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09 juillet 2015

REVUE DE PRESSE EUROPÉENNE DU 8 JUILLET 2015 ( note : La Crise Grecque domine à la "UNE" des médias Européens )

Éditorial de lucienne magalie pons

Dans les médias européens  la Crise Grecque est à la Une, menace d'un Grexit, qui pèserait autant par ses conséquence sur l'UE que sur la Grèce pour certains médias, pour d'autres au contraire "il y a une vie après l'Euro" et celà fait peur à l'Eurogroup" , d'autre prônent "une séparation à l'amiable", et d'autres encore dénoncent " les coupables  impunis de la crise grecque", et enfin nous trouvons des analyses politiques relatant des alliances entre partis ...

Ci-dessous nous relayons (en copié/collé) la Revue de presse Européenne du 8 juillet 2015 de source "EURO/TOPICS" qui présente un éventail assez large d'articles provenant de journaux et quotidiens européens de différentes tendances politiques.

euro|topics
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Revue de presse européenne du 08/07/2015

À LA UNE
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Juncker brandit la menace d'un Grexit
L'Eurogroupe a donné à la Grèce jusqu'à dimanche - date du prochain sommet spécial de l'UE - pour le convaincre de lui verser de nouveaux fonds.  Dans le cas contraire, le scénario d'une sortie de la Grèce de la zone euro aurait déjà été élaboré, a déclaré le chef de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker. En prenant le risque d'un Grexit, l'Europe menace de porter atteinte à son image internationale, préviennent certains commentateurs. D'autres voient dans cette option la seule issue possible à la crise.


La Stampa - Italie
En cas de Grexit, l'UE perdrait de son poids dans le monde
Les créanciers ont accordé à Athènes un délai pour présenter de nouvelles propositions de réforme et ce délai expirera vendredi. Si aucun accord n'était obtenu lors du sommet exceptionnel qui se tiendra dimanche, le pire est à craindre, a déclaré mardi Donald Tusk, président du Conseil européen, évoquant indirectement le scénario d'un Grexit. Dans le quotidien libéral La Stampa, l'ex-vice-ministre des Affaires étrangères Marta Dassù préconise pour sa part un sauvetage de la Grèce : "L'UE ne peut se limiter à être une 'communauté de puissants', elle doit également réussir à intégrer les économies à risques de la périphérie. De plus, la compétitivité se joue à un niveau continental. … Enfin, si la secousse qui vient d'Athènes est rattrapable sur le plan économique et financier, sur le plan politique toutefois, la défaite serait cuisante pour Bruxelles. Si l'on veut que l'Europe ait un avenir, il faut enfin que solidarité européenne et responsabilité nationale aillent de pair. … Si l'Europe perd cette manche, il semble peu probable qu'elle soit en mesure de s'affirmer sur la scène mondiale." (08.07.2015)

» article intégral (lien externe, italien)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse » Politique Européenne, » Dette publique, » Euro, » Grèce
Tous les textes disponibles de » Marta Dassù
Suivre les débats » La crise grecque, un péril pour l’Europe

Marianne - France
Il y a une vie après l'euro, et cela fait peur à l'Eurogroupe
Si l'Eurogroupe semble ces jours-ci vouloir chasser la Grèce de l'Union monétaire, il redoute en fait le Grexit pour une raison bien précise, analyse l'économiste Jacques Sapir sur son blog hébergé par le site de l'hebdomadaire Marianne : "Une chose terrorise totalement les responsables européens : que la Grèce fasse la démonstration qu'il y a une vie hors de l'Euro, et que cette vie peut, sous certaines conditions, s'avérer meilleure que celle que l'on a dans l'Euro. Telle est leur grande crainte, tel est ce qui les remplit d'effroi. Car ceci montrerait à tous, aux Portugais, aux Espagnols, aux Italiens et aux Français le chemin à suivre. Ceci dévoilerait tant l'immense fraude qu'a représenté l'Euro, qui ne fut pas un instrument de croissance ni même un instrument de stabilité pour les pays qui l'ont adopté, que la nature tyrannique du pouvoir non élu de l'Eurogroupe et de la BCE." (07.07.2015)


The Independent - Royaume-Uni
Une séparation à l'amiable, la meilleure option
A l'instar d'un couple désuni, la Grèce et le reste de l'Europe sont à tel point brouillés qu'il ne sert à rien d'essayer de continuer, écrit le quotidien de centre-gauche The Independent : "Nous en sommes arrivés au point où il serait préférable pour tous les intéressés de mettre fin à cette folie et de négocier une sortie ordonnée de la Grèce de la monnaie unique européenne. Comme certains mariages et partenariats commerciaux, ce qui semblait initialement être une bonne idée s'avère parfois, hélas, être un enfer. Dans ce genre de cas, mieux vaut se rendre à l'évidence et tourner la page. … On peut filer la métaphore : pendant des années, les Grecs ont  éhontément abusé du compte en banque qu'ils partageaient avec 18 autres nations, dont la patience est désormais à bout, ce qui se comprend." (07.07.2015)


Infowar - Grèce
Athènes doit enfin quitter la zone euro
A l'issue du référendum, Athènes devrait sérieusement envisager l'hypothèse d'une sortie volontaire de la zone euro, estime le journaliste Aris Hatzistefanou sur son site Infowar : "La BCE et Berlin ne se comportent pas avec la Grèce comme il convient de le faire avec un membre de la zone euro. Le gouvernement se bat par ailleurs pour pouvoir continuer à faire partie d'un club de banquiers qui ne pose que des problèmes et ne présente aucun avantage. … Pour la première fois, le gouvernement grec a l'occasion d'expliquer aux Grecs ce que signifierait une sortie de la Grèce de la zone euro et quels seraient les risques - mais aussi les chances immenses - inhérents à cette perspective. Pas seulement parce que l'introduction d'une devise nationale serait une décision favorable au peuple, mais aussi parce qu'un maintien dans la zone euro ne nous apporterait qu'une chose : l'assurance d'être continuellement soumis à des chantages sans le moindre apport positif." (07.07.2015)


Cumhuriyet - Turquie
Les coupables impunis de la crise grecque
Le quotidien kémaliste Cumhuriyet rappelle que la Grèce n'est pas la seule responsable de la crise actuelle : "Qui demandera des comptes aux banques françaises et allemandes, lesquelles ont accordé aux banques grecques des crédits à des taux trop élevés, et donc impossibles à rembourser ? … Des crédits qui ont servi aux Grecs pour acheter des marchandises aux grands pays de l'UE. Ce système, dont profitent les entreprises allemandes actives en Grèce mais aussi dans tous les coins de l'Europe, et qui ont fait du pays le champion du monde des exportations, sera-t-il jamais remis en cause ? Ne trouvera-t-on personne pour s'opposer à des Allemands qui ont pu se relever du désastre de la Seconde Guerre mondiale sans avoir à régler la majeure partie de leurs dettes ? On a comme une impression de déjà-vu. De la même façon, personne ne s'en prend aux banques américaines, qui, en créant la bulle immobilière de 2008, ont été à l'origine de la crise financière et ont en plus été secourues. Personne ne remet non plus en question les technocrates bruxellois." (08.07.2015)


POLITIQUE
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Ethnos - Grèce
Crise grecque : le 'greferendum' enterre l'ancien système politique
Le référendum grec a décimé l'ancienne classe politique, estime le chroniqueur Giorgos Delastik dans le quotidien de centre-gauche Ethnos : "L'ouragan du 61,3 pour cent de non au référendum a tout balayé sur son passage. L'ancien système politique s'est effondré. La démission immédiate de [l'ex-Premier ministre et chef de l'opposition conservatrice] Antonis Samaras en est le principal indice. … Les représentants de ce système auraient du comprendre que la majorité des gens ne pouvaient accepter la poursuite de la paupérisation, en dépit de la peur que leur inspirait la propagande menée dans le pays et à l'étranger. … Malgré la mobilisation de toutes les réserves du système, le 'oui' n'a même pas atteint les 38 pour cent." (07.07.2015)


Delo - Slovénie
Crise grecque : les néonazis confortent leur pouvoir
Le parti néonazi Chryssi Avgi a soutenu le chef de gouvernement grec Alexis Tsipras dans sa décision d'organiser un référendum. Un choix qui lui a permis de renforcer sa position, redoute le quotidien de centre-gauche Delo, qui souligne l'importance de parvenir à un accord avec les créanciers : "Chryssi Avgi ainsi fait un pas important pour renforcer son rôle dans l'opposition grecque, laquelle sera soumise à des bouleversements radicaux dans un futur proche. Bruxelles, mais aussi les dirigeants grecs, doivent avoir conscience de cette menace inquiétante, qui rappelle de tristes épisodes historiques. Car les néonazis Grecs sont également les rejetons de la nouvelle Europe de l'austérité. C'est aussi la raison pour laquelle il faut espérer la conclusion d'un accord rapide et solidaire entre Bruxelles et Athènes." (08.07.2015)


Süddeutsche Zeitung - Allemagne
Orbán tend le miroir à la politique d'asile de l'UE
Le Parlement hongrois a décidé lundi de durcir un peu plus la législation nationale, déjà relativement stricte, sur le droit d'asile et validé la construction controversée d'une clôture à sa frontière avec la Serbie. Tant que la politique migratoire restera du ressort national en Europe, les Hongrois pourront se sentir dans leur bon droit, estime le quotidien de centre-gauche Süddeutsche Zeitung : "A Budapest, on aimerait ne plus attendre une solution européenne qui, si elle avait déjà vu le jour, aurait forcément déplu au gouvernement Orbán : celui-ci rejette le système des quotas obligatoires. … On peut s'indigner aujourd'hui de ce que Budapest crée ses propres règles. On peut juger que le Premier ministre Viktor Orbán a recours au populisme et au chantage. Ces deux assertions seraient vraies. Mais aussi cynique que cela puisse paraître, force est de constater que la Hongrie est un précurseur en Europe : tant que les Etats de l'UE se concentreront sur leurs intérêts nationaux dans la question des réfugiés, Orbán pourra se borner à dire, avec le radicalisme qui lui est propre, qu'il fait comme les autres, rien de plus." (08.07.2015)


Super Express - Pologne
Pologne : les oublis de Kukiz, le rocker de la politique
Paweł Kukiz, le rocker polonais récemment reconverti en politique, a indiqué qu'il ne disposait d'aucun programme électoral, estimant que celui-ci ne comporterait au final que des "mensonges". Il a également affirmé avoir "une stratégie", sans préciser cependant les solutions concrètes qu'il préconisait, critique le journal à sensation conservateur Super Express : "Les gens déplorent davantage leurs conditions de vie difficiles que la classe politique que l'on dit si lamentable. Ils sont mécontents face au chômage, aux bas salaires et aux carences du système de santé. … Si Kukiz n'aborde pas ces problèmes, il s'isolera tout seul sur la scène politique. Et ceci, même le [parti national-conservateur] PiS l'a compris ; il a notamment mis en sourdine ses revendications habituelles et fait des propositions relatives aux problèmes économiques, susceptibles de profiter aux citoyens. On peut certes remettre en question leur contenu, mais l'orientation du PiS est tout à fait justifiée. … Si Kukiz ne le comprend pas, il n'arrivera à rien avec sa grande révolution." (08.07.2015)

» article intégral (lien externe, polonais)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse » Politique Intérieure, » Élections, » Pologne, » Europe, » Europe orientale
Tous les textes disponibles de » Tomasz Walczak

RÉFLEXIONS
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Profil - Autriche
Crise grecque : le vice de conception néolibéral de l'euro, par Stephan Schulmeister
En raison des règles néolibérales, la Grèce n'a jamais eu de véritable chance au sein de la zone euro, estime l'économiste viennois Stephan Schulmeister dans le magazine de centre-gauche Profile : "De nombreux observateurs estiment que la Grèce n'aurait jamais dû être acceptée au sein de l'Union monétaire, en raison selon eux des retards excessifs qu'accusait le pays et de sa dépendance vis-à-vis des dévaluations. Ce n'est pas le cas. Car entre 1950 et 1971, il y avait des taux de change fixes, le retard de la Grèce était bien plus important et le pays parvenait néanmoins rattraper ce retard. Il faut noter que la situation s'inscrivait alors dans un contexte général privilégiant keynésianisme et capitalisme réel (taux de change fixes, faibles taux d'intérêt, faible activité boursière, politique économique active), qui encadrait la recherche du profit au niveau des activités entrepreneuriales. L'euro, en revanche, a été créé dans le cadre de conditions propres au capitalisme financier néolibéral ('plus de privé et moins d'Etat', 'laisser notre argent travailler !'). Il en résulte une contradiction funeste : si l'Union monétaire est sur le plan des contenus un projet anti-néolibéral (la volonté de surmonter enfin la spéculation liée aux taux de change), les règles de sa mise en œuvre sont cependant purement néolibérales (la valeur de l'argent passe avant l'emploi, austérité et démantèlement social, alchimie financière)." (08.07.2015)


ÉCONOMIE
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Revista 22 - Roumanie
La Roumanie ne devrait pas braver le FMI
Le gouvernement roumain veut abaisser la TVA de 24 à 19 pour cent début 2016. Le taux de cette taxe avait été négocié avec le FMI dans le cadre d'un programme d'aide accordé au pays, et l'organisation financière redoute désormais que cette décision n'amplifie le déficit budgétaire. La Roumanie ferait mieux d'éviter de courroucer le FMI, prévient l'hebdomadaire roumain Revista 22 : "Il est lourd de conséquences que la Roumanie n'ait pas investi ces deux dernières années. Comment dès lors créer de nouveaux emplois ? … Nous nous trouvons déjà dans un cercle vicieux, parce que nos dirigeants manquent de réalisme. Soit ils ne sont pas informés, soit ils ne comprennent pas ce qui se déroule dans leur voisinage direct. Si l'on saisit l'impasse dans lequel se trouve la Grèce, et donc toute la fragilité de notre propre situation, on comprendra qu'on ne peut se disputer avec le FMI et consort, car dès qu'ils subodorent un mouvement de panique dans la région, les marchés financiers viennent soumettre les fauteurs de troubles." (07.07.2015)

» article intégral (lien externe, roumain)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse » Politique Intérieure, » Budget, » Economie, » Roumanie
Tous les textes disponibles de » Lidia Moise

Kauppalehti - Finlande
La construction d'une centrale nucléaire requiert la transparence
Le groupe énergétique Fennovoima, qui prévoit la construction d'une nouvelle centrale nucléaire dans le nord de la Finlande, a soumis lundi au ministère de l'Economie un dossier exhaustif sur son nouvel actionnaire croate, à dessein d'en attester l'indépendance par rapport à la Russie. Malheureusement, ces documents contiennent des informations confidentielles et ne peuvent donc pas être divulguées au public, déplore le journal économique Kauppalehti : "Le ministère doit donc jouer le rôle de détective et examiner de très près la déclaration sur les rapports de propriété. Il s'agit en effet de l'investissement le plus important de la Finlande dans les années à venir : elle comporte une dimension énergétique tout en relevant de la politique économique et de la politique extérieure. … Que la déclaration de propriété ait été classée confidentielle ne facilite guère la prise de décision pour délivrer un permis de construire. Car l'avis de l'opinion peut contribuer au processus d'évaluation de ce qui est dans l'intérêt public ou non." (08.07.2015)

» page d'accueil (Kauppalehti)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse » Énergie, » Entreprises, » Finlande, » Croatie

SOCIÉTÉ
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El Periódico de Catalunya - Espagne
Pilule du lendemain : un verdict inquiétant
Un pharmacien a le droit de refuser de vendre la pilule du lendemain par objection de conscience. C'est le verdict arrêté lundi par la Cour constitutionnelle espagnole, qui a donné raison à un pharmacien de Séville. Un flou juridique intolérable pour les citoyennes que dénonce le quotidien de centre-gauche El Periódico de Catalunya : "Ce jugement inquiétant fait jurisprudence et privilégie le droit de refus d'un pharmacien par objection de conscience. On juge que celui-ci prévaut sur d'autres droits, notamment celui de la femme à la santé en matière de sexualité et de procréation, qui inclut l'accès aux moyens de contraception autorisés par la loi. … Jusqu'à ce jour, les jugements de la Cour suprême sur l'IVG faisaient référence à l'embryon et au fœtus, mais pas au stade pré-embryonnaire. Le changement de doctrine de la Cour constitutionnelle porte un coup dur à la normalité de la distribution de ce médicament, laissant les citoyens dans une grande incertitude." (08.07.2015)


Neatkarīgā - Lettonie
Pensions alimentaires : sévir contre les mauvais payeurs
Depuis début juillet, l'Etat letton diffuse sur Internet le nom des personnes qui ne paient pas la pension alimentaire à leurs enfants. Le quotidien national-conservateur Neatkarīgā préconise un durcissement des sanctions contre les mauvais payeurs : "Peut-être d'autres mesures seraient-elles plus efficaces : leur interdire de sortir du territoire, geler leur compte ou les empêcher d'obtenir un crédit. … Il faut faire en sorte que ces individus ne puissent pas évoluer en toute quiétude, en se sentant exempts de dettes, qu'ils soient établis en Lettonie ou à l'étranger. Les astuces dont ils usent, par exemple le transfert de leurs biens immobiliers au nom de quelqu'un d'autre ou leur salaire versé en espèces, doivent enfin être qualifiés de délits à part entière. … Quand on ne paie pas à temps sa note d'électricité, on doit payer une pénalité. C'est pourquoi ceux qui veulent répercuter leurs problèmes sur les enfants doivent être punis." (08.07.2015)

» article intégral (lien externe, letton)
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Tous les textes disponibles de » Viktors Avotiņš

MÉDIAS
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Kristeligt Dagblad - Danemark
Les médias raillent bêtement un ministre pour sa foi
Le libéral Esben Lunde Larsen, nouveau ministre danois de la Recherche et par ailleurs théologien, a publiquement fait profession de foi chrétienne, ce qui lui a attiré critique et railleries dans les médias. Des réactions qui dénotent leur incompétence, juge le quotidien chrétien Kristeligt Dagblad : "Les médias seraient bien inspirés de mieux former leurs journalistes sur le thème de la religion. … Ceci leur permettrait de fournir une couverture plus qualifiée sur la foi du ministre de la Recherche. Tous se sont empressés de clamer qu'une pareille attitude le disqualifiait pour préserver les intérêts de la science. Il aurait pourtant suffi de demander à ses détracteurs quelle science au juste sa foi en une force créatrice ou en Dieu empêchait un scientifique de pratiquer. Ou encore pourquoi certains des meilleurs scientifiques pouvaient concilier leur science et une fervente foi personnelle en Dieu." (08.07.2015)

» page d'accueil (Kristeligt Dagblad)
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