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01 février 2013

La chasse aux termes à connotations "affective et maternante" occupe une politique de gauche


La députée socialiste Sandrine Mazetier  veut rebaptiser "l'école maternelle"

Cette femme député  ( ndlr : j’espère ne pas lui faire injure en la nommant « femme »  ) a saisi officiellement le gouvernement sur l'emploi du terme "maternelle" qui renvoie, selon elle, à l'image de la seule mère, estimant que le terme "école maternelle" est sexiste.

Elle voudrait ainsi rebaptiser l’école. Elle met en cause le fait que, dans la terminologie du mot, il y ait une référence aussi spécifique à la "mère".

"La maternelle, c’est une école. Ce n’est pas un lieu de soin ou un lieu de maternage. C’est aussi un lieu d’apprentissage",  a déclaré cette députée Sandrine Mazetier sur RTL.Elle préfèrerait le terme de "petite école" ou "première école" pour libérer le terme de sa charge affective et maternante.

"Ca rendrait justice au travail qui y est fait, au professionnalisme de ceux qui y interviennent et ça rappellerait aussi qu'aujourd'hui, la responsabilité de l'éducation des enfants est partagée entre les parents et n'est pas la spécificité des femmes", selon  cette élue.

Voyez-vous ça, ce n’est qu’un millième pas de plus pour effacer  toute références à la  mère,  hérisse le poil de ces égalitaires socialistes, qui comme les féministes rêvent d’un monde où la femme dans son rôle de mère ne serait réduite qu’à son rôle  de travailleuse salariée au service des entreprises publiques et privées , et secondairement à  son rôle de mère et encore à condition que le mari assume tous les travaux ménagers et s’occupent des enfants en leur faisant la toilette le matin, en les amenant à l’école , en leur faisant la tambouille, et en prenant en charge leur éducation familiale.

Si ces  politiques  et féministes excitées du cerveau  continuent à focaliser sur la femmes en voulant la  priver de toutes ses  initiatives de mère   par  rapport et à ses enfants, et de maîtresse de maison par rapport au foyer,   elles finiront par la réduire dans la famille à un rôle de figurante secondaire   qui ne remplira qu’un devoir  conjugual au service exclusif du mari  pour satisfaire ses désirs de mâle. 

C’est manifestement un abus sociétal que seuls les hommes et les femmes sensés  dénoncent et j’espère  qu’ils seront de plus en plus nombreux.

Mais comme par ailleurs j’ai lu que les hommes qui se substituent  à leurs femmes pour s’occuper des enfants et accomplir les travaux ménagers  perdent leur libido et ne sont plus performants au lit, il ne restera plus aux femmes que de faire chambre à part pour ne pas gêner  le monsieur en panne de désir et d’érection,   pour le laisser  récupérer et dormir  seul comme une bête de somme.

Encore un pas de plus et on  incitera  la femme à couper ses cheveux, à porter des vêtements   masculins et des chaussures unisexe pour que personne à sa vue puisse soupçonner  qu’elle est une femme.

Et quand à l'homme multifonctionnel, ce monsieur bon à tout faire, l’ as des as, fée du logis –astiqueur-nourrice-éducateur,  on lui demandera  un jour de faire pousser ses seins avec des hormones pour prendre le bébé au sein en attendant que le biberon bio au lait bio soit prêt.

Tout ce cirque  politicien est l’expression d’une misogynie ambiante qui veut modeler la femme à n’être qu’un sous homme et jamais au grand jamais une mère et une femme.

Et finalement ce sont eux qui sont sexistes sans même s’en rendre compte !

On a commencé au cours des siècles  par accuser EVE d’avoir fait croquer la pomme à Adam , la société a continué depuis pas mal de décennies à accuser les femmes et les  mères  de tous les malheurs et dérèglements psychologiques de leurs enfants, en les taxant  abusivement de « mères abusives » , aujourd’hui  les politiques  partent  à la chasse de tout terme  à connotation « maternelle » , pourtant  la statue de Marianne est encore le symbole de la République jusqu’à ce qu’une politicienne s’avisera  qu’il faut jeter ce symbole à terre et le remplacer par une statue d’homme, si encore il s’en trouvera  un qui s’affirmera homme avec tous ses attributs.

Seul trouvera grâce aux yeux de ces excitées politiciennes et féministes, le terme de "mère porteuse"  pour désigner de femmes qui prêteront leur  utérus pendant leur grossesse et se verront kidnapper le bébé dès sa naissance pour satisfaire les désirs d’enfants des couples de pédérastes ,  car c’est bien d’un rapt  qu’il s’agit et qui s’accomplit de nos jours  légalement dans les pays étrangers, jusqu’à ce qu’il  soit légalisé en  France  par le vent de l’histoire politique  au nom de l’égalité des droit. Sans doute apprendra-t-on à ces petits enfants qu’il son nés d’un utérus anonyme  …  Et  voilà le travail !

On pourra aussi sur cette lancée  politique  anti-femme-mère, s’aviser un jour où l’autre que  notre mère la France .ne devra plus s’appeler « la » France, on voudra la rebaptiser « le » Franc » , de même, la république  la liberté, l’égalité, la démocratie , la garderie,  l'école, la terminale, la faculté etc..., etc...,  auront-ils assez d’imagination pour trouver des  articles masculins ?,  j’en doute, cette chasse aux connotations et désignations féminines  n’aura pas de fin,  c'est comme la chevelure d'Eléonore, quand il  n' y en a plus il y en a encore, cette chasse  aux mots  féminins   finira par les épuiser, tant mieux.

Voilà l’avenir que préparent pour les Français ces politiciennes et féministes  enragées, le pire c’est que leurs homologues masculins,  souvent misogynes et sexistes comme elles ,  œuvrent comme elles pour  la chienlit sociétale.



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