La députée socialiste Sandrine
Mazetier veut rebaptiser "l'école
maternelle"
Cette femme député ( ndlr : j’espère ne pas lui faire injure
en la nommant « femme » ) a
saisi officiellement le gouvernement sur l'emploi du terme
"maternelle" qui renvoie, selon elle, à l'image de la seule mère, estimant
que le terme "école maternelle" est sexiste.
Elle voudrait ainsi rebaptiser
l’école. Elle met en cause le fait que, dans la terminologie du mot, il y ait
une référence aussi spécifique à la "mère".
"La maternelle, c’est une
école. Ce n’est pas un lieu de soin ou un lieu de maternage. C’est aussi un
lieu d’apprentissage", a déclaré
cette députée Sandrine Mazetier sur RTL.Elle préfèrerait le terme de
"petite école" ou "première école" pour libérer le terme de
sa charge affective et maternante.
"Ca rendrait justice au
travail qui y est fait, au professionnalisme de ceux qui y interviennent et ça
rappellerait aussi qu'aujourd'hui, la responsabilité de l'éducation des enfants
est partagée entre les parents et n'est pas la spécificité des femmes",
selon cette élue.
Voyez-vous ça, ce n’est qu’un
millième pas de plus pour effacer toute
références à la mère, hérisse le poil de ces égalitaires socialistes,
qui comme les féministes rêvent d’un monde où la femme dans son rôle de mère ne
serait réduite qu’à son rôle de
travailleuse salariée au service des entreprises publiques et privées , et
secondairement à son rôle de mère et
encore à condition que le mari assume tous les travaux ménagers et s’occupent
des enfants en leur faisant la toilette le matin, en les amenant à l’école , en
leur faisant la tambouille, et en prenant en charge leur éducation familiale.
Si ces politiques et féministes excitées du cerveau continuent à focaliser sur la femmes en
voulant la priver de toutes ses initiatives de mère par
rapport et à ses enfants, et de maîtresse de maison par rapport au
foyer, elles finiront par la réduire
dans la famille à un rôle de figurante secondaire qui ne remplira qu’un devoir conjugual au service exclusif du mari pour satisfaire ses désirs de mâle.
C’est manifestement un abus sociétal que seuls les hommes et
les femmes sensés dénoncent et j’espère qu’ils seront de plus en plus nombreux.
Mais comme par ailleurs j’ai lu que les hommes qui se substituent
à leurs femmes pour s’occuper des
enfants et accomplir les travaux ménagers perdent leur libido et ne sont plus
performants au lit, il ne restera plus aux femmes que de faire chambre à part
pour ne pas gêner le monsieur en panne
de désir et d’érection, pour le
laisser récupérer et dormir seul comme une bête de somme.
Encore un pas de plus et on
incitera la femme à couper ses cheveux,
à porter des vêtements masculins et des
chaussures unisexe pour que personne à sa vue puisse soupçonner qu’elle est une femme.
Et quand à l'homme multifonctionnel, ce monsieur bon à tout
faire, l’ as des as, fée du logis –astiqueur-nourrice-éducateur, on lui demandera un jour de faire
pousser ses seins avec des hormones pour prendre le bébé au sein en attendant
que le biberon bio au lait bio soit prêt.
Tout ce cirque politicien est l’expression d’une misogynie
ambiante qui veut modeler la femme à n’être qu’un sous homme et jamais au grand
jamais une mère et une femme.
Et finalement ce sont eux qui sont sexistes sans même s’en
rendre compte !
On a commencé au cours des siècles par accuser EVE d’avoir fait croquer la pomme à
Adam , la société a continué depuis pas mal de décennies à accuser les femmes et les
mères de tous les malheurs et
dérèglements psychologiques de leurs enfants, en les taxant abusivement de « mères abusives » ,
aujourd’hui les politiques partent à la chasse de tout terme à connotation « maternelle » , pourtant la statue de Marianne est encore le symbole
de la République jusqu’à ce qu’une politicienne s’avisera qu’il faut jeter ce
symbole à terre et le remplacer par une statue d’homme, si encore il s’en
trouvera un qui s’affirmera homme avec
tous ses attributs.
Seul trouvera grâce aux yeux de ces excitées politiciennes et
féministes, le terme de "mère porteuse" pour désigner de femmes qui prêteront
leur utérus pendant leur grossesse et se
verront kidnapper le bébé dès sa naissance pour satisfaire les désirs d’enfants
des couples de pédérastes , car c’est bien d’un
rapt qu’il s’agit et qui s’accomplit de
nos jours légalement dans les pays étrangers,
jusqu’à ce qu’il soit légalisé en France par le vent de l’histoire politique au nom de l’égalité
des droit. Sans doute apprendra-t-on à ces petits enfants qu’il son nés d’un
utérus anonyme … Et
voilà le travail !
On pourra aussi sur cette lancée politique anti-femme-mère, s’aviser un jour où l’autre
que notre mère la France .ne devra plus
s’appeler « la » France, on voudra la rebaptiser « le »
Franc » , de même, la république la liberté, l’égalité, la démocratie , la garderie, l'école, la terminale, la faculté etc..., etc..., auront-ils assez
d’imagination pour trouver des articles
masculins ?, j’en doute, cette
chasse aux connotations et désignations féminines n’aura pas de fin, c'est comme la chevelure d'Eléonore, quand il n' y en a plus il y en a encore, cette chasse aux mots féminins finira par les épuiser, tant mieux.
Voilà l’avenir que préparent pour les Français ces
politiciennes et féministes enragées, le
pire c’est que leurs homologues masculins, souvent misogynes et sexistes comme
elles , œuvrent comme elles pour la chienlit sociétale.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire