Éditorial de lucienne magalie
En dépit des affirmations de l'Elysée qui avait fait connaitre lundi que le Chef de l'Etat avait refusée la proposition de démission de Gerard Colomb; celui-ci a maintenu mardi dans les colonnes du Figaro, sa proposition de démission qui avait dans un premier temps été refusée lundi par le chef de l'Etat.
Emmanuel Macron a accepté dans la nuit de mardi à mercredi la démission de Gérard Colomb , et a demandé au premier ministre Édouard Philippe d'assurer l' intérim de l'intérieur dans l’attente de la nomination de son successeur, a annoncé l'Élysée dans la nuit de mardi à mercredi.
Gérard Collomb n'assistera donc pas au conseil des ministres qui se tiendra ce mercredi à 10h00, avec le gouvernement a précisé l'Élysée
Le premier ministre chargé par le chef de l'Etat Emmanuel Macron d'assurer l'intérim de l'Intérieur a dû modifier son agenda et remettre à plus tard son déplacement prévu en Afrique du Sud , il devait s'envoler mercredi soir pour Prétoria .
Gérard Collomb s'est déclaré prêt à rejoindre Lyon dans la nuit si un successeur était trouvé
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Revenons sur la Journée de Mardi :
La journée de mardi a été très agitée, après l'annonce de Gérard Collomb lundi soir dans une interview exclusive au Figaro, le Premier Ministre présent mardi à la Séance de l'Assemblée Nationale a du faire face aux questions des députés.
Ci-dessous nous publions en copié/collé les extraits des échanges qui ont eu lieu sur la démission de Monsieur Gérard Collomb de source du Compte rendu intégral de la première séance du mardi 2 septembre 2018
Compte rendu
intégral
Avertissement : version provisoire mise en ligne à 01:42
Première séance du mardi 02 octobre 2018
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Questions au Gouvernement
M. le président. L’ordre du jour appelle les questions au Gouvernement.
Démission refusée du ministre de l’intérieur
M. le président. La parole est à M. Éric Ciotti, pour le groupe Les Républicains.
M. Éric Ciotti. Hier soir, M. le ministre de l’intérieur a adressé sa démission au Président de la République. Cette situation, inédite sous la Ve République, fait suite à une démission déjà annoncée, le 18 septembre dernier, lorsque M.Colomb a fait savoir, par anticipation, son départ de la place Beauvau.
M. Erwan Balanant. Vous attendez un coup de fil ?
M. Éric Ciotti. Monsieur le Premier ministre, cette situation inédite et paradoxale soulève deux problèmes majeurs. Un problème politique, tout d’abord – même si ce n’est pas là l’essentiel –, celui du lien de confiance entre M. le ministre de l’intérieur…
M. Marc Le Fur. Qui n’est pas là !
M. Thibault Bazin. En réalité, il est déjà parti !
M. Éric Ciotti. …et le Président de la République, dès lors que cette démission a été assortie de commentaires – au demeurant très pertinents – relatifs au manque d’humilité et de proximité du Président de la République. (Applaudissements sur plusieurs bancs du groupe LR.)
M. Thibault Bazin. Eh oui !
M. Éric Straumann. Et pendant ce temps, Darmanin stresse !
M. Éric Ciotti. En outre – et c’est bien plus grave –, cette démission anticipée soulève un problème majeur en matière de protection des Français. Tandis que la violence ne cesse de s’accroître – 1 000 agressions par jour, 21 policiers et gendarmes blessés –, tandis que nous sommes confrontés à une menace terroriste qui, elle non plus – hélas ! –, ne diminue pas, tandis que notre pays est confronté à une crise migratoire majeure, c’est le moment que choisit M. le ministre de l’intérieur pour annoncer qu’il mènera sa mission en alternance, le matin à Paris, l’après-midi ou le week-end à Lyon.
M. Pierre Cordier. Bien dit !
M. Éric Ciotti. Nous avons un ministre de l’intérieur qui est déjà à l’extérieur du Gouvernement. (Applaudissements sur les bancs du groupe LR. – Exclamations sur les bancs du groupe LaREM.)Ce n’est pas acceptable ! Ce n’est pas supportable !
Ma question est simple, monsieur le Premier ministre : y a-t-il encore un pilote dans l’avion place Beauvau ? (Applaudissements sur les bancs du groupe LR.)
Ma question est simple, monsieur le Premier ministre : y a-t-il encore un pilote dans l’avion place Beauvau ? (Applaudissements sur les bancs du groupe LR.)
M. le président. La parole est à M. le Premier ministre.
M. Edouard Philippe, Premier ministre. Monsieur Ciotti,…
M. Marc Le Fur. Peut-on le joindre par Skype ?
M. Christian Jacob. Quel cinéma !
M. Raphaël Schellenberger. C’est de la mise en scène !
M. Sébastien Chenu. Au moins il n’est pas parti à Barcelone, lui !
Mme Danièle Obono. Il est où Collomb ?
M. Ugo Bernalicis. À Lyon !
M. le président. Chers collègues, seul M. le Premier ministre a la parole.
M. Edouard Philippe, Premier ministre. Monsieur Ciotti, puisque les questions relatives à la sécurité vous intéressent – à juste titre –, permettez-moi de me charger de répondre à votre question. Vous évoquez les questions relatives à la sécurité de deux façons : d’une part, en évoquant la personne de M. le ministre d’État, ministre de l’intérieur, ainsi que le choix qu’il a fait hier de proposer sa démission, laquelle a été refusée par le Président de la République, qui lui a renouvelé sa confiance ;…
M. Éric Straumann. Selon quelle règle constitutionnelle ? On n’a jamais vu ça !
M. Edouard Philippe, Premier ministre. …d’autre part, en évoquant ce qui constitue la véritable question, à savoir la sécurité à proprement parler.
Ce matin – vous ne l’avez pas rappelé, mais cette opération n’a pas pu vous échapper, à vous qui êtes particulièrement attentif aux questions de sécurité –,…
Ce matin – vous ne l’avez pas rappelé, mais cette opération n’a pas pu vous échapper, à vous qui êtes particulièrement attentif aux questions de sécurité –,…
M. Pierre Cordier. On suit quand même l’actualité !
M. Edouard Philippe, Premier ministre. …les forces de police, au terme d’une opération qui, de toute évidence – et vous le savez parfaitement –, avait été préparée de longue date, sont intervenues, en application des dispositions de la loi renforçant la sécurité intérieure et la lutte contre le terrorisme – SILT –, votée par l’Assemblée nationale et par le Sénat, et ont procédé à des visites domiciliaires ainsi qu’au gel des avoirs de certains individus, dont il apparaissait qu’ils pouvaient représenter une menace pour la sécurité des Français.
Mme Valérie Lacroute. Oui, mais ça c’est classique : c’est la vie de tous les jours pour la police !
M. Edouard Philippe, Premier ministre. J’ouvre ma réponse en évoquant cette opération, monsieur Ciotti, car c’est elle qui compte. (Applaudissements sur plusieurs bancs des groupes LaREM et MODEM.)
M. Christian Jacob. Ce n’était pas la question !
M. Edouard Philippe, Premier ministre. C’est ce que nous faisons pour garantir la sécurité des Français qui compte. C’est ce que fait ce gouvernement…
M. Fabien Di Filippo. Vous ne faites rien !
M. Edouard Philippe, Premier ministre. Vous préférez sourire, monsieur Ciotti, probablement parce que ces propos vous font un peu mal – et je le comprends.
M. Éric Straumann. Ce n’était pas la question !
M. Edouard Philippe, Premier ministre. Permettez-moi de vous rappeler que, lorsqu’il s’agit de la sécurité des Français, jamais il n’y aura d’hésitation de la part de ce gouvernement ! Jamais ! Ce sujet est trop sérieux pour que nous en fassions un sujet de petite polémique. (Mmes et MM. les membres du groupe LaREM ainsi que plusieurs membres du MODEM se lèvent et applaudissent. – Huées sur les bancs du groupe LR.)
M. Raphaël Schellenberger. Collomb est à Lyon! Il est démobilisé !
M. Edouard Philippe, Premier ministre. …en augmentant – vous le savez parfaitement – les moyens mis à la disposition des forces de sécurité intérieure, les moyens matériels comme les moyens humains, qui avaient été tellement mis à mal, et pendant si longtemps. Des forces de police supplémentaires, des forces de gendarmerie supplémentaires ! (Applaudissements sur les bancs du groupe LaREM et sur plusieurs bancs du groupe MODEM. – Exclamations sur les bancs du groupe LR.)
Je me souviens, monsieur Ciotti, qu’assis sur vos bancs, je ne me suis jamais livré à ce genre de petite polémique. (Applaudissements sur les bancs du groupe LaREM.)
Je me souviens, monsieur Ciotti, qu’assis sur vos bancs, je ne me suis jamais livré à ce genre de petite polémique. (Applaudissements sur les bancs du groupe LaREM.)
M. Fabien Di Filippo. Qu’a donc fait M. Valls ?
M. le président. S’il vous plaît, chers collègues. Nous écoutons la réponse de M. le Premier ministre.
M. Edouard Philippe, Premier ministre. Merci, monsieur le président. La réponse que je ferai constamment est la suivante: chaque ministre dont est composé ce gouvernement doit se consacrer pleinement à sa tâche.
M. Charles de la Verpillière. Si seulement c’était vrai !
M. Christian Jacob. Et vous, visiblement, sa question vous gêne !
M. Damien Abad. C’est archi-faux !
M. Edouard Philippe, Premier ministre. Ces forces de police et de gendarmerie, ces fonctionnaires affectés à la direction générale de la sécurité intérieure – la DGSI –, cet effort budgétaire supplémentaire, voilà ce qui compte. (Applaudissements sur les bancs du groupe LaREM et sur plusieurs bancs du groupe MODEM.)
J’ai connu comme vous, monsieur Ciotti, des membres du gouvernement qui, à une époque, considéraient qu’il était possible, voire permis, d’être membre du gouvernement et de solliciter un mandat local, et même parfois présidentiel. Ni vous ni moi n’avons jamais reproché à ces ministres de l’intérieur, lorsqu’ils étaient candidats à des élections municipales ou présidentielles, de ne pas se consacrer pleinement à leur tâche. Vous le savez parfaitement ! Je vous propose, monsieur Ciotti, de mettre un terme à cette hypocrisie. (Vifs applaudissements sur les bancs du groupe LaREM et sur plusieurs bancs du groupe MODEM.)
Comme vous m’interrogez au sujet de M. le ministre d’État, ministre de l’intérieur, je vous adresserai la réponse que je ferai constamment. (Exclamations sur les bancs du groupe LR.)
J’ai connu comme vous, monsieur Ciotti, des membres du gouvernement qui, à une époque, considéraient qu’il était possible, voire permis, d’être membre du gouvernement et de solliciter un mandat local, et même parfois présidentiel. Ni vous ni moi n’avons jamais reproché à ces ministres de l’intérieur, lorsqu’ils étaient candidats à des élections municipales ou présidentielles, de ne pas se consacrer pleinement à leur tâche. Vous le savez parfaitement ! Je vous propose, monsieur Ciotti, de mettre un terme à cette hypocrisie. (Vifs applaudissements sur les bancs du groupe LaREM et sur plusieurs bancs du groupe MODEM.)
Comme vous m’interrogez au sujet de M. le ministre d’État, ministre de l’intérieur, je vous adresserai la réponse que je ferai constamment. (Exclamations sur les bancs du groupe LR.)
M. Pierre-Henri Dumont. Libérez Collomb !
M. Fabien Di Filippo. Ils séquestrent le ministre de l’intérieur !
M. Michel Herbillon. Et dire que vous prétendiez incarner un nouveau monde et de nouvelles pratiques ! Mais c’est le même monde, et vous usez des mêmes pratiques que vous fustigiez !
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Démission refusée du ministre de l’intérieur
M. le président. La parole est à M. Pierre Cordier, pour le groupe Les Républicains.
M. Pierre Cordier. J’avais une question à poser à M. le Premier ministre sur les retraites, mais, au vu de la question précédente, on a plus que jamais besoin, monsieur le Premier ministre, d’un ministre de l’intérieur.
« J’ai pris énormément de plaisir à être ministre de l’intérieur », cette phrase n’est pas de moi, cela ne vous aura pas échappé,...
« J’ai pris énormément de plaisir à être ministre de l’intérieur », cette phrase n’est pas de moi, cela ne vous aura pas échappé,...
M. Pierre Cordier. ...mais du ministre de l’intérieur lui-même, monsieur le Premier ministre, il y a quelques instants – je vous conseille, d’ailleurs, de lire la dépêche du Figaro qui vient de tomber.
La question des retraites intéresse énormément de nos concitoyens, mais je voudrais, monsieur le Premier ministre, par respect pour les collègues qui sont ici et pour les membres du Gouvernement, que vous nous fassiez part des informations en votre possession sur Gérard Collomb et son avenir au sein de ce Gouvernement. (Applaudissements sur les bancs du groupe LR.)
La question des retraites intéresse énormément de nos concitoyens, mais je voudrais, monsieur le Premier ministre, par respect pour les collègues qui sont ici et pour les membres du Gouvernement, que vous nous fassiez part des informations en votre possession sur Gérard Collomb et son avenir au sein de ce Gouvernement. (Applaudissements sur les bancs du groupe LR.)
M. Thibault Bazin. Libérez Collomb !
M. le président. La parole est à M. le Premier ministre.
M. Edouard Philippe, Premier ministre. Mesdames et messieurs les députés, au moment où je réponds à cette question, je suis surpris de voir qu’une partie des députés fait de l’humour et que l’autre partie dit que cela n’est pas drôle.
M. Michel Herbillon. Respectez le Parlement !
M. Edouard Philippe, Premier ministre. Je ne plaisante en aucune façon, et j’ai dit tout à l’heure que les questions touchant à la sécurité de nos compatriotes étaient au cœur de l’action du Gouvernement, que chaque jour, nous nous consacrions à notre tâche et que rien ne me distrairait de cette mission.
M. Fabien Di Filippo. Le Premier ministre ne sait même pas s’il a un ministre de l’intérieur !
M. Edouard Philippe, Premier ministre. Il ne m’appartient pas de commenter telle ou telle dépêche (Exclamations sur les bancs du groupe LR.), mais, dans mes fonctions de Premier ministre, j’exercerai la totalité des attributions constitutionnelles qui me sont dévolues.
M. Christian Jacob. Vous ne répondez pas à la question !
M. Edouard Philippe, Premier ministre. Je dirige l’action du Gouvernement...
M. Christian Jacob. Vous ne répondez pas à la question !
M. Edouard Philippe, Premier ministre. ...et j’aurai l’occasion de proposer au Président de la République les décisions qui s’imposent.
Et monsieur Jacob, vous pourrez crier, crier et recrier, je vous dirai exactement la même chose : j’exercerai la totalité de mes attributions constitutionnelles, je défendrai la sécurité des Français et je proposerai au Président de la République les décisions qui s’imposent. Je vous remercie. (Applaudissements sur les bancs des groupes LaREM et MODEM.)
Et monsieur Jacob, vous pourrez crier, crier et recrier, je vous dirai exactement la même chose : j’exercerai la totalité de mes attributions constitutionnelles, je défendrai la sécurité des Français et je proposerai au Président de la République les décisions qui s’imposent. Je vous remercie. (Applaudissements sur les bancs des groupes LaREM et MODEM.)
M. Fabien Di Filippo. C’est du jamais vu !
Après avoir lu l'intégralité du compte rendu nous avons remarqué que dans d'autres questions aux gouvernement, des allusions à la démission refusée de Gérard Colomb ont aussi été lancée, mais dans les deux extraits ci-dessus dont vous noterez dans le deuxième extrait que l'échange avec Christian Jacob a insisté pour obtenir une réponse de la part du premier ministre, nous reprenons ci-dessous cet échange :
M. Christian Jacob. Vous ne répondez pas à la question !
M. Edouard Philippe, Premier ministre. Je dirige l’action du Gouvernement...
M. Christian Jacob. Vous ne répondez pas à la question !
M. Edouard Philippe, Premier ministre. ...et j’aurai l’occasion de proposer au Président de la République les décisions qui s’imposent.
Et monsieur Jacob, vous pourrez crier, crier et recrier, je vous dirai exactement la même chose : j’exercerai la totalité de mes attributions constitutionnelles, je défendrai la sécurité des Français et je proposerai au Président de la République les décisions qui s’imposent. Je vous remercie. (Applaudissements sur les bancs des groupes LaREM et MODEM.)
Et monsieur Jacob, vous pourrez crier, crier et recrier, je vous dirai exactement la même chose : j’exercerai la totalité de mes attributions constitutionnelles, je défendrai la sécurité des Français et je proposerai au Président de la République les décisions qui s’imposent. Je vous remercie. (Applaudissements sur les bancs des groupes LaREM et MODEM.)
M. Fabien Di Filippo. C’est du jamais vu !
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ndlr : Je tiens à souligner que pour une rare fois le premier ministre revendique ses "attributions constitutionnelles" en indiquant " je proposerai au Président de la République les décisions qui s'imposent " , nous n'étions pas habitués = cette fermeté .... ce qui lui a valu le " C'est du jamais vu" de député Fabien Di Filippo.
oo0oo.
Pour continuer sur la journée de mardi selon l'Agence Reuters et d'après une interview exclusive au Figaro, Georges Képénékian, l'actuel maire de Lyon, a remis sa démission mardi soir au préfet du Rhône, afin de laisser sa place à Gérard Collomb.
Selon les médias qui citent l'Agence Reuters : ......." l'édile aurait réuni mardi soir quelques élus de sa majorité pour organiser cette succession anticipée sur le calendrier annoncé. Des élections internes au conseil municipal devraient avoir lieu d'ici une quinzaine de jours pour procéder officiellement à l'élection du nouveau maire. Celle-ci devrait se faire sans difficulté, Gérard Collomb possédant une majorité confortable à Lyon.
Gérard Collomb ne devrait pas en revanche briguer à nouveau la présidence de la Métropole de Lyon. Il n'est en effet pas certain de disposer d'une majorité lui permettant d'être réélu......"
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Mardi dans un entretien au quotidien le "Bien Public" le ministre de l'intérieur a confirmé sa démission : ......"J'ai expliqué au président que les Français et les Lyonnais avaient besoin que les choses soient claires. J'ai toujours accompli ce que j'avais dit, et ma priorité, c'est de m'engager avec les Lyonnais", déclare-t-il notamment.
De leur côté les médias se déchaînent et rapportent dans leurs différentes articles les réactions des personnalités et relevaient dans leurs déclarations et messages des mots et expressions :marquantes : dans un article sur son site le Figaro.fr écrit ...... . " ¤ "Naufrage", "sketch ridicule", "bras d'honneur", "vaudeville"... à gauche comme à droite, de nombreuses personnalités politiques ont fustigé la décision du ministre de l'Intérieur et ce qu'ils perçoivent comme un flottement au sommet de l'Etat.
Nous reprenons ci-dessous différents messages et déclarations rapportées par les médias ou figurant dans les réseaux sociaux : :
Vous dire que je regretterai Collomb serait très , très exagéré . Une écoute proche de zéro , une vision datée ou pire une absence de vision. Depuis Hortefeux , je n’avais pas connu ....
Collomb: "je maintiens ma proposition de démission" - L'Express
https://www.lexpress.fr › Société
Il y a 13 heures - Paris - Gérard Collomb a affirmé mardi au Figaro"maintenir" sa proposition de démission, 24 heures après que le président Emmanuel Macron ...
Gérard Collomb : “Je maintiens ma proposition de démission ...
https://www.valeursactuelles.com/.../gerard-collomb-je-maintiens-ma-proposition-de-d...
Il y a 13 heures - Seulement, le ministre de l'Intérieur persiste et signe en déclarant au Figaro qu'il « maintient sa proposition de démission ». « J'ai mis en place ...
Gérard Collomb au Figaro : «Je maintiens ma proposition de démission»
https://fr.news.yahoo.com/gérard-collomb-au-i-figaro-i-maintiens-proposition-13593...
Il y a 14 heures - Il faut une clarté vis-à-vis de nos concitoyens et une clarté vis-à-vis des Lyonnais, donc je maintiens ma proposition de démission. (...) On quitte ...
Gérard Collomb: «je maintiens ma proposition de démission - Libération
https://www.liberation.fr/.../gerard-collomb-je-maintiens-ma-proposition-de-demission...
Il y a 13 heures - Gérard Collomb a affirmé «maintenir» sa proposition dedémission, 24 heures ... donc je maintiens ma proposition dedémission», a-t-il déclaré au Figaro dans ... Gérard Collomb: «je maintiens ma proposition de démission».
Gérard Collomb "maintient" sa proposition de démission - Paris Match
https://www.parismatch.com/.../Gerard-Collomb-maintient-sa-proposition-de-demissio...
Il y a 13 heures - Dans une interview au «Figaro», Gérard Collomb a affirmé mardi ... donc je maintiens ma proposition de démission", a-t-il déclaré au "Figaro" ...
Gérard Collomb : «Je maintiens ma proposition de démission» | www ...
https://www.cnews.fr/.../gerard-collomb-je-maintiens-ma-proposition-de-demission-79...
Il y a 13 heures - Le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb a affirmé ce mardi 2 octobre, dans les colonnes du Figaro, qu'il maintenait sa «proposition de ...
Gérard Collomb «maintient» sa proposition de démissionner - Le ...
www.leparisien.fr/.../gerard-collomb-maintient-sa-proposition-de-demissionner-du-gouv...
Il y a 13 heures - Gérard Collomb veut toujours tourner la page gouvernementale. ... donc je maintiens ma proposition de démission », a déclaré Gérard Collomb ... Avant même la publication de l'interview par leFigaro, Edouard Philippe a fait ...
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