Éditorial de lucienne magalie pons
J'ai
volontairement laissé passer deux jours afin de voir les réactions qui
ont surgit après l' " Adresse aux Français" du Président de la
République du 16 mars 2020, au cours de laquelle il a posé de
nouvelles règles et décisions et formulé des recommandations pour renforcer la lutte
contre la prorogation du Coronavirus.
Avant de noter ces réactions-,
certaines positives, d'autres assez réservées ou même critiques-, je vous
propose de revoir la vidéo et le texte de l' allocution d'Emmanuel Macron :
🔻
ADRESSE AUX FRANÇAIS DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE EMMANUEL MACRON
16 MARS 2020 - SEUL LE PRONONCÉ FAIT FOi
Françaises,
Français,
Jeudi
soir, je me suis adressé à vous pour évoquer la crise sanitaire que traverse
notre pays. Jusqu'alors, l'épidémie était peut-être pour certains une idée
lointaine, elle est devenue une réalité immédiate, pressante.
Le
Gouvernement a pris, comme je vous l’avais annoncé, des dispositions fermes
pour freiner la propagation du virus. Les crèches, les écoles, les collèges,
les lycées, les universités sont fermées depuis ce jour. Samedi soir, les
restaurants, tous les commerces non-essentiels à la vie de la Nation ont
également clôt leurs portes. Les rassemblements de plus de 100 personnes ont
été interdits. Jamais la France n'avait dû prendre de telles décisions -
évidemment exceptionnelles, évidemment temporaires - en temps de Paix. Elles
ont été prises avec ordre, préparation, sur la base de recommandations
scientifiques avec un seul objectif : nous protéger face à la propagation du
virus.
Dans
la journée de jeudi, un consensus scientifique et politique s'est formé pour
maintenir le premier tour des élections municipales et j'ai pris, avec le
Premier ministre, la décision de maintenir le scrutin. Hier dimanche, les
opérations de vote ont donc pu se tenir. Je veux ce soir remercier les services
de l'Etat, les maires, l’ensemble des services des mairies, tous ceux qui ont
tenu les bureaux de vote et qui ont donc permis l’organisation de ce scrutin.
Je veux aussi saluer chaleureusement les Françaises et les Français qui, malgré
le contexte, se sont rendus aux urnes, dans le strict respect des consignes
sanitaires, des gestes barrières contre le virus. Je veux aussi ce soir
adresser mes félicitations républicaines aux candidats élus au premier tour.
Environ 30 000 communes sur 35 000 ont après ce premier tour un conseil
municipal. Mais dans le même temps, alors même que les personnels soignants des
services de réanimation alertaient sur la gravité de la situation, nous avons
aussi vu du monde se rassembler dans les parcs, des marchés bondés, des
restaurants, des bars qui n’ont pas respecté la consigne de fermeture. Comme
si, au fond, la vie n’avait pas changé.
A
tous ceux qui, adoptant ces comportements, ont bravé les consignes, je veux
dire ce soir très clairement : non seulement vous ne vous protégez pas vous -
et l’évolution récente a montré que personne n’est invulnérable y compris les
plus jeunes - mais vous ne protégez pas les autres. Même si vous ne présentez
aucun symptôme, vous pouvez transmettre le virus. Même si vous ne présentez
aucun symptôme, vous risquez de contaminer vos amis, vos parents, vos grands-parents,
de mettre en danger la santé de ceux qui vous sont chers.
Dans
le Grand Est, dans les Hauts-de-France, en Île-de-France, nos soignants se
battent pour sauver des vies, avec dévouement, avec force. Au moment où la
situation sanitaire se dégrade fortement, où la pression sur nos hôpitaux et
nos soignants s’accentue, tout notre engagement, toute notre énergie, toute
notre force, doivent se concentrer sur un seul objectif : ralentir la
progression du virus.
Je
vous le redis avec force ce soir : respectons les gestes barrières, les
consignes sanitaires. C'est le seul moyen de protéger les personnes
vulnérables, d'avoir moins de concitoyens infectés et ainsi de réduire la
pression sur les services de réanimation pour qu'ils puissent mieux accueillir,
mieux soigner.
Sans
signe grave, contactons notre médecin traitant. N’appelons le Samu et ne nous
rendons à l’hôpital qu’en cas de forte fièvre, de difficulté à respirer, sans
quoi, ils ne pourront faire face à la vague de cas graves qui déjà se profile
dans certaines régions.
Faisons
preuve au fond d’esprit solidaire et de sens des responsabilités. Chacun
d’entre nous doit à tout prix limiter le nombre de personnes avec qui il est en
contact chaque jour. Les scientifiques le disent, c’est la priorité absolue.
C'est pourquoi, après avoir consulté, écouté les experts, le terrain et en
conscience, j'ai décidé de renforcer encore les mesures pour réduire nos
déplacements et nos contacts au strict nécessaire. Dès demain midi et pour 15
jours au moins, nos déplacements seront très fortement réduits.
Cela
signifie que les regroupements extérieurs, les réunions familiales ou amicales
ne seront plus permises. Se promener, retrouver ses amis dans le parc, dans la
rue, ne sera plus possible. Il s'agit de limiter au maximum ces contacts
au-delà du foyer. Partout sur le territoire français, en métropole comme
Outre-mer, seuls doivent demeurer les trajets nécessaires, nécessaires pour
aller faire ses courses avec de la discipline et en mettant les distances d'au
moins un mètre, en ne serrant pas la main, en ne s'embrassant pas, les trajets
nécessaires pour se soigner, évidemment, les trajets nécessaires pour aller
travailler si le travail à distance n'est pas possible et les trajets
nécessaires pour faire un peu d'activité physique mais sans retrouver, là
encore, des amis ou des proches. Toutes les entreprises doivent s'organiser
pour faciliter le travail à distance, et quand cela ne sera pas possible, elles
devront adapter dès demain leur organisation pour faire respecter ces gestes
barrières contre le virus, c'est à dire protéger leurs salariés, ou, quand il
s'agit d'indépendants, se protéger eux-mêmes. Le Gouvernement précisera les
modalités de ces nouvelles règles dès ce soir, après mon allocution. Toute
infraction à ces règles sera sanctionnée. Je vous le dis avec beaucoup de
solennité ce soir, écoutons les soignants, qui nous disent : si vous voulez
nous aider, il faut rester chez vous et limiter les contacts. C'est le plus
important. Evidemment, ce soir, je pose des règles nouvelles, nous posons des
interdits, il y aura des contrôles. Mais la meilleure règle, c'est celle qu'en
tant que citoyen, vous vous appliquez à vous-mêmes. Une fois encore, j'en
appelle à votre sens des responsabilités et de la solidarité.
Dans
ce contexte, après avoir consulté le Président du Sénat, le Président de
l'Assemblée nationale mais également mes prédécesseurs, j'ai décidé que le
second tour des élections municipales serait reporté. Le Premier ministre en a
informé aujourd'hui même les chefs de parti représentés au Parlement. Cette
décision a fait l'objet d'un accord unanime.
Mes
chers compatriotes, je mesure l'impact de toutes ces décisions sur vos vies.
Renoncer à voir ses proches, c'est un déchirement ; stopper ses activités
quotidiennes, ses habitudes, c'est très difficile. Cela ne doit pas nous
empêcher de garder le lien, d'appeler nos proches, de donner des nouvelles,
d'organiser aussi les choses avec nos voisins, d'inventer de nouvelles
solidarités entre générations, de rester, comme je vous l'ai dit jeudi dernier,
profondément solidaires et d'innover là aussi sur ce point. Je sais que je vous
demande de rester chez vous. Je vous demande aussi de garder le calme dans ce
contexte. J'ai vu, ces dernières heures, des phénomènes de panique en tout
sens. Nous devons tous avoir l'esprit de responsabilité. Il ne faut pas que les
fausses informations circulent à tout va. En restant chez vous, occupez-vous
des proches qui sont dans votre appartement, dans votre maison. Donnez des
nouvelles, prenez des nouvelles. Lisez, retrouvez aussi ce sens de l'essentiel.
Je pense que c'est important dans les moments que nous vivons. La culture,
l'éducation, le sens des choses est important. Et évitez l'esprit de panique,
de croire dans toutes les fausses rumeurs, les demi-experts ou les
faux-sachants. La parole est claire, l'information est transparente et nous
continuerons de la donner. Mais croyez-moi, cet effort que je vous demande, je
sais qu'il est inédit mais les circonstances nous y obligent.
Nous
sommes en guerre, en guerre sanitaire, certes : nous ne luttons ni contre une
armée, ni contre une autre Nation. Mais l'ennemi est là, invisible,
insaisissable, qui progresse. Et cela requiert notre mobilisation
générale.
Nous
sommes en guerre. Toute l'action du Gouvernement et du Parlement doit être
désormais tournée vers le combat contre l'épidémie. De jour comme de nuit, rien
ne doit nous en divertir. C'est pourquoi, j'ai décidé que toutes les réformes
en cours seraient suspendues, à commencer par la réforme des retraites. Dès
mardi, en Conseil des ministres, sera présenté un projet de loi permettant au
gouvernement de répondre à l’urgence et, lorsque nécessaire, de légiférer par
ordonnances dans les domaines relevant strictement de la gestion de crise. Ce projet
sera soumis au Parlement dès jeudi.
J’ai vu tout à l’heure les présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat afin
que ces textes soient votés le plus rapidement possible, afin aussi que la vie
démocratique et le contrôle du Parlement continue dans cette période. Je les en
remercie et je remercie tous nos parlementaires en cet instant.
Nous
sommes en guerre. J’appelle tous les acteurs politiques, économiques, sociaux,
associatifs, tous les Français à s’inscrire dans cette union nationale qui a
permis à notre pays de surmonter tant de crises par le passé.
Nous
sommes en guerre. La Nation soutiendra ses enfants qui, personnels soignants en
ville, à l’hôpital, se trouvent en première ligne dans un combat qui va leur
demander énergie, détermination, solidarité. Ils ont des droits sur nous. Nous
leur devons évidemment les moyens, la protection. Nous serons là. Nous leur
devons des masques, du gel, tout le matériel nécessaire et nous y veillons et
veillerons. Nous avons décidé avec les scientifiques de réserver les masques en
priorité pour l’hôpital et pour la médecine de ville et de campagne, en
particulier les généralistes, les infirmières désormais en première ligne aussi
dans la gestion de la crise. Des masques seront livrés dans les pharmacies dès
demain soir dans les 25 départements les plus touchés. Mercredi pour le reste
du territoire national. J'ai aussi entendu le message des spécialistes, en
particulier des chirurgiens-dentistes et beaucoup d'autres. Des solutions
seront trouvées avec le Ministre de la Santé dans les prochaines heures.
Nous
devons aussi aux soignants la garde de leurs enfants : un service minimum de
garde est en place depuis ce jour dans les crèches et dans les écoles. Nous
leur devons aussi sérénité dans leurs déplacements et repos. C'est pourquoi
j'ai décidé que, dès demain, les taxis et les hôtels pourront être mobilisés à
leur profit. L'Etat paiera.
Nous
sommes en guerre, oui. Le pays accompagnera dans cette période les régions les
plus touchées aujourd'hui comme celles qui le seront demain. A ce titre, je
veux assurer les habitants et les personnels soignants du Grand Est que nous
serons au rendez-vous pour les appuyer face à l'afflux de patients et à la
saturation des hôpitaux. Je sais ce qu'ils vivent depuis des jours et des jours,
nous sommes avec eux. J'ai décidé pour cela qu'un hôpital de campagne du
service de santé des armées serait déployé dans les jours à venir en Alsace.
Les armées apporteront aussi leur concours pour déplacer les malades des
régions les plus affectées et ainsi réduire la congestion des hôpitaux de
certains territoires.
Nous
sommes en guerre. Comme je vous l'ai dit jeudi, pour nous protéger et contenir
la dissémination du virus mais aussi préserver nos systèmes de soins, nous
avons pris ce matin entre Européens une décision commune. Dès demain midi, les
frontières à l'entrée de l'Union européenne et de l'espace Schengen seront
fermées. Concrètement, tous les voyages entre les pays non-européens et l'Union
européenne seront suspendus pendant 30 jours. Les Françaises et les Français
qui sont actuellement à l'étranger et souhaitent rentrer pourront bien entendu
rejoindre leur pays.
Nous devons prendre cette décision parce que je vous demande ce soir
d'importants efforts et que nous devons, dans la durée, nous protéger. Je veux
dire à tous nos compatriotes qui vivent à l'étranger que là aussi, en bon
ordre, ils doivent se rapprocher des ambassades et consulats et que nous
organiserons, pour celles et ceux qui le souhaitent et là où c'est nécessaire,
leur rapatriement. Vous l'aurez compris, vous le pressentiez, cette crise
sanitaire sans précédent aura des conséquences humaines, sociales et
économiques majeures. C’est aussi ce défi que nous devons mener.
Je
vous demande des sacrifices pour ralentir l’épidémie. Jamais ils ne doivent
mettre en cause l’aide aux plus fragiles, la pérennité d’une entreprise, les
moyens de subsistance des salariés comme des indépendants. Pour les plus
précaires, pour les plus démunis, pour les personnes isolées, nous ferons en
sorte, avec les grandes associations, avec aussi les collectivités locales et
leurs services, qu’ils puissent être nourris, protégés, que les services que
nous leur devons soient assurés.
Pour
la vie économique, pour ce qui concerne la France, aucune entreprise, quelle
que soit sa taille, ne sera livrée au risque de faillite. Aucune Française,
aucun Français, ne sera laissé sans ressources.
S’agissant
des entreprises, nous mettons en place un dispositif exceptionnel de report de
charges fiscales et sociales, de soutien au report d’échéances bancaires et de
garanties de l’Etat à hauteur de 300 milliards d’euros pour tous les prêts
bancaires contractés auprès des banques. Pour les plus petites d’entre elles et
tant que la situation durera, celles qui font face à des difficultés n’auront
rien à débourser, ni pour les impôts, ni pour les cotisations sociales. Les
factures d’eau, de gaz ou d’électricité ainsi que les loyers devront être
suspendus.
En
outre, afin que personne ne soit laissé sans ressources, pour les salariés, le
dispositif de chômage partiel sera massivement élargi, comme je vous l’avais
annoncé jeudi dernier et comme le Gouvernement a commencé à le préciser. Pour
les entrepreneurs, commerçants, artisans, un fonds de solidarité sera créé,
abondé par l'Etat, et auquel le Premier ministre proposera aux régions aussi de
contribuer. Le Gouvernement, dès demain, précisera toutes ces mesures. Elles
seront en fonction des besoins, des réalités économiques, des nécessités
secteur par secteur, évidemment adaptées. Nous serons au rendez-vous pour que
notre économie soit préservée dans cette période si dure et pour que l'ensemble
des travailleuses et des travailleurs puissent avoir cette sécurité aussi en
termes de pouvoir d'achat, de continuité de leur vie.
Mes
chers compatriotes, la France vit un moment très difficile. Nul ne peut en
prévoir précisément la durée. À mesure que les jours suivront les jours, que
les problèmes succéderont aux problèmes, il faudra, en lien avec les éclairages
donnés par les scientifiques, des expériences de terrain, il faudra nous
adapter. Nous allons continuer aussi, pendant cette période, de travailler et
de progresser sur les traitements.
Je sais le dévouement de plusieurs équipes partout sur notre territoire avec
les premiers espoirs qui naissent, et nous continuerons aussi d'avancer sur le
vaccin. Régulièrement, je m'adresserai à vous. Je vous dirai à chaque fois,
comme je l'ai fait, comme le Gouvernement le fait, la vérité sur l'évolution de
la situation.
J'ai
une certitude : plus nous agirons ensemble et vite, plus nous surmonterons
cette épreuve. Plus nous agirons en citoyens, plus nous ferons preuve de la
même force d'âme, de la même abnégation patriote que démontrent aujourd'hui nos
personnels soignants, nos sapeurs-pompiers, l'ensemble des acteurs de la
sécurité civile, plus vite nous sortirons de cette vie au ralenti. Nous y
arriverons, mes chers compatriotes, en étant unis, solidaires. Je vous demande
d'être responsables tous ensemble et de ne céder à aucune panique, d'accepter
ces contraintes, de les porter, de les expliquer, de vous les appliquer à
vous-mêmes, nous nous les appliquerons tous, il n'y aura pas de passe-droit,
mais, là aussi, de ne céder ni à la panique, ni au désordre. Nous gagnerons,
mais cette période nous aura beaucoup appris. Beaucoup de certitudes, de
convictions sont balayées, seront remises en cause. Beaucoup de choses que nous
pensions impossibles adviennent. Ne nous laissons pas impressionner. Agissons
avec force mais retenons cela : le jour d’après, quand nous aurons gagné, ce ne
sera pas un retour au jour d’avant. Nous serons plus forts moralement, nous
aurons appris et je saurai aussi avec vous en tirer toutes les conséquences,
toutes les conséquences.
Hissons-nous
individuellement et collectivement à la hauteur du moment.
Je
sais mes chers compatriotes pouvoir compter sur vous.
Vive
la République, vive la France ! ( faire remonter la page pour la suite de notre édito )
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