Il s’avère aux
dernières informations que le
copilote Andreas Lubitz soupçonné à l’origine d'avoir provoqué
délibérément la chute de l'Airbus A320 dans les Alpes françaises, a caché à son
employeur et à son entourage qu'il faisait l'objet d'un arrêt maladie le jour
de l'accident, d’après ce qu’a révélé
l'enquête allemande le vendredi
27 mars.
Depuis les investigations faites par des médias allemands les conduisent à privilégier eux-mêmes l'hypothèse qu’Andreas Lubitz était atteint de troubles psychologiques, ce qui permet de penser qu’il n’était peut-être pas en mesure de piloter un avion.
Depuis les investigations faites par des médias allemands les conduisent à privilégier eux-mêmes l'hypothèse qu’Andreas Lubitz était atteint de troubles psychologiques, ce qui permet de penser qu’il n’était peut-être pas en mesure de piloter un avion.
Rappelons brièvement que les enquêteurs français avaient
annoncé jeudi que le crash de l'avion, qui devait relier Barcelone à
Düsseldorf, avait sans doute été provoqué intentionnellement par le copilote de
l'appareil tandis que le Commandant avait été empêché de regagner le cockpit après
s'être absenté quelques minutes.
Rappelons aussi que
Jeudi, Carsten Spohr, .le patron de la Lufthansa avait indiqué qu’ Andreas Lubitz avait interrompu son
apprentissage «pendant un certain temps» avant de l'achever normalement et
d'entamer sa carrière de copilote en 2013, en
précisant ne pas avoir le droit
d'en dire plus sur le motif de l'interruption de sa formation. Il avait aussi
insisté sur le fait que Andreas Lubitz avait passé avec succès tous les tests,
y compris psychologiques au moment du recrutement.
Mais le lendemain, Vendredi,
le procureur de Düsseldorf , Christoph
Kumpa, était en mesure d’annoncer à la presse que des attestations d'arrêt
maladie avaient été retrouvées déchirées chez Andreas Lubitz, mais qu’ aucune lettre d'adieu ni écrit qui dévoilerait un acte prémédité à l'origine
de la catastrophe qui a fait 150 morts , n’ont été trouvé, ce qui
viendrait «appuyer la thèse» selon
laquelle le jeune homme «a caché sa maladie à son employeur (la compagnie
aérienne Germanwings) et à son environnement professionnel»
Les documents retrouvés
attestent d'une «maladie existante et de traitements médicaux correspondants»,
a précisé Christoph Kumpa qui toutefois
n'a pas révélé la nature de la maladie.
Le président du
Syndicat national des pilotes de ligne (SNPL) a annoncé qu'il déposera une
plainte contre X pour «violation du secret professionnel». Il réagissait à la
révélation par la presse de la teneur des enregistrements d'une boîte noire de
l'Airbus A320 de Germanwings qui s'est écrasé mardi dans les Alpes françaises.
La presse allemande
donne aussi des informations plus avancées, selon ses investigations, sans
citer de source, le quotidien Süddeutsche Zeitung, indique que les arrêts de travail seraient «apparemment» signés d'un
«neurologue et psychiatre».
De son côté le
quotidien Bild qui aurait eu accès à des documents officiels révèle que Andreas
Lubitz pendant sa formation de pilote,
il y a 6 ans avait souffert d’une grave
dépression et qu’il faisait
l’objet depuis lors d’un suivi médical
et régulier, en soulignant aussi que la Lufthansa,
maison-mère de son employeur Germanwings,
aurait transmis en son temps le dossier à
l'autorité allemande de supervision du transport aérien (Luftfahrtbundesamt,
LBA).
On apprend que la
clinique de Düsseldorf a démenti les informations de presse affirmant
qu'elle avait soigné le copilote pour dépression, tout en reconnaissant qu’elle
l’avait reçu pour des diagnostics, sans plus de précision.
Ci-dessus nous nous
sommes efforcés de rappeler brièvement
les traits essentiels de la progression de l’enquête concernant la personnalité
d’Andreas Lubitz , les déclarations du
patron de la Lufthansa,, l’intention du président du Syndicat national des pilotes de
ligne (SNPL) de déposer une plainte contre X pour «violation du secret
professionnel » en réaction à la révélation par la presse de la teneur des
enregistrements de la boite noire, à ce stade des informations il est évident
que les investigations judiciaires et les enquêtes ne pas
terminées, le dossier est loin d’être
bouclé, et quand il sera bouclé dans plusieurs semaines ou même des mois, vu l’ampleur
de cette tragédie, il faudra encore rechercher les responsabilités. au-delà de la personnalité du copilote, dont en
l’état de l’enquête on sait seulement qu’il était suivi médicalement , et donc peut-être inconscient ou
irresponsable du geste qu’il aurait commis,
d’après certains « délibérément » ou volontairement » , ce
qui tout de même parait une interprétation qui demande à être éclaircie par des spécialistes.
D’autant que ce matin
nous relevons dans la presse qu’un enquêteur français a déclaré samedi à
l’AFP que la "personnalité" du copilote,
soupçonné d'avoir provoqué volontairement le crash de l'avion de Germanwings et
qui semblait souffrir de troubles psychologiques, est "une piste
sérieuse", "mais pas la seule",
Selon le Général de
gendarmerie Jean-Pierre Michel,
sous-directeur de la police judicaire,
qui fait partie d’une délégation de trois enquêteur français venue à Dusseldorf pour coopérer avec les autorités
allemandes, la "personnalité" d'Andreas Lubitz est "une piste
sérieuse", "mais pas la seule",
D’après ce qu’il a déclaré ce samedi à l'AFP, …, "On a un certain nombre d'éléments qui nous permettent d'avancer dans cette piste, qui est présentée comme une piste sérieuse, mais qui ne peut pas être uniquement la seule", a ajouté cet enquêteur en expliquant « qu'à ce stade de l'enquête, il n'y avait toujours "pas d'élément particulier" dans la vie du copilote, comme une rupture amoureuse ou un problème professionnel, qui pourrait expliquer un geste volontaire pour détruire l'avion. .. et « qu'il s'agissait notamment de faire le lien entre les "constatations techniques" ainsi que les relevés effectués en France et les éléments sur la vie et la personnalité d'Andreas Lubitz rassemblés en Allemagne lors d'auditions et de perquisitions.
D’après ce qu’il a déclaré ce samedi à l'AFP, …, "On a un certain nombre d'éléments qui nous permettent d'avancer dans cette piste, qui est présentée comme une piste sérieuse, mais qui ne peut pas être uniquement la seule", a ajouté cet enquêteur en expliquant « qu'à ce stade de l'enquête, il n'y avait toujours "pas d'élément particulier" dans la vie du copilote, comme une rupture amoureuse ou un problème professionnel, qui pourrait expliquer un geste volontaire pour détruire l'avion. .. et « qu'il s'agissait notamment de faire le lien entre les "constatations techniques" ainsi que les relevés effectués en France et les éléments sur la vie et la personnalité d'Andreas Lubitz rassemblés en Allemagne lors d'auditions et de perquisitions.
Mais cependant des
informations circulant dans la presse allemande et reprise par les médias européens, font état de déclarations de l’ex- petite
amie d’Andréas Lubitz , affirmant dans une
interview publiée ce samedi par le Build qu'il lui avait dit qu'un jour tout le
monde connaîtrait son nom". "Un jour, je vais faire quelque chose qui
va changer tout le système, et tout le monde connaîtra mon nom et s'en
souviendra", et les médias
qui relayent cette information
ajoutent : « que quand cette jeune femme
entend parler du crash, cette phrase du copilote de l'A320 de la
Germanwings lui revient tout de suite "en mémoire", d’ après ce
qu’elle a déclaré ce samedi au quotidien
allemand Bild.
S'il "a fait
ça", "c'est parce qu'il a compris qu'à cause de ses problèmes de
santé, son grand rêve d'un emploi à la Lufthansa, comme capitaine et comme
pilote de long courrier était pratiquement impossible", affirme aussi la
jeune femme qui explique s'être séparée d'Andreas Lubitz
"parce qu'il devenait de plus en plus clair qu'il avait un problème. Pendant
les discussions, il craquait et me criait dessus ... La nuit, il se
réveillait et criait : "nous tombons". L'homme était aussi en proie à des
cauchemars, selon elle.
Il y aurait donc bien
eu une une séparation amoureuse, reste à
savoir l’impact réel de cette rupture sur l’état de santé du copilote
.
On ne peut pas empêcher
les médias d’informer et d’interpréter dans tous les sens et de rapporter des
informations officielles, des déclarations et des
interprétations notamment de personnalités
politiques,, certains d’entre ces
derniers pourtant hautement situés dans la hiérarchie, s’avancent à des hypothèses qu'il énoncent comme des certitudes, en dépit de la prudence qui s’imposent à
donner leur avis alors qu’ils ne sont pas dans le dossier et que l'enquête ne fait que commencer .., , c’est ainsi
que vendredi Manuel Valls en était encore à déclarer sur i-Télé au sujet du crash de l'A320 , que
"tout s'oriente" vers l'hypothèse d'un acte délibéré du copilote de
l'Airbus A320 de Germanwings…….même si "aucune piste ne peut être
écartée" , "Par principe, il n'y a aucune piste qui peut être
écartée. Nous devons attendre la fin de l'enquête. La justice devra la vérité
aux familles et aux proches des victimes. Même si hier, le procureur a donné
suffisamment d'éléments pour que nous puissions penser que ce geste fou, incompréhensible,
horrible, soit à l'origine de ce crash".
oo0oo
Par
ailleurs des médias écrivent et cherchent à analyser quelle est la part de
responsabilité de la Lufthansa dans le
crash, et celle du copilote , des psychologues et des psychiatres sont
appelés à donner leur avis en France et en Allemagne sur le comportement du copilote, de même que des pilotes
de haut niveau, et on prévoit qu’un débat pourrait s’élever sur
la question notamment de l’imputabilité de la responsabilité de la Lufthansa et même
de l’ autorité allemande de supervision du transport aérien
(Luftfahrtbundesamt, LBA)( qui avaient reçu transmission du dossier) , quand viendra le
moment d’indemniser les familles des victimes.
( Dans l’immédiat la compagnie
aérienne Germanwings a annoncé vendredi qu'elle allait verser une première
indemnisation de 50.000 euros par passager aux proches des victimes du crash de l' A320. Cette aide doit permettre aux
familles de faire face aux dépenses immédiates. La somme ne devra pas être
remboursée, précise le porte-parole de la compagnie. La question de
l'indemnisation des victimes est régie par la Convention de Montréal qui fixe
cette compensation à 145.000 euros environ par personne.)
Dans ce contexte il
faudra bien sur attendre les conclusions de l’enquête officielle au vu de
laquelle effectivement les responsabilités devront être officiellement recherchées, a responsabilité reconnue et évaluée , et les indemnités fixées, le tout au cours de différentes procédures qui pourront s'avérer très longues et difficiles avant d'aboutir, nous sommes bien loin de ce temps, nous avons en mémoire de précédentes affaires
qui ont durée plus de dix ans.
Les médias rapportent la
dernière consultation d’ Andreas Lubitz
à l'hôpital de Düsseldorf remonte au 10 mars à 11 h 07 et par ailleurs que les
policiers allemands auraient retrouvé des antidépresseurs au cours de leurs
perquisitions dans le logement du copilote Andreas Lubitz.
.A ce sujet, les médias indiquent que l’Association nationale de défense des intérêts des victimes d’accidents des médicaments (AAAVAM) estime qu’Andreas Lubitz, qui était «sujet aux dépressions» et «souffrait de problèmes affectifs avec son amie», avait sans doute accès aux benzodiazépines. Ces anxiolytiques «devraient être interdits aux patients atteints de ces dangereuses pathologies dépressives», estime l’association en précisant : …, «Ces anxiolytiques favorisent des troubles du comportement violent contre autrui pouvant permettre d’entraîner dans la mort des personnes n’ayant aucun lien avec l’individu suicidaire (accidents de la circulation, accidents ferroviaires, etc.)», explique encore l’AAAVAM.
On peut même peser que même sans intention suicidaire ces anxiolytiques peuvent provoquer des pertes de conscience morale ou intellectuelle incompatibles avec l'exercice d'une activité professionnelle qui demandent une concentration et une attention constante et soutenue.
Le frère d’une des victimes Belges envisage de déposer plainte , «Quand on apprend ça [le crash volontaire du copilote] , d'abord on n'y croit pas, on essaye de se dire que ce n'est pas possible», a expliqué sur les ondes Claude Driessens, le frère de Christian Driessens, un voyageur belge décédé dans le crash. «Avec le recul, je commence tout doucement à être fâché. Je ne comprends pas comment une société sérieuse puisse laisser un homme dépressif piloter l'avion. Car il était dépressif le garçon, il faut dire ce qui est. Sur ce point j'en veux à la société (Germanwings ) de ne pas avoir instauré dans leur règlement intérieur le fait qu'il doit toujours y avoir deux personnes dans le cockpit. Je tombe à la renverse. Ce n'est pas normal de laisser quelqu'un aux commandes tout seul, et qui bloque les portes, je suis très fâché.»
.A ce sujet, les médias indiquent que l’Association nationale de défense des intérêts des victimes d’accidents des médicaments (AAAVAM) estime qu’Andreas Lubitz, qui était «sujet aux dépressions» et «souffrait de problèmes affectifs avec son amie», avait sans doute accès aux benzodiazépines. Ces anxiolytiques «devraient être interdits aux patients atteints de ces dangereuses pathologies dépressives», estime l’association en précisant : …, «Ces anxiolytiques favorisent des troubles du comportement violent contre autrui pouvant permettre d’entraîner dans la mort des personnes n’ayant aucun lien avec l’individu suicidaire (accidents de la circulation, accidents ferroviaires, etc.)», explique encore l’AAAVAM.
On peut même peser que même sans intention suicidaire ces anxiolytiques peuvent provoquer des pertes de conscience morale ou intellectuelle incompatibles avec l'exercice d'une activité professionnelle qui demandent une concentration et une attention constante et soutenue.
Le frère d’une des victimes Belges envisage de déposer plainte , «Quand on apprend ça [le crash volontaire du copilote] , d'abord on n'y croit pas, on essaye de se dire que ce n'est pas possible», a expliqué sur les ondes Claude Driessens, le frère de Christian Driessens, un voyageur belge décédé dans le crash. «Avec le recul, je commence tout doucement à être fâché. Je ne comprends pas comment une société sérieuse puisse laisser un homme dépressif piloter l'avion. Car il était dépressif le garçon, il faut dire ce qui est. Sur ce point j'en veux à la société (Germanwings ) de ne pas avoir instauré dans leur règlement intérieur le fait qu'il doit toujours y avoir deux personnes dans le cockpit. Je tombe à la renverse. Ce n'est pas normal de laisser quelqu'un aux commandes tout seul, et qui bloque les portes, je suis très fâché.»
oo0oo
Les Recherches se
poursuivent méthodiquement sur le site dans des conditions très difficiles .d’accès..
Chaque matin, les
techniciens sont hélitreuillés à plus de 1 500 mètres d'altitude, et tout le
temps de leurs recherches, ils restent encordés à des secouristes de montagne
qui assurent leur sécurité.
Compte-tenu de la
difficulté de la tâche, physiquement et moralement, une cellule psychologique a
été installée pour accompagner les techniciens sur place.
Pour les enquêteurs, il
s'agit avant tout d'identifier au plus
vite les corps évacués de la montagne, notamment grâce aux prélèvements
effectués sur les familles jeudi après-midi., et de retrouver la deuxième boite
noire.
Les recherches
continuent donc sur le site du drame, notamment pour permettre d'identifier les
corps des 150 personnes décédées dans le crash, les médias rapportent les grandes difficultés liées à la collecte des échantillons sur la
zone de crash , sur un terrain très friable.
Il est indiqué que les
enquêteurs ont pu prélever des éléments
biologiques, de l'ADN , qui sera ensuite envoyé à l'institut de recherche criminelle
de Rosny-sous-Bois."
Le lieutenant-colonel Xavier Vialenc, porte-parole
de la gendarmerie a expliqué : «Des
débris de l'avion il ne reste pas grand chose, c'est surtout les restes humains
qui sont nombreux à collecter, les opérations pourraient encore durer deux
semaines»
,
Parmi la quinzaine d'enquêteurs, dix se
consacrent aux prélèvements ADN et cinq autres à l'enquête judiciaire. «Nous
avons un labo in situ mis en place dans la commune, dans un local technique de
Seyne, à 800 m de la dropzone (aérodrome) ou nous procédons à la chaîne
d'identification des victimes», a précisé Xavier Vialenc.
L'endroit est sous haute surveillance:
plusieurs voitures de police montent la garde devant la grille du portail qui a
été entièrement masquée.
Pour pouvoir identifier
les victimes, les gendarmes cherchent d'abord à prélever leur ADN sur des
objets qui leur ont appartenu, type brosse à dent. Si les proches ne disposent
pas de tels éléments, des prélèvements, de salive notamment, sont effectués sur
les membres de la famille. Quand l'identification est effectuée, tous ces éléments
sont détruits.
«Une fois
l'identification effectuée, tous les éléments ADN seront détruits» C'est
systématique, affirme la gendarmerie.
«Nous avons de toutes les équipes un
investissement sans faille et sans borne», assure la gendarmerie, les éléments
identifiés sur le site «sont enregistrés les uns après les autres de manière à
être exploités indifféremment».
Interrogé sur la possibilité d'analyser les
restes du corps du copilote, la gendarmerie précise que ces analyses pourront
se faire quand l'identification sera terminée. «Je pense que nous devrions être en mesure de
procéder à l'ensemble des identifications» des victimes »
.oo0oo
Du pont de vue
technique les techniciens recherchent aussi des débris
matériels et de l’avion et la deuxième boite noire
oo0oo
Accueil des
familles : solidarité, recueillement :
.Ci-dessous nous avons
relevé dans différents médias quelques
lignes des chapitres consacrés à la solidarité qui se manifeste pour les
familles des victimes,
« Les habitants
de la région où s'est écrasé l'Airbus A320 sont des dizaines à proposer leur
aide aux familles et proches des victimes, une très grande solidarité se manifeste
sur place pour l’accueil et le soutien des familles des victimes de la
part des habitants, des associations,
des élus et des autorités. Certains offrent de loger des personnes, d’autres propose leur résidence secondaire, d'autres proposent leurs services..
« La chapelle
ardente est constamment garnie de cierges et fleuries par et les habitants et les familles qui viennent
s’y recueillir ensemble, une cérémonie religieuse en hommage aux victimes
s'est déroulée samedi 28 mars à la cathédrale Notre-Dame-du-bourg à
Digne-les-Bains.
« En mairie de
Seyne, le village à proximité duquel s'est écrasé mardi l'A320, Charles Lanta,
un habitant d'un autre village voisin, Montclar, est venu aussi se porter
volontaire: «Nous sommes tous solidaires, naturellement. Il n'y a pas de pays,
pas de religion. J'ai même des amis qui m'ont téléphoné pour me dire "récupère
les clés du chalet, et tu accueilles chez nous tous ceux qui en ont
besoin". On est malheureux pour tous ces gens. 150 personnes sont mortes,
cela en fait 2000 qui pleurent», raconte-t-il d'une voix étouffée dans un
sanglot, dans sa tenue de cycliste.
" Il y a aussi cette
femme et ses trois enfants, venus livrer au centre d'accueil des gâteaux encore
tout chauds, faits maison. «C'est important, pour consoler les parents des
enfants. Nous savons qu'un avion s'est crashé, il y avait les enfants d'une
classe. C'est triste... Alors on a eu idée de faire quelque chose», explique
Armelle, 8 ans. «C'est venu des enfants», confirme la maman.
«Dans ce monde
d'égoïsme, qui se referme sur lui-même, il y a encore des gens qui ont du
cœur», a confié Michel Blanc, adjoint à
la mairie de Digne.
A la petite église de
Seyne. , un écriteau signale qu'un registre de condoléances est à la
disposition de ceux qui le souhaitent. «Que le temps vous aide a surmonter
cette épreuve», dit aussi une habitante de Seyne. On lit aussi des témoignages
de soutien en anglais, en espagnol. «Nous sommes le premier maillon du travail
de deuil», assure le maire de Seyne, Francis Hermitte
« Une stèle a été installée dans le
village de La Vernet en l'hommage des 150 victimes.
« Une messe a été
célébrée samedi à Digne, dans les Alpes-de-Haute-Provence, en hommage aux 150
victimes du crash de l'avion de Germanwings et de leurs familles. L'office
entièrement religieux a eu lieu à 10h30 en la cathédrale Notre-Dame-du-Bourg.
REVUE DE PRESSE :
leJDD.fr
|
- Il y a 34 minutes
|
Selon le journal Welt am Sonntag, la
police allemande a retrouvé dans l'appartement d'Andreas Lubitz à Düsseldorf
"un grand nombre de médicaments" destinés au traitement de troubles
psychiques. Le copilote de la Germanwings aurait également été pris
L'Obs
|
- Il y a 7 minutes
|
Düsseldorf (Allemagne) (AFP) - Le
copilote soupçonné d'avoir provoqué délibérément le crash de l'Airbus A320 de
Germanwings, qui a fait 150 morts, était angoissé par ses "problèmes de
santé", apparemment des troubles psychiatriques, et avait promis ...
Crash de l'A320: l'ex-compagne du
copilote confirme la dépressionPourquoi Docteur ?
Votre source favorite :Crash de l'A320 : Andreas Lubitz, un
homme aux ambitions ...TF1
lalibre.be
|
- Il y a 8 minutes
|
L'Obs
|
- Il y a 9 minutes
|
La Provence
|
- Il y a 19 minutes
|
France Soir
|
- Il y a 29 minutes
|
metronews
|
- Il y a 48 minutes
|
L'Obs
|
- Il y a 9 minutes
|
Düsseldorf (Allemagne) (AFP) - Le
copilote soupçonné d'avoir provoqué délibérément le crash de l'Airbus A320 de
Germanwings, qui a fait 150 morts, était angoissé par ses "problèmes de
santé", apparemment des troubles psychiatriques, et avait promis ...
Le Point
|
- Il y a 56 minutes
|
Des médicaments à son domicile, des
problèmes de vue, des angoisses, des cauchemars, on découvre chaque jour ce
qu'avait caché le copilote à ses employeurs. Andreas Lubitz, le copilote
soupçonné d'avoir provoqué l'accident de l'A320 dans lequel 150 ...
Pourquoi Docteur ?
|
- Il y a 55 minutes
|
Les enquêteurs suivent la piste d'un
"suicide altruiste" pour expliquer le crash de l'Airbus A320.
Témoignages et documents semblent confirmer qu' Andreas Lubitz souffrait de
dépression depuis plusieurs années. Crash de l'A320: l'ex-compagne du copilote ...
Challenges.fr
|
- Il y a 54 minutes
|
BERLIN - Andreas Lubitz disait qu'un
jour il "changerait le système" et que "tout le monde
connaîtrait son nom", affirme samedi dans le quotidien allemand Bild une
ancienne petite amie du copilote de l'Airbus A320 de la Germanwings soupçonné
d'avoir ...
TF1
|
- Il y a 57 minutes
|
Si Andreas Lubitz "a fait
ça", "c'est parce qu'il a compris qu'à cause de ses problèmes de
santé, son grand rêve d'un emploi à la Lufthansa, comme commandant de bord et
comme pilote de long courrier était pratiquement impossible". Dans un
entretien ...
Le Club de Mediapart
|
- Il y a 1 heure
|
Andreas Lubitz, le copilote allemand
de l'A320 de la compagnie allemande à bas coût Germanwings, qui s'est écrasé
mardi 24 mars 2015 à 10h 40, dans le massif des trois évêchés, dans les
Alpes-de-Haute-Provence, à 1600 mètres d'altitude, n'était pas ...
Voir l'actu en
direct »
Source : Matin on
line (suisse)
- Ce que l'on sait d'Andreas Lubitz, le copilote de l'A320
- Les pilotes de Swiss passent un test de santé tous les ans
- Le rôle du copilote provoque la stupeur en Europe
- «Deux personnes en permanence dans le cockpit»
- Immense vague de solidarité dans les Alpes du Sud
- Crash de l'A320: un des pilotes était bloqué hors du cockpit
Autres sources
www.rfi.fr/.../20150328-a320-indemnisation-familles-pourrait-couter-ch...
·
Il y a 10 heures - Des révélations qui risquent de soulever un
débat sur la question de la responsabilité de la compagnie allemande Lufthansa,
quand viendra ...
www.francetvinfo.fr › Faits-divers ›
Accidents › Crash dans les Alpes
Il y a 18 heures - Mais au-delà
du problème de l'image, "il y a aussi un problème financier, car si la responsabilité
directe de la Lufthansa peut être envisagée ...
www.lepoint.fr › Économie
·
Il y a 2 jours - Lufthansa n'avait vraiment pas besoin de
cela en ce moment. ... "C'est un des jours les plus noirs de l'histoire de
Lufthansa", a reconnu sa directrice .... un dossier électrique · Le
pacte de responsabilité de François Hollande.
www.boursorama.com › Mon Bourso ›
Communauté
·
Il y a 2 jours - 2 messages - 2 auteurs
car remettre en vol un individu
après un épisode de sa vie en dépression et burn out.Le malaise des employés de
la compagnie est d'ailleurs ...
www.boursorama.com › Actualités ›
Générales › Flash
·
Il y a 1 jour - Lufthansa, dont un avion s'est écrasé mardi,
faisant 150 morts, ... Cela n'empêche pas la compagnie d'assumer sa responsabilité:
elle a pris en ...
www.liberation.fr › Société › Crash
dans les Alpes
·
Il y a 20 heures - En tant que maison mère de Germanwings, c'est Lufthansa
qui assumera la responsabilité juridique et financière de la
catastrophe.
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