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06 juillet 2013

Nicolas Sarkozy reprend son baton de pélerin en quêtant pour l'UMP en risque de faillite !

Éditorial de lucienne magalie pons




Le Conseil Constitutionnel  a confirmé, jeudi 4 juillet, le rejet des comptes de campagne pour la présidentielle 2012 de Nicolas Sarkozy. "Le Conseil constitutionnel doit être respecté, pleinement respecté, entièrement respecté et personne ne peut suspecter, mettre en cause cette institution sans mettre en cause l'ensemble des institutions", a déclaré François Hollande devant la presse, lors d'un déplacement en Tunisie.

Voici ce qu'il dit fort justement :



Je n’ai pas à commenter, et encore moins ici en Tunisie, les comportements,  les déclarations des acteurs politiques, en revanche je suis le garant des institutions, c’est la fonction  qui m’a été donnée par les Français le 6 mai dernier (ndlr : 2012) et qui me conduit à rappeler que le Conseil Constitutionnel est une institution de la République, qui par son indépendance règle les questions qui sont de sa seule autorité des décisions qui s’imposent à tous, , et donc le Conseil Constitutionnel doit être respecté, pleinement respecté, entièrement respecté, et personne ne peut suspecter, mettre en cause, sans alors  mettre en cause l’ensemble des institutions. "  voir la vidéo en fin d'éditorial)

Le rejet  le jeudi 4 Juillet par le Conseil Constitutionnel des  comptes de campagne de Nicolas Sarkozy pour l'élection présidentielle de 2012  est une décision qui a suivi  les conclusions de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP), qui avait invalidé en décembre 2012 les comptes de campagne de l'ancien président.
Plusieurs personnalités  de l’opposition ont cru bon de critiquer  cette décision constitutionnelle  défavorable à Monsieur Nicolas Sarkozy ,  en allant jusqu’à se livrer à des  déclarations qui  mettait en doute la partialité du Conseil Constitutionnel, 

Or le Conseil Constitutionnel n’est pas une institution politique, c’est une institution de la République, il est  est composé de neuf membres, renouvelés par tiers tous les trois ans par  le président  de la République, le président  du Sénat et le Président  de l'Assemblée nationale, à ces neuf membres nommés il faut ajouter les membres de droit que sont  les anciens présidents de la République, actuellement Valéry Giscard d’Estaing, Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy.

Le Président de la République nomme le Président du Conseil Constitutionnel parmi les membres nommés.

La composition du Conseil Constitutionnel est actuellement la suivante :

    Jean-Louis DEBRÉ, nommé par le Président de la République en février 200

    Renaud DENOIX de SAINT MARC, nommé par le Président du Sénat en février 2007
    Guy CANIVET, nommé par le Président de l'Assemblée nationale en février 2007
    Michel CHARASSE, nommé par le Président de la République en février 2010
    Hubert HAENEL, nommé par le Président du Sénat en février 2010
    Jacques BARROT, nommé par le Président de l'Assemblée nationale en février 2010
    Claire BAZY MALAURIE, nommée par le Président de l'Assemblée nationale en août 2010
    Nicole MAESTRACCI, nommée par le Président de la République en février 2013
    Nicole BELLOUBET, nommée par le Président du Sénat en février 2013
Valéry GISCARD D'ESTAING, membre de droit
    Jacques CHIRAC, membre de droit
    Nicolas SARKOZY, membre de droit


Avant d'entrer en fonction, les membres nommés du Conseil constitutionnel prêtent serment devant le Président de la République. Ils jurent de bien et fidèlement remplir leurs fonctions, de les exercer en toute impartialité dans le respect de la Constitution, de garder le secret des délibérations et des votes et de ne prendre aucune position publique, de ne donner aucune consultation sur les questions relevant de la compétence du Conseil. Un  acte est dressé de la prestation de serment.

L'entrée en fonction a lieu, sauf dans les cas de remplacement en cours de mandat, au début du mois de mars tous les trois ans. Les membres nommés au Conseil constitutionnel prêtent serment devant le Président de la République. Ils jurent de bien et fidèlement remplir leurs fonctions et de les exercer en toute impartialité dans le respect de la Constitution, a de garder le secret des délibérations et des vote,  de ne prendre aucune position publique, de ne donner aucune consultation relevant de la compétence du Conseil, un acte est dressé de la prestation de serment,   seuls les membres de droit sont dispensés de prêter serment.

La  décision  de rejet  du Conseil Constitutionnel  du  04 juillet 2013 - Décision n° 2013-156 PDR a été rendue  sur un recours de M. Nicolas Sarkozy dirigé contre la décision du 19 décembre 2012 de la Commission nationale des comptes de campagnes et des financements politiques 
Cette décision comporte notamment 24 « considérants»  que vous pourrez consulter en cliquant sur le lien actif du  04 juillet 2013 - Décision n° 2013-156 PDR, mais nous reproduisons ci-dessous  en extrait les 22, 23 et 24me « considérants » » qui figurent dans cette décision :

« SUR LES CONSÉQUENCES À TIRER DES IRRÉGULARITÉS CONSTATÉES :

« 22. Considérant qu'au vu des réformations opérées par la présente décision, le compte de campagne de M. SARKOZY s'établit en dépenses, à 22 975 118 euros et, par voie de conséquence, en recettes, à 23 094 932 euros ;

« 23. Considérant qu'en premier lieu, les montants ainsi arrêtés résultent de la réintégration à hauteur de 1 669 930 euros de dépenses que le candidat n'avait pas ou avait insuffisamment fait figurer dans son compte de campagne, soit 7,8 % de plus que le montant des dépenses qu'il a déclarées et 7,4 % du plafond de dépenses autorisées ; qu'en deuxième lieu, parmi les dépenses qui auraient dû figurer au compte de campagne du fait de leur caractère électoral, celles relatives à la réunion publique tenue à Toulon par M. SARKOZY antérieurement à sa déclaration de candidature n'ont fait l'objet d'aucune refacturation par l'État ; qu'elles ont ainsi été financées irrégulièrement, en méconnaissance des dispositions de l'article L. 52-8 du code électoral, applicable à l'élection présidentielle en vertu du paragraphe II de l'article 3 de la loi du 6 novembre 1962, qui prohibe, sous quelque forme que ce soit, la participation des personnes morales autres que les partis ou groupements politiques au financement de la campagne électorale d'un candidat ; qu'en troisième lieu, le montant arrêté des dépenses électorales de M. SARKOZY excède de 466 118 euros, soit 2,1 %, le plafond autorisé ;


24 - Considérant qu'il résulte de tout ce qui précède que c'est à bon droit que la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques a rejeté le compte de M. SARKOZY ; qu'en application des dispositions précitées de la loi du 6 novembre 1962, dès lors que le compte de M. SARKOZY est rejeté, celui-ci n'a pas droit au remboursement forfaitaire prévu à l'article L. 52-11-1 du code électoral et doit en conséquence restituer au Trésor public l'avance forfaitaire de 153 000 euros qui lui a été versée ; que, s'il résulte des mêmes dispositions que, dans tous les cas où un dépassement du plafond des dépenses électorales est constaté, la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques fixe une somme égale au montant du dépassement que le candidat est tenu de verser au Trésor public, le montant de ce versement, qui présente le caractère d'une sanction, ne saurait être augmenté à la suite du recours du candidat contre la décision de la commission ; qu'il n'y a dès lors pas lieu de modifier le montant arrêté par la commission dans sa décision,


D E C I D E :

Article 1er : Les demandes de MM. René Hoffer et Raymond Avrillier sont rejetées.

Article 2 : Après réformation, le compte de campagne de M. Nicolas SARKOZY s'établit en dépenses à 22 975 118 euros et en recettes à 23 094 932 euros. Il est arrêté comme suit : 


(  ndlr : figurent dans cet article 2 un tableau indiquant les « Dépenses (en euros) – montant déclarés par le candidat- Montants retenus par le Conseil Constitutionnel » et en regard les « Recettes (en euros )  - montant déclarés par le candidat – montant retenus par le Conseil constitutionnel »  et en fin de tableau » le total des dépenses »avec en regard « le total des recettes « et le « solde positif du compte ») – pour consulter ce tableau  vous pouvez le consulter en cliquant sur le lien ci-contre


Article 3 : La décision de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques est réformée en ce qu'elle a de contraire à l'article 2.

Article 4 : Le surplus des conclusions de la requête de M. SARKOZY est rejeté.

Article 5 : La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française et notifiée à M. Nicolas SARKOZY, à la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques et au ministre de l'intérieur.

Délibéré par le Conseil constitutionnel dans sa séance du 4 juillet 2013 où siégeaient : M. Jean-Louis DEBRÉ, Président, M. Jacques BARROT, Mmes Claire BAZY MALAURIE, Nicole BELLOUBET, MM. Guy CANIVET, Michel CHARASSE, Renaud DENOIX de SAINT MARC, Hubert HAENEL et Mme Nicole MAESTRACCI.
ECLI:FR:CC:2013:2013.156.PDR
Fin de l’extrait

ooOoo

En  clair ce qu’il faut retenir c’est que le Conseil Constitutionnel  a jugé que c'est à bon droit que la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques a rejeté le compte de campagne de M. SARKOZY. En application des dispositions précitées de la loi du 6 novembre 1962, dès lors que le compte de M. SARKOZY est rejeté, celui-ci n'a pas droit au remboursement forfaitaire prévu à l'article L. 52-11-1 du code électoral et doit en conséquence restituer au Trésor public l'avance forfaitaire qui lui a été versée. Il n'y a pas lieu de modifier le montant arrêté à 363 615 euros par la commission dans sa décision comme devant être versé au Trésor public pour dépassement du plafond

Vous remarquerez que cette décision, comme toutes les décisions du Conseil Constitutionnel  est une décision qui ne  se prête à aucune interprétation politique, et tout ce qui s’est dit à ce sujet est absolument une stratégie de la part des responsables de l’UMP pour détourner l’opinion.

Il n’y a pas lieu de cautionner ou de croire ce que racontent certains responsables  de l’opposition UMP   qui se sont avancés à  douter de la partialité du Conseil Constitutionnel comme l’a fait Monsieur Hortefeux  « C’est une décision (…) qui démontre la volonté d’asphyxier un homme,  Comment ne pas s’interroger sur (…) cette institution, après la nomination récente de trois (membres) par le pouvoir (socialiste) ? » a-t-il déclaré peu après que le Conseil constitutionnel ait  rendu sa décision, il faut garder raison  et ne pas cautionner  que les nominations de  conseillers postérieures à l’alternance politique auraient pu peser dans sa décision.

  (rappelons que sur les 9  conseillers  qui  ont délibéré,   sept ont été nommés  par  l’ancien pouvoir de droite, deux  le  pouvoir de gauche,  les trois autres sont les anciens présidents de la République de droite, dont Nicolas Sarkozy, qui n'a pas pris part au débat concernant ce dossier.)

Contrairement à ce que dit M. Hortefeux, ce ne sont pas trois, mais deux membres qui ont été nommés par le pouvoir en place, et finalement ce qu’il a avancé pourrait laisser croire que ces deux conseillers ont pesé sur la décision, ce qui est tout à fait outrageant pour ces deux conseillers mais aussi pour les autres conseillers qui se seraient soumis  à leur   influence!

Et puis aussi il y aurait beaucoup à dire sur ces réactions inscrites dans une stratégie de récupération  et de propagande  politique que l’UMP a immédiatement développée :

- Monsieur Nicolas Sarkozy  le 4 juillet  a aussitôt annoncé vouloir  démissionner du Conseil Constitutionnel , dont  il est membre de droit    à vie en sa qualité d’ancien Président de la République Française, ce qui pose problème puisque aucune démission n’est prévue par les règles de fonctionnement  de cette instance et qu’il devrait, selon certains commentateurs avertis, se placer en retrait pendant une certaine période s’il veut retrouver une certaine liberté d’expression.

- Le 4 juillet L'UMP a réagi  par un communiqué signé par le président du parti, Jean-François Copé. "Nous prenons acte de la décision du Conseil Constitutionnel qui annule l'intégralité du compte de campagne de Nicolas Sarkozy pour un dépassement de 2,1%. Nous allons en examiner tous les considérants. Je réunirai la semaine prochaine le Bureau Politique statutaire de l'UMP afin d'examiner toutes les conséquences de cette décision.", écrivait-il,.

-         ensuite  dans la soirée après s'être concerté avec Nicolas Sarkozy,   Jean-François Copé a annoncé le lancement d'une "grande souscription nationale" à partir de lundi 8 juillet, et finalement alors qu’il s’agissait d’après sa première déclaration  par communiqué  « d’examiner toutes les conséquences de cette décision », dans sa nouvelle annonce   Jean-François Copé  a déplacé cette affaire sur la scène politique  en déclarant notamment , -  comme s’il s’agissait de répondre à une attaque -, « vouloir barrer la route à celles et à ceux qui rêve que d’une seule chose , voir l’espace politique français monopolisé par la gauche et par les partis extrémistes, et  de plus  il a encore accentué  l’aspect de propagande en faveur de son parti  en élargissant son appel à toutes les françaises et les français  à répondre aussi à la « grande souscription nationale » , en argumentant qu’un grand parti de droite et du centre (ndlr : l’UMP) s’attelle à préparer l’avenir des enfants de France

Bien entendu   la politisation indécente de la décision  Conseil Constitutionnel n’est pas du fait exclusif de Jean-François Copé,  les ténors ou responsables UMP  « ulcérés » ont   dénoncé  la décision du Conseil constitutionnel  comme une sanction politique injuste, et pour eux  c’est le moyen  de publier le retour de Nicolas Sarkozy sur l’avant scène politique  qui  selon eux   en démissionnant du Conseil Constitutionnel a marqué sa volonté de se  libérer de son obligation de réserve et  retrouver sa  liberté de parole .
Ainsi  pour ainsi dire à 4 ans près de la présidentielle  de 2017 l’UMP  nous  présente son chef prêt à se lancer déjà à la reconquête de la Présidence de la République Française !


Mais  au-delà de toutes ces prétentions il y a une réalité que l’UMP  doit surmonter :  la réalité  c’est que  la décision rendue par  le Conseil Constitutionnel  prive  Nicolas Sarkozy du remboursement par l’État de ses frais de campagne à hauteur de quelque 10,6 millions d’euros, une somme que Nicolas Sarkozy avait empruntée à titre personnel ,  assortie d’une caution de l’UMP,   l'invalidation des comptes de campagne de Nicolas Sarkozy, dans le cadre de sa campagne présidentielle de 2012, plonge le parti dans un drame   financier,  l’UMP  sera en effet privée  de la subvention de quelque 11 millions d'euros de l'Etat au titre du remboursement des frais de campagne à hauteur de 47,5% des frais engagés , voilà la réalité,  le   rejet des comptes de la campagne 2012 de l'ex-président  « pompe » le parti de près de 11 millions d'euros de dotation publique et laisse l'UMP au bord de la faillite".


La machine est en guerre !, mais il faut trouver l’essentiel pour mener à bien cette campagne,  le nerf de la guerre c’est l’argent , les caisses sont vides,  après avoir diffusé un communiqué de presse aux journalistes annonçant son retrait du Conseil constitutionnel et avoir fait part de son  mécontentement aux médias, Nicolas Sarkozy, qui ne manque pas d’idées  et qui a retrouvé sa parole,  a  dénoncé depuis sa page  officielle Facebook   ce qu'il qualifie de "situation inédite sous la Vème République" en lançant un appel aux dons aux militants et sympathisants de l'UMP.

Nicola  Sarkozy s'étonne des règles de financement des partis politiques en expliquant qu'un "principe nouveau" avait été mis en œuvre concernant la campagne présidentielle de 2012, il  dénonce le fait que pour "un dépassement, que nous avons contesté, de 400 000 euros soit 2.1 % du compte de campagne s’applique une sanction de 100% soit 11 millions d’euros".

L'ancien président conclut en demandant de l'aide aux sympathisants de droite pour éviter le "péril" du parti et afin de pouvoir préparer "l’alternance tellement nécessaire au socialisme".

Nous lisons dans les médias que Monsieur Nicolas Sarkozy  participera lundi à un Bureau politique extraordinaire et élargi de l'UMP, qui se penchera, selon la convocation, sur les décisions à prendre pour assurer la pérennité du parti.

Attendons la suite.. ! La pérennité du parti c’est une chose, mais d’ici à 2017 on se demande comment vont s’effacer les leaders UMP qui eux aussi visent la Présidence de la République.

REVUE DE PRESSE:





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  5. L'appel à l'aide de Nicolas Sarkozy - Libération

    www.liberation.fr/.../2012/.../l-appel-a-l-aide-de-nicolas-sarkozy_81334...
    21 avr. 2012 - « Aidez-moi », lançait le président-candidat à la foule de militants assistant à ses meetings pendant cette campagne présidentielle 2012.

  6. L'appel à l'aide de Copé pour l'UMP - Actualités sur JeuxVideo.com ...

    www.jeuxvideo.com/.../1-69-3662643-1-0-1-0-l-appel-a-l-aide-de-cope-...
    Il y a 2 jours - 8 messages - 6 auteurs
    Appel à la solidarité! ... pour faire face à l'invalidation définitive des comptes de campagne de Nicolas Sarkozy pour la présidentielle 2012.

  7. Rejet des comptes de campagne: Sarkozy sort de sa réserve ...

    actu.orange.fr/.../rejet-des-comptes-de-campagne-sarkozy-sort-de-sa-rese...
    Il y a 14 heures - «Nicolas Sarkozy est aujourd?hui la cible de tous les pouvoirs» ... Depuis la Tunisie, le président François Hollande a appelé à "respecter" le ...

  8. Comptes de campagne invalidés : Nicolas Sarkozy fait la quête sur ...

    www.midilibre.fr/.../comptes-de-campagne-invalides-nicolas-sarkozy-fait...
    Il y a 1 jour - Utilisant sa très médiatisée page Facebook, Nicolas Sarkozy a publié ce vendredi matin un "appel à l'aide" qui n'est pas sans rappeler le ...
 

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