Il est trop tôt ce Lundi pour envisager ce qui ressortira des nouvelles
confrontations des négociations à
Bruxelles qui se dérouleront à Bruxelles
ce Lundi, tout ce que l’on peut dire c’est
que depuis dimanche un climat de
méfiance envers la Grèce est entretenu par l’Allemagne en tête de file de certains pays du Nord membres de l’UE, (baptisés "les faucons" par les médias", et que ce matin l’ambiance
est très tendue à Bruxelles..
Hier le texte des
ministres des Finances de la zone euro recensant de nouvelles exigences pour
renouer le dialogue avec Athènes sur un plan de renflouement a été jugé très
mauvais dimanche soir par une source
gouvernementale grecque qui a indiqué à
Bruxelles « mais Athènes s'efforce de trouver des solutions pour surmonter
la crise : «Le texte dans son
ensemble est très mauvais. Nous essayons de trouver des solutions»,
Le texte (compromis) de
l’Eurogroupe qui propose l'option d'une
«sortie temporaire» de la Grèce de l'euro et consacre des abandons de
souveraineté en échange d'une éventuelle aide pour maintenir la Grèce dans l’euro,
a été ensuite mis étudié dans une rencontre entre les
dirigeants allemand, français, grec et le président du Conseil européen.
Ce compromis a été ensuite soumis au Conseil des dirigeants de zone
euro selon des déclarations faites quelques minutes après que ce Conseil eut annoncé la reprise des discussions
au sommet avec «un compromis» sur la table, des désaccords persistaient entre les
négociateurs sur les modalités d'un nouveau plan de sauvetage d'après un responsable du gouvernement grec. «Deux
grandes questions restent ouvertes», mais «nous avons dégagé le terrain et
sommes d'accord sur presque tout le reste», a commenté cette source
gouvernementale.
Toujours d’après cette source
les points d'achoppement sont «la participation du FMI, dont la Grèce ne
veut pas», au possible nouveau programme de renflouement, et la création au
Luxembourg d'un fonds regroupant 50 milliards d'actifs grecs pour garantir la mise
en œuvre des privatisations prescrites au pays, une idée «rejetée» par Athènes,
a-t-elle précisé en ajoutant «Avec un
pistolet sur la tempe, n'importe qui serait d'accord», la gravité de la
situation financière de la Grèce et de ses banques pour justifier les
éventuelles concessions consenties par
le gouvernement.
Les médias rapportent de leur côté que la Grèce ne peut pas
attendre pour commencer à négocier un
plan de secours, un renflouement du pays au vu de la «gravité» de la situation de ses
banques, à court de liquidités, en rappelant
une source gouvernementale grecque de
dimanche qui avait déclaré : «Nous ne voulons pas de délai»-, jusqu'à
mercredi,-, comme le propose
l'Eurogroupe, «car en attendant, il n'y a pas assez de liquidités de la BCE (
ndlr : injectées dans les banques grecques ) , et la situation est
grave … Jeudi serait trop tard».
Rappelons qu’un responsable européen (sous couvert d’anonymat)
avait dit dimanche qu’ un troisième plan d'aide pour la Grèce
pourrait être sur pied fin juillet, si les dirigeants de la zone euro
parviennent dimanche soir à donner un signal politique positif et après
validation des différents Parlements devant être consultés.
Rappelons aussi qu’un responsable européen en marge de la
réunion de Bruxelles avait déclaré que le sommet de dimanche s'avère conclusif, il
faudrait «deux ou trois semaines» pour qu'un troisième plan d'aide de plus de
80 milliards d'euros voit le jour, soit «vers fin juillet», le calendrier reste très serré, a-t-il
prévenu, avec la Grèce qui s'est engagée à voter lundi et mardi un certain
nombre de mesures, dont la réforme de la TVA, des pensions, de la procédure
civile et à adopter le mécanisme européen pour la résolution des crises
bancaires.
A partir de
jeudi-vendredi, les éléments pour engager les négociations pourraient être sur
la table, tant côté grec qu'en ce qui concerne le reste de la Zone euro, a
poursuivi ce responsable, en évoquant dans ce scénario optimiste de nouvelles
réunions des ministres des Finances à venir.
Ensuite, les
Parlements de plusieurs pays de la zone euro, Allemagne en tête, devront donner
leur feu vert pour le lancement des négociations sur ce nouveau programme
d'aide, le troisième pour la Grèce qui a bénéficié de 240 milliards d'aide
depuis 2010.
Les médias indiquent que même si des négociations pour un
nouveau plan d'aide s'engagent, Athènes aura besoin d'une aide intermédiaire , un
« pont ou « bridge » , pour faire face à une importante échéance de
remboursement le 20 juillet auprès de la Banque centrale européenne, la
dernière institution à maintenir en vie les banques du pays grâce à des prêts
d'urgence et que ce sujet pourrait être au menu de la réunion des ministres des
Finances de la zone euro qui se tiendra ce lundi à Bruxelles.
Différentes personnalités
notoires se sont exprimées sur les négociations en cours , nous citons ci-dessous
une déclaration avisée :
·Le prix Nobel d’économie Joseph Stigliz a jugé
que L'Allemagne «a porté un coup sévère et ébranlé
l'Europe par son attitude dans la crise grecque, en marge de la Conférence sur
le financement du développement qui s'ouvre lundi à Addis Abeba.«L'Allemagne a
montré un manque de solidarité. Vous ne pouvez pas gérer une zone euro sans un
minimum de solidarité., ….( cette crise) sape complétement la vision commune et
la solidarité européenne. C'est un désastre», a confié l'ancien chef économiste
de la Banque mondiale à l'AFP, jugeant qu'il serait «déraisonnable» que les
négociations en cours à Bruxelles aboutissent à demander «encore davantage» à
la Grèce. … «Si la BCE autorise les
banques grecques à rouvrir et qu'un accord est renégocié, les blessures peuvent
se refermer, mais si (l'Allemagne) réussit à utiliser cela pour exclure la
Grèce, je crois que les dégâts seront très très profonds», a prévenu
l'économiste en ajoutant «Les
dirigeants européens et occidentaux critiquent la Grèce pour son incapacité à
collecter l'impôt. Dans le même temps, les Occidentaux ont créé un système
d'évasion fiscale mondial... et les pays avancés essayent de contrer l'effort
global pour stopper l'évasion fiscale. On ne peut pas être plus hypocrite».
De leur côté les
médias,- en citant l’AFP,- indique qu’un éventuel programme d'aide à la Grèce
serait évalué entre 82 à 86 milliars d’euros,
selon le document final de l'Eurogroupe transmis dimanche aux chefs d'Etat et
de gouvernement, dont l'AFP a obtenu copie et rapporte que d’après ce document «L'Eurogroupe prend note du fait qu'un éventuel
programme aurait besoin de financements compris entre 82 et 86 milliards
d'euros et que l 'Eurogroupe invite les
institutions (Commission européenne, FMI, BCE, ndlr) à explorer les
possibilités de réduire cette enveloppe» par la fiscalité ou les privatisations.
C’est ce document
que les ministres des Finances de la
Zone euro ont transmis dimanche aux chefs d'Etat un document qui évoque aussi noir sur blanc l'option d'une «sortie
temporaire de la zone euro» de la Grèce, selon
la copie obtenue par l'AFP. «En
cas d'échec à trouver un accord, la Grèce se verrait proposer de négocier
rapidement une sortie temporaire de la zone euro, avec la possibilité de
restructurer sa dette», les médias
ajoutent « Ce passage figure entre
crochets pour signifier qu'il n'a pas emporté l'adhésion de tous les ministres
et qu'il revient aux chefs d'Etat de trancher » .
C’est donc aujourd’hui Lundi, dans un climat de tensions,
comme nous venons de le voir plus haut qu’un nouveau bras de fer très musclé s’ouvre à Bruxelles, d’autant que les Grecs refusent
d’être humiliés par l’Allemagne selon ce qui ressort de leur déclarations, en
effet bien que le premier ministre Alexis
Tsispras ait été amené à faire de nouvelles concessions aux créanciers de son pays, la majorité du peuple grec le
soutient , de nombreux Grecs accusent
l'Allemagne de chercher à les humilier par son intransigeance et sa méfiance
envers les dernières propositions faites par Athènes en vue d'obtenir une
nouvelle aide internationale.
La déclaration de
samedi de Wolfgang Schäuble , proposant une suspension
«temporaire» de la Grèce de la zone euro ou une amélioration des propositions
de réformes d'Athènes qui passerait par exemple par le transfert à l'étranger
du siège du fonds chargé de gérer les revenus des privatisations pour s'assurer
que ceux-ci servent exclusivement au remboursement de la dette, ne passe pas en
Grèce.
Et les réactions sont nombreuses en Grèce pour s’insurger contre l’Allemagne
notamment, de nombreux Grecs accusent l'Allemagne de chercher à les
humilier par son intransigeance et sa méfiance envers les dernières
propositions faites par Athènes en vue d'obtenir une nouvelle aide
internationale.
·
«Ce
qui se passe, c'est qu'on veut humilier la Grèce et les Grecs ou renverser le
gouvernement Tsipras», a déclaré à la chaîne Mega TV Dimitrios Papadimoulis,
vice-président du Parlement européen et membre du parti de la gauche radicale
Syriza, la formation du Premier ministre.
·
«Tout ce que je veux, c'est ne pas être
humilié par Schäuble et tous les autres», a lancé Panagiotis Trikokglou, un employé de 44 ans
qui vit à Athènes : «Je me moque
bien d'un retour à la drachme, ou de quoi que ce soit, nous soutenons le
Premier ministre, quoiqu'il décide, mais aujourd'hui je me sens un peu mal, pas
en raison de Tsipras, mais à cause de l'attitude de l'Allemagne. Ce Schäuble
n'aime pas les gens, je ne sais pas ce qu'il cherche...
·
Pour
un responsable du gouvernement grec, "il est clair que certains pays ne
veulent pas d'un accord, pour des raisons qui n'ont absolument rien à voir avec
les réformes et le programme que nous avons présenté".
Voila ce que nous pouvons dire ce matin, nous verrons ce soir si les Européens osent fermer la porte de la Zone Euro au nez des grecs, si la Grèce excédée se décide à claquer elle même la porte, et le cas échéant, nous ne tarderons pas aussi à voir quel grand pays dans le monde de "l'Est" en contre partie s'apprête à accueillir la Grèce et à l'aider, c'est pourquoi en conclusion en ce qui me concerne je ne me fais aucun souci pour la Grèce qui s'en sortira toujours et dans tous les cas, et je pense que c'est plutôt la construction européenne UE qui est en grande difficulté.
ooOoo
Nous pensons qu'il faut faire un rappel un rappel des positions européennes sur la période de vendredi à dimanche pour bien situer la montée des tensions :
L’ambiance de vendredi :
·
Le Parlement grec et par ailleurs les dirigeants de la zone euro avaient
étudié dès vendredi matin les propositions de réformes soumises in extremis
la veille au soir par Athènes à ses créanciers,
et qu’a la suite les européens
s’étaient donné jusqu'à dimanche pour parvenir à un accord avec la Grèce
·
Jean
Claude Trichet l’ex président de la BCR avait prévenu que les créanciers
devraient renoncer à la totalité de leurs remboursements en cas de sortie de la Grèce de
la zone euro,
·
Signe
de la confiance des marchés : les taux d'emprunt des pays du sud de l'Europe
se détendaient vendredi matin sur le marché de la dette
souveraine en zone euro, dans la foulée de la présentation par Athènes de nouvelles
propositions.
L’ambiance de Samedi :
·
Après un difficile début samedi,
une source proche des discussions a évoqué
« un manque de confiance»,
et un responsable européen a indiqué
que les discussions se sont focalisées sur
«ce qu'on attend exactement des Grecs ….. mais sans succès.
·
Wolfgang Schäuble a proposé samedi une
suspension «temporaire» de la Grèce de la zone euro ou une amélioration des
propositions de réformes d'Athènes qui passerait par exemple par le transfert à
l'étranger du siège du fonds chargé de gérer les revenus des privatisations
pour s'assurer que ceux-ci servent exclusivement au remboursement de la dette.
L’ambiance de Dimanche :
·
Les ministres des Finances de la zone euro devaient travailler sur « une base de travail constructive » qu’ils devaient transmettre à leurs à leurs chefs d'Etat et de gouvernement, qui devaient
se rencontrer à la suite, avant un sommet exceptionnel programmé en fin d'après-midi élargi aux 28 Etats membres
de l'Union européenne.
·
Un
accord entre la Grèce et ses partenaires européens est possible dimanche «si
toutes les parties le veulent», a affirmé le Premier ministre grec Alexis
Tsipras à son arrivée à un sommet de la zone euro à Bruxelles, qui va tenter de
trouver un compromis afin d'éviter une sortie du pays de la monnaie unique.
·
A son arrivée à Bruxelles Alexis Tsispras avait déclaré : «Je suis ici pour parvenir à un compromis
honnête, nous devons cela au peuple européen»,
…..«Nous pouvons parvenir ce soir à un accord si toutes les parties le
veulent», avait-il affirmé.
·
A son arrivée à Bruxelles le président français
François Hollande a posé la question « L'enjeu est de savoir si la Grèce sera demain
dans la zone euro … la a zone euro doit décider dimanche «si la Grèce sera
demain dans la zone euro , en promettant : …. «La France va tout faire pour trouver un
accord permettant à la Grèce de rester dans la zone euro», en excluant l'option, avancée auparavant par l'Allemagne, d'une «Grexit provisoire»
pour le maillon faible de la zone euro.
·
Toujours aussi coriace, la « leader du
clan des durs » la chancelière
Angela Merkel en arrivant à Bruxelles la chancelière a réaffirmé : « Il n'y aura qu'«il
n'y aura pas d'accord à n'importe quel prix pour sauver la Grèce » .. en ajoutant..
«La valeur la plus importante, à savoir la confiance et la fiabilité, a été
perdue»( avec Athènes ) , laquelle a promis des «négociations ardues».
·
«Ce que je vois dans ces négociations est
un manque de confiance dans le gouvernement grec», a déclaré de son côté le Slovène Miro Cerar. «J'espère
qu'on pourra rebâtir cette confiance d'une façon ou d'une autre», a-t-il souhaité mais «c'est aux Grecs de prouver
qu'ils sont dignes de confiance».
·
Le premier ministre (ministre d’Etat) Luxembourgeois Xavier Bettel
a affirmé : «Notre but est de garder la Grèce dans la zone euro mais il y
a des . Nous espérons avoir des résultats aujourd'hui (dimanche)»
·
Pour le Président du Parlement Européen l’allemand Martin Shulz a insisté : «Il ne s'agit pas d'un accord, mais de la
cohésion de l'Europe …, …C'est la
responsabilité de tous» a-t-il souligné.
·
Le
président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, a promis de «se
battre jusqu'à la dernière milliseconde pour avoir un accord» * Le Premier ministre maltais, Joseph
Muscat, a estimé qu'il «y a une limite à toute chose», en laissant entendre qu'il faut laisser le
pays sortir de l'euro. «Nous discutons de toutes les options possibles», a-t-il
insisté en espérant cependant « un
accord»
·
Une
source (proche des discussions) a rapporté que le Premier ministre Grec Alexis Tsipras «a parlé au téléphone» avec
Jack (Jacob) Lew secrétaire américain au Trésor, et lui a dit que «pour obtenir un
accord il fallait de la bonne volonté des deux côtés», que «la Grèce avait
prouvé qu'elle voulait un accord, mais que pour que celui-ci soit viable, il
devait respecter les Grecs et tous les sacrifices qu'ils ont faits depuis cinq
ans», a indiqué cette source, qui ne précise pas la teneur de la réponse du
secrétaire américain.
Voilà quelle était l’ambiance et la
position des européens avant la réunion de l’Eurogroupe, le sommet des
dirigeants de l’Eurogroupe et l’annulation du Sommet des 28 dirigeants européens
qui était programmé pour dimanche soir.
Ci-dessous Revue de Presse actualisée :
EN DIRECT - Le Grexit appartient au passé , assure Alexis Tsipras
Le Figaro - Il y a 1 minute
Le premier ministre grec espère que l'accord arraché à ses créanciers
après 17h de négociations permettra de rassurer les investisseurs. Sa
mise en oeuvre «sera difficile», prévient-il. < Envoyer cet article
par e-mail. X. Envoyer à : Séparez les ...
Grèce : ce que proposent les ministres des Finances de la zone ...
Francetv info - Il y a 23 minutes
Ces propositions doivent être finalisées par les chefs d'Etat et de
gouvernement, réunis dimanche à Bruxelles (Belgique). Le ministre des
Finances français, Michel Sapin, discute avec le
pré Le ministre des Finances français, Michel Sapin ...
Athènes trouve le plan de l'Eurogroupe ''très mauvais''
Le Figaro - Il y a 1 heure
Selon plusieurs journalistes grecs, Athènes tente actuellement de
"trouver des solutions" après les propositions de réformes faites par
l'Eurogroupe. Une source gouvernementale aurait affirmé à l'AFP que le
pouvoir jugerait le plan de l'Eurogroupe ...
Crise grecque : les propositions et désaccords de l'Eurogroupe
Le Monde - Il y a 1 heure
Les chefs d'Etat de la zone euro planchaient, dimanche 12 juillet au
soir, sur un document que leur avaient transmis les ministres des
finances, à 16 heures, au moment où ils leur passaient le flambeau des
négociations avec Athènes. Un texte « très ...
Tsipras : "Un Grexit n'est plus d'actualité"
lalibre.be - Il y a 11 minutes
A l'issue de l'accord trouvé entre la Grèce et ses créanciers pour
négocier un troisième plan d'aide, Alexis Tsipras s'est exprimé lors
d'un point presse. Voici les principales déclarations du Premier
ministre grec : - "Nous avons réussi à assurer un ...
Grèce: la Zone euro "proche d'un accord"
dh.be - Il y a 1 heure
La Zone euro est "proche d'un accord" pour maintenir la Grèce en son
sein, a affirmé lundi matin le Premier ministre luxembourgeois Xavier
Bettel, après d'interminables heures de négociations dans la nuit à
Bruxelles. "Après dix-sept heures de ...
Crise grecque: un accord annoncé quelques minutes avant l ...
dh.be - Il y a 1 heure
Un petit quart d'heure avant l'ouverture des marchés boursiers, le
Premier ministre belge Charles Michel a annoncé via son compte Twitter
qu'un accord avait été trouvé au terme de longues heures de négociations
pour résoudre la crise grecque. A l'aube ...
Expliquez-nous… l'Eurogroupe dans la crise grecque
France Info - Il y a 2 heures
A Bruxelles, les réunions se sont enchaînées dimanche et toute la nuit
pour tenter de trouver un accord sur la Grèce. L'Eurogroupe s'est
notamment réuni pour préparer un document de travail. C'est quoi
l'Eurogroupe ? L'Eurogroupe n'est pas ...
Grèce : accord pour négocier un nouveau plan d'aide
metronews - Il y a 57 minutes
EUROPE – Un accord sur les bases d'un nouveau plan d'aide à la Grèce
semble avoir été trouvé à Bruxelles lundi matin, après une vingtaine
d'heures de négociations au sommet de l'Europe. Au terme d'une nouvelle
longue et éprouvante négociation ...
Incertitude autour des négociations sur la Grèce à l'Eurogroupe
Boursier.com - Il y a 34 minutes
BRUXELLES (Reuters) - Les ministres des Finances de la zone euro se
sont réunis samedi à Bruxelles pour examiner le plan de réformes déposé
par la Grèce en vue d'obtenir un nouveau plan d'aide, une réunion
cruciale pour le maintien du pays dans le ...
La Grèce et l'Eurogroupe ont trouvé un accord
Le Temps - Il y a 57 minutes
Selon le Premier ministre de Belgique Charles Michel, l'Eurogroupe et
la Grèce auraient trouvé un accord. Les liens. Crise grecque: un
week-end de discussions et toujours pas d'accord. Publicité. La nouvelle
est tombée par un tweet laconique envoyé par ...
Grèce : la zone euro demande des gages à Athènes
FRANCE 24 - Il y a 1 heure
Les chefs d'États et de gouvernements de la zone euro se penchent sur
le dossier grec. Si aucune décision officielle n'a été annoncée, il
ressort de ces discussions que la zone euro attend plus de la Grèce
avant de lui fournir une nouvelle aide. L ...
La zone euro demande des gages à Athènes pour rétablir la confiance
Boursier.com - Il y a 2 heures
BRUXELLES (Reuters) - Les partenaires européens de la Grèce ont demandé
dimanche des gages à Athènes pour rétablir une confiance brisée par des
années de promesses non tenues, un préalable à un nouveau plan de
sauvetage indispensable pour ...
Que cache le Grexit temporaire voulu par la Prusse ?
Atlantico.fr - Il y a 3 heures
Les négociations marathoniennes (un hommage posthume et ironique à la
Grèce) qui se tiennent à Bruxelles sur le sort de la Grèce ont été le
théâtre d'un rebondissement inattendu: la théorie (prussienne) du Grexit
temporaire est apparue dans les ...
L'Europe bataille pour garder ou pas la Grèce dans l'euro
Le Temps - Il y a 3 heures
Bruxelles (awp/afp) - Les chefs d'Etat de la zone euro bataillaient
dimanche soir pour savoir s'il faut sauver la Grèce ou la sortir de la
zone euro, une hypothèse désormais envisagée noir sur blanc par les
responsables européens. Ils examinaient le ...
Grèce : Athènes trouve le plan de l'Eurogroupe "très mauvais"
LINFO.re - Il y a 2 heures
Les dirigeants de la zone euro s'efforcent toujours de trouver les
solutions pour maintenir la Grèce dans l'euro. Athènes qui trouve le
plan de l'Eurogroupe "très mauvais", soumettra un projet de compromis
aux dirigeants de la Zone euro.
DIRECT. La Grèce juge le plan de l'Eurogroupe "très mauvais"
Francetv info - Il y a 12 heures
Les négociations marathon de la veille n'ont pu aboutir un accord,
plusieurs pays disant ne pas faire confiance à Athènes. Le Premier
ministre grec Alexis Tsipras, le 12 juillet 2015 à Bruxelles
(Belgique Le Premier ministre grec Alexis Tsipras ...
.
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