Avant de partir en déplacement notre directrice d'édition nous a recommandé de relayer sur notre page les récents blog-notes de son correspondant Kader Hamiche
Curiosités d’une campagne
Dans le Vaucluse, le FN veut récolter ce que Bompard a semé
La volonté d’hégémonie du FN et la
rancune haineuse dont il fait habituellement preuve vis-à-vis de ses
anciens cadres qu’il a lui-même exclus trouvent une illustration
exemplaire en Vaucluse. Là, la petite dernière du clan Le Pen avait
trouvé matière à faire une éblouissante et météorique carrière sous le
parrainage bienveillant du maire d’Orange. Continuer la lecture
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Mon blog-notes du mardi 17 mars 2015
Au sommaire de mon blog-notes de ce mardi : Valls, la menace ; élections cruciales pour la France ; la langue française massacrée.
Valls la menace : de la graine de caudillo !
Manuel Valls est
incroyable. L’immigré espagnol naturalisé à vingt ans ne peut pas ouvrir
la bouche sans parler du « racisme » des français. Et il n’a aucune
reconnaissance pour le peuple qui en a fait son Premier Ministre. Le
verbe haut, l’insulte constamment à la bouche, cet homme ne peut pas
discourir en tribune sans aussitôt se prendre pour un émule d’Hitler.
Eh, Manuel ! Si tu veux te faire entendre, il suffit de régler ton micro
!
Le 11 mars 1963, la France perdait un héros (4)
Pour prolonger notre
méditation et notre recueillement au souvenir du martyre de Jean
Bastien-Thiry, voici un troisième poème dédié à nos héros morts à la
guerre ou assassinés.[1]
Soldat, attends !
Au Colonel Jean Bastien-Thiry
Au fort d’Ivry le matin du 11 mars
1963. La voix de la conscience parle à chacun des 12 soldats du peloton
d’exécution. A moins que ce ne soit la voix du Colonel Bastien-Thiry, ou
son âme immortelle, prête à s’envoler. A moins encore que ce ne soit la
voix de la France éternelle, ou la voix des combattants et des
patriotes qui sont morts pour que l’Algérie reste Française. Peut-être
même est-ce le choeur des voix de tous les combattants morts dans toutes
les guerres, puisque les hommes ne savent pas vivre en paix.
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