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28 juin 2015

GRECE : Le Parlement Grec a approuvé le référendum proposé par le Premier Ministre Tsipras ...( note et revue de presse )

Éditorial de lucienne magalie pons

Depuis  la décisions prise dans la nuit de vendredi à dimanche  par le premier Ministre grec Alexis Tsipras, et qui a fait l'effet d'un premier  lancé d'éclair digne de Zeus à l'adresse de la communauté européenne pour l'avertir qu'il n'était homme à perdre sa dignité en cédant à leurs exigences, le dossier a avancé en Grèce ,  mais se  trouve gelé à Bruxelles en attendant le résultat du référendum Grec du 5 juillet que le parlement  grec a approuvé  dans la nuit..

Ouvrons une parenthèse pour noter que les médias qui prennent partie contre cette décision nous  présente une soupe indigeste, une sorte de salmigondis en parlant d'un pari qui pourrait se retourner contre Alexis Tsipras, ils racontent ou écrive que les  grecs affolés , anxieux , se sont précipités vers les distributeurs d'argents et que les banques ont subi samedi une première attaque " d'anxiété" (sic) apparente, avec  des files d'attente beaucoup plus longues que d'habitude se formant devant les guichets automatiques, ils ajoutes que les caisses des banques sont vides, et citent  des témoins (ndlr : qu'ils choisissent )  qui proteste contre la décision  de Tsipras  et  manifestent leur colère ou leur critique en disant : " "Tsipras ne peut pas jouer avec l'avenir de mes enfants. Qu'il organise des élections, plutôt qu'un référendum",, ou encore  pour raconter  qu'ils sont venus dans leur anxiété  pour  "retirer autant d'argent qu'elle pouvait pour faire  face les semaines prochaines" ...

 Les médias qui  sans  approuver ou critiquer la décision de Tsipras se bornent à suivre l'évolution du dossier disent que la banque de Grèce a annoncé samedi  faisait tout pour assurer que les distributeurs soient bien équipés en billets", et que l'on trouve encore à Athènes de l'argent sans trop de difficultés.,  en indiquant de deux  distributeurs vides samedi matin, ont été réapprovisionnés dans la journée.Par ailleurs ces médias notaient qu'une source bancaire en Grèce soulignait aussi que la Banque centrale européenne,  est toujours "prête à intervenir à tout moment" pour ajuster le niveau de cette aide.


Mais qu'ils soit pour ou contre le côté positif de l'avancée du dossier est plutôt occulté au profit de considérations qui vont dans tous les sens, on parle de Brak run , on ne cite que quelques bribes du discours d'Alexis Tsipras au parlement grec,  les moins éloquentes, on les commente,  on évoque toujours l'éventualité d'un défaut de paiement de la Grèce, d'un Grexit imminent ... bref autant d'épouvantails que l'on agite  en  insistant sur  les déclarations des créanciers .

 Et les uns  dramatisent en disant L'UE lâche Tsipras, la Grèce est au bord du gouffre,, lâchée par la zone euro la Grèce va droit vers le défaut de paiement, Tsipras pensait peut-être se donner le beau rôle, en ne laissant aux créanciers que le week-end pour s'entendre avec la Grèce, misant sur leur peur que les marchés rouvrent lundi dans un désordre indescriptible, à la perspective d'un défaut de paiement de la Grèce envers le FMI, et de ses conséquences imprévisibles sur la zone euro....etc... etc... en dressant un tableau noir..

Mais  d'autres au contraire  approuve  Tsipras  et disent que sa stratégie consistera a obtenir des concessions de ses créanciers. en soulignant que  les créanciers n'ont pas bronché, tout en  annonçant qu'ils ne prolongeraient pas leur programme d'aide au delà du 30, date d'échéance du remboursement de 1,5 milliard dû à l'institution de Washington, et qu'il serait question d'étudier un plan B. 

Pour nous nous  pensons  que c'est  un  juste recours à la démocratie, cette démocratie dont se réclament tant  les dirigeants européens tant qu'elle sert les intérêts de la finance , et qu'ils ignorent quand elle est  invoquée au nom de l'intérêt des population européenne ! 

Alexis Tsipras  a fait savoir à la chancelière allemande  Angela Merkel  au président français François Hollande  lors d'un entretien téléphonique samedi, que le référendum se tiendrait "indépendamment de la décision de l'Eurogroupe".



L'annonce par le Premier ministre grec Alexis Tsipras d'un prochain référendum sur les demandes des créanciers a fait réagir  le FMI et les institutions européennes .

Samedi la directrice générale du FMI  après l’annonce de la tenue du référendum grec  et en arrivant à une réunion des ministres des fiances de la zone euro, a fait savoir que le FMI  allait  continuer à travailler" pour restaurer la stabilité financière de la Grèce, a assuré samedi sa directrice générale, en précisant Avec  «  avec les autres créanciers, nous avons constamment adapté nos approches, progressé dans les négociations avec un objectif double : restaurer la stabilité financière" de la Grèce et "permettre le développement de la croissance et de la compétitivité" du pays, .. nous allons continuer à travailler..  Cela suppose une approche équilibrée avec des réformes structurelles et une consolidation budgétaire propice à la croissance, et, d'autre part, cela nécessite des Européens un soutien financier et une opération sur la dette grecque" …. "C'est ce que nous avons toujours recommandé, je vais le dire à nouveau", a-t-elle ajouté.



Le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schaüble le ministre Allemand des finances à  estimé samedi que le gouvernement grec avait "mis fin unilatéralement aux négociations" avec ses créanciers (UE, FMI) en annonçant la tenue d'un référendum sur le plan de renflouement du pays, … pour le moment, il n'y a plus de base pour des négociations [...], aucun des collègues à qui j'ai parlé n'a une idée de ce que l'on peut faire maintenant", a-t-il ajouté à son arrivée à  la réunion de  l’ Eurogroupe .


De son côté le président de l'Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem,  a dénoncé  "une triste décision" pour la Grèce qui "ferme la porte à la poursuite des discussions". "Je suis très négativement surpris" par la nouvelle, a-t-il   déclaré  à son arrivée à la  réunion des ministres des Finances , "Nous allons écouter le ministre grec, et nous discuterons des conséquences" ……   "C'est une triste décision pour la Grèce, car cela a fermé la porte à la poursuite des discussions, alors que la porte était toujours ouverte dans mon esprit", a-t-il affirmé. "Nous allons parler des conséquences", a-t-il ajouté encore.


Les médias en relatant ajoute que les déclarations de Jeroen Dijsselbloem reflètent,  le sentiment de colère de plusieurs ministres des Finances au sein de la zone euro.


Le ministre finlandais Alexander Stubb  a considéré que l’annonce d’un référendum en Grèce est une « très désagréable surprise » … : «  C'est un jour triste en particulier pour le peuple grec", "Le plan B  [ ndlr : évoquant un défaut de paiement du pays ]  est en train de devenir le plan A"…..  Athènes a "fermé la porte à la poursuite des discussions" sur un plan pour éviter au pays un défaut de paiement le 30 juin, date d'un remboursement de 1,5 milliard d'euros que le pays ne peut honorer, sans aide financière de ses créanciers., a-t-il expliqué


Le  27 juin 2015 , dans le discours  au Parlement précédant le vote, (que vous trouverez plus bas reproduit  en extrait dans des articles en REVUE DE PRESSE )  , le Premier ministre Alexis Tsipras  a appelé   à voter "non" aux réformes exigées par les créanciers de la Grèce, il .s'est  dit persuadé que "le peuple grec dira un grand non à l'ultimatum" des créanciers du pays lors de cette consultation en  évoquant la démocratie en faisant appel à leur dignité    et à leur fierté nationale  ( dlr : en allusion à un événement historique ) "   en rappelant que  les Grecs, devront se prononcer "pour" ou "contre"  sur la dernière offre d'accord faite  vendredi par les créanciers (UE, FMI)  à la Grèce.
.  
L’opposition de droite a manifesté  violemment  son opposition à la proposition de référendum présentée  par Alexis Tsipras  au référendum  par la voix d'Antony Samaras ( vous retrouvez un extrait de la séance dans les articles en Revue de presse) 


Finalement, le  référendum prévu pour le dimanche 5 juillet a été approuvé par 178 députés sur un total de 300 parlementaires. Le nombre de députés ayant voté contre le référendum s'est établi à 120, tandis que seuls deux n'ont pas pris part au vote, selon le décompte définitif annoncé par l'Assemblée.


Le référendum proposé par le gouvernement grec sur la dernière offre d'accord faite au pays par ses créanciers (UE, FMI) a été approuvé à la majorité du parlement grec dans la nuit de samedi à dimanche. 


La veille Alexis Tsipras  s'était adressé aux  citoyens grecs  à la télévision, le 26 juin 2015.
" Citoyens grecs,
Au cours des six derniers mois, le gouvernement grec a mené une bataille sous une asphyxie économique sans précédent, dans le but d’appliquer le mandat que vous lui avez donné le 25 janvier.
Le mandat de négocier avec nos partenaires pour arriver à mettre un terme à l’austérité et pour faire revenir dans notre pays la prospérité et la justice sociale.
Pour un accord durable qui respectera la démocratie, les règles européennes, et qui conduira à une sortie définitive de la crise.
Durant les négociations, il nous a été demandé de manière répétitive de mettre en œuvre les politiques du mémorandum que les précédents gouvernements avaient accepté, en dépit du fait que ce mémorandum avait été condamné sans équivoque par le peuple grec lors des récentes élections.
Nous n’avons jamais envisagé d’abandonner – pas même pendant un instant. Ni de trahir votre confiance.
Après cinq mois d’âpres négociations, nos partenaires ont soumis une proposition-ultimatum à la rencontre de l’Eurogroupe, menaçant la démocratie et le peuple grec.
Un ultimatum qui contrevient aux principes et aux valeurs qui ont fondé l’Europe. Les valeurs de notre projet européen commun.
Il a été demandé au gouvernement grec d’accepter une proposition qui ajoutera un poids insupportable sur les épaules du peuple grec, et qui minera le rétablissement de l’économie et la société grecques – pas seulement en alimentant l’incertitude, mais aussi en aggravant les inégalités sociales.
La proposition des institutions  inclut des mesures qui vont augmenter la dérégulation du marché du travail, les coupes dans les pensions de retraite, et inclut de nouvelles réductions de salaires le secteur public – mais aussi une augmentation de la TVA sur la nourriture, les restaurants et le tourisme, tout en éliminant les exonérations d’impôts sur les îles grecques.
Ces propositions – qui violent directement les acquis sociaux européens et les droits fondamentaux à travailler, à l’égalité et à la dignité – prouvent que certains partenaires et membres des institutions ne veulent pas trouver un accord viable qui bénéficierait à toutes les parties, mais cherchent plutôt l’humiliation du peuple grec.
Ces propositions illustrent principalement l’insistance du FMI pour des mesures d’austérité sévères et punitives. Il est maintenant temps pour les pouvoirs dirigeants européens de se montrer à la hauteur de l’occasion et de prendre l’initiative pour mettre un terme définitif à la crise grecque, une crise qui affecte également d’autres pays européens, en menaçant le future proche de l’intégration européenne.
Citoyens grecs,
Nous faisons face à la responsabilité historique de ne pas laisser les luttes et les sacrifices du peuple grec rester vains, et de renforcer la démocratie et notre souveraineté nationale – cette responsabilité pèse sur nous.
Notre responsabilité pour le futur de notre pays.
Cette responsabilité nous oblige à répondre à l’ultimatum sur la base de la volonté souveraine du peuple grec.
Plus tôt ce soir, le Conseil des ministres était convoqué et j’ai proposé d’organiser un référendum afin que le peuple grec puisse décider.
Ma proposition a été unanimement acceptée.
Demain, le Parlement tiendra une session extraordinaire pour ratifier la proposition du Conseil des ministres pour qu’un référendum soit mis en place dimanche prochain, le 5 juillet. La question posée sera de savoir si la proposition des institutions doit être acceptée ou rejetée.
J’ai déjà informé le président français, la chancelière allemande et le président de la BCE de ma décision ; demain, je demanderai aux leaders de l’UE et des institutions une courte extension du programme – en cours d’écriture – pour que le peuple grec puisse décider sans pression et sans chantage, comme il l’est disposé dans la Constitution de notre pays et dans la tradition démocratique européenne.
Citoyens grecs,
Je vous appelle à choisir – avec la souveraineté et la dignité que l’Histoire grecque exige – si nous devons accepter l’exorbitant ultimatum qui appelle à une stricte et humiliante austérité sans fin, et qui ne donne aucune perspective de pouvoir un jour nous tenir debout sur nos deux pieds, socialement et financièrement.
Nous devrions répondre à l’autoritarisme et l’austérité sévère par la démocratie – dans le calme et la fermeté.
La Grèce, lieu de naissance de la démocratie, devrait envoyer un retentissant message démocratique aux Européens et à la communauté mondiale.
Et je m’engage personnellement à respecter la conséquence de votre choix démocratique, quel qu’il puisse être.
Je suis absolument certain que votre choix fera honneur à l’Histoire de notre pays et enverra un message de dignité à travers le monde.
Dans ces temps critiques, nous allons devoir rappeler que l’Europe est la maison commune de tous ses peuples.
Qu’en Europe, il n’y a ni propriétaires, ni invités.
La Grèce est et restera une partie intégrante de l’Europe, et l’Europe une partie intégrante de la Grèce.
Mais une Europe sans démocratie sera une Europe sans identité et sans boussole.
Je vous appelle tous à agir avec sang-froid dans l’unité nationale et à prendre une décision digne.
Pour nous, pour les générations futures, pour l’Histoire grecque.
Pour la souveraineté et la dignité de notre pays. "
Alexis Tsipras,

le 26 juin 2015"
____________/

En conclusion il reste aux créanciers de la Grèce  à ruminer leur colère , leur  déconvenue ou leur déception, ou peut-être même à comploter   en attendant les résultats du référendum grec.

Dommage qu'il n'y a pas dans l'UE  d'autres dirigeants pour faire bisquer ses homologues et la Commission de Buxelles ou son président ... .., de temps en temps David Cameron le Premier Ministre Britannique s'avise de le faire, mais lui ce n'est  pas trop pour des questions d'aide ou d'endettement , c'est surtout pour défendre la souveraineté de son pays ( on en parlera prochainement dans un autre article ) 

Revue de Presse :( note : les informations sont plutôt  traités par les médias dans la tonalité négative ...mais vous les interpréterez  selon votre analyse)

Grèce : le parlement approuve le référendum de Tsipras

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info en continu - Radio-Canada.ca

ici.radio-canada.ca/info/

Le Parlement grec a approuvé sans surprise dans la nuit de samedi à dimanche ... Le 28 juin 2005, par 158 ...arlement grec approuve le référendum proposé par Alexis Tsipras

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Grèce : bras de fer avec l'Europe

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En direct - A la suite de l'annonce surprise par Alexis Tsipras d'un référendum en Grèce sur le plan d'aide européen, les ministres des Finances de l'Eurogroupe ont refusé de prolonger l'actuel programme de renflouement, qui expire mardi. Censé ...

Le ''destin'' de la Grèce est de rester dans la zone euro (Sapin)

Le Figaro - ‎Il y a 17 minutes ‎
Séparez les adresses e-mail de vos contacts par des virgules. De la part de : Le "destin" de la Grèce est de rester dans la zone euro (Sapin). J'accepte de recevoir la newsletter quotidienne du Figaro.fr. Oui Non. Imprimer; Haut de page. Menu. Economie.

Du "Greferendum" au "Grexit", récit d'une négociation catastrophe

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Bruxelles (AFP) - La réunion de la dernière chance entre la Grèce et ses créanciers a viré au scénario catastrophe après cinq mois de bras de fer, avec une rupture des négociations, précipitant le pays vers un défaut de paiement et une sortie de la zone euro.

Du plan A au plan B, l'Europe en territoire inconnu

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Grèce : comment Tsipras s'est enfermé dans un cul-de-sac

L'Obs - ‎Il y a 2 heures ‎
En soumettant l'accord avec ses créanciers européens à un référendum, et en appelant à voter contre, le Premier ministre grec a privé son pays de l'aide financière dont il a besoin. Le Premier ministre grec Alexis Tsipras lors d'une allocution télévisée, dans ...

Crise grecque : quelles conséquences d'une sortie de la zone euro ...

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Du «Greferendum» au «Grexit», récit d'une négociation catastrophe

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Grèce : le parlement approuve le référendum de Tsipras

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Le Premier ministre grec Alexis Tsipras a proposé samedi la tenue d'un référendum populaire pour ou contre les demandes des créanciers de la Grèce. Le Parlement grec a approuvé sans surprise dans la nuit de samedi à dimanche la tenue le 5 juillet ...

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