Rechercher dans ce blog

Nombre total de pages vues

Translate

13 juillet 2015

GRECE : reprise des négociations ce Lundi - La journée va être chaude - ce qui s'est passé depuis vendredi - la tension monte - ( note et Revue de presse actualisée)

Éditorial de lucienne magalie pons



Il est trop tôt ce Lundi pour   envisager ce qui ressortira des nouvelles confrontations des négociations  à Bruxelles  qui se dérouleront à Bruxelles ce Lundi,  tout ce que l’on peut dire c’est que  depuis dimanche un climat de méfiance envers la Grèce est entretenu par l’Allemagne en tête de file  de certains pays du Nord  membres de l’UE, (baptisés "les faucons" par les médias",  et que ce matin l’ambiance est très tendue à Bruxelles..

Hier    le texte des ministres des Finances de la zone euro recensant de nouvelles exigences pour renouer le dialogue avec Athènes sur un plan de renflouement a été jugé très mauvais dimanche soir  par une source gouvernementale grecque qui a indiqué  à Bruxelles «  mais Athènes s'efforce de trouver des solutions pour surmonter la crise :   «Le texte dans son ensemble est très mauvais. Nous essayons de trouver des solutions»,

Le texte  (compromis) de l’Eurogroupe qui propose  l'option d'une «sortie temporaire» de la Grèce de l'euro et consacre des abandons de souveraineté en échange d'une éventuelle aide pour maintenir la Grèce dans l’euro,  a été ensuite mis  étudié dans une rencontre entre les dirigeants allemand, français, grec et le président du Conseil européen.

Ce compromis a été  ensuite soumis au Conseil des dirigeants de   zone euro selon des déclarations faites quelques minutes après  que ce  Conseil eut annoncé la reprise des discussions au sommet avec «un compromis» sur la table,  des désaccords persistaient entre les négociateurs sur les modalités d'un nouveau plan de sauvetage  d'après un responsable du gouvernement grec. «Deux grandes questions restent ouvertes», mais «nous avons dégagé le terrain et sommes d'accord sur presque tout le reste», a commenté cette source gouvernementale.

Toujours d’après cette source  les points d'achoppement sont «la participation du FMI, dont la Grèce ne veut pas», au possible nouveau programme de renflouement, et la création au Luxembourg d'un fonds regroupant 50 milliards d'actifs grecs pour garantir la mise en œuvre des privatisations prescrites au pays, une idée «rejetée» par Athènes, a-t-elle précisé  en ajoutant «Avec un pistolet sur la tempe, n'importe qui serait d'accord», la gravité de la situation financière de la Grèce et de ses banques pour justifier les éventuelles  concessions consenties par le gouvernement.

Les médias rapportent de leur côté que la Grèce ne peut pas attendre pour  commencer à négocier un plan de secours, un renflouement du pays  au vu de la «gravité» de la situation de ses banques, à court de liquidités, en  rappelant  une source gouvernementale grecque de dimanche qui avait déclaré  :   «Nous ne voulons pas de délai»-, jusqu'à mercredi,-,  comme le propose l'Eurogroupe, «car en attendant, il n'y a pas assez de liquidités de la BCE ( ndlr : injectées dans les banques grecques ) , et la situation est grave … Jeudi serait trop tard».

Rappelons  qu’un responsable européen (sous couvert d’anonymat) avait dit  dimanche  qu’ un troisième plan d'aide pour la Grèce pourrait être sur pied fin juillet, si les dirigeants de la zone euro parviennent dimanche soir à donner un signal politique positif et après validation des différents Parlements devant être consultés.

Rappelons aussi qu’un responsable européen en marge de la réunion de Bruxelles avait déclaré  que   le sommet de dimanche s'avère conclusif, il faudrait «deux ou trois semaines» pour qu'un troisième plan d'aide de plus de 80 milliards d'euros voit le jour, soit «vers fin juillet»,   le calendrier reste très serré, a-t-il prévenu, avec la Grèce qui s'est engagée à voter lundi et mardi un certain nombre de mesures, dont la réforme de la TVA, des pensions, de la procédure civile et à adopter le mécanisme européen pour la résolution des crises bancaires.

A partir de jeudi-vendredi, les éléments pour engager les négociations pourraient être sur la table, tant côté grec qu'en ce qui concerne le reste de la Zone euro, a poursuivi ce responsable, en évoquant dans ce scénario optimiste de nouvelles réunions des ministres des Finances à venir.

Ensuite, les Parlements de plusieurs pays de la zone euro, Allemagne en tête, devront donner leur feu vert pour le lancement des négociations sur ce nouveau programme d'aide, le troisième pour la Grèce qui a bénéficié de 240 milliards d'aide depuis 2010.


Les médias indiquent  que  même si des négociations pour un nouveau plan d'aide s'engagent, Athènes aura besoin d'une aide intermédiaire , un « pont ou « bridge » ,  pour faire face à une importante échéance de remboursement le 20 juillet auprès de la Banque centrale européenne, la dernière institution à maintenir en vie les banques du pays grâce à des prêts d'urgence et que ce sujet pourrait être au menu de la réunion des ministres des Finances de la zone euro qui se tiendra ce lundi à Bruxelles.

 Différentes personnalités notoires  se sont exprimées  sur les négociations en cours , nous citons ci-dessous une déclaration avisée :

·Le prix Nobel d’économie Joseph Stigliz a jugé  que  L'Allemagne «a porté un coup sévère et ébranlé l'Europe par son attitude dans la crise grecque, en marge de la Conférence sur le financement du développement qui s'ouvre lundi à Addis Abeba.«L'Allemagne a montré un manque de solidarité. Vous ne pouvez pas gérer une zone euro sans un minimum de solidarité., ….( cette crise) sape complétement la vision commune et la solidarité européenne. C'est un désastre», a confié l'ancien chef économiste de la Banque mondiale à l'AFP, jugeant qu'il serait «déraisonnable» que les négociations en cours à Bruxelles aboutissent à demander «encore davantage» à la Grèce. …  «Si la BCE autorise les banques grecques à rouvrir et qu'un accord est renégocié, les blessures peuvent se refermer, mais si (l'Allemagne) réussit à utiliser cela pour exclure la Grèce, je crois que les dégâts seront très très profonds», a prévenu l'économiste en ajoutant    «Les dirigeants européens et occidentaux critiquent la Grèce pour son incapacité à collecter l'impôt. Dans le même temps, les Occidentaux ont créé un système d'évasion fiscale mondial... et les pays avancés essayent de contrer l'effort global pour stopper l'évasion fiscale. On ne peut pas être plus hypocrite».

De leur côté les médias,- en citant l’AFP,- indique qu’un éventuel programme d'aide à la Grèce serait  évalué entre 82 à 86 milliars d’euros, selon le document final de l'Eurogroupe transmis dimanche aux chefs d'Etat et de gouvernement, dont l'AFP a obtenu copie et rapporte que d’après ce document  «L'Eurogroupe prend note du fait qu'un éventuel programme aurait besoin de financements compris entre 82 et 86 milliards d'euros  et que l 'Eurogroupe invite les institutions (Commission européenne, FMI, BCE, ndlr) à explorer les possibilités de réduire cette enveloppe» par la fiscalité ou les privatisations.

  C’est ce document que les  ministres des Finances de la Zone euro ont transmis dimanche aux chefs d'Etat un document qui évoque aussi  noir sur blanc l'option d'une «sortie temporaire de la zone euro» de la Grèce, selon  la copie obtenue par l'AFP.   «En cas d'échec à trouver un accord, la Grèce se verrait proposer de négocier rapidement une sortie temporaire de la zone euro, avec la possibilité de restructurer sa dette»,  les médias ajoutent «   Ce passage figure entre crochets pour signifier qu'il n'a pas emporté l'adhésion de tous les ministres et qu'il revient aux chefs d'Etat de trancher » .

C’est donc aujourd’hui Lundi,  dans un climat de tensions,   comme nous venons de le voir plus haut  qu’un  nouveau bras de fer  très musclé  s’ouvre à Bruxelles, d’autant que les Grecs refusent d’être humiliés par l’Allemagne selon ce qui ressort de leur déclarations, en effet bien que le  premier ministre Alexis Tsispras ait été  amené à faire de nouvelles concessions aux créanciers  de son pays, la majorité du peuple grec le soutient , de  nombreux Grecs accusent l'Allemagne de chercher à les humilier par son intransigeance et sa méfiance envers les dernières propositions faites par Athènes en vue d'obtenir une nouvelle aide internationale.

La déclaration  de samedi   de  Wolfgang Schäuble , proposant une suspension «temporaire» de la Grèce de la zone euro ou une amélioration des propositions de réformes d'Athènes qui passerait par exemple par le transfert à l'étranger du siège du fonds chargé de gérer les revenus des privatisations pour s'assurer que ceux-ci servent exclusivement au remboursement de la dette, ne passe pas en Grèce.

 Et les réactions sont nombreuses en Grèce pour s’insurger contre l’Allemagne notamment, de nombreux Grecs accusent l'Allemagne de chercher à les humilier par son intransigeance et sa méfiance envers les dernières propositions faites par Athènes en vue d'obtenir une nouvelle aide internationale.

·       «Ce qui se passe, c'est qu'on veut humilier la Grèce et les Grecs ou renverser le gouvernement Tsipras», a déclaré à la chaîne Mega TV Dimitrios Papadimoulis, vice-président du Parlement européen et membre du parti de la gauche radicale Syriza, la formation du Premier ministre.

·        «Tout ce que je veux, c'est ne pas être humilié par Schäuble et tous les autres», a lancé  Panagiotis Trikokglou, un employé de 44 ans qui vit à Athènes :   «Je me moque bien d'un retour à la drachme, ou de quoi que ce soit, nous soutenons le Premier ministre, quoiqu'il décide, mais aujourd'hui je me sens un peu mal, pas en raison de Tsipras, mais à cause de l'attitude de l'Allemagne. Ce Schäuble n'aime pas les gens, je ne sais pas ce qu'il cherche...

·       Pour un responsable du gouvernement grec, "il est clair que certains pays ne veulent pas d'un accord, pour des raisons qui n'ont absolument rien à voir avec les réformes et le programme que nous avons présenté".

Voila ce que nous pouvons dire ce matin, nous verrons ce soir si les Européens osent fermer la porte de la Zone Euro au nez des grecs,  si la Grèce excédée  se décide à claquer elle même la porte, et le cas échéant, nous ne tarderons pas aussi à voir quel grand pays   dans le monde de "l'Est" en contre partie   s'apprête à accueillir la Grèce et à l'aider, c'est pourquoi en conclusion en ce qui me concerne je ne me  fais aucun souci pour la Grèce qui s'en sortira toujours et dans tous les cas, et je pense que c'est plutôt la construction européenne UE qui est en grande difficulté.

ooOoo


  Nous  pensons qu'il faut faire un rappel un rappel  des positions européennes sur la période de vendredi à dimanche  pour bien situer la montée des tensions :

L’ambiance de vendredi :

·        Le Parlement grec et par ailleurs  les dirigeants de la zone euro  avaient  étudié dès vendredi matin les propositions de réformes soumises in extremis la veille au soir par Athènes à ses créanciers,  et qu’a la suite   les européens s’étaient donné jusqu'à dimanche pour parvenir à un accord avec la Grèce 
·       Jean Claude Trichet l’ex président de la BCR avait prévenu que les créanciers devraient renoncer à la totalité de leurs  remboursements en cas de sortie de la Grèce de la zone euro,
·       Signe de la confiance des marchés : les taux d'emprunt des pays du sud de l'Europe se  détendaient   vendredi matin sur le marché de la dette souveraine en zone euro, dans la foulée de la présentation par Athènes de nouvelles propositions.

L’ambiance de Samedi :

·        Après un difficile  début  samedi, une source proche des discussions a évoqué  « un manque de confiance»,  et un responsable européen a indiqué   que   les discussions se sont focalisées sur «ce qu'on attend exactement des Grecs ….. mais sans succès.         
·        Wolfgang Schäuble a proposé samedi une suspension «temporaire» de la Grèce de la zone euro ou une amélioration des propositions de réformes d'Athènes qui passerait par exemple par le transfert à l'étranger du siège du fonds chargé de gérer les revenus des privatisations pour s'assurer que ceux-ci servent exclusivement au remboursement de la dette.

L’ambiance de Dimanche :

·        Les ministres des Finances de la zone euro  devaient travailler  sur «   une base de travail constructive »  qu’ils  devaient transmettre à leurs  à leurs chefs d'Etat et de gouvernement, qui devaient se rencontrer  à la suite,  avant un sommet exceptionnel programmé  en fin d'après-midi élargi aux 28 Etats membres de l'Union européenne.
·       Un accord entre la Grèce et ses partenaires européens est possible dimanche «si toutes les parties le veulent», a affirmé le Premier ministre grec Alexis Tsipras à son arrivée à un sommet de la zone euro à Bruxelles, qui va tenter de trouver un compromis afin d'éviter une sortie du pays de la monnaie unique.
·          A son arrivée à Bruxelles  Alexis Tsispras  avait déclaré :  «Je suis ici pour parvenir à un compromis honnête, nous devons cela au peuple européen»,  …..«Nous pouvons parvenir ce soir à un accord si toutes les parties le veulent», avait-il affirmé.
·          A son arrivée à Bruxelles le président français François Hollande  a  posé la question «     L'enjeu est de savoir si la Grèce sera demain dans la zone euro … la a zone euro doit décider dimanche «si la Grèce sera demain dans la zone euro , en promettant : ….    «La France va tout faire pour trouver un accord permettant à la Grèce de rester dans la zone euro», en excluant  l'option, avancée auparavant  par l'Allemagne, d'une «Grexit provisoire» pour le maillon faible de la zone euro.
·        Toujours aussi coriace, la « leader du clan des durs »  la chancelière Angela  Merkel  en   arrivant à Bruxelles la chancelière  a   réaffirmé : «   Il n'y aura   qu'«il n'y aura pas d'accord à n'importe quel prix pour sauver la Grèce » .. en ajoutant.. «La valeur la plus importante, à savoir la confiance et la fiabilité, a été perdue»( avec Athènes ) , laquelle a promis des  «négociations ardues».
·           «Ce que je vois dans ces négociations est un manque de confiance dans le gouvernement grec», a déclaré  de son côté le Slovène Miro Cerar. «J'espère qu'on pourra rebâtir cette confiance d'une façon ou d'une autre», a-t-il  souhaité mais «c'est aux Grecs de prouver qu'ils sont dignes de confiance».
·        Le premier ministre  (ministre d’Etat) Luxembourgeois Xavier Bettel a affirmé : «Notre but est de garder la Grèce dans la zone euro mais il y a des . Nous espérons avoir des résultats aujourd'hui (dimanche)»
·        Pour le Président du  Parlement Européen  l’allemand Martin Shulz a insisté :    «Il ne s'agit pas d'un accord, mais de la cohésion de l'Europe …,  …C'est la responsabilité de tous» a-t-il souligné.
·         Le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, a promis de «se battre jusqu'à la dernière milliseconde pour avoir un accord»    * Le Premier ministre maltais, Joseph Muscat, a estimé qu'il «y a une limite à toute chose»,  en laissant entendre qu'il faut laisser le pays sortir de l'euro. «Nous discutons de toutes les options possibles», a-t-il insisté en espérant cependant  « un accord»
·       Une source (proche des discussions) a rapporté que  le Premier ministre  Grec  Alexis Tsipras «a parlé au téléphone» avec Jack (Jacob)  Lew  secrétaire américain  au Trésor, et lui a dit que «pour obtenir un accord il fallait de la bonne volonté des deux côtés», que «la Grèce avait prouvé qu'elle voulait un accord, mais que pour que celui-ci soit viable, il devait respecter les Grecs et tous les sacrifices qu'ils ont faits depuis cinq ans», a indiqué cette source, qui ne précise pas la teneur de la réponse du secrétaire américain.

Voilà quelle était l’ambiance et la position des européens  avant  la réunion de l’Eurogroupe, le sommet des dirigeants de l’Eurogroupe et l’annulation du Sommet des 28 dirigeants européens  qui était programmé pour dimanche soir.

 Ci-dessous  Revue de Presse actualisée :

EN DIRECT - Le Grexit appartient au passé , assure Alexis Tsipras

Le Figaro - ‎Il y a 1 minute ‎
Le premier ministre grec espère que l'accord arraché à ses créanciers après 17h de négociations permettra de rassurer les investisseurs. Sa mise en oeuvre «sera difficile», prévient-il. < Envoyer cet article par e-mail. X. Envoyer à : Séparez les ...

Grèce : ce que proposent les ministres des Finances de la zone ...

Francetv info - ‎Il y a 23 minutes ‎
Ces propositions doivent être finalisées par les chefs d'Etat et de gouvernement, réunis dimanche à Bruxelles (Belgique). Le ministre des Finances français, Michel Sapin, discute avec le pré Le ministre des Finances français, Michel Sapin ...

Athènes trouve le plan de l'Eurogroupe ''très mauvais''

Le Figaro - ‎Il y a 1 heure ‎
Selon plusieurs journalistes grecs, Athènes tente actuellement de "trouver des solutions" après les propositions de réformes faites par l'Eurogroupe. Une source gouvernementale aurait affirmé à l'AFP que le pouvoir jugerait le plan de l'Eurogroupe ...

Crise grecque : les propositions et désaccords de l'Eurogroupe

Le Monde - ‎Il y a 1 heure ‎
Les chefs d'Etat de la zone euro planchaient, dimanche 12 juillet au soir, sur un document que leur avaient transmis les ministres des finances, à 16 heures, au moment où ils leur passaient le flambeau des négociations avec Athènes. Un texte « très ...

Tsipras : "Un Grexit n'est plus d'actualité"

lalibre.be - ‎Il y a 11 minutes ‎
A l'issue de l'accord trouvé entre la Grèce et ses créanciers pour négocier un troisième plan d'aide, Alexis Tsipras s'est exprimé lors d'un point presse. Voici les principales déclarations du Premier ministre grec : - "Nous avons réussi à assurer un ...

Grèce: la Zone euro "proche d'un accord"

dh.be - ‎Il y a 1 heure ‎
La Zone euro est "proche d'un accord" pour maintenir la Grèce en son sein, a affirmé lundi matin le Premier ministre luxembourgeois Xavier Bettel, après d'interminables heures de négociations dans la nuit à Bruxelles. "Après dix-sept heures de ...

Crise grecque: un accord annoncé quelques minutes avant l ...

dh.be - ‎Il y a 1 heure ‎
Un petit quart d'heure avant l'ouverture des marchés boursiers, le Premier ministre belge Charles Michel a annoncé via son compte Twitter qu'un accord avait été trouvé au terme de longues heures de négociations pour résoudre la crise grecque. A l'aube ...

Expliquez-nous… l'Eurogroupe dans la crise grecque

France Info - ‎Il y a 2 heures ‎
A Bruxelles, les réunions se sont enchaînées dimanche et toute la nuit pour tenter de trouver un accord sur la Grèce. L'Eurogroupe s'est notamment réuni pour préparer un document de travail. C'est quoi l'Eurogroupe ? L'Eurogroupe n'est pas ...

Grèce : accord pour négocier un nouveau plan d'aide

metronews - ‎Il y a 57 minutes ‎
EUROPE – Un accord sur les bases d'un nouveau plan d'aide à la Grèce semble avoir été trouvé à Bruxelles lundi matin, après une vingtaine d'heures de négociations au sommet de l'Europe. Au terme d'une nouvelle longue et éprouvante négociation ...

Incertitude autour des négociations sur la Grèce à l'Eurogroupe

Boursier.com - ‎Il y a 34 minutes ‎
BRUXELLES (Reuters) - Les ministres des Finances de la zone euro se sont réunis samedi à Bruxelles pour examiner le plan de réformes déposé par la Grèce en vue d'obtenir un nouveau plan d'aide, une réunion cruciale pour le maintien du pays dans le ...

La Grèce et l'Eurogroupe ont trouvé un accord

Le Temps - ‎Il y a 57 minutes ‎
Selon le Premier ministre de Belgique Charles Michel, l'Eurogroupe et la Grèce auraient trouvé un accord. Les liens. Crise grecque: un week-end de discussions et toujours pas d'accord. Publicité. La nouvelle est tombée par un tweet laconique envoyé par ...

Grèce : la zone euro demande des gages à Athènes

FRANCE 24 - ‎Il y a 1 heure ‎
Les chefs d'États et de gouvernements de la zone euro se penchent sur le dossier grec. Si aucune décision officielle n'a été annoncée, il ressort de ces discussions que la zone euro attend plus de la Grèce avant de lui fournir une nouvelle aide. L ...

La zone euro demande des gages à Athènes pour rétablir la confiance

Boursier.com - ‎Il y a 2 heures ‎
BRUXELLES (Reuters) - Les partenaires européens de la Grèce ont demandé dimanche des gages à Athènes pour rétablir une confiance brisée par des années de promesses non tenues, un préalable à un nouveau plan de sauvetage indispensable pour ...

Que cache le Grexit temporaire voulu par la Prusse ?

Atlantico.fr - ‎Il y a 3 heures ‎
Les négociations marathoniennes (un hommage posthume et ironique à la Grèce) qui se tiennent à Bruxelles sur le sort de la Grèce ont été le théâtre d'un rebondissement inattendu: la théorie (prussienne) du Grexit temporaire est apparue dans les ...

L'Europe bataille pour garder ou pas la Grèce dans l'euro

Le Temps - ‎Il y a 3 heures ‎
Bruxelles (awp/afp) - Les chefs d'Etat de la zone euro bataillaient dimanche soir pour savoir s'il faut sauver la Grèce ou la sortir de la zone euro, une hypothèse désormais envisagée noir sur blanc par les responsables européens. Ils examinaient le ...

Grèce : Athènes trouve le plan de l'Eurogroupe "très mauvais"

LINFO.re - ‎Il y a 2 heures ‎
Les dirigeants de la zone euro s'efforcent toujours de trouver les solutions pour maintenir la Grèce dans l'euro. Athènes qui trouve le plan de l'Eurogroupe "très mauvais", soumettra un projet de compromis aux dirigeants de la Zone euro.

DIRECT. La Grèce juge le plan de l'Eurogroupe "très mauvais"

Francetv info - ‎Il y a 12 heures ‎
Les négociations marathon de la veille n'ont pu aboutir un accord, plusieurs pays disant ne pas faire confiance à Athènes. Le Premier ministre grec Alexis Tsipras, le 12 juillet 2015 à Bruxelles (Belgique Le Premier ministre grec Alexis Tsipras ...


    .

Aucun commentaire: