30 janvier 2014

N'acceptons pas la "Théorie du genre" , sa propagande et ses manipulations politiques !

Éditorial de lucienne magalie pons

 Avant de passer en revue de presse, nous attirons aussi  tout particulièrement votre attention   et votre vigilance sur la nouvelle menace qui s'annonce imminente au niveau de l'UE contre l'enfant et la famille,  en effet le 4 février prochain les députés européens sont appelés a examiner  le rapport Lunacek, présenté comme « la feuille de route de l’UE contre l’homophobie et les discriminations fondées sur l'orientation sexuelle et l'identité de genre ».

Le mouvement La Manif Pour Tous,  a  lancé  une pétition destinée à sensibiliser les députés européens et demandant le rejet pur et simple du rapport Lunacek, et  dénonce un projet visant clairement à la mise en place d’un dispositif européen favorisant les revendications du lobby LGBTI (Lesbiennes, Gays, Bisexuels, Transexuels et Intersexes).

En nous  référant à  l'article de source:

Rapport Lunacek : nouvelle menace anti-famille au Parlement européen

  1. Aleteia ‎- il y a 1 jour
    Le 4 février prochain, les députés adopteront-ils un dispositif européen favorisant les revendications du lobby LGBTI ? GPA, PMA.... Ce rapport ...

 - nous résumons ci -dessous  ce qu'il faut au moins savoir du rapport Lunacek (que nous  vous invitons si vous le souhaitez de combattre en signant une pétition  en ligne)

1/Le vote prévu le 4 février pourrait passer inaperçu ,  il ne figure pas à l’ordre du jour pour le débat public. Seule son adoption est annoncée .

2/Le texte du rapport disponible ici en français demande la mise en place d’une feuille de route « visant à la protection des droits fondamentaux des personnes LGBTI », « contre l’homophobie et la discrimination fondée sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre ».



3/Il est  exigé des États membres « d’adapter leur droit de la famille aux changements que connaissent actuellement les structures et les modèles familiaux et va jusqu'à inclure la possibilité que les enfants aient plus de deux parents (tuteurs légaux), car cela ouvrirait la voie à une meilleure reconnaissance des familles arc-en-ciel et des familles LGBT, tout comme des familles recomposées ».


4/ Le rapport recommande aussi « de garantir l’accès des femmes célibataires et des femmes lesbiennes aux traitements de fertilité et aux traitements de procréation médicalement assistée »

5/ de promouvoir « dans les écoles le respect et l’intégration des personnes LGBTI et de favoriser un enseignement objectif des questions concernant l’orientation sexuelle, l'identité de genre et l'expression du genre dans les écoles et les autres structures éducatives ».

6/ Il demande également  de faciliter l’organisation de « défilés de type “Pride” » car – disent-ils – ces manifestations « sensibilisent le public aux questions relatives aux LGBTI et permettent aux personnes LGBTI de s’exprimer ».

7/  Ce rapport demande  à ce que les enfants puissent avoir plus de deux parents

8 / Ce rapport  a été  préparé et promu  par ILGA Europe, c’est-à-dire par la LGBTI (lesbiennes-gays-bisexuels-transsexuels-intersexes) au niveau européen. 

9/ Il faut souligner que ce  lobby ultra-minoritaire ne représente en rien l’ensemble des personnes homosexuelles puisqu’il rassemble à peine quelques milliers de personnes pour l’ensemble de l’Union européenne, mais qu'il est pris en  grande considération par le Parlement européen  ILGA Europe a en effet été financée à hauteur de 1,408 millions d’euros en 2012 et si le rapport  est voté  un financement encore beaucoup plus important est prévu.


 ndlr :  la pétition de la Manif Pour Tous  dénonce aussi l’objectif financier de ce rapport.
Pour interpeler vos députés : http://www.deputespourtous.com/europe/

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 EN FRANCE :

Nous attirons aussi votre attention sur  la propagande  qui a trouvée sa place dans les discours  de plusieurs  haut responsables  politiques français et aussi sur leur  "outil " à valeur de test "   le manuel "ABCD de l’égalité", engagée à la rentrée par le ministère  de l’Éducation Nationale dans dix académies."

 De même nous dénonçons  leur arguments  quand pour ne pas prendre en compte les protestations des   centaines de  parents qui s'opposent à l'enseignement de la théorie du genre dans nos établissements   ils prétendent que les parents  sont  instrumentalisés et  manipulés,  et que l'enseignement de la Théorie du genre est une "rumeur" , et résulte  des instrumentalisations de ceux qui, venus de l’extrême-droite négationniste, sont en train de vouloir répandre l’idée, qui fait peur aux parents et blesse les enseignants,…. » , arguments qui ont été repris par les médias qui leur sont dévoués.

Comme si tous les parents étaient des abrutis incapables de réfléchir et d'agir par eux mêmes !

Dans les jours précédents ( et le mouvement  continu) des centaines de parents n'ont pas présentés   leurs enfants dans les écoles en signe d’opposition aux idéologies véhiculées    par la "théorie du genre" par le  manuel le manuel "ABCD de l’égalité", engagée à la rentrée par le ministère dans dix académies, largement promotionné par un syndicat d’enseignants proche du gouvernement

Très vite les  responsables du gouvernement affolés   par ce mouvement à l'approche des municipales ont, par la voix du Ministre de l'éducation nationale,  dénoncés   en séance à l'Assemblée Nationale , je cite ... " des  rumeurs venues de l’extrême-droite négationniste,   de vouloir répandre l’idée, qui fait peur aux parents et blesse les enseignants,…. » , arguments qui ont été repris par les médias qui leur sont dévoués.
 

En effet avant-hier  le 28 janvier  à l’assemblée nationale au cours de la séance  de questions aux gouvernement "la théorie du genre"  était à l'ordre du jour.

D'abord  c'est le député de la majorité socialiste et de gauche,  Olivier Faure  du Groupe socialiste républicain et citoyen qui  a posé sa question au Ministre de l’éducation Nationale en lui tendant généreusement la perche,  en parlant de rumeur,  de groupes extémistes,  de pyromanes .., qu'il tient pour responsables de la manifestation  de dimanche dernier (jour de colère)  et d'être  à la base de l' instrumentalisation des parents  qui n'ont pas présenté hier leurs enfants dans les écoles, et il a même accusé   Jean-François Copé , lequel selon lui  "a choisi de relayer la rumeur en se déclarant « choqué par la théorie du genre » plutôt que de dénoncer l’absurdité de telles allégations. ....."



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Voici leur échange extrait du compte rendu intégral de la deuxième séance du mardi 28 janvier 2014 .

copié/collé  : 

 
M. le président. La parole est à M. Olivier Faure, pour le groupe socialiste, républicain et citoyen.
M. Olivier Faure. Ma question s’adresse au ministre de l’éducation nationale.

Monsieur le ministre, la rumeur n’est hélas pas un phénomène nouveau, mais les moyens technologiques ont renforcé sa viralité. Aujourd’hui, des groupes extrémistes utilisent ce poison pour manipuler les consciences, les exciter contre des projets imaginaires, mieux les dresser contre le travail indispensable que vous menez pour refonder l’école.

Ainsi, certains pyromanes, clairement issus des rangs de l’extrême-droite, qui manifestaient dimanche dernier comme vient de le rappeler Matthias Fekl, développent l’idée que le Gouvernement serait à la tête d’un vaste complot qui aurait pour moyen la négation de toute réalité biologique et pour but la destruction de notre civilisation. Rien de moins !

Depuis quelques jours, et singulièrement depuis hier, la rumeur s’est amplifiée dans nos écoles. Cette manipulation, par voie de mails et de SMS, dénonce l’officialisation et la généralisation de la théorie du genre pour les enfants scolarisés. On a même vu des SMS prévenant les parents que des cours de masturbation étaient organisés chez les tout-petits !

Le résultat a été de susciter artificiellement l’inquiétude des parents, et certains ont même choisi de retirer leurs enfants de l’école. À cet égard, je regrette et je déplore que M. Copé ait choisi de relayer la rumeur en se déclarant « choqué par la théorie du genre » plutôt que de dénoncer l’absurdité de telles allégations. (Exclamations sur de nombreux bancs du groupe UMP.)

Alors, monsieur le ministre, je souhaiterais tout simplement que vous mettiez un point final à cette rumeur absurde. (Applaudissements sur de nombreux bancs du groupe SRC.)


M. le président. La parole est à M. le ministre de l’éducation nationale.
M. Vincent Peillon, ministre de l’éducation nationale. L’école de la République a trois missions, monsieur le député : instruire les enfants de la République, favoriser leur insertion professionnelle et transmettre les valeurs de la République. La représentation nationale l’a souhaité, elle peut en être fière dans sa diversité. Notre devise républicaine est à nouveau apposée sur tous les établissements de France. Nos 48 000 écoles sont pavoisées du drapeau français et du drapeau européen, la charte de la laïcité est présente dans les établissements, ainsi que la Déclaration des droits de l’Homme.

Au cœur de ces valeurs, il y a l’égalité, et cela concerne aussi l’égalité entre les hommes et les femmes car, dans notre pays, vous le savez, il y a trop d’inégalités. À même niveau de responsabilité, les écarts de salaire sont de plus de 25 %. Alors qu’un plus grand nombre de jeunes filles réussissent dans les filières scientifiques, moins d’un tiers d’entre elles se destinent au métier d’ingénieur alors que nous en avons besoin.

L’éducation nationale assume tout simplement la transmission de ces valeurs, le respect et l’égalité entre les filles et les garçons. Elle refuse totalement la théorie du genre, et elle refuse les instrumentalisations de ceux qui, venus de l’extrême-droite négationniste, sont en train de vouloir répandre l’idée, qui fait peur aux parents et blesse les enseignants, que tel serait notre point de vue.

Jamais nous ne renoncerons à l’enseignement de l’égalité, que nous inscrivons au fronton de toutes nos écoles. Nous continuerons de lutter contre toutes les discriminations, le racisme, les inégalités, mais je veux très solennellement rassurer tous les parents de France : n’écoutez pas ceux qui veulent semer la division et la haine dans les écoles. Ce que nous faisons, ce n’est pas la théorie du genre, que je refuse, nous voulons promouvoir les valeurs de la République et l’égalité entre les hommes et les femmes. (Applaudissements sur les bancs des groupes SRC, écologiste et RRDP.)


fin du copié/collé
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-  suite de notre éditorial 

Il se trouve d'après notre analyse,  que le Ministre de l’éducation  Nationale  a répondu  en   disculpant l’Éducation Nationale et lui même  de  la  « Théorie du genre »et en détournant  la question  il a  placé sa réponse  sur le terrain des valeurs républicaines et de l’égalité entre les hommes et les femmes  et  pour faire diversion il a parlé  des écarts de salaire de plus de 25 %   entre les hommes et les femmes  et sur  « le plus grand nombre de jeunes filles (qui)  réussissent dans les filières scientifiques, »  en soulignant que  « moins d’un tiers d’entre elles se destinent au métier d’ingénieur alors que nous en avons besoin. », on se demande ce que viennent faire les écarts de salaires et les jeunes filles ingénieurs  dans la "théorie du genre, une allusion selon laquelle on peut penser que  dans l'esprit du  Ministre t_gne une épaisse confusion des genres !


Et vous ne serez pas surpris qu’à l’approche des élections Municipales ce Ministre ait prétendu  que l"Education nationale  "refuse totalement la théorie du genre" et qu'elle "refuse les instrumentalisations de ceux qui, venus de l’extrême-droite négationniste sont en train de vouloir répandre l’idée, qui fait peur aux parents et blesse les enseignants, que tel serait notre point de vue"
 

Le mot "négationniste" n'a pas été prononcé par hasard, il ajoute une connotation  dont tout le monde devine l'intention .
  

La manœuvre du Gouvernement et des députés  de la majorité est claire,  elle dans la ligne politicienne qui est la leur de noyer le poisson , et de passer à l'alerte  en désignant l’extrême droite, l’ultra droite,  les négationnistes d'extrême droite etc..., qui peuplent surtout leur imagination cauchemardesque ,  comme responsables   de tout mouvement de protestation   à l’encontre de leur politique  ,  et cette fois  dans les protestations des parents,  ils   argumentent   contre « les instrumentalisations de ceux qui, venus de l’extrême-droite négationniste, sont en train de vouloir répandre l’idée, qui fait peur aux parents et blesse les enseignants,…. "( ‘sic)

Ces arguments ne tiennent pas debout, ce sont des arguments qu’ils utilisent dès qu’un mouvement s’oppose contre la politique du gouvernement pour toutes questions de société touchant à leur politique familiale et sociétale : mariage pour tous par exemple, et contre tous ceux qui manifestent  contre leur politique économique, fiscale, sociale,  contre les promesses non tenues et leur échec sur toute la ligne,  en matière de chômage notamment.

Pour terminer nous publions ci-dessous un remarquable  réquitoire scientifique et politique contre la "théorie du genre" dont il faut considérer qu'il est d'actualité puisqu'il tient compte des nouveaux rebondissements de la "Théorie du Genre" de ces tous derniers jours en France.

 

Idéologie du genre dans les écoles, bien loin d’une rumeur toute l’UE est concernée

Quand un état perd tout repères, très vite s’installent les idées, ces dernières peuvent être philosophiques, intellectuellement pertinentes, mais sont-elles des références basées sur une vérité scientifique ? Sont-elles une constatation précise et nette de la vérité, par exemple biologique ? Les lobbys notamment ultra féministe, ont compris qu’ils peuvent très facilement inculquer leurs fallacieuses théories en s’attaquant à l’œuf. Les gauchistes européens sont partis en croisade pro-genre.

www.radinrue.com le XXIX – I – MMXIV, 10h42, par : Benjamin Dawid PYRZ
L’Education Nationale investie par des groupes d’individus radicaux, aux idéologies marxistes, aux théories qui exaltent le plaisir sexuel et réfutent dans ce domaine la responsabilité au nom du désir qu’elles sacralisent ? Une idée reçue et ringarde ? Pas vraiment, à la vue de la lente progression, mais très effective, d’idéologies de ce type, qui peu à peu se greffent dans les manuels scolaires des petits européens, sans que personne ne dise rien ?

 L’œuf est pourri sous sa coquille, et revendique haut et fort qu’on le laisse tranquille, en s’autoproclamant indépendant, et peu importe s’il transmet son propre pourrissement à nos enfants. Dans toute l’Europe le débat sur la théorie du genre agite les politiques.
 
Hier en France, quand des centaines de parents ont décidé de retirer leurs enfants des écoles en signe d’opposition aux idéologies véhiculées par un manuel largement promotionné par un syndicat d’enseignants proche du gouvernement, très vite la réponse fut toute transmise aux médias : l’enseignement de la Théorie du genre est une rumeur ; on claironnait les médias. Rumeurs ? Non pas du tout, l’envie de mettre en place la Théorie du genre ne se passe pas qu’au sein de l’Education Nationale Française, il s’agit d’une théorie largement plébiscitée par les socialistes de l’Union Européenne. Et bien sûr, pour s’en défendre très vite la rhétorique a été trouvée : « c’est une folle rumeur », « ceux qui s’opposent au « gender » sont des extrémistes » des « ultras »…
La campagne qui a surpris les promoteurs de cette théorie, a été bien relayée par les SMS et les réseaux sociaux. Le but de cette alerte est de rappeler aux parents qu’ils sont les seuls maîtres de l’éducation de leurs enfants, et qu’ils s’opposent totalement à ce que des socialistes militants d’une gauche frustrée utilise leurs enfants comme des cobayes. L’initiative "Journée de retrait de l’école", a reçu mardi le soutien de l’Institut Civitas et de la présidente d’honneur du Parti chrétien-démocrate Christine Boutin, en soi  la campagne a été lancée par Farida Belghoul.
Avec la majorité de la presse comme alliée de la propagande, c’est avec une sournoiserie discrète que le ministère de l’Education n’a pas hésité à inclure le manuel contesté "ABCD de l’égalité", engagée à la rentrée par le ministère dans dix académies. Ce projet est argumenté par une soi-disant volonté de lutte « contre les stéréotypes filles-garçons à l’école » et pour corriger les inégalités entre les sexes dès le plus jeune âge. Lundi, le boycott a visé l’Ile-de-France. Dans les Hauts-de-Seine, de nombreux établissements de Gennevilliers, mais aussi d’Asnières, Nanterre et Colombes ont été touchés par un absentéisme atteignant parfois 30 % des effectifs.
Démasqué et obligé de s’expliquer, notamment à l’Assemblée Nationale, Vincent Peillon, le ministre de l’Education Nationale a tenté de rassurer les parents et a déclaré hier qu’il n’y aurait pas d’enseignement de la théorie du genre à l’école, mais une "éducation à l’égalité filles-garçons". "Il y a aujourd’hui un certain nombre de personnes qui diffusent des théories qui sont celles du mensonge, et donc je veux rassurer les parents. Ne vous inquiétez pas, c’est une éducation à l’égalité filles-garçons, au respect filles-garçons et rien de plus", a déclaré Vincent Peillon. Prouvant par-là que la « théorie du genre » peut changer de nom, et que de toute manière sa manière d’être enseignée est toujours douce, répartie sur le temps, et que c’est en camouflage qu’elle finit par pénétrer l’esprit d’enfants, qui de par leurs jeunes âges ne sont pas encore construits.
Depuis le 1er octobre 2013, deux ministères (ministre de l’Éducation, Vincent Peillon, et la ministre des Droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem) proposent aux enseignants, via un espace Internet dédié, des « ressources » et « outils ». Exemples : cette séquence pédagogique autour des « représentations esthétiques de l’enfant, de la femme et de l’homme » au fil des siècles, du célèbre portrait par Rigaud de Louis XIV, arborant talons rouges ornés de diamants, au smoking pour femme d’Yves Saint Laurent en 1966 ; ou cette réflexion sur « La figure de la belle » dans les contes.En réalité tout un programme de «  déconstruction sexuelle » chez l’enfant, tendant ouvertement à nier les différences sexuelles entre filles et garçons, expliquant que ces différences sont amenées par des concepts extérieurs à la nature humaine, tout en niant obligatoirement par ailleurs le concept évident de "nature" humaine ! Une manière aussi d’expliquer que l’homosexualité est tout à fait naturelle, et ce, pour des enfants de 7 à 8 ans !
Ce que c’est vraiment la Théorie du genre


oo
Publiée le 17 oct. 2013
Voici dans la vraie vie ce qu'est l'idéologie du genre, nouveau dérivatif fascisant du lobby LGBT. Des enfants dénaturés, idéologisés dès le plus jeune âge, enlevé à leurs parents pour être soumis à la perversion.
Ca commence à la crêche, et c'est maintenant, chez nous, en France.

www.civitas-institut.com www.francejeunessecicitas.com
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La théorie du genre, qui débute dans les campus américains au milieu de féministes dégénérées, qui clamaient Beauvoir comme une déesse, est une des idéologies qui tend à s’installer dans la conscience, sous des faux habits de pseudo-science, mais qui en fait n’a rien à envier aux théories sectaires et dangereuses de certains gourous. Aujourd’hui une telle propagande a donc trouvé sa place dans des manuels scolaires français. A ce jour, lentement et discrètement elle prend forme, et bien sur ce couvre d’une auréole bien-pensante : « l’égalité homme-femme » … qui oserait critiquer un tel objectif louable ? Ceux justement qui savent lire entre les lignes !
Déjà en octobre 2011, 80 députés sur 344 se sont aperçus de la supercherie. Ils furent alors perçus comme de nombreuses personnes lucides ayant deviné concrètement déjà à l’époque les prémices de ce qui se passe aujourd’hui. Ils ont dénoncé la volonté de certains groupes d’influences d’intensifier leur vision sociétale en l’incluant dans le cursus scolaire, sous des habits qui la présente comme une observation scientifique irréfutable. Cette action maligne et sournoise est aussi bien incrémentée, que la propagande visuelle, au semblant anodin qui l’accompagne : le manuel illustre le développement de la théorie du genre, par des images de la gay-pride, des affiches pro-féministe etc… le tout en fait pour obliger notre cerveau à reconnaître l’exception comme une norme !
En 2011 déjà, les manuels français de SVT ( Biologie ) présentent donc la théorie du genre sur l’orientation sexuelle comme une donnée scientifique. L’aberrante propagande a trouvé 80 députés pour la dénoncer, et un ministre de l’éducation nationale de l’époque Luc Châtel, qui n’a pas eu le courage de critiquer la manipulation des lobbys, en sacralisant « la non censure » envers le fruit de l’Education Nationale, comme –ci cette dernière, et les profs qui la compose, étaient un sacro-saint magistère ! Aussi le manuel scolaire présentant l’identité sexuelle des individus autant par le contexte socioculturel que par leur constitution biologique ne fut pas retiré. Trois ans après la lente influence de la Théorie du genre se propage toujours !
Monseigneur Tony Anatrela, expliquait déjà le danger de cette promulgation en « vérité » des idéologies de ce type, dans une interview donné à l’agence catholique Zenit en décembre 2008, le psychanalyste et spécialiste en psychiatrie sociale disait :
« Nous sommes ainsi passés de la dénomination d’un comportement, à l’affirmation d’une identité pour en venir à une revendication politique. Être « gay » serait presque considéré comme un état, voire une catégorie ontologique propre à la personne. Une vision des choses qui n’est pertinente ni au plan psychologique ni au plan philosophique. Un désir aussi singulier que celui d’un attrait pour des personnes de même sexe ne saurait être une des caractéristiques définissant l’être même de la personne humaine. La personnalité qui est l’expression psychique de la personne peut être travaillée par divers désirs, mais un désir que l’on appelle aujourd’hui une « orientation sexuelle », ne fait pas pour autant une identité. L’identité de la personne se décline au masculin ou au féminin dans un corps sexué. C’est à partir de cette réalité objective que nous avons à nous développer ou à maintenir certains désirs dans les aspects régressifs de la personnalité (au sens freudien du terme c’est-à-dire d’état premier de la sexualité). En ce sens nous comprenons mieux que le cœur ontologique d’un sujet humain est sa personne et non pas une gamme de désirs qui peut parfois poser de sérieux problèmes psychiques et sociaux. L’identité sexuelle qui est un fait que le jeune enfant intègre progressivement dans sa personnalité, ce qui représente un réel travail psychique avec des tâches internes spécifiques, est confondue avec une orientation sexuelle qui, elle, est le résultat du traitement des pulsions partielles et des identifications primaires. Mais lorsqu’une orientation, ou plus précisément un désir, est en contradiction avec l’identité sexuelle au point de chercher à le vivre exclusivement pour lui-même, alors ce fait témoigne d’un conflit et d’une tâche psychique non élaborée. A tort, le désir est retenu pour une identité et cette vision confine à la confusion dans bien des domaines. L’homosexualité est toujours le symptôme d’un problème dans la personnalité. Il est assez étonnant de vouloir faire d’un complexe psychique un enjeu politique au point d’entraîner des changements substantiels dans la société sans vouloir en mesurer les conséquences sur le long terme. Depuis l’instauration du mariage entre personnes de même sexe, l’Espagne fait réécrire le code civil par des juristes afin de gommer les distinctions entre homme et femme pour favoriser l’indistinction sexuelle. En agissant ainsi, réalise-t-on que l’on prépare de nouvelles violences ?
La valorisation actuelle des orientations sexuelles est à l’unisson de l’état de la société qui se présente de façon morcelée, régressive et agressive. Tout et n’importe quoi devrait être légitimé et si ce n’est pas le cas des sujets se présentent en victimes et tentent de culpabiliser la société par médias interposés. Ce système marche et intimide les responsables politiques qui, paralysés et sans voix, légifèrent plus sous la pression des oligarchies que dans le sens de l’intérêt général en matière conjugale, familiale et éducative.
(…) La notion de « l’identité de genre » qui figure dans le titre de la déclaration française. Elle reprend la terminologie de l’idéologie de « la théorie du genre » qui laisse entendre que l’identité sexuelle est une construction sociale et procède de la culture que la loi sociale peut faire et défaire. C’est une façon de supprimer l’identité personnelle. La théorie du genre est plus pernicieuse que le marxisme et, sous couvert de libération subjective de la différence sexuelle, elle prépare de nouvelles aliénations que l’on retrouve dans la plupart des séries télévisées qui banalisent les confusions du genre. Elle provoquera davantage de dégâts que le marxisme en altérant la symbolique conjugale et familiale qui a mis des siècles pour se construire ».
On voit donc que face à l’inculcation scabreuse de la théorie du genre, qui sera donc bientôt enseignée au lycée à l’initiative du ministre de l’Education nationale, quoi qu’il tente de faire croire le contraire, en se barricadant derrière « l’indépendance » des uns par rapport aux autres, on n’est plus devant une vérité scientifique, mais devant une idée totalement subjective et qui n’a en rien sa place dans des cours de biologie.

  Christine Boutin, sur Europe1, comme d’autres n’a pas manqué de bons sens en lançant : "Il est impensable que ce qui ne représente qu’une option philosophique parmi tant d’autres soit présenté à des adolescents comme une explication scientifique : cela les incite à adhérer à une vision de l’homme et de sa sexualité qui non seulement est profondément contestable, mais qu’il ne relève pas du rôle de l’Education nationale d’inculquer", fait valoir l’ex-ministre du Logement. "Je n’accepte pas que les parents soient ainsi dépossédés de leurs rôles d’éducateurs : c’est à eux que revient de prendre en charge l’éducation affective et sexuelle de leurs enfants. L’Etat n’a pas le droit de s’attribuer ce rôle et de s’immiscer ainsi dans la formation de la conscience des jeunes".

Dans l’affaire de l’absentéisme scolaire volontaire en signe de contestation, très vite le gouvernement et les médias généralistes se sont trouvés une approche pour défendre la Théorie du genre, ainsi désormais on déclare que ceux qui osent s’opposer à la Théorie du genre, ou plus simplement au manuel « ABCD de l’Egalité sont des « extrémistes de droite » ! Ben voyons ! Et les extrémistes gauchisant qui nous gouvernent, eux ils sont quoi ? Aidé par les médias, Najat Vallaud Belkacem, porte-parole du gouvernement et à l’origine de la mise en place de ce manuel contesté a matraqué sur Europe 1 : "A l’école, on apprend l’égalité aux filles et aux garçons, pas la théorie du genre", a déclaré la ministre. Dans le programme ABCD de l’égalité des ministères des Droits des femmes et de l’Education nationale, actuellement testé dans dix académies, Najat Vallaud-Belkacem a insisté sur le fait "qu’on ne parle aucunement de sexualité à des enfants de primaire". "On parle du fait que les filles et les garçons doivent pouvoir ambitionner d’être à égalité plus tard dans les rêves qu’ils font, dans les ambitions professionnelles qu’ils peuvent avoir’.
qu’ils peuvent avoir’.

Pourtant quand on étudie les « matériaux de réflexion » mis à disposition par le gouvernement pour les enseignants ont peut lire sous la plume de Sophie Ruel-Traquet des réflexions du type : « Les jouets et les jeux, aspects fondamentaux de la culture enfantine, demeurent des supports de la différenciation sexuelle. Ils sont des matrices symboliques grâce auxquelles se réalise la prise en compte des manières de vivre, de penser, des modèles de comportements appropriés à chaque genre. En tant qu’« objets-supports » concrets, ils interviennent comme éléments essentiels d’une dichotomie féminin-masculin. Par l’emploi des jouets, les enfants s’approprient la différence des genres qui caractérise notre société ». Sous le titre « Filles et garçons.Loisirs culturels et différenciation de genre dans l’enfance  », l’auteur porte une réflexion idéologique purement et simplement encrée dans la théorie du genre ! Et ça ce n’est qu’un petit exemple, ils sont des milliers sur le site « RESSOURCES POUR L’ÉGALITÉ ENTRE LES FILLES ET LES GARÇONS » (HTTP ://WWW.CNDP.FR/ABCD-DE-L-EGALITE/RESSOURCES-DOCUMENTAIRES.HTML) …
Pour sa part Jean-François Copé sur le sujet. Le député-maire de Meaux a déclaré mardi au Parisien être "choqué par la théorie du genre" et a assuré "comprendre l’inquiétude des familles". Il a rajouté plus tard, sur Radio Classqiue et LCI que le fait de soustraire les enfants à l’école n’était pas défendu par sa position : "Il faut naturellement que les parents envoient les enfants à l’école", a insisté M. Copé mercredi, tout en appelant l’éducation nationale à "lever toute ambiguïté".
Combattre la Théorie du Genre est un réflexe naturel et tout à fait normal venant des parents, promouvoir, même de manière perverse c’est-à-dire cryptée cette théorie du genre est une mission que se sont donnés de nombreux gauchistes en Union Européenne et la bataille avec ses extrémistes de gauche ne fait que de commencer, et le fait qu’ils utilisent l’enseignement que nous leur confions pour nos enfants pour en faire leurs disciples ne passera pas.
Radinrue.com

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