun problème moderne ne peut avoir de solution militaire et cela s'applique aussi au programme nucléaire iranien", a encore dit le chef de la diplomatie russe.

De son côté, le chef de la diplomatie française Bernard Kouchner a nuancé les propos tenus dimanche et a demandé des "sanctions précises" contre l'Iran ce qui, a-t-il estimé, serait la preuve d'une "approche sérieuse" de son programme nucléaire.

deniere minute : avant de clôturer cette Revue de presse, je saisis sur internet ces dernières informations :

D’Après une dépêche * MOSCOU (AFP) - 18/09/07 17:24

Menaces de guerre en Iran: Moscou inquiet, Kouchner crie à la "manipulation"

……….extraits de la dépêche * :

Le chef de la diplomatie française Bernard Kouchner a dénoncé mardi à Moscou une "manipulation" de la presse qui aurait mal compris ses déclarations sur les risques de guerre avec l'Iran et a appelé à la "négociation" et à des "sanctions" pour éviter le "pire".

De son côté, la Russie s'est dite inquiète après l'évocation d'un scénario militaire à l'encontre de l'Iran, un pays qu'elle défend sur la scène internationale et avec qui elle entretient d'importantes relations économiques.

"Comme d'habitude avec les journalistes, ils prennent une phrase et on ne sait pas ce qu'on a dit après", a critiqué le ministre français des Affaires étrangères sur l'antenne de la station de radio Echo de Moscou, au terme d'une visite de deux jours à Moscou.

"On m'a posé la question: cela veut dire quoi s'attendre au pire? J’ai dit le pire ce serait la guerre, je n'ai pas dit le mieux ce serait la guerre", s'est défendu le ministre français.

"On se retrouve à la tête d'un maelström. On dit: Bernard Kouchner veut la guerre, mais ce n'est pas vrai. C'est une manipulation. Je ne veux pas la guerre, je veux la paix", a martelé M. Kouchner.

Le chef de la diplomatie française a déclenché une vague d'inquiétudes et de critiques en déclarant dimanche que le monde devait se "préparer au pire", c'est-à-dire à la guerre avec l'Iran.

Arrivé lundi soir dans la capitale russe, il a rencontré mardi matin son homologue Sergueï Lavrov. Si les deux hommes ont montré une bonne entente sur le plan personnel, ils n'ont pas pu cacher leurs divergences sur le dossier nucléaire iranien.

"La Russie s'inquiète devant les multiples informations selon lesquelles des actions militaires sont sérieusement envisagées contre l'Iran", a réagi M. Lavrov.

Le ministre russe a mis en garde contre les "conséquences possibles" d'une telle opération dans la région, en renvoyant au précédent de l'intervention américaine en Irak. Il a également rappelé que l'accord trouvé dans le dossier nucléaire nord-coréen montrait qu'une solution était possible si toutes les parties faisaient des efforts.

Tout comme la Russie, la Chine, autre membre permanent du Conseil de sécurité de l'Onu, s'est élevée contre les "menaces incessantes" d'intervention militaire en Iran.

"Tout doit être fait pour éviter la guerre (...) il faut négocier, négocier, négocier, sans relâche, sans crainte de rebuffade", a déclaré M. Kouchner en répétant qu'il privilégiait le processus diplomatique.

"J'ai dit que le pire serait la guerre (...) On ne peut pas faire plus pacifique (que moi) mais il ne faut pas se voiler la face", a-t-il toutefois ajouté, réitérant ainsi que la guerre serait l'ultime issue, selon lui, si des sanctions se révélaient insuffisantes pour convaincre Téhéran de suspendre son programme nucléaire.

M. Lavrov s'est prononcé contre des sanctions unilatérales, en dehors du cadre de l'ONU, suggérées notamment par M. Kouchner au niveau de l'Union européenne (UE).

"Si nous nous sommes mis d'accord pour travailler collectivement, dans le cadre du Conseil de sécurité de l'ONU, à quoi bon des sanctions unilatérales?", s'est-il demandé.

Le ministre russe a appelé dans l'intervalle à poursuivre les "négociations avec l'Iran" et souhaité une reprise "au plus vite" des contacts entre le secrétaire du Conseil suprême de la sécurité nationale iranien Ali Larijani et le représentant de l'UE pour la politique étrangère, Javier Solana.

Notant des divergences avec son homologue russe, M. Kouchner a insisté sur la nécessité de nouvelles sanctions afin de montrer à l'Iran la détermination de la communauté internationale et de pousser ce pays à revenir sur son programme d'enrichissement d'uranium.

Les sanctions montrent "le sérieux, l'intérêt que nous attachons à la résolution pacifique du problème", a-t-il dit.

...........

………..Note de Lucienne : A entendre et lire toutes les déclarations, pour moi contradictoires, de Monsieur Bernard KOUCHNER depuis Dimanche jusqu’à ce jour, je finirai par douter de mes oreilles, de mes yeux et de mon interprétation ! il est trôp tôt pour me forger une opinion et j’ai décidé de surveiller avec une grande attention l'évolution de ce dossier, en espérant que tout rentrera dans le cadre de négociations rigoureuses ne faisant plus place à des emportements et accès lyriques qui n'ont pas place dans ce contexte extrêment dangereux pour la paix du Monde. Je vous donne rendez vous à la semaine prochaine sur ce sujet !


(à suivre dans les jours prochains)


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