Éditorial de lucienne magalie
Partage d'information :
Avertissemernt : cet éditorial est en cours de finalisation en effet l'extrait figurant sous la vidéo ( de source du site de franceinfo ) n'est pas complet, certains échanges entre l'invité et franceinfo ne sont pas mentionnés. Nous travaillons à rétablir le texte dans son intégralité afin que l'information soit complète et corresponde exactement aux questions de franceinfo et aux réponses de Johan Bardella, telles que nous les entendons dans la vidéo de l'émission publiée en replay le 26.10.2018 :
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Extrait de l'entretien de source du site France info ( comme nous l'avons indiqué plus
haut nous travaillons afin de reproduire en texte l'entretien dans son intégralité.
Quand nous aurons terminé ce travail, nous le téléchargerons ici et supprimerons
l'extrait de franceinfo ci-dessous qui n'est pas complet )
* copié/collé :
"Je n'appelle pas à bloquer le pays, je dis qu’il y a une colère légitime aujourd’hui et qu’il y a un mouvement [le 17 novembre] dans le pays que nous soutenons", a affirmé Jordan Bardella, le porte-parole du Rassemblement national (RN), vendredi 26 octobre sur franceinfo. Il réagit aux appels à bloquer le pays pour protester contre la hausse des prix des carburants, qui se multiplient sur les réseaux sociaux. "La France de monsieur Macron, c’est une France du racket", a estimé par ailleurs Jordan Bardella.
franceinfo : Le RN appelle à manifester le 17 novembre prochain. Vous tentez de récupérer la colère de certains Français ?
Jordan Bardella : Non, on tente de se faire les porte-voix d’une
colère légitime, qui monte dans le pays, à savoir que monsieur
Macron est en train d’organiser un racket généralisé. Il ira
chercher jusqu’au dernier centime dans le portefeuille des
Français, alors tout y passe : l’essence, le contrôle technique,
le gaz, l’électricité, le forfait hospitalier, la CSG…
On a même appris que maintenant, nous aurons des péages
urbains à l’entrée de certaines villes. On n’a pas de frontières
nationales, par contre on a des péages urbains, donc je crois
que tout est bon pour aller dépecer le peuple français jusqu’au
dernier centime. Nous, nous nous opposons évidemment à
cela et nous soutenons les manifestations qui auront lieu le
17 novembre. Nos élus, nos responsables départementaux
dans les fédérations se joindront à la population.
Vous dites que tout est bon pour faire payer les Français : est-ce
qu’un parti responsable peut demander à ce que l’on bloque
la France ?
Je n'appelle pas à bloquer, je dis qu’il y a une colère légitime
aujourd’hui et qu’il y a un mouvement dans le pays que nous
soutenons. Nous n’appelons pas à bloquer la France mais
les gens en ont marre de payer, payer, payer et d’être taxés
systématiquement partout. On nous a dit qu’il n’y aurait plus
de taxe d’habitation et on s’aperçoit que certains la paient plus
cher que l’an dernier, parce que les communes ont anticipé
la hausse. Donc la France de monsieur Macron, c’est une
France du racket où il s’agit toujours d’aller taxer les mêmes.
On a fait un certain nombre de cadeaux aux plus riches avec
l’ISF, on continue d’avoir les robinets grand ouverts pour
l’immigration massive, mais les classes populaires continuent
d’être tapées au portefeuille.
Une cinquantaine de départements subissent actuellement une
sécheresse grave. Ne faut-il pas prendre des mesures vis-à-vis
de cette économie carbonée, qui fait appel largement au
pétrole ?
Je crois qu’on appelle ça l’économie punitive. 60% du prix de
l’essence sont aujourd’hui des taxes, donc on est dans une
augmentation qui consiste à faire rentrer trois milliards d’euros
supplémentaires dans les caisses de l’État. Si vous voulez faire
des économies, je vais vous donner une liste d’économies à
faire, mais il ne s’agit certainement pas d’aller encore une fois
taper au portefeuille.
Maintenant, sur l’écologie, je crois qu’il faut aujourd’hui
changer de modèle économique et développer les circuits
courts. Parce qu’on ne peut pas expliquer qu’on a une volonté
écologique quand notre modèle économique consiste à aller
négocier des traités de libre-échange avec la terre entière.
On ne peut pas défendre une économie totalement ouverte
et mondialisée et en même temps vouloir développer l’écologie
et les circuits courts.
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