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06 novembre 2012

Présidentielles Américaines : Que nous faut-il attendre de l'Ouest ?

Éditorial de lucienne magalie pons

Pour le moment notre site ne s'est pas lancé dans la campagne présidentielle américaine, en effet nous ne voyons rien de nouveau à l'Ouest, que ce soit le leader du   Parti Démocrate ou le leader du  Parti Républicain qui remporte la course, cela n'entraînera  intérieurement que quelques réformette sociales ou fiscales d'ordre soporifiques   pour endormir les revendications des  populations américaines, mais pour la politique extérieure des États Unis elle sera toujours aussi  dangereuse  pour la paix du monde, de  la domination financière que les États Unis exercent et veulent renforcer sur le monde dépend la survie économique des États Unis,   et pour y parvenir ils sont toujours prêts à déclencher  ou soutenir  des conflits armés internationaux , nous l'avons vu en Irak, nous l'avons  vu en Afghanistan , nous l'avons vu en Libye, nous le verrons peut-être en Syrie ou en Palestine.

Si l'on rajoute l'inculture notoire dont est victime une  grande partie des populations  américaines  matraquées 24 heures sur 24 ,partout et en tous lieux   par la publicité,  aussi bien en matière politique, qu'artistique ou culturelle, on se rend bien compte que c'est un immense troupeau de moutons de Panurge qui se soumettra au nouveau Président de l'Amérique, il arrive quelquefois que des moutons deviennent enragés et  se mettent à tirer dans le tas mais ce ne sont que des incidents qui ne remettent pas en cause le panurgisme endémique.

Que ce soit le républicain ou le démocrate, pour nous c'est bonnet blanc et blanc bonnet ,  et tout ce que l'on peut souhaiter c'est qu'un jour l'Europe soit assez forte pour  éradiquer  cette néfaste  influence néo libérale américaine, qui  pousse les patrons des  grandes  entreprises à défendre leur  profit personnel  et l'enrichissement des actionnaires et   des financiers  au détriment des classes de salariés que l'on resserre de plus en plus dans des mesures d'austérités et de rigueur sociale.


 

Source :

Publiée le  5 nov. 2012 par
http://fr.euronews.com/ En anglais, se présenter aux élections ça se dit "running". Et à quelques heures de la fin de la campagne présidentielle américaine, le moins qu'on puisse dire, c'est que les deux candidats sont en pleine course.

Obama et Romney sont au coude à coude dans les sondages. Alors ils multiplient les meetings.

Le président sortant vient de parcourir 8 000 kilomètres en 20 heures. Idem pour son adversaire républicain qui a visité hier pas moins de 5 Etats.

"En 2008, nous étions au milieu de 2 guerres et de la pire crise économique depuis la Grande Dépression", a déclaré Barack Obama. "A ce jour nos entreprises on créé près de 5 millions et demi de nouveaux emplois. L'industrie automobile est de retour. La guerre en Irak est terminée. Al Qairda est en déroute, Oussama Ben Laden est mort. Nous avons fait des progrès ces 4 dernières années".

Hier,  Barack Obama a été interrompu en plein discours par un militant anti-avortement. Ce n'est pas la première fois qu'un meeting du candidat démocrate est ainsi perturbé par des activistes.

Romney, lui, a joué sur ses points forts. En résumé : j'ai réussi dans le business et dans mon Etat. Je peux donc réussir à la Maison Blanche.

"Le président Obama a promis le changement mais il a échoué", a souligné Mitt Romney. "Moi j'ai prouvé que je pouvais réussir. J'ai bâti une entreprise, j'en ai sauvé une autre. J'ai tiré d'affaire les JO d'hiver de Salt Lake City. J'ai remis le Massachussets dans le vert en y relançant l'emploi et en y baissant les impôts. Voilà pourquoi je me présente à cette élection. Parce que je sais comment changer le destin de la nation".

Ce week-end, des centaines de manifestants se sont réunis à Washington pour dénoncer le projet du candidat républicain de baisser le budget de la télévision publique. Ils craignent que les célèbres marionnettes de Sesame Street ne se retrouvent à la rue.

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