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08 novembre 2009

H1N1 : Secret-défense" pour des " raisons ... de sécurité évidentes" (????)

Direction de la santé dixit :" si la procédure était classée « secret-défense », c’était uniquement « pour des raisons de sécurité évidentes, en raison des impératifs de santé publique "

Oh ! qu'en termes obscurs ces choses là sont dites !

Essayons d'y voir un peu plus clair :

article -information de lucienne magalie pons


Pour faire face à la grippe « A » les autorités sanitaires françaises ont commandé Quatre-vingt-quatorze millions de doses de vaccins pour 871 millions d’euros et les dépenses annexes porteraient l’ardoise à plus d’un milliard d’euros


D’après certains médias, des laboratoires pharmaceutiques financeraient les « experts de la grippe A » et s’interrogent sur leur influence dans les décisions de santé publique.


Pour donner un exemple de la contribution des laboratoires au financement d’experts appelés à conseiller les autorités sanitaires sur la politique vaccinale , ces médias citent le Groupe d’expertise et d’information sur la grippe(Geig), dont le Président du comité scientifique Geig, le Professeur Bruno Lina, apparaît comme l’un des experts officiels du ministère de la Santé alors que son groupe est financé à 100 % par les laboratoires producteurs du vaccin contre la grippe.


Tout récemment certains laboratoires pharmaceutiques autorisés à fabriquer le vaccin, proposé aux Français à partir du 12 novembre, ont publié leurs comptes, dopés par les commandes à travers le monde, une « manne » d’après ces mêmes médias qui posent la question : Ces firmes ont-elles pu user de leur influence auprès du ministère de la Santé pour l’inciter à acheter des vaccins en surnombre ?


La Direction générale de la santé se défend de tels procédés, d’après cette direction le contrat pour le vaccin grippe A s’est déroulé en juillet « selon une stricte procédure d’appel d’offres », et si la procédure était classée « secret-défense », c’était uniquement « pour des raisons de sécurité évidentes, en raison des impératifs de santé publique ».


Ndlr : Le « Secret-défense » pour une procédure de santé « pour des raisons de sécurité évidentes » est-il justifié ? On aimerait savoir exactement ce que recouvrent « les raisons de sécurité évidentes » ?


Par ailleurs, le Professeur de Médecine Marc Girard, auteur d’un livre ‘Alertes grippales » qui explique ces conflits d’intérêts a fait remarquer : « Les pouvoirs publics sont infiltrés par des représentants des firmes pharmaceutiques, il faudrait qu’ils balayent devant leur porte ! »


Une « pratique » déjà constatée lors de la campagne de vaccination contre le virus de l’hépatite B en 1994, sous la pression de laboratoires et de l’Organisation mondiale de la santé.

ndlr : avant de poursuivre notre article nous vous proposons une revue de presse :


  • H1N1 : Bachelot sort les contrats des labos mais efface les prix ...

    30 oct 2009 ... Le ministère de la Santé laisse filtrer les accords passés pour la fabrication de vaccins. Les sommes à payer ont été effacées.
    www.rue89.com/.../h1n1-bachelot-sort-les-contrats-des-labos-mais-efface-les-prix-124020 - En cache - Pages similaires
  • Le virus H1N1 prend la France en grippe - Sciences – Toute l ...

  • Sur le thème "Les français ne veulent pas se faire vacciner", voir le site :

    www.france-amerique.com/articles/2009/11/06/h..




  • reprise de l'article information :

  • Faute d’en savoir plus de la Direction générale de la santé, « secret-défense » oblige pour des « raisons ( ndlr :obscures) de sécurité évidentes » des internautes pour s’informer plus avant font circuler entre eux des textes figurant sur « Le Journal de Michel Dogna », et nous avons reçu ce matin d’un « anonyme » par e mail, les textes ci-dessous reproduits , qui n’engagent que leurs auteurs , mais dont la lecture peut éclairer nos lanternes d’un jour nouveau.


    Nous ne pouvons ni confirmer ni infirmer ces textes, nous ne sommes pas dans le secret des Dieux, et pour « des raisons de liberté d’expression et d’interprétation » qui nous paraissent « évidentes » nous les soumettons à la réflexion de nos lecteurs internautes qui n’en auraient pas eu connaissance :


    LE JOURNAL DE MICHEL DOGNA - N°76 n NOVEMBRE - DÉCEMBRE 2009 PAGE 10

    Le 21 septembre 2009, Verichip annonçait officiellement la mise en application prochaine d’un nouveau système de détection du virusH1N1 par l’utilisation de nouvelles puces. Elle a vu ensuite ses actions grimper en flèche à la bourse après avoir remporté la licence pour le brevet H1N1.


    Un tel programme va être mis en place aux Hospices civils de Lyon pour mesurer les risques de propagation des maladies nosocomiales.

    Nous avons déjà ces engins sur nos nouveaux papiers d’identité qui transmettent non seulement l’identification du porteur, MAIS AUSSI SA LOCALISATION !!! Cependant, sous le prétexte de cette « pandémie », on accoutume l’opinion publique à l’implantation de puces électroniques sur les individus et même à l’intérieur d’eux-mêmes. Ce système, autorisé pour l’usage médical en octobre 2004 par la FDA des États-Unis, utilise la micro puce humaine implantable passive RFID et le disque de santé personnel correspondant.


    Au cours des dernières années, les nanotechnologies ont accompli de spectaculaires progrès. Désormais, une fois installée dans le corps humain au cours de n’importe quel acte chirurgical, cette puce qui peut avoir des dimensions infimes de l’ordre de 4

    centièmes de millimètre (plus petite qu’un grain de sable) permet de connaître bien des choses sur cet humain et de le suivre à la trace.


    Elle est aussi capable de transmettre un signal excitant certaines parties du cerveau et de modifier ainsi le comportement humain. Ainsi, on peut stimuler des structures cérébrales spécifiques, provoquant alors des réactions émotionnelles et mentales chez les animaux comme chez les hommes, ce qui ouvre la porte à des possibilités de contrôle effrayantes.


    Cette puce peut en outre transmettre l’information de notre influx nerveux à un ordinateur et, d’autre part, par la commande d’un ordinateur, injecter un signal qui est reçu par notre système nerveux. La micro puce sous-cutanée présente une interface par laquelle une personne implantée s’expose à d’éventuelles manipulations qui lui seraient inconnues. Et bien qu’elles relèvent encore dans l’esprit de la grande majorité des gens du domaine de la science-fiction, ces puces sont déjà opérationnelles et permettent de mettre en place des automatismes sur les animaux qui réduisent le travail des éleveurs d’animaux de batteries en ce qui concerne le tri, l’alimentation et la reproduction. Outre les animaux, on peut à présent les implanter sous la peau de tout individu que l’on veut surveiller : enfant, malade, vieillard sénile, prisonnier ou militaire. Certains se réjouissent de ce « progrès » sans imaginer que cette nouvelle technologie risque de porter atteinte à la vie privée des porteurs de puces, en transmettant à leur insu des informations très personnelles.


    DE L’ANIMAL À L’HUMAIN


    Depuis longtemps déjà, les puces étaient utilisées par la médecine vétérinaire pour identifier des milliers d’animaux à travers la planète, mais cette surveillance ne s’était pas encore étendue à l’être humain. A l’heure de la mondialisation, lentement mais sûrement, l’homme est considéré comme un membre du troupeau avec tout ce que cette définition implique. Soumis à la loi du profit, les gouvernements nous imposent une société dans laquelle certains responsables, scientifiques ou politiques, munis de pouvoirs mais dépourvus de conscience, n’hésitent pas à transformer l’être humain en une marchandise qu’on peut impunément vendre, acheter ou simplement jeter suivant les besoins.


    En 1992, à la grande surprise des médecins qui savaient qu’aucune épidémie n’était en vue, fut pratiquée au Québec une vaccination de masse contre la méningite.


    Cette décision avait été prise par des fonctionnaires du gouvernement contre l’avis de la plupart des membres du corps médical ; mais le Gouvernement passa outre. Un grand nombre de médecins et d’infirmières se sont alors demandé, non sans raison, pourquoi ils devaient appliquer un « protocole particulier » pour administrer cette injection et pourquoi il fallait donner une inclinaison singulière à la seringue et une pression très forte pendant plusieurs secondes à l’endroit de l’injection. Serge Monast, un journaliste d’investigation, décédé depuis dans de mystérieuses conditions avait constaté : « Ce fait rattaché au “protocole spécial” est d’autant plus étrange dans l’administration d’un vaccin qu’il ressemble en tous points à la manière dont on injecte un “implant électronique” servant à l’identification personnelle et fabriqué, entre autres, par la Texas Instrument. La méthode est aussi semblable à celle utilisée pour l’injection de cristaux liquides afin d’empêcher leur retour dans la seringue.


    Ces rapports entre la puce et le virus de la grippe A ne peuvent que confirmer les craintes qui entourent ce vaccin : la technologie menace maintenant l’Homme et sa Liberté.


    Point n’est besoin d’être paranoïaque pour imaginer la possibilité de l’installation de systèmes de contrôle et d’influence du style de « Big Brother » comme dans 1984


    de George Orwell. Les pouvoirs dans notre monde n’ont pas arrêté de se centraliser et certaines orientations de hauts responsables politiques font tout naturellement surgir des questions inquiétantes sur leurs réelles intentions. Aussi, nous devons rester vigilants :

    Tant que la puce reste implantée sur un objet, nous pouvons toujours échapper à ce pistage en nous débarrassant de cet objet, mais lorsqu’elle sera implantée dans notre corps, nous ne pourrons plus nous en débarrasser !


    Sylvie Simon


    © 2009 REPRODUCTION PARTIELLE AUTORISÉE AVEC MENTION D’ORIGINE


    LE JOURNAL DE MICHEL DOGNA - N°76 n NOVEMBRE - DÉCEMBRE 2009 PAGE 5


    C’est la raison pour laquelle il a été très facile pour le très méritant prix Nobel de la Paix, Barak Obama, de décréter l’état d’urgence sanitaire (étape n° 11), qui est l’étape préalable à l’instauration d’un état totalitaire. Je rappelle quand même que la FEMA (Federal Emergency Management Agency) aura la gestion de toute cette campagne de vaccination massive que j’annonce comme obligatoire depuis fin août. Quand on sait, par ailleurs, que c’est à la FEMA qu’on a confié la gestion des 800 camps de concentration vides disséminés sur tout le territoire des Etats-Unis, on comprend tout.

    Mais on n’en estpas encore là. Ça, c’est l’étape n° 12.


    ET POUR LA FRANCE ?


    À noter que la France sera probablement le premier pays européen à déclarer l’état d’urgence sanitaire.


    En effet, Nicolas Sarkozy (qui ne dit pas un mot sur la question) ne voudrait quand même pas être à la traîne du modèle américain.


    Comme le FluMist n’est pas (encore) autorisé en Europe, la stratégie est différente, mais le principe est le même.


    Il faut savoir qu’un premier lot de vaccins a été livré à la France le 27 août dernier, en provenance de l’entreprise pharmaceutique la plus criminelle du monde : Baxter (je rappelle que c’est Baxter qui avait contaminé 72 kg de matériel vaccinal en février 2009, en mélangeant « par accident !» le virus de la grippe H3N2 à celui de la grippe H5N1. Ces vaccins livrés fin août à la France sont très certainement des vaccins contenant le virus de la grippe aviaire H5N1, issus de ce qui avait été produit antérieurement par Baxter en préparation de la pandémie de grippe aviaire (il faut bien recycler les invendus, non ?).


    D’ailleurs, il est impossible que ce soit des vaccins contenant le H1N1 – les délais de fabrication étant trop courts, par rapport à la date de livraison de la souche Californienne qui a servi à la production des vaccins. Ces vaccins ont d’ailleurs été gardés sous haute surveillance militaire à Miramas, en Provence.


    Et ce sont eux qui sortent les premiers...


    Voici mon hypothèse intuitive (jusqu’à présent, toutes les intuitions que j’ai depuis mai 2009 se sont avérées exactes, mais je peux me tromper) :


    - Les premières personnes vaccinées en France le seront avec le vaccin contre le H5N1 (mais, on ne leur dira pas). Les vaccinés qui seront déjà porteurs du H1N1 risquent de vivre une commutation entre le H5N1 vaccinal et le H1N1 présent dans le corps et faire des complications, et en mourir probablement.


    - Autre hypothèse : comme la France est à peu près le seul pays qui exige une traçabilité absolue de la vaccination (où l’on notera soigneusement le numéro du lot dispensé à une personne), j’imagine qu’il se pourrait que la deuxième injection se fasse avec un vaccin contenant, lui, le virus H1N1. Histoire d’être sûr de provoquer la fameuse commutation tant attendue H5N1 + H1N1. On retrouve, dans les deux cas, l’étape n° 9.


    Donc, attendez-vous, chers amis, que la France décrète, elle aussi l’état d’urgence sanitaire dans quelques jours (c’est peut-être déjà fait lorsque vous lisez l’article), car c’est dans ce pays que la deuxième vague va frapper dur ! Entraînant, à sa suite, la déclaration de l’état d’urgence sanitaire dans tous les pays européens. Et que nos voisins belges ne se croient pas protégés par l’amendement obtenu récemment, garantissant la liberté de vaccination !


    DEUX ARMES COMPLÉMENTAIRES POUR ASSURER L’HÉCATOMBE


    La première arme, c’est le rôle néfaste et mortel du TAMIFLU. En effet, n’avez-vous pas remarqué que la plupart des personnes jeunes et en bonne santé qui mourraient de Détresse Respiratoire Aiguë ou de surinfection bactérienne pulmonaire avaient pratiquement toutes été traitées au TAMIFLU, dans les heures précédant leur décès.


    Voir :


    http://www.flutrackers.com/forum/showthread. php?t=126123


    La deuxième arme, c’est qu’il y a eu, depuis mars 2009, une très grande intensification de CHEMTRAILS dans le ciel, aussi bien en Europe qu’en Amérique du Nord (je n’ai pas d’informations pour les autres continents). Une référence, parmi beaucoup d’autres:


    http://www.chemtrails-france.com/


    . Pour ceux qui ne le savent pas, il s’agit de traînées répandues dans le ciel par des avions volant à haute altitude, qui imitent les traînées de condensation que font les avions de ligne. Les vraies traînées ne demeurent dans le ciel que quelques minutes, car ce n’est que de l’eau et les gouttelettes se dispersent rapidement.


    Les CHEMTRAILS (littéralement, traînées chimiques) sont disséminés dans le ciel par une série d’avions volant dans deux directions perpendiculaires, créant ainsi un quadrillage. À la différence des traînées de condensation, non seulement ces traînées ne disparaissent pas en quelques minutes, mais au contraire, elles grossissent et finissent par se rejoindre, plombant le ciel bleu d’une lourde chape de nuages gris en quelques heures. Un biochimiste britannique participant à ces opérations a révélé, l’été dernier, que ces traînées chimiques contenaient des aérosols précurseurs à base de Baryum radioactif, qui réagiront une fois en contact avec les composants du vaccin, pour provoquer une propagation rapide du virus H1N1 (voir la page 4 du document)


    http://www.lepouvoirmondial.com/media/02/00/2026651703.pdf


    Ces virus, bien entendu, retombent sur nos têtes régulièrement... Surveillez le ciel !


    CONCRÈTEMENT, QUELLES INITIATIVES ?


    Tout d’abord, quand vous entendrez que le nombre de morts augmente, vérifiez si c’est parmi les vaccinés. Si c’est le cas, vous serez assurés de la position à prendre par rapport à ce vaccin. Rappelez-vous aussi qu’en aucun cas, un vaccin ne renforce le système immunitaire. Au contraire, chaque vaccination est une agression qui affaiblit un peu plus le système immunitaire.


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