Éditorial de lucienne magalie pons
Depuis la décisions prise dans la nuit de vendredi à dimanche par le premier Ministre grec Alexis Tsipras, et qui a fait l'effet d'un premier lancé d'éclair digne de Zeus à l'adresse de la communauté européenne pour l'avertir qu'il n'était homme à perdre sa dignité en cédant à leurs exigences, le dossier a avancé en Grèce , mais se trouve gelé à Bruxelles en attendant le résultat du référendum Grec du 5 juillet que le parlement grec a approuvé dans la nuit..
Ouvrons une parenthèse pour noter que les médias qui prennent partie contre cette décision nous présente une soupe indigeste, une sorte de salmigondis en parlant d'un pari qui pourrait se retourner contre Alexis Tsipras, ils racontent ou écrive que les grecs affolés , anxieux , se sont précipités vers les distributeurs d'argents et que les banques ont subi samedi une première attaque " d'anxiété" (sic) apparente, avec des files d'attente beaucoup plus longues que d'habitude se formant devant les guichets automatiques, ils ajoutes que les caisses des banques sont vides, et citent des témoins (ndlr : qu'ils choisissent ) qui proteste contre la décision de Tsipras et manifestent leur colère ou leur critique en disant : " "Tsipras ne peut pas jouer avec l'avenir de mes enfants. Qu'il organise des élections, plutôt qu'un référendum",, ou encore pour raconter qu'ils sont venus dans leur anxiété pour "retirer autant d'argent qu'elle pouvait pour
faire face les semaines prochaines" ...
Les médias qui sans approuver ou critiquer la décision de Tsipras se bornent à suivre l'évolution du dossier disent que la banque de Grèce a annoncé samedi faisait tout pour assurer que les distributeurs soient bien équipés en billets", et que l'on trouve encore à Athènes de l'argent sans trop de difficultés., en indiquant de deux distributeurs vides samedi matin, ont été réapprovisionnés dans la journée.Par ailleurs ces médias notaient qu'une source bancaire en Grèce soulignait aussi que la Banque centrale européenne, est toujours "prête à intervenir à tout moment" pour ajuster le niveau de cette aide.
Mais qu'ils soit pour ou contre le côté positif de l'avancée du dossier est plutôt occulté au profit de considérations qui vont dans tous les sens, on parle de Brak run , on ne cite que quelques bribes du discours d'Alexis Tsipras au parlement grec, les moins éloquentes, on les commente, on évoque toujours l'éventualité d'un défaut de paiement de la Grèce, d'un Grexit imminent ... bref autant d'épouvantails que l'on agite en insistant sur les déclarations des créanciers .
Et les uns dramatisent en disant L'UE lâche Tsipras, la Grèce est au bord du gouffre,, lâchée par la zone euro la Grèce va droit vers le défaut de paiement, Tsipras pensait peut-être se donner le beau rôle, en ne laissant aux créanciers que le week-end pour s'entendre avec la Grèce, misant sur leur peur que les marchés rouvrent lundi dans un désordre indescriptible, à la perspective d'un défaut de paiement de la Grèce envers le FMI, et de ses conséquences imprévisibles sur la zone euro....etc... etc... en dressant un tableau noir..
Mais d'autres au contraire approuve Tsipras et disent que sa stratégie consistera a obtenir des concessions de ses créanciers. en soulignant que les créanciers n'ont pas bronché, tout en annonçant qu'ils ne prolongeraient pas leur programme d'aide au delà du 30, date d'échéance du remboursement de 1,5 milliard dû à l'institution de Washington, et qu'il serait question d'étudier un plan B.
Pour nous nous pensons que c'est un juste recours à la démocratie, cette démocratie dont se réclament tant les dirigeants européens tant qu'elle sert les intérêts de la finance , et qu'ils ignorent quand elle est invoquée au nom de l'intérêt des population européenne !
Alexis Tsipras a fait savoir à la chancelière
allemande Angela Merkel au président français François Hollande lors d'un entretien téléphonique samedi, que le référendum se tiendrait "indépendamment de la décision de l'Eurogroupe".
L'annonce par le
Premier ministre grec Alexis Tsipras d'un prochain référendum sur les demandes
des créanciers a fait réagir le FMI et les
institutions européennes .
Samedi la directrice
générale du FMI après l’annonce de la
tenue du référendum grec et en arrivant
à une réunion des ministres des fiances de la zone euro, a fait savoir que le
FMI allait continuer à travailler" pour restaurer la
stabilité financière de la Grèce, a assuré samedi sa directrice générale, en
précisant Avec « avec les autres
créanciers, nous avons constamment adapté nos approches, progressé dans les
négociations avec un objectif double : restaurer la stabilité financière"
de la Grèce et "permettre le développement de la croissance et de la
compétitivité" du pays, .. nous allons continuer à travailler.. Cela suppose une approche équilibrée avec des
réformes structurelles et une consolidation budgétaire propice à la croissance,
et, d'autre part, cela nécessite des Européens un soutien financier et une
opération sur la dette grecque" …. "C'est ce que nous avons toujours
recommandé, je vais le dire à nouveau", a-t-elle ajouté.
Le ministre allemand des
Finances, Wolfgang Schaüble le ministre Allemand des finances à estimé samedi que le gouvernement grec avait
"mis fin unilatéralement aux négociations" avec ses créanciers (UE,
FMI) en annonçant la tenue d'un référendum sur le plan de renflouement du pays,
… pour le moment, il n'y a plus de base pour des négociations [...], aucun
des collègues à qui j'ai parlé n'a une idée de ce que l'on peut faire
maintenant", a-t-il ajouté à son arrivée à la réunion de
l’ Eurogroupe .
De son côté le président
de l'Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem, a
dénoncé "une triste décision"
pour la Grèce qui "ferme la porte à la poursuite des discussions".
"Je suis très négativement surpris" par la nouvelle, a-t-il déclaré
à son arrivée à la réunion des
ministres des Finances , "Nous allons écouter le ministre grec, et nous
discuterons des conséquences" …… "C'est une triste décision pour la Grèce,
car cela a fermé la porte à la poursuite des discussions, alors que la porte
était toujours ouverte dans mon esprit", a-t-il affirmé. "Nous allons
parler des conséquences", a-t-il ajouté encore.
Les médias en relatant
ajoute que les déclarations de Jeroen Dijsselbloem reflètent, le sentiment de colère de plusieurs ministres
des Finances au sein de la zone euro.
Le ministre finlandais
Alexander Stubb a considéré que l’annonce
d’un référendum en Grèce est une « très désagréable surprise » … : «
C'est un jour triste en particulier pour le peuple grec", "Le plan B [ ndlr : évoquant un défaut de paiement
du pays ] est en train de devenir le
plan A"….. Athènes a "fermé la porte à la poursuite des
discussions" sur un plan pour éviter au pays un défaut de paiement le 30
juin, date d'un remboursement de 1,5 milliard d'euros que le pays ne peut
honorer, sans aide financière de ses créanciers., a-t-il expliqué
Le 27 juin 2015 , dans le discours au Parlement précédant le vote, (que vous trouverez plus
bas reproduit en extrait dans des articles en REVUE DE PRESSE ) , le Premier ministre Alexis Tsipras a appelé à voter "non" aux réformes exigées par les créanciers de la Grèce, il .s'est dit
persuadé que "le peuple grec dira un grand non à l'ultimatum" des
créanciers du pays lors de cette consultation en évoquant la démocratie en faisant appel à leur dignité et à leur fierté nationale ( dlr : en allusion à un événement historique ) " en rappelant que les Grecs, devront se
prononcer "pour" ou "contre" sur la dernière offre d'accord faite vendredi par les créanciers (UE, FMI) à la Grèce.
.
L’opposition de droite a manifesté violemment
son opposition à la proposition de référendum présentée par Alexis Tsipras au référendum par la voix d'Antony Samaras ( vous retrouvez un extrait de la séance dans les articles en Revue de presse)
Finalement, le référendum prévu pour le dimanche 5 juillet a
été approuvé par 178 députés sur un total de 300 parlementaires. Le nombre de
députés ayant voté contre le référendum s'est établi à 120, tandis que seuls
deux n'ont pas pris part au vote, selon le décompte définitif annoncé par
l'Assemblée.
Le référendum proposé par le gouvernement grec sur la dernière offre
d'accord faite au pays par ses créanciers (UE, FMI) a été approuvé à la
majorité du parlement grec dans la nuit de samedi à dimanche.
La veille Alexis Tsipras s'était adressé aux citoyens grecs à la télévision, le 26 juin 2015.
" Citoyens grecs,
Au cours des six derniers mois, le gouvernement grec a mené une
bataille sous une asphyxie économique sans précédent, dans le but
d’appliquer le mandat que vous lui avez donné le 25 janvier.
Le mandat de négocier avec nos partenaires pour arriver à mettre un
terme à l’austérité et pour faire revenir dans notre pays la prospérité
et la justice sociale.
Pour un accord durable qui respectera la démocratie, les règles
européennes, et qui conduira à une sortie définitive de la crise.
Durant les négociations, il nous a été demandé de manière
répétitive de mettre en œuvre les politiques du mémorandum que les
précédents gouvernements avaient accepté, en dépit du fait que ce
mémorandum avait été condamné sans équivoque par le peuple grec lors des
récentes élections.
Nous n’avons jamais envisagé d’abandonner – pas même pendant un instant. Ni de trahir votre confiance.
Après cinq mois d’âpres négociations, nos partenaires ont soumis
une proposition-ultimatum à la rencontre de l’Eurogroupe, menaçant la
démocratie et le peuple grec.
Un ultimatum qui contrevient aux principes et aux valeurs qui ont fondé l’Europe. Les valeurs de notre projet européen commun.
Il a été demandé au gouvernement grec d’accepter une proposition
qui ajoutera un poids insupportable sur les épaules du peuple grec, et
qui minera le rétablissement de l’économie et la société grecques – pas
seulement en alimentant l’incertitude, mais aussi en aggravant les
inégalités sociales.
La proposition des institutions inclut des mesures qui vont augmenter la dérégulation du marché du
travail, les coupes dans les pensions de retraite, et inclut de
nouvelles réductions de salaires le secteur public – mais aussi une
augmentation de la TVA sur la nourriture, les restaurants et le
tourisme, tout en éliminant les exonérations d’impôts sur les îles
grecques.
Ces propositions – qui violent directement les acquis sociaux
européens et les droits fondamentaux à travailler, à l’égalité et à la
dignité – prouvent que certains partenaires et membres des institutions
ne veulent pas trouver un accord viable qui bénéficierait à toutes les
parties, mais cherchent plutôt l’humiliation du peuple grec.
Ces propositions illustrent principalement l’insistance du FMI pour
des mesures d’austérité sévères et punitives. Il est maintenant temps
pour les pouvoirs dirigeants européens de se montrer à la hauteur de
l’occasion et de prendre l’initiative pour mettre un terme définitif à
la crise grecque, une crise qui affecte également d’autres pays
européens, en menaçant le future proche de l’intégration européenne.
Citoyens grecs,
Nous faisons face à la responsabilité historique de ne pas laisser
les luttes et les sacrifices du peuple grec rester vains, et de
renforcer la démocratie et notre souveraineté nationale – cette
responsabilité pèse sur nous.
Notre responsabilité pour le futur de notre pays.
Cette responsabilité nous oblige à répondre à l’ultimatum sur la base de la volonté souveraine du peuple grec.
Plus tôt ce soir, le Conseil des ministres était convoqué et j’ai
proposé d’organiser un référendum afin que le peuple grec puisse
décider.
Ma proposition a été unanimement acceptée.
Demain, le Parlement tiendra une session extraordinaire pour
ratifier la proposition du Conseil des ministres pour qu’un référendum
soit mis en place dimanche prochain, le 5 juillet. La question posée
sera de savoir si la proposition des institutions doit être acceptée ou
rejetée.
J’ai déjà informé le président français, la chancelière allemande
et le président de la BCE de ma décision ; demain, je demanderai aux
leaders de l’UE et des institutions une courte extension du programme –
en cours d’écriture – pour que le peuple grec puisse décider sans
pression et sans chantage, comme il l’est disposé dans la Constitution
de notre pays et dans la tradition démocratique européenne.
Citoyens grecs,
Je vous appelle à choisir – avec la souveraineté et la dignité que
l’Histoire grecque exige – si nous devons accepter l’exorbitant
ultimatum qui appelle à une stricte et humiliante austérité sans fin, et
qui ne donne aucune perspective de pouvoir un jour nous tenir debout
sur nos deux pieds, socialement et financièrement.
Nous devrions répondre à l’autoritarisme et l’austérité sévère par la démocratie – dans le calme et la fermeté.
La Grèce, lieu de naissance de la démocratie, devrait envoyer un
retentissant message démocratique aux Européens et à la communauté
mondiale.
Et je m’engage personnellement à respecter la conséquence de votre choix démocratique, quel qu’il puisse être.
Je suis absolument certain que votre choix fera honneur à
l’Histoire de notre pays et enverra un message de dignité à travers le
monde.
Dans ces temps critiques, nous allons devoir rappeler que l’Europe est la maison commune de tous ses peuples.
Qu’en Europe, il n’y a ni propriétaires, ni invités.
La Grèce est et restera une partie intégrante de l’Europe, et l’Europe une partie intégrante de la Grèce.
Mais une Europe sans démocratie sera une Europe sans identité et sans boussole.
Je vous appelle tous à agir avec sang-froid dans l’unité nationale et à prendre une décision digne.
Pour nous, pour les générations futures, pour l’Histoire grecque.
Pour la souveraineté et la dignité de notre pays. "
Alexis Tsipras,
le 26 juin 2015"
____________/
En conclusion il reste aux créanciers de la Grèce à ruminer leur colère , leur déconvenue ou leur déception, ou peut-être même à comploter en attendant les résultats du référendum grec.
Dommage qu'il n'y a pas dans l'UE d'autres dirigeants pour faire bisquer ses homologues et la Commission de Buxelles ou son président ... .., de temps en temps David Cameron le Premier Ministre Britannique s'avise de le faire, mais lui ce n'est pas trop pour des questions d'aide ou d'endettement , c'est surtout pour défendre la souveraineté de son pays ( on en parlera prochainement dans un autre article )
Revue de Presse :( note : les informations sont plutôt traités par les médias dans la tonalité négative ...mais vous les interpréterez selon votre analyse)
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Cela ne va pas arranger les relations entre la Grèce et ses créanciers. Après l'annonce, vendredi par Alexis Tsipras, de l'organisation d'un référendum sur l'accord proposé par les créanciers du pays, l'UE et les FMI, l'Eurogroupe, réuni à Bruxelles, ...
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info en continu - Radio-Canada.ca
ici.radio-canada.ca/info/
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Les députés grecs ont approuvé le projet de référendum du Premier
ministre Alexis Tsipras sur les exigences des créanciers. Le Premier
ministre est convaincu que le peuple opposera un refus net à l'ultimatum
de l'UE et du FMI. Le bras de fer entre la Grèce ...
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En direct - A la suite de l'annonce surprise par Alexis Tsipras d'un
référendum en Grèce sur le plan d'aide européen, les ministres des
Finances de l'Eurogroupe ont refusé de prolonger l'actuel programme de
renflouement, qui expire mardi. Censé ...
Le ''destin'' de la Grèce est de rester dans la zone euro (Sapin)
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Séparez les adresses e-mail de vos contacts par des virgules. De la
part de : Le "destin" de la Grèce est de rester dans la zone euro
(Sapin). J'accepte de recevoir la newsletter quotidienne du Figaro.fr.
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Bruxelles (AFP) - La réunion de la dernière chance entre la Grèce et
ses créanciers a viré au scénario catastrophe après cinq mois de bras de
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défaut de paiement et une sortie de la zone euro.
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indissoluble d'Etats liés entre eux par une monnaie commune est entré ce
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Crise grecque : quelles conséquences d'une sortie de la zone euro ...
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Grèce une déroute bancaire alors qu'Athènes se dirige tout droit vers le
scénario catastrophe d'une sortie de la ...
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dans la salle de presse de l'Eurogroupe, ce samedi à Bruxelles (JOHN
THYS ..AFP)
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