Éditorial de lucienne magalie pons
Nous sommes en retard de bon nombre d'informations, la raison en est que notre PC ne fonctionnait plus en microsoft office word, notre outil préférentiel pour rédiger nos textes dans "mes documents" avant de les transférer sur notre site, pour le moment nous avons utilisé un autre outil en attendant de nous offrir contre espèces sonnantes et trébuchantes un nouveau logiciel Microsoft Office Word.
Quoiqu'il en soit nous pubions cidessous avec les moyens du bord notre éditorial déjà assez ancien de deux jours pour protester contre certains médias et politiques qui nous servent à leur sauce partisane "le mariage pour tous" selon leur interprétation.
Nous revenons donc sur le vocabulaire employé par certains politiques et médias en ce qui concerne le projet « mariage pour tous » en général, et la manifestation de protestation du dimanche 13 janvier contre ce projet.
1°/ Nous avons lu et entendu que « ce n’est pas la rue qui gouverne que le débat se fera au parlement et pas « dans le désordre de la rue » :
Premièrement « la rue » est un terme choquant et péjoratif pour désigner des citoyens manifestants
Deuxièmement nous savons parfaitement que les manifestants ne gouvernent pas , qu’il n’ont pas la prétention de débattre dans la rue au lieu et place du Parlement, ils sont là dans les rues de la capitale pour contester ou protester comme citoyens et souhaitent se faire entendre. Au passage signalons que certaines séances au Parlement sont parfois très désordonnées et que l'on peut y entendre des invectives et des noms d'oiseaux fuser des bancs de droite aux bancs de gauche et vice-versa, quand ce ne sont pas en plus des bras d'honneur et des signes de doigts très significatifs et vulgaires.
2°/ on nous parle de « mariage pour tous », ou encore de "mariage gay", ou encore plus rarement de « mariage homosexuel »
1°/ Nous avons lu et entendu que « ce n’est pas la rue qui gouverne que le débat se fera au parlement et pas « dans le désordre de la rue » :
Premièrement « la rue » est un terme choquant et péjoratif pour désigner des citoyens manifestants
Deuxièmement nous savons parfaitement que les manifestants ne gouvernent pas , qu’il n’ont pas la prétention de débattre dans la rue au lieu et place du Parlement, ils sont là dans les rues de la capitale pour contester ou protester comme citoyens et souhaitent se faire entendre. Au passage signalons que certaines séances au Parlement sont parfois très désordonnées et que l'on peut y entendre des invectives et des noms d'oiseaux fuser des bancs de droite aux bancs de gauche et vice-versa, quand ce ne sont pas en plus des bras d'honneur et des signes de doigts très significatifs et vulgaires.
2°/ on nous parle de « mariage pour tous », ou encore de "mariage gay", ou encore plus rarement de « mariage homosexuel »
Cette diversité d’expressions est destinée à masquer la portée réelle de ce projet
Le « mariage pour tous » c’est une formule générique employé par les tenant du pouvoir et les partisans du projet, pour voiler « pudiquement » la réalité de leurs intentions, qui visent principalement l’ouverture du mariage et de l’adoption à des couples du même sexe, « pour tous » est trop général en la circonstance.
Le « mariage gay » est une expression surtout employée par les médias et aussi bien par ses partisans que ses opposants , c’est péjoratif et aussi générique.
Le « mariage homosexuel », même remarque, cette expression est générique elle ne distingue pas les couples lesbiens des couples pédérastes.
Comment expliquer que l’on utilise de préférence ces expressions masquées dans une société dont on dit qu’elle a évoluée, qu’elle est en pleine évolution, , qu’elle doit encore évoluer ? A-t-on peur de désigner un chat un chat ? De quelle sorte de pudeur s'agit-il pour des gens qui se disent affranchis ?
A mon avis, alors que presque tout le monde qui s’exprime en partisans sur ce sujet se dit affranchi de tout préjugé en matière d’orientation sexuelle ,de même les politiques, les médias, et les autres, en sont encore à révéler inconsciemment dans certains cas , certains sciemment dans d’autres cas , en utilisant ces expressions génériques, que les mots lesbien et pédéraste sont trop précis et représentatif de l'acte, et qu’il vaut mieux utiliser les mots « tous » « gay » « homosexuel » pour banaliser l'acte en lui-même , surtout pour éviter d’entrer dans une distinction des sexes , comme si en plus du sexe masculin et du sexe féminin , il existait civilement un troisième sexe « homosexuel ».
Or dans la réalité il y a une différence sexuelle entre les lesbiennes qui sont du sexe féminin et les pédérastes qui sont du sexe masculin, comme tout le monde le sait, et comme tout le monde le sait aussi , leur orientation sexuelle n’a pas pour effet de dénaturer leur sexe , de faire de la vulve organe féminin un pénis organe masculin, et vice et versa.
Or cette précision et cette distinction est fondamentale pour bien comprendre les conséquences du projet de loi qui ouvrirait le mariage et l’adoption aux couples du même sexe.
- Une femme lesbienne peut parfaitement devenir mère en ayant recours à un donneur ( soit à un donneur consentant à donner son sperme en renonçant par avance à sa paternité, soit à un donneur anonyme par insémination à l’étranger dans les deux cas en se rendant dans certains pays ou cette technique est légalisée pour les femmes célibataires) et l’enfant au moins aura une filiation génétique établie du côté de la mère , certes il aura un lien social avec la deuxième mère, mais il n’aura pas de père légalement reconnu .
- dans le cas d’un couple homme-homme pour avoir des enfants , ils pourront adopter ce qui sera admis si la loi est adoptée, mais encore ils pourront en se rendant à l’étranger dans un pays où cette technique est légalisée, avoir recours à la GPA , autrement dit à une mère porteuse, dans le cas de l’adoption ils n’auront aucun lien génétique avec leurs enfants adoptés , ils en seront les pères légaux mais les enfants n’auront pas de mère dans ce foyer, dans le cas de la GPA, selon les pays étrangers certains disposent que la mère porteuse doit recevoir un embryon qui ne provient pas de ses ovules , dans ce cas si l’un des deux pères a été donneur de sperme, il y aura un père génétique mais les enfants n’auront pas de mère, puisque le corps de la mère porteuse est utilisé comme « un véhicule de transport » pendant le temps de la gestation et que l’enfant qu’elle met au monde est remis au couple demandeur.
On voit bien que les cas sont différents entre le couple lesbien et le couple pédéraste, que c’est relativement plus simple pour un couple lesbien d’avoir un enfant qui aura un lien génétique avec l’une des deux mères , et que c’est plus compliqué dans un couple pédéraste qui de lui-même ne peut procréer et qui devra si l’un des deux pères veut établir un lien génétique avec son enfant avoir recours à la GPA à l’étranger pour le moment,.
Et c’est bien là la question, si le projet de mariage pour l’ouverture du mariage passe en force de loi, ce sera la porte ouverte à toutes les revendications pour obtenir la légalisation de la GPA en France, n’en doutons, toujours au nom du principe d’égalité qui en la matière est surtout galvaudé et en fait ne tient pas la route, puisque les enfants des couples de même sexe seront privés de mère dans les mariage pédérastes et privés de père dans les mariages lesbiens, alors que la grande majorité des enfants de France appelés naturellement à la vie ou adoptés légalement par des époux homme-femme ont bien eux un père et une mère , comme cela devrait rester la norme naturelle et légale.
Et puis ce serait pourquoi pas la revendication d'un mariage de troisième type qui pourrait surgir de la part des bisexuels, et d'un quatrième type en core de la part des échangistes, questions de confort par exemple !
J’ai vu hier sur une chaîne la rediffusion d’ une émission sur le mariage pour tous, il y avait quatre invités sur le plateau , dont deux personnalités hommes connues, l’un ex ministre de la culture qui se présente comme homosexuel ouvertement et qui défend le projet de loi du « mariage pour tous » , l’autre un député maire socialiste qui se présente comme parisien, autrefois ancien rapporteur du Pacs, très discret quand à son orientation sexuelle , et qui se trouvait là lui sous prétexte de défendre le programme présidentiel dans lequel figurait la promesse du mariage pour tous, et deux autres invités, un député de droite opposé au « projet du mariage pour tous » qui demande un référendum sur la question, et une femme très connue comme un des leader de l’ opposition au « mariage pour tous » .
On a bien vu que le présentateur de la chaîne qui avait invité ces personnalités orientait son émission d’une part quand à la présentation de la manifestation du 13 janvier qu’il présentait en insistant sur les participants religieux et politiques, en favorisant les défenseurs du « mariages pour tous » , et en tentant d'éluder tous les propos des opposants « au mariage pour tous » en les détournant.
Le « mariage pour tous » c’est une formule générique employé par les tenant du pouvoir et les partisans du projet, pour voiler « pudiquement » la réalité de leurs intentions, qui visent principalement l’ouverture du mariage et de l’adoption à des couples du même sexe, « pour tous » est trop général en la circonstance.
Le « mariage gay » est une expression surtout employée par les médias et aussi bien par ses partisans que ses opposants , c’est péjoratif et aussi générique.
Le « mariage homosexuel », même remarque, cette expression est générique elle ne distingue pas les couples lesbiens des couples pédérastes.
Comment expliquer que l’on utilise de préférence ces expressions masquées dans une société dont on dit qu’elle a évoluée, qu’elle est en pleine évolution, , qu’elle doit encore évoluer ? A-t-on peur de désigner un chat un chat ? De quelle sorte de pudeur s'agit-il pour des gens qui se disent affranchis ?
A mon avis, alors que presque tout le monde qui s’exprime en partisans sur ce sujet se dit affranchi de tout préjugé en matière d’orientation sexuelle ,de même les politiques, les médias, et les autres, en sont encore à révéler inconsciemment dans certains cas , certains sciemment dans d’autres cas , en utilisant ces expressions génériques, que les mots lesbien et pédéraste sont trop précis et représentatif de l'acte, et qu’il vaut mieux utiliser les mots « tous » « gay » « homosexuel » pour banaliser l'acte en lui-même , surtout pour éviter d’entrer dans une distinction des sexes , comme si en plus du sexe masculin et du sexe féminin , il existait civilement un troisième sexe « homosexuel ».
Or dans la réalité il y a une différence sexuelle entre les lesbiennes qui sont du sexe féminin et les pédérastes qui sont du sexe masculin, comme tout le monde le sait, et comme tout le monde le sait aussi , leur orientation sexuelle n’a pas pour effet de dénaturer leur sexe , de faire de la vulve organe féminin un pénis organe masculin, et vice et versa.
Or cette précision et cette distinction est fondamentale pour bien comprendre les conséquences du projet de loi qui ouvrirait le mariage et l’adoption aux couples du même sexe.
- Une femme lesbienne peut parfaitement devenir mère en ayant recours à un donneur ( soit à un donneur consentant à donner son sperme en renonçant par avance à sa paternité, soit à un donneur anonyme par insémination à l’étranger dans les deux cas en se rendant dans certains pays ou cette technique est légalisée pour les femmes célibataires) et l’enfant au moins aura une filiation génétique établie du côté de la mère , certes il aura un lien social avec la deuxième mère, mais il n’aura pas de père légalement reconnu .
- dans le cas d’un couple homme-homme pour avoir des enfants , ils pourront adopter ce qui sera admis si la loi est adoptée, mais encore ils pourront en se rendant à l’étranger dans un pays où cette technique est légalisée, avoir recours à la GPA , autrement dit à une mère porteuse, dans le cas de l’adoption ils n’auront aucun lien génétique avec leurs enfants adoptés , ils en seront les pères légaux mais les enfants n’auront pas de mère dans ce foyer, dans le cas de la GPA, selon les pays étrangers certains disposent que la mère porteuse doit recevoir un embryon qui ne provient pas de ses ovules , dans ce cas si l’un des deux pères a été donneur de sperme, il y aura un père génétique mais les enfants n’auront pas de mère, puisque le corps de la mère porteuse est utilisé comme « un véhicule de transport » pendant le temps de la gestation et que l’enfant qu’elle met au monde est remis au couple demandeur.
On voit bien que les cas sont différents entre le couple lesbien et le couple pédéraste, que c’est relativement plus simple pour un couple lesbien d’avoir un enfant qui aura un lien génétique avec l’une des deux mères , et que c’est plus compliqué dans un couple pédéraste qui de lui-même ne peut procréer et qui devra si l’un des deux pères veut établir un lien génétique avec son enfant avoir recours à la GPA à l’étranger pour le moment,.
Et c’est bien là la question, si le projet de mariage pour l’ouverture du mariage passe en force de loi, ce sera la porte ouverte à toutes les revendications pour obtenir la légalisation de la GPA en France, n’en doutons, toujours au nom du principe d’égalité qui en la matière est surtout galvaudé et en fait ne tient pas la route, puisque les enfants des couples de même sexe seront privés de mère dans les mariage pédérastes et privés de père dans les mariages lesbiens, alors que la grande majorité des enfants de France appelés naturellement à la vie ou adoptés légalement par des époux homme-femme ont bien eux un père et une mère , comme cela devrait rester la norme naturelle et légale.
Et puis ce serait pourquoi pas la revendication d'un mariage de troisième type qui pourrait surgir de la part des bisexuels, et d'un quatrième type en core de la part des échangistes, questions de confort par exemple !
J’ai vu hier sur une chaîne la rediffusion d’ une émission sur le mariage pour tous, il y avait quatre invités sur le plateau , dont deux personnalités hommes connues, l’un ex ministre de la culture qui se présente comme homosexuel ouvertement et qui défend le projet de loi du « mariage pour tous » , l’autre un député maire socialiste qui se présente comme parisien, autrefois ancien rapporteur du Pacs, très discret quand à son orientation sexuelle , et qui se trouvait là lui sous prétexte de défendre le programme présidentiel dans lequel figurait la promesse du mariage pour tous, et deux autres invités, un député de droite opposé au « projet du mariage pour tous » qui demande un référendum sur la question, et une femme très connue comme un des leader de l’ opposition au « mariage pour tous » .
On a bien vu que le présentateur de la chaîne qui avait invité ces personnalités orientait son émission d’une part quand à la présentation de la manifestation du 13 janvier qu’il présentait en insistant sur les participants religieux et politiques, en favorisant les défenseurs du « mariages pour tous » , et en tentant d'éluder tous les propos des opposants « au mariage pour tous » en les détournant.
En présentant ses invités il se permettait des marques de considération et même d'amitié pour les opposants au mariage, par exemple pour l'ancien ministre de la culture il l'a présenté es qualités, et il a ajouté "cher ami" , par contre en présentant l'opposante au "mariage pour tous," il l'a présentée après l'avoir nommée comme "catholique branchée" en faisant de plus les allusions inconvenantes sur ses vêtements roses !
Inutile de vous dire que la présentation de la manifestation lui a valu une remise au point de l'opposante qui a bien précisé qu'il y Avait 1.000.000 de manisfestants de toutes origines .
Si vous souhaitez voir cette mascarade, préparée, organisée et orientée par le présentateur, la propagande de l’ancien ministre de la culture pour le « mariage pour tous » qu’il voit se généraliser selon lui dfans un futur proche en Europe dans et les difficultés que les opposants « au mariage pour tous » ont rencontrées pour réussir à se faire entendre nous vous invitons à retrouver cette émission en recherchant par votre moteur de recherche le lien ci-dessous
Si vous souhaitez voir cette mascarade, préparée, organisée et orientée par le présentateur, la propagande de l’ancien ministre de la culture pour le « mariage pour tous » qu’il voit se généraliser selon lui dfans un futur proche en Europe dans et les difficultés que les opposants « au mariage pour tous » ont rencontrées pour réussir à se faire entendre nous vous invitons à retrouver cette émission en recherchant par votre moteur de recherche le lien ci-dessous
Publiée le 14/01/2013
[Durée] 40mn
Sur le site émetteur (LCP) figure sous la vidéo le texte ci-dessous que nous reproduisons pour information et nous estimons aussi pour notre part très orienté :
Copié/collé source site LCP :
"A propos de cette video
"Dimanche, la manifestation contre le "Mariage pour tous" a remporté un succès incontestable. Ils étaient entre 340 000 selon la police et 800 000 selon les organisateurs à défiler . Les rues de Paris n’avaient pas été foulées par autant de pieds, depuis bien longtemps.
Les opposants au mariage homosexuel ont manifesté au sein de plusieurs cortèges : trois ont été organisés par le Collectif "La Manif pour tous". Ils ont convergé vers le Champ-de-Mars. Ce mouvement mené par l’humoriste catholique Frigide Barjot, qui s’est muée en porte-parole médiatique de ce collectif, a rassemblé une trentaine d’organisations (Alliance Vita, les Associations familiales catholique, le Collectif pour l’enfant…). Les manifestants ont défilé en "bleu, blanc, rose", "Code civil en main". Un quatrième cortège a été emmené par les intégristes de Civitas.
Derrière les associations, une délégation d’élus a appelée à manifester, avec le président de l’UMP Jean-François Copé, le patron des députés UMP Christian Jacob, les ex-ministres Xavier Bertrand et Brice Hortefeux, ainsi que le collectif des maires pour l’enfance dont la pétition contre le projet de loi a recueilli 17 000 signatures et enfin l’Entente parlementaire pour la famille qui regroupe 134 députés et 79 sénateurs.
Christine Boutin et Philippe de Villiers ainsi que le député d’extrême droite Jacques Bompard se sont également joints à la manifestation. Marine Le Pen, absente, a annoncé que son parti n’appelait pas à manifester, mais une délégation frontiste menée par Gilbert Collard et Marion Maréchal-Le Pen ont défilé, tout comme Bruno Gollnisch et les vice-présidents Louis Aliot et Marie-Christine Arnautu.
Une majorité de Français (57%) est favorable au mariage pour les homosexuels et 55% est opposée à l’adoption. Mais 63% se dit opposée à ce que les couples de même sexe puissent avoir recours à la PMA, indiquait vendredi dernier un sondage Le Figaro-LCI d’Opinionway.
62% des Français estiment que le projet de loi sur le mariage pour tous devrait être soumis à un référendum auprès de l’ensemble de la population. 78% des sympathisants de droite se montrent favorables à un référendum. Les sympathisants de gauche sont plus partagés : 50% d’entre eux souhaitent un référendum. Selon une enquête réalisée par TNS Sofres, pour i>TELE et CANAL+, si le projet de loi sur le mariage pour tous était soumis à un référendum, 52% des Français voteraient « oui » et 37% « non ».
Le projet de loi « ouvrant le mariage aux couples de personnes de même sexe » sera débattu les 15 et 16 janvier en commission des lois et sera examiné en séance publique par les députés à partir du 29 janvier. Le combat continue…
Pourquoi la question du mariage pour tous rassemble-t-elle autant de français ? Faut-il organiser un référendum ? Cette bataille va-elle se muer en guerre dans l’hémicycle, comparable à celle du Pacs ?
Les invités d’Arnaud Ardoin en parlent ce soir sur le plateau de Ça vous regarde.
Invités :
• Hervé Mariton, Député UMP de la Drôme
• Patrick Bloche, Député PS de Paris
• Jean-Jacques Aillagon, ancien ministre de la Culture
• Frigide Barjot, Porte-parole de la « manif pour tous »
Chaque soir, Arnaud Ardoin et ses invités débattent avec vous, dès 18h45, en direct sur www.lcp.fr.
En partenariat avec leJDD.fr et Dailymotion
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