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12 novembre 2009

Grippe vaccinale : , Faisons place aux "contre" qui ont du mal à se faire entendre !

information : de lucienne magalie pons







Il y a les "pour inconditionnels " qui nous conditionnent , notamment le Pouvoir et notre Ministre de la santé qui ont mobilisés tous les moyens de communications pour lancer depuis plusieurs mois cette campagne vaccinale contre le H1N1, et s'emploient actuellement à nous inciter par tous moyens à accepter le vaccin, il y a "ceux qui s'interrogent" avant de franchir le pas et qui recherchent à s'informer exactement de A jusqu'à Z avant de prendre une décision, il y a enfin "ceux qui sont contre" et tentent de présenter leur arguments pour attirer l'attention du public sur les raisons qui les incitent à dénoncer les risques que ce vaccin présente, d'après eux, pour la santé.



Comme les "contre" n'ont aucune chance d'obtenir un débat contradictoire objectif , de la part des pouvoirs publics et des "pour" de l'industrie pharmaceutique, il arrive que par des sources internet circulent des informations qui méritent d'être prise en considération pour nous aider à nous forger une opinion.


Faisant place à notre souci d'information, nous estimons utile de reproduire ci-dessous un courriel « anonyme » et le rapport qui y était joint que nous venons de recevoir dans notre messagerie. Bien entendu il ne s'agit pas de tenter d'influencer nos lecteurs, mais il est certain qu'il vaut mieux entendre plusieurs sons de cloches pour se forger individuellement une opinion .


Si vous le souhaitez, nous vous invitons à prendre connaissance de ces « infos sur la campagne vaccinale » que nous venons, comme dit plus haut, de recevoir ce jour,.




Courriel reçu dans notre messagerie le Jeudi 12 Novembre :


"Bonjour à toutes et tous,

"Voici le lien vers l'excellent site Web du Dr Marc Girard, dans lequel vous trouverez de nombreuses infos sur la "campagne vaccinale de la honte (campagne dont de plus en plus de gens réalisent qu'elle sert des intérêts "eugénistes avoués par un Rockefeller et par d'autres il y a des années avec un cynisme stupéfiant et plus "discrètement par de nombreux "responsables" (?) politiques et des milieux écologistes, ce qui explique leur "silence assourdissant


http://www.rolandsimion.org/spip.php?article73


"Sur ce site et en PJ, les personnels médicaux ou paramédicaux (infirmières, élèves infirmières etc) trouveront par "exemple un document PDF (ci-dessous reproduit) pour les aider à refuser la réquisition scandaleuse que les "pouvoirs "publics" au service des labos pharmaceutiques et de sombres desseins essaient de leur imposer ...

"Soyons pacifiquement mais fermement citoyens et la vie l'emportera ...


"Personnellement, je me dois de faire circuler ces infos, dont chacun fera ce qu'il souhaite en toute liberté, par "respect pour la Vie, dont celle de mes enfants et petits enfants, celle des jeunes que je croise chaque jour aussi ...

"Bien à vous


Reproduction du document joint à ce courriel : Le document original est en Pdf, nous l’avons traduit en HTML avec un logiciel adapté, quelques petites différences de présentation peuvent exister dans cette traduction, mais le texte est fidèle à l’original à 100 %


« Vaccination antigrippale : le scandale d’une réquisition

« Dr Marc GIRARD

« Conseil en pharmacovigilance et pharmaco épidémiologie

« Expert européen (AEXEA)

« 76, route de Paris, 78760 Jouars-Pontchartrain (agosgirard@free.fr)

« Site : www.rolandsimion.org2


« Avant toute chose, il convient de remarquer que par rapport à la menace d’une réquisition, « la résistance a d’autant plus de chances d’être efficace qu’elle sera collective. Sanction de « son improvisation : le gouvernement n’a cessé de reculer (on vient encore de le voir avec « l’abandon d’un projet de vaccination obligatoire dans la gendarmerie), et il ne prendra pas le « risque d’affronter publiquement une opposition organisée et, surtout, motivée.


« Le second point, c’est qu’en aucun cas, semblable réquisition ne peut s’accompagner d’une « vaccination obligatoire : actuellement en France, il n’y a aucune obligation vaccinale contre « la grippe "porcine". Il s’agit donc de refuser tout net les pressions en ce sens.


« D’un point de vue pratique, toute réquisition doit être confirmée par écrit (CSMF). Ce pré « requis ouvre déjà un vaste champ de réaction car, compte tenu de la désorganisation actuelle « de la Poste : une lettre peut toujours n’être pas arrivée à destination (récemment, un de mes « correspondants, habitant à 500 km de chez moi, a vu un de mes courriers lui parvenir - après « un délai certain - après passage par le Laos...) ; · un professionnel de santé surchargé peut « toujours renoncer à faire une heure de queue au bureau de poste du coin pour aller retirer un « recommandé.


« Ainsi, s’autoriser du désordre actuel de la Poste pour ne pas se soumettre à un ordre de « réquisition sera doublement moral, car il s’agira :


« 1. de résister au comportement honteux d’un gouvernement s’appliquant à soumettre le peuple français aux desiderata des lobbies pharmaceutiques ;


« 2. de renvoyer le gouvernement à ses contradictions : à l’échelle d’un pays, c’est difficile de prétendre organiser quoi que ce soit dans l’urgence quand on s’est appliqué à en désorganiser les services postaux...

« La maladie, d’autre part, réalise une condition de force majeure permettant de ne pas se soumettre à la réquisition :


« . par les temps qui courent, nul ne peut contester à quiconque le droit à une bonne gastro-« entérite virale ou à une intoxication alimentaire :


" · il suffira d’appliquer les critères hautement discriminatifs qui ont permis aux « autorités sanitaires "d’accréditer l’existence d’une pandémie (fièvre à 38°C, un peu de « toux) pour s’auto diagnostiquer "une grippe porcine et justifier les mesures d’isolement « qui en découlent (Madame Bachelot ne "pouvant, alors, que se féliciter de voir les « contrevenants contribuer à crédibiliser le mythe d’une "

"pandémie en constante « croissance - auquel est s’est tellement consacrée...) ;


« · les professionnels retraités pourront également invoquer la fatigue liée à l’âge, les rhumatismes, etc.

« L’incompétence technique est également un motif suffisant pour ne pas déférer à une « réquisition. Ainsi, il peut être pertinent, en certaines circonstances, d’invoquer un manque « de pratique en matière d’injections vaccinales ; ce, d’autant la reconstitution d’unités « individuelles à partir de flacons multi-doses impose quand même un minimum de savoir-« faire pour garantir l’asepsie des injections.



« · En se référant au communiqué du Ministère de la santé, les sujets réquisitionnés pourront « arguer avec raison que ne satisfaisant pas les conditions d’un « acte médical à part entière » « (incluant, notamment, une évaluation personnalisée de chaque personne), la vaccination « improvisée à laquelle on prétend les forcer ne relève pas de leur pratique habituelle : on « n’est pas réquisitionné pour faire de la sous-médecine.


« · De plus et compte tenu des contradictions patentes1 – voire des mensonges caractérisés – « des autorités de santé sur la conformité des vaccins antigrippe A et les risques de la « pandémie, les professionnels de santé pourront également arguer qu’il ne leur est « actuellement pas possible de satisfaire à leur obligation préalable d’information loyale et « personnalisée à l’égard des personnes à vacciner.


« Cette nécessaire information est encore compromise par le fait que, dans les conditions « organisées par le Ministère, il ne sera pas possible aux gens de consulter ou de conserver la « notice du produit auquel on prétend les exposer : si les autorités ont fait confectionner des « flacons multi-doses, rien ne les empêchait de les assortir du nombre correspondant de « notices destinées aux patients.


« · Argument proche : l’Agence européenne du médicament (EMEA) ayant « formellement admis que les données d’efficacité et de tolérance pour ces vaccins « n’étaient pas complètes, tout praticien pourra soutenir avec raison que l’évaluation « individualisée du rapport bénéfice/risque de ce vaccin relève d’une compétence « pharmaco-épidémiologique très spécifique et qui n’est pas la sienne :


« 1) Par exemple, lorsque les responsables affirment, au gré des circonstances, que le nouveau « virus est tantôt « comme les autres », tantôt dangereusement « nouveau ». Ou encore « lorsqu’ils s’emmêlent les pinceaux sur le nombre d’injections à administrer. Ou enfin « lorsqu’ils présentent des chiffres sortis d’on ne sait où après avoir officiellement assumé de « ne plus dénombrer les cas (Les perles).


« 2) Lorsqu’on apprend rétrospectivement qu’au plus fort de l’alarmisme ayant conduit à « justifier qu’on n’allait plus compter les cas (juin 2009), pas plus de 5% des personnes « réputées avoir une grippe porcine n’en étaient effectivement atteintes. Ou encore, lorsque le « Ministre et son directeur de la DGS (c.-à-d. les deux principaux responsables sanitaires « français) affirment sans rougir que les vaccins antigrippaux ont été développés et autorisés « dans des conditions absolument standard, quand l’agence européenne affirme textuellement « le contraire (« circonstances exceptionnelles ») (Les perles).


« D’un point de vue plus juridique, en vertu d’une jurisprudence constante du Conseil d’Etat « (CSMF), trois circonstances doivent être réunies pour que le recours à la réquisition soit « jugé légal :


« 1. l’existence d’un risque grave pour la santé publique ;

« 2. l’existence d’une situation d’urgence ;

« 3. l’impossibilité pour l’administration de faire face à ce risque en utilisant d’autres moyens.


« Or :


« · on dispose désormais des données de l’hémisphère sud qui, en fin de saison grippale, « confirment que la morbi-mortalité grippale de cette année a été plutôt moins grave que les « précédentes ;


« · parfaitement en phase avec l’analyse de certains experts (suivez mon regard…), ce bilan « rassurant achève de réfuter la réalité d’une « urgence » ;


« · compte tenu des incertitudes avouées sur le bénéfice du vaccin, l’administration n’a « nullement démontré qu’il serait impossible de faire face à une épidémie grippale par « d’autres moyens : on relève d’ailleurs que nombre d’instances professionnelles ont « publiquement protesté de voir cette campagne vaccinale opérée en dehors du circuit normal « de médecine générale dont on ne voit nullement pourquoi il ne pourrait faire face à une « exigence de vaccination qui, pour l’instant, concerne moins de 20% des Français.


« C’est par rapport à ces arguments juridiques que l’action collective serait la plus appropriée « : il serait particulièrement utile que des syndicats défèrent pour illégalité l’arrêté de « réquisition devant le Tribunal administratif.


« Compte tenu des conditions d’illégalité manifeste dans lesquelles les décisions du « gouvernement ont été prises (notamment en ce qui concerne la dissimulation des liens « d’intérêts des experts qui ont pris part aux délibérations et à l’information des « professionnels comme du public), ils importe aussi que, par delà les professionnels de santé « réquisitionnés, les citoyens dans leur ensemble prennent la mesure du scandale : si l’on « savait déjà que les commerciaux de l’industrie pharmaceutique avaient pu circonvenir les « experts de l’OMS pour accréditer l’hépatite B comme risque grave pour la santé publique3, « si j’ai publiquement dénoncé l’incapacité récurrente des autorités sanitaires à assurer son « rôle de protection des citoyens par rapport au légitime souci de rentabilité de quelque « secteur industriel que ce soit, c’est sans doute la première fois que la force publique se « trouve requise – et avec quelle brutalité afin d’assurer le succès d’un marketing-…


« ( « L’habile stratégie d’un labo », Science et Avenir, janvier 1997, n° 599, p. 27) Amende jusqu’à 7500 €, assortie éventuellement de peines de prison.)


« ….pharmaceutique assez grossier pour avoir suscité la méfiance de plus de 80% des « citoyens.


« Il est sidérant que la force publique se trouve ainsi requise pour assurer l’écoulement de « stocks vaccinaux constitués au terme d’un processus décisionnel atterrant, où il est difficile « de faire la part entre l’incompétence d’une part, la corruption d’autre part.


« En foi de quoi, tout mouvement collectif visant à obtenir l’annulation de cet arrêté, mais « également tout professionnel de santé menacé de représailles judiciaires, peuvent compter « sur mon indéfectible soutien pour les aider à organiser l’argumentation technico-scientifique « justifiant une position de résistance.


« Jouars-Pontchartrain, le 11/11/09


2 commentaires:

jlouis a dit…

Trés bien lucienne de faire passer cette autre version des faits!! On ne parle que de vaccinnation aujourd'hui car il faut justifier ces frais inconsidérés par une utilisation massives de ces doses. mais a t-on aujourd'hui des garanties suffisantes ou doit on faire jouer le principe de précaution comme on nous en bassine l'esprit pour des sujets bien moins graves?
je ne suis pas un spécialiste du genre mais je me rend compte que beaucoup de chercheurs sont trés réservés.

Lucienne Magalie Pons a dit…

réponse à Jlouis

merci Jlouis

cette affaire me confirme que les laboratoires de certains pays d'Europe dont le notre se sont précipités à l'origine sur cette épidémie d'Amérique latine DU RESTE GROSSIE A L'EXTRÊME pour faire de "gros sous" - en lançant une campagne "d'intoxication" pour faire peur à tout le monde ce qui est regrettable c'est que le Pouvoir les a soutenus hâtivement sans consulter de vrais experts indépendants , et sans nous informer exactement sur les risques.