Fin Mars, début Avril alors que le mariage pour tous et que l'affaire Cahuza et le déballage de scandales liés portaient du grains à moudre aux moulins des médias presse et audio-visuels en ouvrant une crise politique de grande ampleur qui depuis perdure et sème la panique dans tous les rangs politiques , une question de bioéthique liée à la PMA passait inaperçue, à savoir la recherche sur les embryons.
En effet le 4 décembre une proposition de loi a été votée par les Sénateurs autorisant la recherche sur les embryons, sur les cellules embryonnaires donc sur les embryons , proposition de loi qui a été rejetée et reportée après discussion par l' Assemblée Nationale.
Toutefois dès le 5 avril sur Radio-Courtoisie Jacques Bompard expliquait son opposition à cette proposition à la suite d'un exposé de Cathy Cardaillac qui a rappelé l'historique législatif de cette question.
Si vous souhaitez vous informez nous vous invitons à écouter le document oral ci-dessous : dessous (1)
Un point complet qui nous a été transmis par le Site Ligue du Sud
le 10.04.2013 00:00 par Administrateur | ||
Le 5 avril 2013, Jacques Bompard a été intérrogé sur Radio Courtoisie
par Pierre-Alexandre Bouclay et Cathy Cardaillac sur son opposition à la
proposition de loi demandant l'autorisation de la recherche sur les
embryons.
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Madame, Monsieur,
Veuillez trouver ci-joint l'entrevue audio de
Jacques Bompard sur son opposition à la recherche embryonnaire
Jacques Bompard interrogé sur son opposition à la recherche embryonnaire...
Lire la suite en cliquant ici.(1) DOCUMENT SONORE :
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David Alessi et Bénédicte Martin condamnés pour diffamation envers Marie Claude Bompard!le 10.04.2013 00:00 par Administrateur |
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Au mois de novembre 2011, David Alessi et Bénédicte Martin, alors
prétendante à la députation, avaient signé un tract mettant gravement en
cause Marie-Claude Bompard, dans ses fonctions de maire. Celle-ci avait
donc porté l'affaire devant les tribunaux.
Le 5 avril 2013, la Cour d'appel de Nîmes a condamné David Alessi et
Bénédicte Martin, au titre de l'action civile. La sentence est
d'ailleurs très claire : « les éléments constitutifs du délit de diffamation publique envers un citoyen chargé d'un mandat public […] sont réunis ».
Les deux responsables UMP sont donc condamnés à payer 10 000 euros de
dommages et intérêts à Marie-Claude Bompard et 2 000 euros pour couvrir
ses frais de justice.
En s'attaquant ainsi de façon honteuse à Marie-Claude Bompard,
Bénédicte Martin cherchait, très vraisemblablement, à salir aussi
Jacques Bompard, contre lequel elle était candidate aux élections
législatives. Éliminée dès le premier tour de ces élections au mois de
juin dernier, la première adjointe de Malaucène est donc sanctionnée à
nouveau, cette fois par la Justice.
David Alessi est, quant à lui un récidiviste. Souvenons-nous, il avait
été condamné, le 16 décembre 2011, par la même cour d'appel de Nîmes
pour avoir diffamé Paul Eymard, 1er adjoint au maire de Bollène.
Marie-Claude Bompard, assistée de Maître Michel Pierchon, se réjouit de
cette décision de justice. Il s'agit d'un avertissement à l'égard de
ceux qui utilisent la calomnie pour manifester un désaccord politique.
Cet arrêt montre que même dans le débat public, on ne peut dire
n'importe quoi. David Alessi et Bénédicte Martin ont franchi la ligne
jaune. Il est donc normal qu'ils soient sanctionnés lourdement.
Cette décision ne fait que renforcer Marie-Claude Bompard, en tant que
maire de Bollène, dans son combat et son action quotidienne au service
des Bollénois.
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