Nous ne savons pas comment le Président Français sortant qui a annoncé jeudi 1er décembre sa décision de ne pas se représenter à "sa réélection" pour la présidentielle 2017? se positionnera maintenant jusqu'à la fin de son mandat sur ce qu'il est convenu d'appeler la "Déroute de Daesch en Syrie" donc par définition les avancées considérables de l'Armée régulière de Barchard El Assad , notamment sa reconquête d' Alep. Jusqu'à présent il persistait à soutenir un opposition qu'il considérait comme "modérée" contre Bachar El Assad tout en souhaitant le voir destitué et en œuvrant dans ce sens au moins dans ses discours sur la question.
D'autant qu'un autre événement international d'importance l'élection de Donald Trump comme Président Elu des Etats-Unis et la défaite de Hillary Clintin avait déjà bouleversé sur la scène internationale la politique menée par les Etats-Unis par Obama qui paraissait depuis l'élection de Donald Trump se placer dans une certaine réserve.
Nous ne savons pas non plus comment il se positionnera sur la Libye ....
Un de mes correspondant Algérien avait attiré mon attention il y a quelques jours sur deux articles l'un assez récent du 30 novembre 2014 d'Algérie Patriotique qui abordait la question syrienne ( avant l'annonce de François Hollande ) et un article plus ancien de RT en Français qui nous remettait en mémoire les circonstances politiques de la mort du Colonel Khadafi.
Nous avions décidé de garder ces deux articles en attente pour les regrouper avec des articles que nous attendions à venir, mais je pense que nous devons les publier sans attendre la suite qui effectivement peut remettre en cause la position de François Hollande pendant les 4 mois et demi qu'il lui reste à gouverner la France, et celle alignée de son ministre des affaires étrangères Jean-Marc Ayrault, en effet il est prévisible que les candidats socialistes et de gauche .. à la primaire de gauche auront à se déclarer sur ces questions, et qu'il serait hasardeux d'émettre de la part des dirigeants sortant en queue de quinquennat, des positions qui pourraient se trouver en contradiction avec les candidats PS et de gauche de la primaire de gauche.
Pour information, nous publions aussi plus bas un lien conduisant à un article de RT en français du 4 décembre 2016 intitulé " «La politique française est humainement géniale mais politiquement désastreuse», dans lequel Georges Malbrunot grand reporter du Figaro, qui était en Syrie en octobre 2016, rend compte à RT de la guerre en Syrie et de la politique diplomatique particulièrement de la diplomatie française.
Nous pouvons lire dans le premier paragraphe de cet article "Il a ainsi pu prendre connaissance de la situation, tant à Alep qu'à Damas. Pour le journaliste expert du Moyen-Orient, les «rebelles modérés» ne comptent plus dans l'équation en Syrie. Ce n'est qu'à Alep que ces derniers sont encore numériquement significatifs, 3 000 environ sur les 8 000 combattants retranchés dans les quartiers est de l'agglomération. Un effectif que Georges Malbrunot compare avec les 2 000 de l'organisation terroriste d'al-Nosra - rebaptisée Front Fatah al-Cham sous la pression du Qatar, rappelle le journaliste, «afin de la rendre plus présentable aux yeux des Occidentaux». Mais les rebelles modérés ne sont pas décisionnaires : les leaders sont issus d'al-Nosra et ce sont eux qui «imposent leur tempo».
Pour information, nous publions aussi plus bas un lien conduisant à un article de RT en français du 4 décembre 2016 intitulé " «La politique française est humainement géniale mais politiquement désastreuse», dans lequel Georges Malbrunot grand reporter du Figaro, qui était en Syrie en octobre 2016, rend compte à RT de la guerre en Syrie et de la politique diplomatique particulièrement de la diplomatie française.
Nous pouvons lire dans le premier paragraphe de cet article "Il a ainsi pu prendre connaissance de la situation, tant à Alep qu'à Damas. Pour le journaliste expert du Moyen-Orient, les «rebelles modérés» ne comptent plus dans l'équation en Syrie. Ce n'est qu'à Alep que ces derniers sont encore numériquement significatifs, 3 000 environ sur les 8 000 combattants retranchés dans les quartiers est de l'agglomération. Un effectif que Georges Malbrunot compare avec les 2 000 de l'organisation terroriste d'al-Nosra - rebaptisée Front Fatah al-Cham sous la pression du Qatar, rappelle le journaliste, «afin de la rendre plus présentable aux yeux des Occidentaux». Mais les rebelles modérés ne sont pas décisionnaires : les leaders sont issus d'al-Nosra et ce sont eux qui «imposent leur tempo».
En Revue de presse nous publions aussi avec ce lien la vidéo qui illustre l'article de RT
Déroute de Daech en Syrie, panique à Paris : Hollande vole au secours de ses terroristes

François Hollande sur le porte-avion de la marine française près des côtes syriennes. D. R.
Houari Achouri
Alors que l’armée
syrienne poursuit sa reconquête de la partie est d’Alep et libère les civils
qui étaient soumis au régime de la terreur imposé par le Front Al-Nosra et
d’autres groupes terroristes, il ne reste pratiquement plus que François
Hollande et son ministre des Affaires étrangères, Jean-Marc Ayrault, pour
continuer à entretenir la confusion sur la situation dans ce pays, et
particulièrement à Alep, à l’aide de la fiction d’une opposition modérée qui
serait concernée par les combats qui se déroulent dans cette ville. Le ministre
des Affaires étrangères et du Développement international vient d’annoncer
qu’il demande que «le Conseil de sécurité des Nations unies se réunisse
immédiatement afin d’examiner la situation de cette ville martyre et les moyens
d’apporter secours à sa population». Il utilise le prétexte de catastrophe
humanitaire à Alep pour dire qu’il y a «urgence à mettre en œuvre une cessation
des hostilités et à permettre un accès sans entrave de l’aide humanitaire». On
apprend également que Jean-Marc Ayrault doit recevoir, aujourd’hui au Quai
d’Orsay, le «président des conseils locaux d’Alep, Brita Hagi Hasan».
En fait, encore une
fois, la France vole au secours des terroristes en Syrie. Cela se comprend, le
gouvernement français et les médias qui le suivent ont été parmi les plus
fervents partisans de la guerre menée contre la Syrie par des groupes
terroristes alimentés par des mercenaires venus de France et d’autres pays
européens. Ils ont soutenu une «opposition modérée» qui a servi de paravent à
des groupes criminels et se sont obstinés à vouloir affaiblir le pouvoir de
Bachar Al Assad qui combat le terrorisme.
L’affaire cocasse des
fuites concernant les préparatifs de frappes contre la Syrie, en 2013, montre
jusqu’où Hollande était prêt à aller si le réalisme n’avait pas dissuadé le
grand chef américain de ne pas se lancer dans cette aventure. Depuis, la
réalité du terrain des opérations est mieux connue, ce qui a amené la classe
politique française presque dans son ensemble à admettre que l’«opposition
modérée» était totalement négligeable en effectifs et en armement dans le
conflit par rapport au poids des groupes terroristes. Mais Hollande et son
ministre des Affaires étrangères ne veulent pas le reconnaître. Au contraire,
ils persistent à vouloir desserrer l'étau sur les assassins d'Al-Nosra et de
Daech et empêcher une victoire finale contre cette vermine.
Pensent-ils qu’en
plaidant pour les groupes terroristes, ils épargneraient à la France d’être
leur cible ? Ou alors la démarche de Paris vise-t-elle, comme l’affirme
l’ambassadeur russe auprès de l’ONU, Vitali Tchourkine, à «détourner
l’attention sur ce qui se passe dans la ville irakienne de Mossoul» où la
situation est «beaucoup plus dramatique qu’à Alep-Est» ?
Dans tous les cas, les
informations qui circulent à propos de l’éventualité que les criminels de Daech
utilisent des drones lors d'attentats en France, selon un communiqué de la
police française, prouvent que la complaisance à l’égard des terroristes ne
sert à rien. Des dizaines d’attentats en Europe sont sur le point d’être
préparés, a averti également l'Union européenne (UE). Daech prouve chaque jour
que ses capacités de nuisance restent fortes. Il a revendiqué l'attaque au
couteau menée lundi sur le campus de l'université de l'Etat de l'Ohio qui a
fait 11 blessés. Grâce au réseau internet, les chefs de Daech peuvent
poursuivre leur travail de diffusion de leur idéologie et donner les ordres à
leurs agents dormants et solitaires, tout en les formant à l’usage de n’importe
quel objet qui pourrait servir d’arme meurtrière. Personne en France ne
l'ignore.
Houari Achouri
Déroute de Daech en Syrie, panique à Paris ... - Algérie Patriotique
www.algeriepatriotique.com/.../déroute-de-daech-en-syrie-panique-à-paris-hollande-v...
Il y a 4 jours - Déroute de Daech en Syrie, panique à Paris : Hollande vole au secours ..... Hollande va être viré dans 6 mois, t n'a jamais prévu aucun plan B..
ooOoo
Autre article plus ancien :
Mort il y a cinq ans, Kadhafi hante encore la politique française — RT ...
https://francais.rt.com/international/27850-5-ans-kaddhafi
20 oct. 2016 - Mort il y a cinq ans, Kadhafi hante encore la politique française .... dans lequel serait consigné le versement à Nicolas Sarkozy de 6,5 millions ...
ooOoo
oo
Georges Malbrunot : «La politique française est ... - RT en français
https://francais.rt.com/entretiens/29843-georges-malbrunot-politique-francaise-humai...
Il y a 5 jours - Pour l'auteur de «Nos très chers émirs», la guerre en Syrie est un ... française est humainement géniale mais politiquement désastreuse» ... Les paris et fiascos de la diplomatie française ... opération conforme au droit international, et à la demande de la ... RT France
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