Hier Mercredi 10 juillet les médias reprenaient le 18e classement annuel des 500 Français les plus riches du MA ,publié par le magazine économiques , d'après ces informations ces 500 français les plus riches détiennent 336 milliards d'euros soit
16% du produit intérieur brut de la France, ou 10% du patrimoine
financier des Français.
La fortune de ces 500 personnes (ou familles) a progressé de 25% en un an. et les médias soulignent qu'en une décennie, ce chiffre a plus que quadruplé".
Il est écrit ou dit encore que ces plus riches Français s'enrichissent de
plus en plus, et de plus en plus vite, et que les fortunes françaises sont"tellement élevées qu'elles jouent dans la catégorie des champions internationaux".
Elles occupent onze places dans le nouveau palmarès des 100 plus
grosses fortunes européennes publié par le magazine suisse Bilan.
Voici le top 10 des fortunes de France :
1. Bernard Arnault, patron du groupe de luxe LVMH (Louis Vuitton, parfums Christian Dior...) : 24,3 milliards d'euros
2. Liliane Bettencourt et sa famille (L'Oréal) : 23,2 milliards d'euros
3. Gérard Mulliez, fondateur d'Auchan, et sa famille : 19 milliards d'euros
4. Bertrand Puech et la famille Hermès : 17,4 milliards d'euros
5. Serge Dassault, du groupe aéronautique éponyme : 12,8 milliards d'euros
6. François Pinault (Gucci, Yves Saint Laurent...): 11 milliards d'euros
7. Vincent Bolloré, PDG du groupe éponyme : 8 milliards d'euros
8. Pierre Castel, fondateur de Castel Boissons : 7 milliards d'euros.
9. Alain Wertheimer, du groupe Chanel : 7 milliards d'euros (égalité avec le n°8)
10. Xavier Niel, patron d'Iliad (Free) : 5,9 milliards d'euros
Moralité cette crise financière et économique dont les
dirigeants Français et Européens usent et abusent pour établir la rigueur sur
les classes de salariés, retraités, et
les classes économiques socialement faibles, n'existe pas au niveau des fortunes françaises et européennes, bien au contraire elles s'accroissent par l'exploitation des richesses et des
ressources à leur profit exclusif, notamment en exploitant les "ressources
humaines" autrement dit les salariés , à l'exception bien sur des grands
cadres qui sont là pour faire la politique des patrons et des actionnaires, avec la complicité des personnels politiques .
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