La France est une grande terre d’accueil en puisant des
milliards dans la poche des contribuables français au profit d’immigrés qui exploitent le système social
français, pour exemple nous allons vous rapporter l'histoire de la famille d' " Amada" citée par les médias en juin 2010 sous l'ancien quinquennat, qui est toujours d'actualité pour des cas similaires à ce jour sous le quinquennat de François Hollande .
Voici l'histoire que nous avons résumée en lisant plusieurs article de l'époque :
" Adama Fanta Sangaré est
Malien, il a 4 femmes, 46 enfants, la France lui verse 7.110,00 euros par mois
d’allocations familiales auxquelles viennent s’ajouter diverses autres aides
comme celles, dédiées au logement, soit
plus de 10.000 mensuellement nets d’impôts, logés, blanchis, nourris, et en plus soignés gratuitement (aide
médicale d’état) , et la cerise sur le gâteau la Contribution pour la Rentrée Scolaire 2014
= 16.927,00 d’euros –, sans compter les garderies et crêches gratuites ...
Cela explique en
partie les 200 MILLIARDS ANNUELS pour
L’IMMIGRATION que la France puise dans nos poches de contribuables pour les engraisser à nos dépends …, en partie parce qu’en
plus il y a tout le reste, c’est-à-dire d’autres secours gratuits en nature,
vêtements, nourritures, aides administratives, tenue de dossiers etc. qui leur sont donnés par différentes associations de secours qui elles-mêmes pompent l’État en subventions et exploitent
des bénévoles.
CET INDIVIDU COMME D’AUTRES
DE SON ACABIT EXPLOITE LES VENTRES DE
SES FEMMES POUR EN FAIRE SON FONDS DE
COMMERCE, IL NE VA PAS EN RESTER LA, SOYEZ-EN SÛRS ET CERTAINS ? QUAND ELLES AURONT LA MÉNOPAUSE IL EN PRENDRA DES PLUS JEUNES POUR ASSURER LA
RELEVE …… C'EST UN "RENTIER ASSISTE
SOCIAL A VIE " AU DÉTRIMENT DE LA FRANCE ET DES FRANCAIS –
CES GENS QU VIVENT EN
POLYGAMIE DEVRAIENT ÊTRE INTERDITS EN FRANCE ET EXPULSE IMMÉDIATEMENT, MAIS AU
CONTRAIRE AVEC LA POLITIQUE DEBILE DE L’IMMIGRATION
QUI LES FAVORISENT, ILS PROSPERENT ET S’INSCRUSTENT en s’organisant
dans l'immoralité
de la polygamie, ça ne les gêne pas de coucher tour à tour et peut-être
même ensemble et d'exploiter le système de protection sociale de la France.
Dans leurs pays ils n'auraient pas un sou d'aide sociale de leurs Etats , ILS
DEVRAIENT TRAVAILLER AU LIEU DE PASSER
LEUR TEMPS A FAIRE DES GOSSES.
R egardez la photo, ce gros bonhomme et ses quatre bobonnes n'ont même pas la honte à la figure !
R egardez la photo, ce gros bonhomme et ses quatre bobonnes n'ont même pas la honte à la figure !
Et dans le même temps nos dirigeants politiques plaident pour la mixité sociale et le vivre ensemble, bel exemple de » mixité sociale » et du « vivre ensemble » qu’ils nous proposent là!
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Nous complétons en vous expliquant comment les médias s'intéressaient à ce cas pris pour exemple en Juin 2010, pour nous apitoyer sur cette affaire :
Nous complétons en vous expliquant comment les médias s'intéressaient à ce cas pris pour exemple en Juin 2010, pour nous apitoyer sur cette affaire :
La narration qui suit s'inspire des articles de l'époque et nous avons ajoutés de nous-même des commentaires :
" A Bobigny, plusieurs
familles polygames sont accompagnées dans leurs démarches.
" Les média écrivent qu’avec ses quatre femmes et ses 46 enfants,
Adama ( faux prénom pour respecter l’anonymat de l’individu) ce quinquagénaire est « capable de réciter dans l’ordre les prénoms
de ses enfants », on nous explique
aussi qu’il règne dans son , régnait sur son pavillon de banlieue à Bobigny (Seine
Saint-Denis) et qu’entre les
cinq chambres de la maison, "la vie s’organisait comme elle pouvait",
on nous apprend qu’il était d’abord
agent d’entretien, mais qu’il a cessé
de travailler quand le montant des allocations familiales est devenu suffisant
pour nourrir son monde .
ndlr :Tiens tu m’étonnes !
" Comble d’imbécilité les
médias rapportent que dans le village du nord du Mali où il a grandi, on parle
de sa réussite avec admiration.
« Il voudrait que ça continue », écrivaient les médias qui l’interviewait par téléphone, on s’en
doute, d’autant que la générosité
laxiste de la France continuait à couvrir sa smala polygame de bienfait sociaux, les
médias rapportaient que deux de ses femmes avaient « décohabité »
, ce que les médias aveugles interprétaient comme « une sortie de la polygamie », en se mettant les doigts dans l’œil, cette interprétation est stupide , puisque le
bonhomme s'il « veut que ça continue, doit faire son tour à sa convenance quand ça
lui prend… en effet
pour que ça continue il faut qu’il assure … , mais lui n’en parlait pas, ce sont les médias qui parlaient de ce « processus administratif de décohabitation », selon
le terme officiel … en l’interprétant
curieusement à leur façon.
Il paraît aussi que les
deux autres femmes devaient aussi bénéficier
de ce processus, à brève échéance, donc à leur disposition une villa, et quatre appartements, puisque
selon le souhait du géniteur je le répète « veut que ça continue, et pour que "ça continue" il
faut de la place !
La présidente de " l’Association
des femmes, relais de Bobigny ", une ancienne institutrice de la brousse malienne , était mise en évidence, les journaux racontaient sa première rencontre avec Adama qui a
eu lieu à la demande des services sociaux : "Il nous a fallu dix ans pour en arriver
là" a-t-elle confié aux journalistes …en racontant aussi qu’avec les
autres ménages polygames qu’elle accompagne, le point de départ « fut
comparable »: d’après elle « des enfants attirent l’attention d’une
assistante sociale ou d’un enseignant ; mais leurs parents fuient les
institutions et ont toutes les peines du monde à parler français. Difficile de
les aider dit-elle .. »
Ainsi on est supposé
aller les chercher .. parce que d’après
ce qu’elle raconte « ils fuient les institutions » , ben voyons ça me fait rire, nous savons au contraire que dès qu'ils arrivent ils exigent tout et il savent très bien comment manipuler
les services sociaux pour obtenir d’ abord
les aides sociales de base et ensuite font marcher les dossiers pour arriver progressivement au bout de dix
ans a avoir une villa et quatre appartements.
ndlr : pendant ce
temps des ménages français attendent depuis plus de dix ans un logement social
et d’autres logent dans leur voiture .
Cette présidente d’association
se répandait aussi en racontant le rôle qu’elle joue auprès de ces immigrés originaires du Mali, elle les présente comme très malheureux …victimes de digressions, les
médias relataient : « Elle comprend
les digressions en soninké, les confidences en bambara. Elle discute,
apprivoise ....entend la fierté du mari, les disputes des coépouses, la fatigue
des enfants. Les réveils à pas d’heure pour prendre une douche avant l’école.
Le ballon d’eau chaude toujours vide. La queue devant la porte des WC. Les
repas pris chacun son tour. Les devoirs faits dans la cage d’escalier. Les lits
partagés. Le bruit permanent. L’absence d’intimité. Fanta Sangaré (la présidente) écoute ces histoires qui se
ressemblent toutes. Puis elle rappelle la règle de la République : la nécessité
de rompre avec la polygamie pour obtenir un renouvellement des titres de
séjour. Effroyable perspective pour ceux auxquels on a toujours enseigné que
cette tradition était un idéal d’organisation sociale doublé d’une exigence
divine. Il s’agit de mariages traditionnels arrangés, célébrés un été "au
pays", où l’amour ne s’est pas toujours installé, mais tout de même:
"Quitter son mari est impur", rabâchent les femmes. "Dieu n’a
pas demandé que vos enfants soient entassés à vingt dans une même
chambre", réplique alors Fanta Sangaré, rapporte les médias ….en en
rajoutant « Semaine après semaine, l’idée fait son chemin. Jusqu’au jour
où les femmes s’approprient le désir d’avoir leur propre logement. En signe de
bonne foi, elles doivent le chercher dans une autre commune. Les mains retenant
son voile noir et violet, Aminata raconte les trois années de démarches qui lui
ont été nécessaires pour régulariser sa situation. Elle a quitté La Courneuve
pour Bobigny avec ses quatre plus jeunes enfants. Lorsqu’une épouse part, la
honte s’abat sur son mari. "Sa femme a volé son pantalon, maintenant il
porte le pagne!", entend-il dans son dos. Adama préfère ne pas y penser.
Il prend désormais le RER pour honorer les mères de ses enfants. Une
décohabitation hypocrite? "Bien sûr, admet Fanta Sangaré. On nous reproche
aussi de créer des familles monoparentales. Mais si ça aide les enfants à
s’épanouir et les femmes à devenir autonomes, ça vaut le coup."
ndlr : On croit rêver ils
inventent une histoire qui en fait est un roman feuilleton noir avec l’idée bien sûr de nous faire croire qu’elles
entrent dans la légalité, qu’elles sortent de la polygamie , pour justifier les
aides qui leur sont attribuées , mais qui croirait à cette histoire ? au
contraire elles ont des appartements et le mari vient les voir à chacune à tour
de rôle, bien sûr, sur le « papier » elles sont filles mères avec les
avantages sociaux qui s’y rapportent, mais dans la pratique familiale ça ne
change rien c’est le bonhomme qui gère tout ça, mais ça surtout il faut le
cacher !
Et les médias continuaient
à s’apitoyer, ils écrivaient : « Ces femmes, en effet, n’ont jamais
vécu seules, n’ont jamais eu d’emploi ni géré de budget. Elles ne savent pas se
servir d’une carte bancaire ni remplir un chèque. C’est leur mari qui touchait
les allocations familiales, payait les factures et faisait les courses.
"Elles ont toujours été infantilisées", insiste Fanta Sangaré.
"C’était très compliqué au début de vivre chez moi", confirme Salli,
jeune maman de huit enfants. Elle a laissé son mari à sa coépouse et est
devenue femme de ménage. Pour être tout à fait "comme les autres",
elle essaye de perfectionner sa maîtrise du français. Les mystérieux
"couvre-lit", "hippocampe" et "igloo" qu’elle
découvre au cours d’alphabétisation lui donnent l’impression d’être encore loin
du but. Mais ses amies lui connaissent un nouveau sourire.
On nous rapporte aussi
que : « Mercredi, Lies Hebbadj, l’homme dont la compagne avait été
verbalisée pour port du niqab au volant, a finalement été mis en examen pour
fraudes aux aides sociales, escroqueries et travail dissimulé. Mais pas pour
polygamie. Car ce commerçant nantais – trois ou quatre femmes, une dizaine
d’enfants – n’est marié qu’une fois civilement »
Et pour relativiser et faire croire qu’on allait faire quelque chose
, les médias insistaient sur la réaction de Brice Hortefeux, le ministre de l’Intérieur, de l' époque, « qui n’a pas tardée :
"La définition que le code pénal fait de la polygamie n’est pas adaptée à
la réalité." Rien n’est effectivement prévu pour tenir compte des mariages
religieux, ni des situations de communauté de vie et d’intérêts. Il faut donc,
estimait-t-il, "faire évoluer le droit" pour lutter contre cette
polygamie de fait. Pas avec une nouvelle loi mais en adaptant, par exemple, le
droit de la nationalité. Afin qu’un naturalisé devenant polygame perde sa
nationalité française.
Ndlr - Ridicule :
il perdrait sa « nationalité française » et alors il continuerait son
cirque, ça ne changerait rien, lui et sa tribu, femmes et enfants
continueraient à percevoir les aides sociales.
A gauche, Jean-Luc
Mélenchon s’était alors inquiété : "Jamais il ne faut toucher au
code de la nationalité au nom des délits!", protestait-il et le député (PS) Alain Vidalies, s’interrogeait en faisant l’innocent :
"C’est quoi, la polygamie de fait? Ce concept fumeux va nous amener dans
une impasse. Lutter contre le détournement de prestations familiales me paraît
plus approprié."
Ndlr : Ah oui !
on attend encore que cette lutte soit engagée sérieusement !
A droite aussi on
restait prudent. Eric Besson, le ministre
de l’Intégration, se disait prêt à
"faire évoluer le droit si le Président et si le Premier ministre
arbitraient en ce sens" en
soulignant prudemment "passer du
fait au droit, ça n’est pas si aisé".
ndlr : avec des si ..et des si .. on ne fait rien ...
D’autres politiques
sénateurs et députés n’étaient pas avares aussi de propositions , Nicolas
About, le président du groupe Union centriste au Sénat, déposait une proposition de loi qui créait un délit de "vie en état de
polygamie", englobant les mariages religieux et coutumiers. Son texte prévoyait des circonstances aggravantes en cas de
fraudes aux aides sociales, et comprenait volet pour inciter les coépouses à
dénoncer la polygamie !
Ndlr : pour ainsi
dire on invitait ces femmes polygames à se jeter dans la gueule du loup : « excusez-moi
Monsieur le Commissaire, ou Monsieur le Juge, mon mari
est polygame, je suis sa coépouse, on alors il faut nous régulariser, il faut nous donner
les papiers pour régulariser … etc.. etc…,
voilà comment les épouses aurait compris l’affaire, ou du moins une épouse
assez stupide pour tomber dans le piège de la délation familiale… eh bien même
quand on ne sait ni écrire ni lire on n’est pas aussi con que ce sénateur.
De son côté la députée Chantal Brunel (UMP) plaidait pour le renforcement des textes existants,
notamment de l’article 433-21 du code pénal, qui interdit aux imams de marier religieusement un couple
qui n’aurait pas été uni préalablement au civil.
Ndlr : Là je crois
savoir que le simple consentement des familles et des intéressés l’homme et la femme , et du
responsable de la femme le père, si elle est mineure est suffisant pour célébrer le mariage, qui commence
par les prières sacrées du Coran consacrées au mariage
musulman, et que l’imam est témoin et non pas célébrant, , donc l’imam ne peut
tomber sous le coup de l’article 433-21.
Les médias écrivaient à l’époque « elle rêve d’un procès
emblématique pour faire bouger les choses… Comme il y en eut pour l’excision.
Qui a dit que la polygamie était un sujet tabou? » ..
ndlr : Ben voyons ce n’est un
sujet tabou, tout le monde en parle, mais tout le monde passe à côté, et depuis « ça
continue » comme le veut « Amada » le père de 46 enfants, ( ndlr : qui doit avoir environ 51 ans aujourd'hui,) avec 4 ex- co-épouses décohabitées devenue mères-clibataires" selon le processus de sortie de la polygamie, lesquels disposent d'une villa et de 4 appartements .. ce qui lui vaut au père le
plaisir de pratiquer à l'aise l’amour nomade, un
nuit chez l’une, une nuit chez l’autre, à moins qu’il ne profite d’y
aller le jour quand les enfants sont à l‘école ou à la garderie aux frais de la France.