Les médias rapportent que le
décryptage de la première boite noire, a permis aux spécialistes de retranscrire les
30 dernières minutes de vol, nous
résumons ce que nous avons pu lire et entendre, il est relaté que les 20
premières minutes de vol se sont déroulées
normalement depuis le décollage et que
les échanges entre les deux pilotes sont normaux, l’ Airbus atteint sa hauteur
et sa vitesse de croisière , puis à 10 h 20 intervient un bref échange , le commandant de bord demande au co-pilote de
prendre les commandes, puis il sort de la cabine, ( pour satisfaire un besoin
personnel suppose-t-on) et le
copilote se retrouve seul dans la
cockpit, à 10 h 31 ( ndlr : soit 11
minutes après la sortie du commandant de la cabine ce qui n’est pas assez souligné par les médias) , il est relaté que le copilote Andrés Lubitz « manipule »
les boutons du « Flight Monitoring
System » pour actionner la descente de l’appareil.
Cependant, toujours d’après les relations des médias, le commandant
frappe à la porte à plusieurs reprises, on entend des coups sur la porte, il
demande à accéder à la cabine, il force
la voix , aucune réponse, d’après les enregistrements on entend aussi les
appels de la tour de contrôle de Marseille, les contrôleurs demande d'appliquer
le code détresse 7700 qui permet de guider l’avion pour un atterrissage d’urgence,
là encore pas de réponse .
De l’autre côté, le commandant de bord tente de forcer et de défoncer la porte blindée du cockpit. il ne peut y parvenir elle
est blindée et verrouillée à l’intérieur de la cabine.
Les alarmes de signal de proximité de l’appareil avec le sol, se
déclenchent. Dans ce cas le copilote aurait du remettre les gaz et remonter mail il n’en est rien,
les coups redoublent à la porte du cockpit , la boite enregistre aussi des cris des passagers Rien. Les coups
à la porte du cockpit redoublent.
La boîte enregistre aussi des cris de passagers, et le son calme de la respiration du copilote qui parait normale, puis à 10 h 41 un double choc, l’Airbus heurte d’abord un talus et s’écrase sur le versant opposé de la
montagne. la vitesse dépasse 700 km/h et l’avion se
disloque.
Les médias dans leurs relations se fondent sur les déclarations du Procureur de la République de Marseille
Brice Robin, concernant la manipulation
du bouton par le copilote , il explique notamment nous résumons : " Cette manipulation ne peut
être que volontaire. Pour descendre autant, il faut tourner plusieurs fois le
bouton », et en conclusion il déclare … Le copilote de l’A320 avait « la
volonté de détruire cet avion » … «
Rien ne permet de dire qu’il s’agit d’un attentat terroriste », souligne Brice
Robin. Le jeune homme, 630 heures de vol, n’est " pas répertorié comme
terroriste ", ….ne compte pas de proches
connus fréquentant des groupes terroristes.. "
Les médias toujours en se fondant sur les déclarations du procureur Brice
Robin indiquent « ….L’hypothèse
d’un malaise est écartée, pour trois raisons : le son de la respiration
démontre qu’Andrea Lubitz était conscient. Le fait que la descente a été
déclenchée par une série d’actions volontaires du copilote et surtout le
verrouillage de l’intérieur de la porte.. Un digicode secret, permet à un
membre de l’équipage d’ouvrir de l’extérieur sauf si le pilote actionne un
bouton « lock » , Andréas Lubiitz l’a
fait. »
Partant de là de nombreux médias s’avancent à
affirmer, comme si l’enquête
était déjà bouclée, que le copilote de l’A 20 Andreas Lubitz, 28 ans, copilote
de l’A320 , a déclenché volontairement la descente et verrouillé la porte,
précipitant l’appareil vers le sol et que la thèse de l’attentat terroriste est
écartée..
Dans ce contexte médiatique deux thèses sont
principalement évoquées, le suicide ou l’attentat-suicide,
le copilote d’après ce que nous lisons
et entendons ce serait suicidé ou aurait décidé de se suicider en entraînant
volontairement les passagers dans la mort.
Cependant la thèse du suicide semble ne pas être
officialisée pour le moment , comme nous le savons pour le procureur dans sa conclusion « … Le copilote de
l’A320 avait « la volonté de détruire cet avion ».
Par ailleurs d’ après le président de la compagnie Lufthansa . ……« Dès
lors que quelqu’un emporte dans sa mort 149 autres personnes, le mot qui
s’applique n’est pas le mot suicide. »
L’enquête, loin d’être terminée, mobilise les justices
françaises et allemandes, il est rapporté que
des investigations en cours portent sur la personnalité du
copilote, son CV . il est indiqué que ses
examens passés avec succès ne décèlent aucune faille professionnelle , qu’ une
interruption de la formation de pilote pose question, mais il indiqué que « c’est
courant en Allemagne » , que des proches sont entendus, et que deux perquisitions avec des saisies
d’ordinateurs, qui ont eu lieu à son domicile près de Düsseldorf et chez ses parents où il
réside souvent, sont en cours d’analyses.
Selon ses proches Andréas Lubitz est un jeune homme sans problème , sportif, et « heureux » d’être devenu pilote.
Des médias allemands font
cependant état d’une dépression, de « passages à vide ».
Mais la Lufthansa se refuse à toute expression sur les sujets médicaux.
En effet l’Allemagne est
très stricte avec le secret médical. Il est préservé même devant la justice.
Quant à l’autre boîte noire, celle qui vérifie les éléments
techniques de vol, toujours introuvable selon les médias , elle n’apporterait rien de plus indiquent-ils,
comment peuvent-ils le savoir à l’avance ?..
Nous verrons plus bas en Revue de
presse comment les médias relatent et interprètent le décryptage de la boite
noire, mais pour nous nous pensons, sans privilégier aucune thèses, que seuls l’enquête et les investigations sont loin d’être terminées et qu’il faudra
attendre longtemps les résultats pour pouvoir certifier qu’il s’agit d’un suicide ou d’un attentat
suicide, ou si la deuxième boîte noire était retrouvée et son décryptage possible s’il s’agit de
défaillances techniques ou de défaillance humaine.
Nous avons relevé qu’il est dit
que le son de la respiration du copilote enregistrée par la première boîte
noire décryptée était « calme jusqu’à la fin », or ils se trouve qu’on
peut être saisi d’un léger profond malaise soudain, momentané ou persistant, , troubles de la vue par exemple, vertige, etc.., je ne suis pas médecin et je ne sais pas si
dans ces sortes de malaises la respiration peut rester calme, ceci devrait être
éclairci, mais la « manipulation »
du bouton pourrait dans ces cas lui
avoir échappé même en cas de malaise léger, on
suppose aussi que Commandant est sorti du cockpit « pour satisfaire un besoin »
ce n’est qu’une supposition, il faudrait en savoir plus aussi sur ce point.
Les médias rapportent que le
décryptage de la première boite noire, a permis aux spécialistes de retranscrire les
30 dernières minutes de vol, nous
résumons ce que nous avons pu lire et entendre, il est relaté que les 20
premières minutes de vol se sont déroulées
normalement depuis le décollage et que
les échanges entre les deux pilotes sont normaux, l’ Airbus atteint sa hauteur
et sa vitesse de croisière , puis à 10 h 20 intervient un bref échange , le commandant de bord demande au co-pilote de
prendre les commandes, puis il sort de la cabine, ( pour satisfaire un besoin
personnel suppose-t-on) et le
copilote se retrouve seul dans la
cockpit, à 10 h 31 ( ndlr : soit 11
minutes après la sortie du commandant de la cabine ce qui n’est pas assez souligné par les médias) , il est relaté que le copilote Andrés Lubitz « manipule »
les boutons du « Flight Monitoring
System » pour actionner la descente de l’appareil.
Cependant, toujours d’après les relations des médias, le commandant
frappe à la porte à plusieurs reprises, on entend des coups sur la porte, il
demande à accéder à la cabine, il force
la voix , aucune réponse, d’après les enregistrements on entend aussi les
appels de la tour de contrôle de Marseille, les contrôleurs demande d'appliquer
le code détresse 7700 qui permet de guider l’avion pour un atterrissage d’urgence,
là encore pas de réponse .
De l’autre côté, le commandant de bord tente de forcer et de défoncer la porte blindée du cockpit. il ne peut y parvenir elle
est blindée et verrouillée à l’intérieur de la cabine.
Les alarmes de signal de proximité de l’appareil avec le sol, se
déclenchent. Dans ce cas le copilote aurait du remettre les gaz et remonter mail il n’en est rien,
les coups redoublent à la porte du cockpit , la boite enregistre aussi des cris des passagers Rien. Les coups
à la porte du cockpit redoublent.
La boîte enregistre aussi des cris de passagers, et le son calme de la respiration du copilote qui parait normale, puis à 10 h 41 un double choc, l’Airbus heurte d’abord un talus et s’écrase sur le versant opposé de la
montagne. la vitesse dépasse 700 km/h et l’avion se
disloque.
Les médias dans leurs relations se fondent sur les déclarations du Procureur de la République de Marseille
Brice Robin, concernant la manipulation
du bouton par le copilote , il explique notamment nous résumons : « Cette manipulation ne peut
être que volontaire. Pour descendre autant, il faut tourner plusieurs fois le
bouton », et en conclusion il déclare … Le copilote de l’A320 avait « la
volonté de détruire cet avion » … «
Rien ne permet de dire qu’il s’agit d’un attentat terroriste », souligne Brice
Robin. Le jeune homme, 630 heures de vol, n’est " pas répertorié comme
terroriste , ….ne compte pas de proches
connus fréquentant des groupes terroristes.."
Les médias toujours en se fondant sur les déclarations du procureur Brice
Robin indiquent « ….L’hypothèse
d’un malaise est écartée, pour trois raisons : le son de la respiration
démontre qu’Andrea Lubitz était conscient. Le fait que la descente a été
déclenchée par une série d’actions volontaires du copilote et surtout le
verrouillage de l’intérieur de la porte.. Un digicode secret, permet à un
membre de l’équipage d’ouvrir de l’extérieur sauf si le pilote actionne un
bouton « lock » Andréas Lubiitz l’a
fait. »
Partant de là de nombreux médias s’avancent à
affirmer, comme si l’enquête
était déjà bouclée, que le copilote de l’A 20 Andreas Lubitz, 28 ans, copilote
de l’A320 , a déclenché volontairement la descente et verrouillé la porte,
précipitant l’appareil vers le sol et que la thèse de l’attentat terroriste est
écartée..
Dans ce contexte deux thèses sont
principalement évoquées par les médias le suicide ou l’attentat-suicide,
le copilote d’après ce que nous lisons
et entendons ce serait suicidé ou aurait décidé de se suicider en entraînant
volontairement les passagers dans la mort.
Cependant la thèse du suicide semble ne pas être
officialisée pour le moment , comme nous le savons pour le procureur dans sa conclusion « … Le copilote de
l’A320 avait « la volonté de détruire cet avion ».
Par ailleurs d’ après le président de la compagnie Lufthansa . ……« Dès
lors que quelqu’un emporte dans sa mort 149 autres personnes, le mot qui
s’applique n’est pas le mot suicide. »
La Lufthansa refuse toute
expression sur les sujets médicaux.
En effet l’Allemagne est très stricte avec le secret
médical, il est préservé même devant la
justice.
L’enquête loin d’être terminée mobilise les justices
françaises et allemandes, il est rapporté que
des investigations en cours portent sur la personnalité du
copilote, son CV . il est indiqué que ses
examens passés avec succès ne décèlent aucune faille professionnelle , qu’ une
interruption de la formation de pilote pose question, que « c’est
courant en Allemagne » , que des proches sont entendus, et que deux perquisitions avec des saisies
d’ordinateurs, qui ont eu lieu à son domicile près de Düsseldorf et chez ses parents où il
réside souvent, sont en cours d’analyses.
Selon ses proches Andréas Lubitz est un jeune homme sans problème , sportif, et « heureux » d’être devenu pilote.
Des médias allemands font
cependant état d’une dépression, de « passages à vide ».
Mais la Lufthansa se refuse à toute expression sur les sujets médicaux.
En effet l’Allemagne est
très stricte avec le secret médical. Il est préservé même devant la justice.
Quant à l’autre boîte noire, celle qui vérifie les éléments
techniques de vol, toujours introuvable selon les médias , elle n’apporterait rien de plus indiquent-ils,
comment peuvent-ils le savoir à l’avance ?, on a bien l'impression qu'on veut effacer à tout pris l'hypothèse d'un acte terroriste.
Nous verrons plus bas en Revue de
presse comment les médias relatent et interprètent le décryptage de la boite
noire, mais pour nous, nous pensons, sans privilégier aucune thèses, que l’enquête et les investigations sont loin d’être terminées et qu’il faudra
attendre encore longtemps les résultats pour pouvoir certifier qu’il s’agit d’un suicide ou d’un attentat
suicide, ou encore si la deuxième boîte noire était retrouvée et son décryptage possible, s’il s’agit de
défaillances techniques ou de défaillance humaine.
Nous avons relevé qu’il est dit
que le son de la respiration du copilote enregistrée par la première boîte
noire décryptée était " calme jusqu’à la fin ... et qu'il était conscient " , or ils se trouve qu’on
peut être saisi d’un léger profond malaise soudain, momentané ou persistant, , troubles de la vue par exemple, vertige, etc.., je ne suis pas médecin et je ne sais pas si
dans ces sortes de malaises la respiration peut rester calme et si l'on reste totalement conscient, ceci devrait être
éclairci, mais la « manipulation »
du bouton pourrait dans ces cas lui
avoir échappé même en présence de malaise léger, on
suppose aussi que Commandant est sorti du cockpit « pour satisfaire un besoin »
ce n’est qu’une supposition, il faudrait en savoir plus aussi sur ce point, on
affirme que le copilote a volontairement verrouillé la porte et n’a pas voulu l’ouvrir à la demande du
Commandant , on peut se poser la question s’il était en capacité physique de le faire,
une défaillance technique du système de déverrouillage peut-elle être envisagée ,
ou bien même du tableau de commande .. ou d’autres causes de défaillances techniques ?,
… ce sont là autant de questions que l’on peut se poser, même s’il semble dans
les médias acquis à priori et trop vite que le copilote s’est suicidé volontairement entrainant dans la mort les 150 passagers de l’avion avec lui, dans ce dernier cas il
faudrait aussi envisager une perte soudaine de conscience morale.
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Les
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L'analyse
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est envisagée. Jean-Marc Ducos | 27 Mars 2015, 07h00 | MAJ : 27 Mars 2015,
07h45. Tweeter.
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