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01 décembre 2016

Gilbert Collard " Hollande a voulu s'éviter une humiliation suprême ( source RT en français )

Éditorial de lucienne magalie pons


 Gilbert Collard  député RBM-FN du Gard, Secrétaire Général du Rassemblement Bleu Marine, Membre du bureau politique du Front national, réagit sur RT en Français .

Source : site  RT en Français

* copié/collé : 

Gilbert Collard : Hollande a voulu s'éviter une humiliation suprême


 1 déc. 2016





Le président François Hollande a décidé de ne pas se présenter en raison des primaires  où son bilan aurait été détruit par ses adversaires, estime le député, membre du bureau politique du Front national, Gilbert Collard.

Gilbert Collard est député RBM-FN du Gard, Secrétaire Général du Rassemblement Bleu Marine, Membre du bureau politique du Front national.

RT France : Est-ce que vous êtes surpris de la décision de François Hollande de ne pas se représenter ?

Gilbert Collard (G. C.) : Oui, je pensais que malgré le terrible bilan qui est le sien il irait quand même à l'élection. Je pense que c'est l'humiliation qu'auraient entraînée les primaires qui a dû le décourager d'y aller. Son image aurait été complètement déchiquetée par une primaire où ses camarades auraient eu à cœur et de la joie à mettre en pièce l'histoire un peu romanesque qu'il essaye de raconter d'un quinquennat réussi. Je pense qu'il a voulu s'éviter cette humiliation suprême.
RT France : François Hollande a justifié son choix pour préserver l'unité de la gauche et de la France par l'intérêt supérieur du pays. L'a-t-il vraiment fait avec cette intention ?

G. C. : C'est une formule de style pour habiller son absence de candidature. Je crois plutôt que c'est l'intérêt supérieur du parti qu'il prend en considération, sachant que sa candidature aurait provoqué une bagarre interne effroyable. Manuel Valls ne doit probablement pas être pour rien dans la décision qu'il a prise. Ce n'est pas du tout l'intérêt de la nation qu'il a en tête mais l'intérêt supérieur du Parti socialiste.

RT France : La non candidature du président vous fait-elle peur ou au contraire vous réjouit-elle pour la campagne du Front national? 

G. C. : Cela ne me fait ni peur ni me réjouit. Dans tous les cas de figures, président ou pas président, cela ne change rien. Cela ne change ni le bilan des socialistes, ni les querelles intestines qui les dévorent. Je pense même que les socialistes paieront son absence. Le Parti socialiste paiera son quinquennat d'une manière ou d'une autre.

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