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07 avril 2013

HARLEM DESIR propose un Référendum, le Président HOLLANDE préfère l'introduction de nouveaux textes, 60 % des Français veulent un remaniement

Éditorial de lucienne magalie pons



Harlem  Désir,  défend l’idée  d’un référendum pour remettre à plat « tout ce qui doit l’être  pour que les électeurs retrouvent confiance.
C’est en fait  surtout ce message qu’il faut retenir de son intervention  devant  quelques 200   nouveaux militants  PS venus à sa rencontre, à Limoges :,  « que les électeurs retrouvent  confiance »



«Si le président de la République veut saisir les Français nous sommes totalement mobilisés pour faire adopter cette réforme», a-t-il  déclaré

Un peu plus tard devant des journalistes  il a déclaré  «Je crois que les Français, s'ils sont appelés dans un référendum à s'exprimer sur ces sujets, diront qu'ils veulent une république exemplaire»

Harlem Désir lui, a  par ailleurs  rappelé   que le PS devait être «d'une détermination totale pour mettre en œuvre des mesures d'assainissement politiques» et rappelé aussi qu'une «bataille» attend les socialistes lors des municipales de 2014, avant laquelle ils devront «garder la confiance des citoyens».

 Nous voyons dans  son message l’aveu implicite   que « les électeurs » ne font plus confiance au PS, mais  aussi   dissimulée sous son idée de référendum  l’aveu que « le pédalo coule »  pour reprendre une formule récente de Nicolas Dupont Aignan en parlant du Gouvernement.

Oui le « pédalo coule » , surchargé  du poids de quatre mois des mensonges de l’un de ex-ministres soutenu pendant par ses pairs, lequel  tout récemment est revenu sur ses reniements « dévasté par les remords » pour avouer  qu’il avait menti et passer aux aveux, depuis le pédalo est assiégé par les tirs redoublés de l’opposition UMP et de droite, et du Centre,  qui exigent  la vérité , et effectivement le pédalo est en train de couler aux yeux de tous, y compris du PS qui lance des canots de sauvetages à la mer pour tenter de  sauver le pédalo en perdition.

Quand Harlem Désir  explique  aussi dans son idée de référendum  auprès des français de mettre en œuvre des réformes pour la moralisation de la vie publique, en évoquant des sujets tels que le «non-cumul des mandats», le «contrôle du patrimoine des élus», ou encore l'incompatibilité entre des tâches de lobbying et la fonction d'élu et quand on l’entend affirmer qu’il croit que les Français,  s’ils sont appelés à un référendum diront qu’il s veulent une République Exemplaire , c’est une vue de l’esprit  destinée aux ouailles de sa basse cour , les français n’ont que trop entendu parler de ce slogan électoral , il n’ont que trop entendu parler de cette «République exemplaire » un slogan fictif qui ne colle pas à la réalité d’un pédalo en perdition.

La République Exemplaire de François Hollande, et  la République Irréprochable de son prédécesseur ce sont de vastes fictions, des promesses  lyriques, des formules  tout au plus, en s’exprimant par voie de référendum les électeurs se prononceront sur les questions qui leur soumises et bien entendu la question « Voulez vous d’une République Exemplaire » ne sera pas posée. Excusez moi de vous le dire ce serait une question « trop conne ».

Par ailleurs dans une tribune publiée  et datée de Samedi dans le Monde, dix députés PS  estime  que «  dans la crise que nous vivons, l'enjeu dépasse l'exigence à l'égard de la gauche.  D’après ces députés socialistes, c’est la politique elle même qui doit reconquérir la confiance de nos concitoyens » écrivent-ils et ils plaident pour un référendum à « choix multiples », un référendum « multi-questions »,  en évoquant  notamment    le non cumul des mandats, le droit de vote des étrangers aux élections locales,  en avançant que  si ces réformes rencontraient trop d'obstacles,  que le président de la République pourrait mobiliser le peuple pour concrétiser plusieurs attentes fortes et demander par référendum les avancées que la droite refuserait au Parlement,   Renforcer le pouvoir de contrôle du Conseil supérieur de la magistrature sur les nominations des magistrats du parquet pour que leur carrière ne repose plus sur le bon vouloir de l'exécutif. Supprimer la Cour de justice de la République afin que les ministres en fonction et mis en examen soient jugés par une juridiction ordinaire, et non plus par leurs pairs. Faire en sorte que les anciens présidents de la République ne siègent plus au Conseil constitutionnel, qui ne saurait accueillir en son sein, par exemple, des juges qui rêvent ( ndlr ; d’après eux) à voix haute de reconquérir une fonction politique, jetant un doute sur l'impartialité des décisions des sages ,réviser le statut pénal du chef de l'Etat afin que dans le domaine civil, sa responsabilité puisse être engagée pour les faits qui ne relèvent pas de sa fonction, à égalité avec tous les citoyens.

Et dans leur tribune, ces députés expliquent encore que le Président de la République pourrait aller au-delà. D’après eux, délivré de la nécessité de se concilier une part des voix de l'opposition parlementaire, il pourrait demander par la voie référendaire de se prononcer sur l'ensemble des volets d'une République exemplaire que les Français ont déjà approuvée une première fois le 6 mai 2012.

Après avoir  largement développé  et argumenté toutes ces questions et bien d’autres encore touchant à une réforme de la constitution, à une réforme de statut pénal du Chef de l’Etat  pour lesquels ils plaident  dans l’ensemble sur fond   d’un  louable souci républicain du Gouvernement et de République exemplaire,  les dix députés socialistes arrivent à une  conclusion ils espèrent  l'aval de l'opposition sur ce premier volet de la République exemplaire, et ils terminent en écrivant : « Pourtant, il nous sera objecté que la procédure référendaire présente toujours un risque : celui de  voir  les Français répondre moins à la question qui leur est posée qu'à celui qui la pose. Députés socialistes, nous croyons au contraire que, en soumettant au référendum non pas une question sur toutes ces réformes, mais autant de questions qu'il y a de réformes, en d'autres termes un référendum multi-questions, le risque d'interprétation plébiscitaire s'en trouverait forcément réduit en même temps qu'un véritable contenu participatif et populaire serait donné à cette consultation. Il s'agirait d'un temps fort de notre vie démocratique où, par la nature même de la procédure proposée aux citoyens, les arguments l'emporteraient sur les postures et le bien public sur la tactique. L'intérêt général mérite que, le moment venu et si cela s'avérait nécessaire, tout soit tenté pour  mettre en œuvre cette République exemplaire."

Quand  on entend Harlem Désir exprimer son idée de référendum et quand on lit la tribune des dix députés socialistes , un véritable galimatias  indigeste, si ce référendum un jour était décidé par le Président de la République en reprenant toutes les questions qu’ils ont avancées, le premier réflexe salutaire des électeurs serait justement  de répondre à la question de celui qui la pose, et si l’on tient compte des derniers sondages 70 % des Français rejetteraient toutes ces questions une à une par un « Non » retentissant.

Et puis quelle indélicatesse de la part des socialistes de plaider pour un référendum pour sauver un Gouvernement pédalo en perdition, quand on sait qu’ils refusent avec un mépris et une arrogance inqualifiable un référendum que des millions de français demandent pour  s’exprimer sur le « mariage pour tous ».

C’est  çà  l’arrogance du   PS : Appeler les électeurs aux urnes pour se sortir du pétrin politique dans lequel  les ministres et les députés PS  se sont fourrés avez l’affaire Cahuzac,  alors qu’ils refusent d’entendre depuis des mois  des millions  de citoyens  qui  veulent s’exprimer et réclament un référendum  sur  le « mariage pour tous », projet de loi  qui  les touche dans leurs intérêts civils et sociaux , jusqu’au  cœur même des familles 

 Certains députés de droite aussi réclament un Référendum, la démission d’un Ministre  et même du Gouvernement, d’autres  réclament  un remaniement gouvernemental,  une dissolution de l’Assemblée Nationale,  bref un grand   coup de balai »,  mais  pour ces derniers  l’objectif est de reprendre le pouvoir, toutefois il faut rappeler que les députés de droite  réclamaient aussi un référendum sur le mariage pour tous  qu’ils n’ont pas obtenus du Chef de l’Etat

 Nous arrivons maintenant  à penser que si les électeurs sont appelés à un référendum  par le Chef de l’Etat, même si la droite lors du précédent quinquennat n’a pas répondu parfois à leur attente ou les a déçus,   ils se souviendront que  François Hollande n’a   pas répondu à leur demande pour un référendum sur le « mariage pour tous », pourquoi faudrait-il  qu’ils continuent à lui  faire confiance  alors qu’il ne les entend pas ? à mon avis dans l’hypothèse d’un référendum les électeurs  sanctionneront  sa politique, une politique qui les ignore sur certains sujets de grande importance pour l’avenir de la famille,  et qui les appellerait a  u secours pour se maintenir en place.

ooOoo

 Quelle est la position du Président de la République  depuis les aveux du 2 Avril de Jérôme Cahuzac ? 

Rien dans ses déclarations  n’indique que le Président François Hollande   prendra le risque d’un référendum,  rien n’indique non plus qu’il procédera à un remaniement du gouvernement, rien n’indique non plus  qu’il remaniera le Gouvernement dans l’immédiat.(à moins que des faits nouveaux ne l’y contraignent)



Au contraire tout indique dans ses déclarations   qu’il compte se maintenir avec son Gouvernement sur sa lancée en improvisant des mesures qui lui paraissent devoir rassurer les Français.

Ainsi  le  Mercredi 3 Avril,  - le lendemain des aveux de Jérôme Cahuzac- , à l’issue du Conseil des Ministres,  il a  annoncé  trois décisions , à savoir renforcer l’indépendance de la justice avec la réforme du Conseil Supérieur de la Magistrature, lutter contre les conflits entre intérêts publics et privés,   dans  un projet de loi au Parlement dans les prochaines semaines,  les élus condamnés pénalement pour fraude fiscale ou corruption seront interdits de tout mandat public.


 Voici ce qu’il a dit  très  précisément : 


 Script de sa déclaration :


« J'ai appris, hier, avec stupéfaction et colère les aveux de Jérôme CAHUZAC devant ses juges.


«Il a trompé les plus hautes autorités du pays : le chef de l’Etat, le Gouvernement, le Parlement et, à travers lui, tous les Français.


C’est une faute, c’est une faute impardonnable. C'est un outrage fait à la République. D'autant que les faits reprochés sont eux-mêmes intolérables : détenir, sans le déclarer, un compte à l’étranger.


Donc, toute la lumière sera faite.


Et c’est la Justice qui poursuivra son travail jusqu’au bout et en toute indépendance.
J’affirme, ici, que Jérôme CAHUZAC n’a bénéficié d’aucune protection autre que celle de la présomption d'innocence. Et il a quitté le Gouvernement, à ma demande, dès l’ouverture d’une information judiciaire.


C’est un choc ce qui vient de se produire parce que c’est un grave manquement à la morale républicaine. Je suis, donc, amené à prendre trois décisions qui vont dans le sens des engagements que j’avais pris devant les Français :


D’abord, renforcer l’indépendance de la Justice : c’est le sens de la réforme du Conseil Supérieur de la Magistrature. Cette réforme sera votée au Parlement dès cet été.

 Elle donnera aux magistrats les moyens d’agir en toute liberté, en toute indépendance, contre tous les pouvoirs.


Ensuite, lutter de manière impitoyable contre les conflits entre les intérêts publics et les intérêts privés et assurer la publication ainsi que le contrôle sur les patrimoines des ministres et de tous les parlementaires. Le Gouvernement, là encore, soumettra au Parlement, dans les semaines qui viennent, un projet de loi dans cette direction.


Enfin, les élus condamnés pénalement pour fraude fiscale ou pour corruption seront interdits de tout mandat public.


La République, c’est notre bien le plus précieux. Elle est fondée sur la vertu, l’honnêteté, l’honneur.


La défaillance d’un homme doit nous rendre encore plus exigeants, plus intransigeants, et je le serai parce que je sais ce que cela représente pour les Français cette blessure. L’exemplarité des responsables publics sera totale.


C'est mon engagement.


Je n’en dévierai pas et les Français doivent en être certains.


Jeudi 4 avril : 


Par la suite,  à la fin d’une visite d’état au Maroc, lors de la conférence de presse de clôture avant son départ, le Président François Hollande a  été questionné à plusieurs reprises  au sujet d’un remaniement, là encore rien n’indique que le Président n’envisage un remaniement : 

Extrait:

..............


QUESTION : « La France vit en ce moment une crise politique. La déclaration que vous avez faite hier à l’Elysée avant de vous envoler pour Casablanca ne semble plus suffire pour en sortir. Alors nous avons deux questions. La première, c’est si vous avez des initiatives déjà envisagées et parmi celles-ci un remaniement gouvernemental pourrait-elle en faire partie ? »



LE PRESIDENT : « D’abord, s’il y a des initiatives à envisager, ce n’est pas ici, au Maroc, que je vous les livrerais. Mais je comprends que face à ce qui s’est produit, qui est un choc considérable, c’est-à-dire qu’un homme qui était au gouvernement ait pu mentir comme il l’a fait non seulement au chef de l’État, au Premier ministre, mais au Parlement, à l’Assemblée nationale et sur un compte à l’étranger qu’il n’avait pas déclaré… Oui, c’est un choc qui appelle nécessairement des décisions.



Ces décisions, j’en ai annoncé une part sur le plan législatif. Nous avons besoin de continuer la moralisation de la vie politique et même de la vie économique. Et il y a une indépendance de la justice à renforcer. Alors – je vous le dis – j’irai jusqu’au bout, jusqu’au bout sur ces questions parce que je n’ai rien à redouter de l’application stricte des textes quand ils existent et de l’introduction de nouveaux textes quand ils sont nécessaires.



Au contraire, parce que je suis le chef de l’État d’un pays qui est une grande nation, qui ne peut pas accepter d’être ainsi humiliée avec des affaires qui se succèdent depuis des années –et je ne vais pas ici les égrener.



Il convient d’y mettre un terme, une bonne fois pour toutes. Il y aura toujours des indélicatesses, des personnes qui se comportent mal. Mais, à ce moment-là, tout sera fait pour qu’il y ait la prévention indispensable et la répression qui est absolument nécessaire ».


…………… 


QUESTION : « Bonsoir Monsieur le Président. On a appris aujourd’hui que le trésorier de votre campagne électorale, M. Jean-Jacques AUGIER, est actionnaire de deux sociétés ayant des comptes offshore aux Iles Caïman. Confirmez-vous, comme il l’a dit lui-même, que vous n’étiez pas au courant de ces informations et, d’autre part, considérez-vous que ces faits sont répréhensibles ? »



LE PRESIDENT : « Je ne connais rien de ces activités et si elles ne sont pas conformes à la loi fiscale, je demande que l’administration s’en empare et permette de faire les rectifications si elles sont nécessaires. Je n’ai pas d’autres commentaires à faire parce que je ne connais rien de ces investissements ou de ces activités.



En revanche, ce que je peux vous dire, c’est que Jean-Jacques AUGIER a été le trésorier de ma campagne. Les comptes de campagne de 2012 ont été considérés par le Conseil constitutionnel comme parfaitement réguliers, parfaitement conformes au droit et avec toutes les exigences qui impliquent, justement, le respect de la loi.



Ce qui compte pour moi, car je me suis engagé là-dessus comme candidat, aujourd’hui Président, c’est que les comptes de campagne aient été validés, contrôlés et regardés comme conformes. Ensuite sur les activités privées, c’est à l’administration fiscale, s’il en est besoin, de faire son travail ».


………….



QUESTION – Ne considérez-vous pas comme inévitable un remaniement du gouvernement ?



LE PRESIDENT – J’ai dit que sur ces questions-là le gouvernement n’est pas mis en cause en tant que tel. Le gouvernement n’est pas mis en cause parce que, pour être clair, Jérôme CAHUZAC, qui n’est plus membre du gouvernement, en a été écarté dès qu’une information judiciaire a été ouverte. Ce n’est pas le gouvernement qui est en cause, c’est un homme qui a failli.



Pour ce qui concerne le fonctionnement du gouvernement, il y a de ce point de vue pas de décisions à prendre car cela laisserait penser qu’il aurait quelque chose à voir avec l’affaire en question qui est une affaire individuelle ; mais qui est aussi une affaire suffisamment grave pour que l’on en tire des conclusions sur le plan de notre législation, sur le plan des comportements, sur le plan des conflits d’intérêt et sur le plan également des contrôles fiscaux. Merci à vous ».



Le Samedi 6 avril à  la  Préfecture de Tulle, avant de remettre six médailles de chevalier de la Légion d'honneur et deux insignes de l'ordre national du Mérite, il a tenu à rappeler dans son discours  les valeurs républicaines, – ( comme une allusion à l'affaire Cahuzac écrivent les médias)


Extrait :


"Chacune et chacun doit servir, à sa place, la République, d'une manière exemplaire avec le souci de faire le mieux possible et de donner aux autres le meilleur de soi-même"


"Dans un moment où il doit y avoir des valeurs qui doivent être portées, une exigence morale pour tous ceux qui ont des responsabilités à quelque niveau que ce soit, une cérémonie comme celle-là a du sens"


"Chaque manquement est une faute mais en même temps chaque talent, qualité, mis au service de la société, justifient une récompense et un honneur


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En passant  volontiers sur son anthologie habituelle de la République exemplaire  et ses valeurs ou manière exemplaire qui lui est habituelle  dans ses déclarations et discours, et qui pourrait tenir sa place aussi bien dans une causerie de salon que dans une débat dans une loge philosophique ou maçonnique comme un débat « sur le sexe des oiseaux » , ce que nous retenons plus sérieusement dans ces dernières intentions c’est qu’il ira jusqu’au bout : « Ce que nous retenons  dans les différentes déclarations de François Hollande, en passant sur  son  anthologie  de  la République exemplaire qui lui est habituelle et qui aurait sa place tout aussi bien dans une causerie de salon que dans une loge philosophique , voire maçonnique,  au même titre qu’une discussion sur le « sexe des oiseaux », ou « le sexe des anges », c’est qu’il  n’envisage pas de remaniement, ni de référendum, qu’il entend aller jusqu’au bout  « j’irai jusqu’au bout, jusqu’au bout sur ces questions parce que je n’ai rien à redouter de l’application stricte des textes quand ils existent et de l’introduction de nouveaux textes quand ils sont nécessaires »


La seule chose que nous pouvons  redouter c’est que quelques soient les l’introduction de nouveaux textes et  leur mises en application quand ils seront votés ou ordonnés, c’est que les personnes  coupables de fraudes se sont montrer toujours  assez habiles et tortueux  pour dissimuler leurs agissements frauduleux et que personne ne les empêchera avec des textes de commettre des « indélicatesses » .


Les réactions aux déclarations du Président se multiplient, la droite n’y trouve pas son compte, et de jours en jour de nouvelles révélations en plus alimentent leurs critiques. Aux dernières informations médiatiques nous relevons que Jérôme Cahuzac aurait aussi menti à une banque suisse en produisant à l’époque de son transfert de fonds  à Singapour un document falsifié,  et  chaque jour  apporte son lot de révélations croustillantes qui nourrit la crise politique de loin, de près, de très près et  qui finiront par faire crier « Au feu … sauve qui peu »



60 % des Français souhaitent un remaniement du gouvernement d’après les sondages :


Pour terminer il serait aussi bon de prendre en compte l’avis des Français, Selon un sondage Ifop pour le JDD paru dimanche, 70% des Français, gauche et droite confondues, estiment que l'image de l'ensemble de la classe politique est abîmée par l'affaire Cahuzac. 



Pour 60% d'entre eux, François Hollande doit changer son équipe.



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