Les incidents qui se sont déroulés tout récement à MOISSAC ( Tarn-et-Garonne ) au cours desquels la pizzaria de Cédrik Skibiak a été envahie par 20 bulgares qui se trouvaient devant son établissement et à qui il avait demandé de faire moins de bruit , lesquels en guise de réponse l'on encerclé, violemment giflé et qui n'a du son salut qu'à l'intervention du patron du snack voisin qui a repoussé les hommes le ceinturant, illustrent bien la façon dont certaines brutes épaisses sans éducation appliquent ce fameux "Vivre Ensemble" tant prôné par l’idéologie laxiste qui en fait la propagande à tous vents en en vantant ses mérites, sans pour autant l'expliquer aux étrangers que nous recevons ou hébergeons généreusement dans notre pays et qui viennent eux de pays dans lesquels on n'est pas civilement policés comme le sont les français.
Ci-dessous nous reproduisons un communiqué de Patrice Charles , Président du Groupe du Front National au conseil municipal de Moissac qui souligne notamment : " Moissac croule sous le non-dit face aux communautarismes qui s'installent en toute impunité dans la commune.Des bulgares ont commis des infractions graves et en réunion.Que personne ne vienne nous parler d’incivilités et de "vivre-ensemble" Le Front National s'exprimera lors du Conseil municipal du jeudi 24 mars prochain".
Patrice Charles souligne aussi nous le citons : "La responsabilité du Maire et de sa majorité est catastrophique. A quelques pas de la Mairie, en plein centre-ville, s'organise régulièrement des rassemblements de voyous et de gens haineux. Il fallait bien que les incidents dégénèrent. L'impunité et le déni de réalité doivent cesser.La preuve est là, une fois de plus que rien n'est fait.
Lire ci-dessous le communiqué de Patrice Charles que nous publions ci-dessous avec son autorisation :
" LE FN DE MOISSAC DEMANDE QUE LA MAIRIE LR ASSURE LA SECURITE PUBLIQUE
CONTRE LE COMMUNAUTARISME.
" Moissac croule sous le non-dit
face aux communautarismes qui s'installent en toute impunité dans la
commune.Des bulgares ont commis des infractions graves et en réunion.Que
personne ne vienne nous parler d’incivilités et de "vivre-ensemble"
Le Front National s'exprimera lors du Conseil municipal du jeudi 24 mars
prochain.
"Le non-dit face aux violences infractionnelles, nous le laissons aux
associations qui secourent les populations qui ne veulent pas s'intégrer,
personne par personne, dans le tissu rural. A force de secourir, ces
associations deviennent complices d'un communautarisme violent et revendicatif
qui n'existe qu'en groupe.
"Nous continuerons à dénoncer, à voter contre toutes subventions de mise en
péril de l'ordre public et de la culture française.
"La responsabilité du Maire et de sa
majorité est catastrophique. A quelques pas de la Mairie, en plein
centre-ville, s'organise régulièrement des rassemblements de voyous et de gens
haineux.Il fallait bien que les incidents dégénèrent. L'impunité et le déni de
réalité doivent cesser.La preuve est là, une fois de plus que rien n'est fait
"Solidarité totale au delà des opinions politiques. Il s'agit de Moissac, de
Moissac, terre de France."
" Patrice Charles,
Président du Groupe FN au Conseil municipal.
Source :
http://www.ladepeche.fr/
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Sa pizzeria envahie par 20 Bulgares : «J'ai eu très peur que ça tourne au drame»
Faits divers - La pizzeria de cédric skibiak a été envahie par 20 personnes
"Après les incidents de Samedi Cédric Skibiak xompte monter un Comité de quartier pour que les problèmes récurrents de la Rue de Paris soient enfin entendus./PHOTO DDM.PhC
«J'ai dû faire face à une vingtaine de Bulgares qui ont débarqué dans ma pizzeria et je ne sais pas ce qui aurait pu se passer si mon voisin n'était pas venu me prêter main-forte.» Cédric Skibiak est exaspéré voire ulcéré par l'attitude d'une communauté qui se rassemble chaque jour en masse sur la placette devant l'épicerie bulgare. Pizzaïolo installé 1 rue de Paris depuis près de cinq ans, il ne supporte plus de voir son quartier se dégrader. Samedi soir la tension était à son comble. Vers 19 heures, alors que les commandes se multiplient (soir du match de rugby France-Angleterre télévisé), Cédric peine à attendre ses interlocuteurs au téléphone pendant qu'une vingtaine de personnes séjournent bruyamment sur la place. Il sort pour leur demander de faire moins de bruit. Une intervention qui a rendu fou le groupe d'individus. Encerclé, puis giflé, il ne doit son salut qu'à l'intervention d'Abdel, patron du snack voisin qui a repoussé les hommes le ceinturant. L'échauffourée s'est prolongé alors dans la pizzeria au moment. «Une lame a été sortie par un des membres du groupe sans qu'il en soit fait usage. Un client qui était à l'intérieur a été bloqué dans un coin par trois personnes, explique Cédric Skibiak. J'ai eu très peur que ça tourne au drame. Et tout le monde est parti comme un éclair quand ils m'ont entendu converser au téléphone avec la gendarmerie. J'ai déposé plainte hier.»
La caméra de la ville n'a pas été dissuasive
La caméra de vidéo-protection installée à l'angle du Hall de Paris n'a visiblement pas dissuadé ces individus à passer à l'action. De quoi se poser des questions sur l'impact et l'efficacité de tels équipements quand on sait que la commune prévoit d'en installer une trentaine d'ici deux ans.
Une impressionnante délégation composée du sous-préfet Sébastien Lanoye, du maire Jean-Michel Henryot, de son adjoint à la sécurité Jean-Luc Henryot, de l'adjointe en charge de la communication Colette Rollet et de Sabine Augé, élue en charge du tourisme est venue hier après-midi prendre des nouvelles du commerçant et lui apporter tout leur soutien. Des habitants du quartier ont profité de cette venue pour témoigner de leur ras-le-bol. «On laisse notre quartier mourir à petit feu. Les locataires s'en vont. Les commerces fermés ne rouvrent pas. Mes clients ont peur le soir de retirer de l'argent aux distributeurs des banques voisines. J'ai même dû intervenir une fois pour prendre la défense de collégiens importunés par ces gens-là alors qu'ils mangeaient une pizza sur les marches du Hall de Paris. Je suis sûr que ces jeunes clients n'oseront plus revenir se servir chez moi maintenant. En un an, mon chiffre d'affaires a diminué de 20 %. Ce n'est pas acceptable !» s'indigne Cédric Skibiak
qui compte rapidement créer un comité de quartier pour faire remonter et entendre leurs problèmes.
Une réunion a été programmée demain matin en sous-préfecture avec ce commerçant et les élus moissagais. D'ici là, les bandes-vidéo confiées à la gendarmerie auront peut-être parlé…
Philippe Cahue
1 commentaire:
Je vis en Bulgarie, ces Bulgares sont certainement des Tziganes, car les Bulgares sont généralement pacifiques et ne sont pas le genre à sortir le couteau.
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